Mon Apprentissage-6
Jétais resté en contact avec Céline. Son petit cul me manquait mais je ne pouvais pas lui consacrer beaucoup de temps car entre mon travail et mes obligations vis à vis de mes « clientes » Aline et Dominique qui devenaient de plus en plus exigeantes, il fallait faire des choix.
Un soir, je reçus un coup de téléphone. Céline était en pleurs. Elle était harcelée par son patron, petit homme grassouillet de 45 ans, véritable obsédé sexuel, qui voulait absolument coucher avec elle. Dès quil était seul avec elle, il en profitait pour la peloter, pour essayer de lembrasser lui tenant des propos obscènes. Elle était à bout. Elle tenait à son travail et même si elle avait voulu changer dentreprise, cet homme très influent serait intervenu pour lui nuire. Cétait une véritable ordure.
Je demandais à Céline de passer me voir. Jacques nétait pas là. A peine entrée dans lappartement, elle se précipita dans mes bras, visiblement à bout de nerfs. Elle avait pensé à moi pour lintimider physiquement pensant quil serait impressionné par ma carrure. Ce nétait pas la bonne solution car il pouvait porter plainte et avec les relations quil avait, jaurais pu avoir des ennuis.
Il fallait trouver autre chose et le coincer par son péché mignon : le cul. Jinterrogeais Céline sur ses habitudes et elle mapprit quil déjeunait toujours au même restaurant. Il fallait utiliser son goût pour les femmes pour le piéger. Il était marié. Son épouse et lui appartenaient à la bonne bourgeoisie locale et il ne pouvait pas se permettre un scandale.
Je pensais à Brigitte, le travesti, ami de Jean-Jacques pour le piéger. Elle était suffisamment sexy et femme pour lappâter et suffisamment vicieuse pour quil ne sen doute pas.
Encore fallait-il la convaincre ?
Céline voyant que je prenais les choses en main se calma et nous passâmes une nuit merveilleuse où je profitais de ce corps androgyne et de ce petit cul si attirant.
Je demandais à voir Brigitte avec Céline.
Céline raconta son histoire et je lui présentais le plan que javais concocté. Brigitte allait draguer le chef de Céline, faire en sorte quil vienne chez elle. Des caméras enregistreraient la scène au restaurant et dans son appartement où je serai présent pour prendre des photos. Je comptais sur elle pour le chauffer et lamener à lui faire lamour. Jétais prêt à payer le prix quil fallait pour débarrasser Céline de lemprise de ce salaud.
Nous regardions tous les deux Brigitte en espérant une réponse favorable. Elle réfléchissait et un petit sourire apparut sur ses lèvres. Elle était daccord sous réserve que je passe la voir toutes les semaines et passe une nuit avec elle. Elle avait gardé un si bon souvenir de notre séance chez Jean-Jacques quelle voulait recommencer. Céline me suppliait du regard daccepter. Je donnais mon accord à Brigitte qui se précipita pour membrasser. Me prenant la main, elle mentraîna dans sa chambre, me déshabilla et mallongea sur le lit. Elle fît tomber son déshabillé, enleva sa culotte. Elle était vraiment superbe, sa queue longue et fine, dressée. Céline nous avait suivi et se tenait dans louverture de la porte. Brigitte se mit sur moi tête bêche pour que nous nous sucions mutuellement. Mes doigts avaient très vite trouvés sa rondelle et elle poussait des gémissements de plus en plus forts au fur et à mesure quils la pénétraient. Céline excitée, sétait déshabillée. Elle sapprocha de nous pour nous caresser. Elle était visiblement attirée par la poitrine imposante de Brigitte dont elle triturait les tétons. Le contraste était frappant entre les deux, Céline avec ses petits seins son allure de garçonne et Brigitte avec ce corps de Junon et ce sexe qui pointait.
La queue de Brigitte était toujours dressée. Je demandais à Céline de se placer sur elle et de la placer dans son vagin. Céline commença ses mouvements de va et vient. Brigitte avait placé ses mains sous les fesses de celle quelle baisait afin de rythmer la cadence. Javais placé les mains de Céline sur les seins de Brigitte. Ses doigts pinçaient et trituraient les tétons. Je caressais le cul de Céline qui montait et descendait sur la queue de Brigitte. Elle était comme folle et poussaient des petits cris. Sentant quelle allait jouir, Céline se retira et pris la queue de Brigitte dans la bouche. Dans un grand cri elle se déversa en elle. Je voyais les soubresauts qui accompagnaient ses jets de foutre. Céline abandonna Brigitte et mattira à elle. Nous échangeâmes un baiser passionné. Javais le goût du sperme de Brigitte dans la bouche.
Devant partir au travail. Je pris une douche. Je les retrouvais toutes les deux allongées sur le lit, Céline dans les bras de Brigitte.
Le lundi suivant tout était prêt.
Céline navait pas menti. Son patron était un petit homme bedonnant, grassouillet. Il était sur de lui, très arrogant. Brigitte était ravissante avec son chemisier blanc, son soutien gorge pigeonnant qui mettait en valeur sa lourde poitrine. Il la remarqua immédiatement. La conversation sengagea assez vite entre eux au point quil linvita à sasseoir à sa table. Il faisait le coq et Brigitte faisait celle qui buvait ses paroles. Ils se quittèrent en se donnant rendez-vous le lendemain soir dans un restaurant.
Ils assirent dans un petit box discret. Pendant le repas, lhomme devint de plus en plus entreprenant, lui faisant du pied, multipliant les allusions graveleuses. Sa main dérapait souvent sur les cuisses de Brigitte. Elle lui proposa de venir chez elle pour finir la soirée, ce quil sempressa daccepter. Je les entendis arriver. Jétais caché dans la deuxième chambre. Un moniteur vidéo me permettait de suivre ce qui se passait. A peine arrivé, il se précipita sur Brigitte pour lembrasser et la caresser. Elle avait pris ses précautions. Son sexe et ses couilles étaient repliés dans une gaine fixée à son périnée, donnant vraiment le change. Brigitte lentraina au milieu du salon. Elle le déshabilla, se mit à genoux et commença à le sucer les mains sur les fesses de son amant. Il commençait vraiment à avoir du ventre. Son sexe, plutôt imposant était épais. Il accompagnait la tête de Brigitte quand elle enfonçait la queue dans la bouche. Brigitte lui avait ouvert les fesses et forçait son anus. Il linsultait la traitait de salope, de pouffiasse, de tous les noms. Il manquait vraiment de délicatesse. Brigitte lui demanda de mettre un préservatif. Pendant quil sexécutait, elle se mit torse nu en gardant son pantalon. Elle se remit à genoux. Lui empoignant ses cheveux, il força à nouveau sa bouche.
Le lendemain, je récupérais les vidéos, les bandes sonores en félicitant Brigitte pour sa prestation. Elle me dit quelle avait apprécié. Sil nétait pas beau et attirant, il était plutôt bien monté et performant.
Céline me prit un rendez-vous avec son patron sous un prétexte fallacieux. Nous entrâmes dans son bureau. Il demanda à Céline de sortir. Je lui fis signe de rester. Je lui tendis la clé USB sur laquelle javais mis un échantillon significatif de ce que nous avions récolté. Il louvrit. En regardant les vidéos et les photos, devint tout pâle et se mis à bafouiller « que voulez-vous ? » Je lui mis le marché entre les mains : soit il laissait Céline tranquille, soit la vidéo et les photos seraient mises sur les réseaux sociaux et envoyés à sa femme. Il nous supplia de ne rien faire et promis laisser tranquille Céline. Il lui proposa même si elle le souhaitait, de lui trouver un emploi mieux rémunéré dans une autre entreprise. Nous le quittâmes, brisé et anéanti par cette menace qui pesait sur lui. Céline me récompensa par une nuit damour où son petit cul fût visité plusieurs fois.
Je tiens ma promesse et toutes les semaines je passe chez Brigitte. Une fois sur deux Céline maccompagne. Japprécie de plus en plus, en baisant Céline, dêtre sodomisé par Brigitte, de sentir ses seins sur mon dos alors que ses doigts me travaillent les tétons. Brigitte ma confié quelle recevait régulièrement des coups de téléphone de son amant piégé qui demandait à la revoir. Céline a changé dentreprise, est mieux payée et na plus revu son patron.
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