Annie Au Parc

Deux jeunes types suivaient Annie, ils reluquaient son petit cul se dandiner sous sa petite jupe. Elle se sentait en danger dans ce parc peut fréquenter, elle sentait les hommes se rapprochaient d’elle. Annie qui avait suscité de nombreux regards intéressés dans l’après midi était encore toute excitée. Elle avait allumée des hommes sans compter avec ses yeux de biche en chaleur, sa grande bouche de gourmande éveillait chez les hommes le désir de lui remplir. Ses petites cuisses semblaient inviter des mains à des caresses qui remonteraient sous sa jupe trop courte pour être une femme honnête. Annie avait bien allumée toute l’après midi mais ces deux la semblaient déterminés à s’occuper d’elle. Ils arrivaient à sa hauteur et la salua, Annie répondait gentiment, son cœur battait, ces deux types en voulaient sûrement plus qu’un sourire. Ils s’étaient rapprochés d’elle, un de chaque coté, après un échange de banalité, un des deux l’attrapa par la taille. Annie terriblement troublée était comme paralysé, elle se laissait prendre par la taille comme s’il était son amoureux. Elle marchait entre les deux hommes qui la dirigeaient désormais, ils bifurquaient dans une petite allée. Annie se laissait guider dans ce piège elle se savait à la merci de ces hommes. Le deuxième lui prit la main, elle senti la puissance de cette main déterminée qui la tenait avec autorité. Celle qu’elle avait autour de la taille descendait le long de sa croupe, elle lui pelotait le cul en marchant. Annie qui était déjà excitée ne tenait plus avec cette main qui lui pétrissait les fesses à travers le fin tissu de la jupe. Il ne sentait pas de culotte et pensait qu’elle avait un string, il passa alors la main sous la jupe et découvrit qu’elle ne portait pas de petite culotte. Il en informât aussitôt son pote qui la traita de salope, Annie, confuse avait honte mais elle ne pouvait nier l’évidence, elle était une salope. Le type lui pelotait le cul et cette main inconnue sous sa jupe l’excitait elle pinçait ses lèves en regardant timidement celui qui la tenait par la main.

L’homme pouvait voir dans ses yeux de salope le plaisir, il la regardait avec désir, il attrapa sa crinière blonde et l’embrassa en pleine bouche. Annie se laissait embrasser, les langues se mêlaient d’un baisé fougueux et interminable. En même temps l’homme lui caressait le minou à travers la jupe pendant que l’autre continuait à lui toucher le cul. Elle mouillait la salope, le type passa lui aussi sa main sous la jupe et introduisit son doigt dans ce minou trempé de mouille. Il lui en enfila un puis deux, puis trois, ça rentrait bien, il lui dit t’es une bonne petite pute en la regardant dans les yeux. Annie baissait la tête, il l’attrapa par les cheveux et lui dit encore, tu es une vraie petite pute toi, dis le ! Annie honteuse répéta je suis une petite pute. C’est bien lui dit-il, en la tenant toujours fermement par la chevelure. De son autre main il prit la main d’Annie et lui montrant son alliance il lui dit tu es une pute mariée. Annie baissait les yeux, répond salope lui dit-il ! Oui, je suis mariée ! Le type lui tira les cheveux, non une pute mariée ! Annie, répondait, oui, je suis une pute mariée ! Ton mari c’est un con de te laisser sortir avec ta joli petite gueule de salope et habillée comme une pute, on va s’occuper de toi. Il l’embrassa encore une fois avant de s’accroupir devant elle, il lui retroussa sa jupe et admira un moment sa fente pourvue d’une légère toison. Tu es belle de partout salope ! De ses deux mains il lui fit écarter les jambes, Annie écartait ses cuisses sans se retenir, elle se sentait dominée et cette domination lui plaisait. Elle était à la disposition de ces deux hommes, elle se sentait sale mais aussi dans un état d’excitation surnaturel. Son corps devenait un objet de plaisir, elle ne se contrôlait plus. La femme mariée et respectable n’était plus qu’une putain que l’on baise. Elle n’en revenait pas elle-même, elle faisait la pute et en tirait beaucoup de plaisir. Le type commençait à lui lécher la fente, avec ses doigts il lui titillait le clito, Annie commençait à gémir.
Celui qui s’occupait de son cul se déplaça sur le coté pour contempler sa frimousse se crisper de plaisir. Elle le regardait avec des yeux globuleux et brillant, des yeux de salope en chaleur. Le type l’embrassait et Annie lui donna sa bouche généreuse pendant qu’elle se fessait faire un sublime cunnilingus. Celui qui l’embrassait dégrafa son corsage, il releva son soutien gorge et dégageait ses deux petits seins, il triturait les mamelons qui pointaient. Puis il alternait quittant cette délicieuse bouche pour sucer ces mamelons en érection. Annie était aux anges elle se laissait butiner, sa main s’était posée sur la tête de celui qu’elle avait entre les cuisses, elle l’encourageait à lui bouffer la chatte. Surprise, elle constata qu’un voyeur s’était approché, il regardait le trio avec satisfaction. Annie gémissait, le voyeur sorti son sexe et se mit à se branler en la regardant dans les yeux. Elle regardait ce membre à qui elle donnait du plaisir sens que les deux autres sachent. Puis celui qui était entre ses cuisses se releva, il sorti lui aussi son sexe, Il attrapa Annie par les cheveux et la força à s’incliner devant son sexe bien raide. Annie ouvrit la bouche quand ses lèves touchaient ce sexe et commença à pomper le type qui lui donnait la cadence en lui tirant sa blonde chevelure. Il lui disait suce bien salope, tu aime la bitte petite pute ! Il ne la ménageait pas, il lui tirait les cheveux pour lui remonter la tête et lui répétait en la regardant dans les yeux ; tu aime la bitte salope. Annie comprit ce qu’il voulait et lui dit ; oui, j’aime la bitte, je suis une salope ! Il remonta sa bitte de sa main libre et plaqua le visage d’Annie contre ses couilles, elle comprit qu’elle devait lui lécher. L’autre avait baissé son pantalon, Il frottait son sexe sur le cul d’Annie, puis il s’enfila dans son vagin. Il la tenait par la croupe et la dimait violement, l’autre lui baisait toujours sa bouche. Annie se fessait défoncer par les deux bouts, ses baiseurs avaient vu le voyeur, il avait comprit qu’il ne dérangeait pas et s’était approché.
Il caressa les seins d’Annie, et se branlait sur son flanc. Elle comprit qu’ils étaient trois, et sentit le sperme gicler dans son ventre. Le type lui vidait sa semence, elle la recevait avec satisfaction sans même se soucier qu’il n’avait pas mis de protection. Celui qui se faisait sucer céda sa place au voyeur qui présenta sa bitte devant le visage d’Annie qui n’avait pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche. Elle absorba cette nouvelle bitte tandis que l’autre prit place derrière elle. Il lui fouilla le ventre avec plusieurs doigt, tu es peine de foutre putain lui dit-il. Il lui écartait les fesses et lui enduit le trou avec le sperme de l’autre. Annie voulait protester mais elle était tenue fermement par les trois hommes. Le type lui dit, il semble que ton mari ne t’utilise pas à fon salope. Il forçait son majeur dans le cul d’Annie qui se tordait de douleur, le doigt rentrait avec difficulté. Il reprenait du sperme qui dégoulinait de sa chatte et recommençait l’opération avec deux doigts. Annie avait mal, ses cris étaient étouffés avec la bitte qu’elle avait dans sa bouche. Le type lui agrandissait l’entrée avec force ces trois doigt fouillait son cul, ce cul que jamais un homme y était entré. Annie souffrait, il lui semblait qu’il la déchirait, puis elle sentit la bitte qui la forçait. L’homme était déterminé, elle n’avait pas d’autre choix que de se laisser sodomiser. L’homme lui défonçait le cul avec son dard, il s’enfonçait sans fléchir, comme si cela n’était pas suffisent l’autre lui éjaculait dans la gorge. Il l’obligeait à avaler son foutre, Annie suffoquait, elle semblait s’ et avalait comme elle pouvait le sperme de l’inconnu. Son enculeur lui annonça qu’il était entré jusqu’à la garde, elle sentait ses couilles contre ses fesses. Elle reprenait son souffle après avoir bien avalé le foutre de l’autre qui la félicitait de bonne suceuse. Elle n’en pouvait plus et les deux hommes la soutenait pendant que son enculeur commençait des va et vient dans son cul.
Un lui bouchait la bouche pour ses cris de douleur. L’homme allait et venait dans ses entrailles, les deux autres la tenait fortement, sans cette aide elle serait tombée. Les coups de bitte que lui administrait l’homme la secouait ils étaient de plus en plus fort. Annie ne sentait plus son cul, toute petite entre ces trois costauds elle se sentait comme violée sans décence. Le piston allait à fond dans son cul du plaisir mêlé à la douleur la faisait trembler, elle jouissait la salope. L’homme sentant qu’elle avait un orgasme déchargea dans son cul toute sa purée.
Elle avait eu la sensation d’être violée mais elle avait eu un orgasme très puissant .Les hommes la raccompagnaient à la sortie du parc, Ils l’embrassaient et la remerciaient de ce moment inoubliable qu’il venait de se passer espèrent la revoir prochainement.
Annie rentrait chez elle, la souillure de ses baiseurs lui coulait entre les cuisses, le gout lui restait dans la bouche, les odeurs de ces homme l’imprégnait. Les bittes gluante avaient parcouru tout son corps, son visage, les hommes avaient essuie leurs sexe même dans ses cheveux. Elle sentait l’homme, le sexe, la bitte, son corsage et sa jupe étaient tachés de sperme. Elle marchait doucement avec difficulté elle avait mal au cul et redoutait le moment ou elle allait entrée chez elle. Avec le retard qu’elle avait prit elle savait que son mari serait probablement rentré avant elle. Elle qui rentrait toujours avant lui pour se changer quand elle sortait en minijupe pour pas qu’il ne le sache qu’elle aimait faire sa salope et qu’elle allait aguicher les hommes.
Le mari François adulait sa femme, elle l’aimait comme un fou, elle le faisait bander et le tenait par les couilles. Il se doutait depuis le début du mariage qu’Annie lui serait infidèle, les hommes lui tournaient beaucoup autour et souvent elle n’était pas insensible. Elle faisait souvent l’offusquée mais au fon elle était chaude, François pensait qu’elle serait volage. Il ne faisait rien pour l’empêcher, bien au contraire, il avait lui-même incité Annie à porter la minijupe. Au début elle ne voulait pas mais François insistait et elle fini par en acheter une pour lui faire plaisir. Elle n’imaginait pas à quel point elle allait satisfaire son mari, il était excité comme un fou. Il admirait sa femme comme s’il ne les avait jamais vus, comme si elle fut un top model, la minijupe mettait ses jambes en valeur. Il la trouvait magnifique, du pied à la cuisse elle était par faite et des pieds à la tête splendide. Après cet achat François du encore la convaincre de sortir en minijupe car elle ne la portait qu’a la maison. Annie ne se voyait pas dans la rue en minijupe, elle se sentait nue avec une jupe si courte. Mais finalement pour satisfaire son mari elle fit une sortie avec lui parée de sa minijupe. Ce fût un feu d’artifice, elle rayonnait dans les yeux de son mari mais aussi dans ceux des autres hommes. Elle qui ne laissait pas les hommes insensible se trouvait comme immergée au milieu de mâles qui la dévoraient des yeux, qui la déshabillaient du regard. Ce fût un moment magique pour elle, elle découvrait qu’elle prenait du plaisir à être sexy, voir provocante. François était fière de sa femme, il voulait que les hommes la regardent, le désir et la il était comblé. Annie avait prit goût à la minijupe elle en achetait tout une panoplie et ne portait presque plus que ça. En été elle les portait jambes nues bronzées artificiellement et en hivers avec des collants. Le fait d’être Habillé court avait changé beaucoup de chose, les hommes n’avaient plus de retenue et elle se faisait beaucoup draguer. Elle avait des propositions directes pour coucher, elle passait volontiers pour une salope. François voyait sa femme se métamorphoser avec satisfaction, son coté salope ne lui déplaisait en rien. Les hommes qui couraient sa femme étaient nombreux et François se doutait qu’il avait des cornes. Longtemps il avait été très jaloux des hommes qui regardaient un peu trop sa femme, puis il s’était habitué et avait fini par accepter d’être un cocu.

Annie s’était faite teinte en blonde, ce qui lui donnait un visage plus doux plus sexy, elle était encore plus désirable et convoité depuis qu’elle était une petite blonde. Comme si les blondes seraient plus chaude que les brune, moins intelligente et plus salope. Ses yeux coquins et sa bouche sensuelle faisaient des ravages avec ses tenues sexys elle faisait bander les mecs et elle aimait ça. Depuis qu’elle était blonde sexy et libérée elle avait un amant. L’homme lui faisait découvrir le sexe sous tous ces angles, il lui enlevait ses tabous et l’éduquait à la débauche, au libertinage. Il avait une grande influence sur elle, Annie lui était soumise et se laissait façonner aux souhaits de ce type. Il la dévergondait et développait une nature extravagante basé sur le sexe, conditionnée en salope elle assumait et obéissait aux fantasme de l’homme. Il profitait de son autorité pour l’asservir a sa libido Annie soumise en salope ne portait plus de culotte, car il estimait qu’elle devait toujours être disponible pour se faire baiser comme une gentille pute. Annie accoutumée à ces tenues légères évoluait nue sous ses jupes excitée en permanence par l’air frais qui lui stimulait sa destinée de salope soumise. Voila comment Annie, femme mariée, venait de se faire baiser par trois inconnus comme une putain. Son amant était arrivé à ses fins, il avait œuvré pour ce résultat Annie venait de prouver qu’il avait raison en suivant ces hommes. elle était devenue une putain.

Annie prenait son courage pour ouvrir la porte, son mari l’attendait et il se précipita. Annie resta figée dans l’entrée, toute penaude comme un chien qui sait qu’il a fait une bêtise. François comprit qu’elle venait de le cocufier, il avait souvent eu ce doute mais cette fois il n’y avait plus de doute. Un mélange de rage, de jalousie et d’excitation s’emparait de lui, il la regardait avec violence sans parler. Il ressentait le besoin de la corriger, elle le méritait et n’aurait pas volée une bonne correction lui qui ne l’avait jamais tapé. Annie s’attendait à ce qu’il la gifle, elle estimait le mériter mais utilisait son pouvoir de séduction pour amadouer son mari en rage. Ses yeux de gazelle fit craquer son mari qui l’attrapa par la taille et la colla contre lui, elle avait gagnée comme toujours. François avait succombé a son charme, il savait qu’elle l’avait trompée et qu’elle le tromperait encore mais son pouvoir sur son mari était trop grand il de vais accepter. Il embrassa sa femme avec ardeur, il prit cette bouche qui venait de sucer plusieurs hommes, cette langue qui venait de lécher des couilles. Il l’aimait et elle obtenait ce qu’elle voulait avec lui, Annie soulagé embrassait son mari avec amour. François passa sa main sous sa jupe, il lui enfila un doigt qui ressorti gluant, salope lui dit-il ! Annie affichait un regard coupable, elle lui demandait pardon et lui dit ne fait pas l’étonné, tu savais bien que tu es cocu.

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