Un Week-End À Toulon
Un week-end à Toulon. Une chambre d'un petit hôtel de charme. Dany organise une randonnée entre les pins penchés et littoral escarpé de la Anse de Méjan par le chemin des douaniers, avec comme point d'orgue un repas gastronomique au restaurant de l'Escale...
Nous avions laissé passer de longues semaines avant que je reprenne contact avec Lui.
Chacun a encore en mémoire cette soirée passée en sa compagnie, suite au message que je lui ai envoyé et qui a déclenché l'histoire que je vais vous raconter...
Le message en question disait:
"Dany, j'ai une proposition coquine à te soumettre.
Ma femme est concernée. Elle serait même le centre d'intérêt...
Si tu es Ok, elle serait ravie. Si tu hésites on peut en parler. Bises."
Dany a accepté sans réticence cette invitation libertine.
Après beaucoup d'hésitations, Ma compagne a enfin été d'accord pour vivre cette expérience, celle de repousser nos horizons érotiques.
Faire l'amour à trois!
Un apéritif dînatoire, une ambiance cosy, alors que je ne m'y attendais plus. Le décor était planté, les acteurs choisis. Hauts Escarpins, bas fantaisies, une robe courte blanche en tissu synthétique près du corps, largement décolleté. Indécente à souhait.
Après nous être installés, Dany, l'a dévoré des yeux avant d'entreprendre de timides caresses.
Ma coquine, assise entre nous deux, semblait contractée. Il n'était plus l'heure d'atermoyer et comme pour encourager mes deux complices, je repousse la fine bretelle argentée et libère un sein provocant dont le mamelon érectile pointe au milieu de l'aréole. Je ne résiste pas au désir de le téter ou le faire rouler sous ma langue.
Dans le même temps Dany a passé sa main sous le bord la robe et s'immisce dans l'entre cuisse de ma chérie qui consent à séparer ses genoux.
Son souffle s'accélère, quand j'aperçois les doigts de mon ami s'enfoncer dans sa vulve.
Après tout c'est bien moi qui suis l'instigateur de cette situation et je ne vais pas m'en plaindre.
Une érection vigoureuse s'en suit et je détache la boucle de ma ceinture. Ma chérie considère mon geste comme une invite à flatter mon sexe, alors elle se retourne vers moi et me masturbe consciencieusement. Dany en profite pour dénuder notre amante commune qui ne porte plus que ses jolis escarpins.
A genoux, elle a pris mon sexe dressé dans sa bouche le plus au fond qu'elle peut l'accepter avant d'avoir un haut-le-cur. Dany s'est placé derrière elle et lui a remonté la croupe dans laquelle il enfonce son visage pour un anulingus fougueux.
Je déguste ses instants électriques et fabuleux où se croisent voyeurisme, exib et transgression.
Et puis bien-sûr n'y tenant plus, après avoir partagé ces préliminaires délicieux, Dany se redresse et saisit le bassin de ma tendre et débauchée bien-aimée, et l'empale facilement pourtant nanti d'un sexe considérable. Les va-et-vient mesurés sont rythmés par les petits cris que laisse échapper Ma chérie toujours embouchée sur ma verge.
Puis la cadence s'accélère, je suis au bord de l'explosion des sens et je ne pourrais retenir encore longtemps un orgasme imminent. Les coups de butoirs redoublent, Dany, n'a pas lâché sa prise, il perfore, il taraude. Je retiens ma belle par le cou et les épaules pour tenter d'amortir les secousses déchaînées, imprimées à son corps, qui se transforme en objet sexuel. Je jouis dans la bouche de ma catin dépravée, moi qui n'éjacule jamais entre ses lèvres.
Ma merveilleuse putain râle de plaisir quand notre invité lâche son foutre chaud...
...Voila l'objet de mes pensées pendant que je touillais la cuiller dans ma tasse à café...
La journée tire à sa fin, échange de bises et nous nous dirigeons vers notre résidence d'un soir.
Alors que ma compagne se douchait, on toque. Je ne suis pas surpris de voir Dany que j'invite à entrer. Il évoque un prétexte futile que je n'ai même pas retenu.
Assis au pied du lit, nous discutons de sujets anodins avec conviction pour essayer de donner du sens.
Parée d'un peignoir moelleux gracieusement prêté par l'hôtel, ma séduisante dulcinée s'est allongée près de nous et a posé sa tête sur ma cuisse. Je suis convaincu que l'un et l'autre ne pensent qu'aux sensations découvertes lors de notre dernière expérience.
Il n'y a pas de doute que tous, nous avons pris beaucoup de plaisir dans ses sensations nouvelles. Des sentiments contradictoires se superposent au souvenir de ce délire érotique. Le supplice subtil de partager la femme que j'aime avec un autre. Le désir, l'ardeur, l'appétit sexuel exacerbé par la situation où la femme, la maîtresse, l'égérie est tellement érotisée.
Abstrait dans mes rêveries, je n'ai pas remarqué tout de suite le silence qui s'est imposé.
Sans y penser vraiment, ma main court sur le tissu éponge jusqu'à attr un bord et le retrousser lentement pour découvrir les jambes, puis les cuisses, puis ses fesses. Le temps est suspendu, avec mon complice nos regards se croisent, à présent les reins, les hanches de ma donzelle sont découverts. En deux mouvements je la débarrasse du kimono alors qu'elle reprend sa position de dormeuse.
Nous l'observons, hypnotisés. Nos yeux se posent sur ses formes gracieuses. A l'idée que mon ami se rassasie du spectacle de ma femme nue, me bouscule, me comble, me trouble.
Mes mains sont venues spontanément masser doucement ce corps gracile.
Lentement mes doigts glissent sur sa peau, tout à la fois sur son cou, le long des bras, dans le creux de son dos, et le rebondi de ses fesses. Aux mouvements alanguis de ma favorite on peut penser qu'elle se ravit de mes caresses. Dany retient pour l'instant son envie de la toucher. Sans doute le rôle de voyeur lui suffi pour le moment.
Subitement elle osa se retourner exposant ses seins saillants et ronds, sa taille fine, le renflement de son sexe lisse. Mes mains sons devenues plus hardies, plus curieuses, entourant chaque mamelle pour agacer les tétines, saisissant les chevilles pour forcer ses jambes à se séparer, remontant délibérément entre ses cuisses pour atteindre son intimité chaude, déterminé à fouiller, pénétrer cet antre charnel, déjà bien humide.
Incitée, excitée, elle remonte haut ses genoux qu'elle retient avec ses bras pour nous exposer son cul. Offerte, sans pudeur. Dany me relaie dans cette prospection tactile, ses doigts s'engouffrent, perforent, sondent son puits d'amour ou son bouton de rose.
C'est un jeu à quatre mains qui se frôlent se remplacent dans sa caverne suintante. L'index et le majeur enfoncés jusqu'à la garde dans le con de ma belle, je la branle, alors rejoins par ceux de Dany. C'est maintenant des jets de syprine qui nous éclaboussent.
Peu à peu nous insinuons dans son sexe bouillant et gorgé de mouille trois, puis quatre doigts chacun. Le corps de ma chaudasse se cabre sous les assauts de nos mains vicieuses. Le plaisir et la douleur se côtoient. Ma salope soumise est traversée de tremblements symptomatique de son plaisir. Huit doigts à présent explorent son vagin dégoulinant. Nos mains plongent encore plus profondément, comme pour la violer, comme pour la forcer à s'ouvrir encore davantage. Des soubresauts violents la soulève dans des spasmes orgasmiques. Ses grandes lèvres sont incroyablement séparées et recouvertes par les petites lèvres distendues et trempées.
Et puis je me suis défait de mes vêtements et placé sur le lit pour la prendre, une envie frénétique de la déflorer, la profaner, lui forcer, la remplir de foutre sans attendre.
Ses mains ont guidé le chibre de Dany dans sa bouche et le pompe goulûment.
Félicité des sens, satisfaction sensuelle, ravissement dans la luxure.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!