Vendredi 07 Août

Vendredi 07 août 2015, comme convenu tu me retrouves à l'Auberge d'Ailliane.

- Je t'ai réservé une petite surprise.

À ce moment, nous rejoignent Béatrice ton amie d'enfance et son compagnon Bertrand, un parisien mince, grand, à l'allure décontracté.

Présentation. Apéritif. Le repas se déroule agréablement et nous apprenons que ce Bertrand rédige des enquêtes publiques. Il est en quêtes de renseignements que tu te propose de lui fournir s'agissant de ton domaine professionnel.
Hésitations, suggestion, la décision est prise, nous irons tous les quartes à son hôtel. Vous, pour travailler, pendant que Béatrice et moi profiterons de la piscine du Best Western Hôtel de l'Arbois.

- Ce ne serait pas un coup monté par hasard? En plus je n'ai pas de maillot de bain pour venir vous rejoindre dans l'eau. Je suppose que tu as prévu le tien?

- Pas du tout! Je compte sur Bertrand pour m'en prêter un.

Arrivés à l'hôtel, vous vous enfermez dans sa chambre, pendant que la blonde en mini maillot brésilien et moi en boxer prêté par son ami, allons à sur les plages de bois au bord de la piscine.
De la fenêtre ouverte du premier étage tu nous fais des signes et tu as une vision parfaite de là où nous nous installons.
Je suis de corvée de crème protectrice contre le soleil. Corvée agréable surtout dans les plis des fesses et après s'être retourné, à la naissance du renflement du sexe de la belle juste au dessus du micro maillot. Je confesse que je prends un plaisir malicieux dans cet exercice. Il faudrait plutôt parler de caresses qui ont aussi l'air de lui plaire à en juger par son attitude alanguie.

Nous sommes séparés des rares clients de la piscine par des jardinières plantées d'épais bambous. Seules les chambres de l'étage peuvent nous surprendre.
Les yeux mi-clos ma voisine bien enduite te guette aussi au travers de ses lunettes de soleil.
D'une main, elle tire sur la ganse de son string et le retire d'un coup sec, de l'autre me prend fermement le poignet et dirige ma main sur son entrejambe.


Il m'est impossible de résister au plaisir de flatter ce pubis saillant blanc, tendre, et attirant. Alléchant au sens propre comme au figuré, d'ailleurs n'y tenant plus, je m'approche de sa fente rebondi et entreprend de la lécher délicatement. Doucement j'ai entouré de ma langue un clitoris généreux et l'attire dans ma bouche pas succion. La réaction était prévisible, notre Sharon Stone ouvre les jambes dans des mouvements saccadés avant de laisser couler des jets orgasmiques tièdes qui m’excitent à me damner. Elle se retourne et je me jette à l'eau pour refroidir mon phallus ardent. Tu es toujours accoudée à la fenêtre et tu agites un poing serré.

- Je crois que c'est le moment de la libérer. Indique au téléphone, Béatrice à son interlocuteur.

Bertrand pose son portable et s'adresse à toi avec hésitation.

- Je dois te dire que Béatrice et ton mari t'ont monté un coup pour tester tes dispositions au libertinage. J'avais la mission de te retenir pendant que ton chéri se "chauffait" auprès de Béa. Pour se faire pardonner, nous avons convenu que tu pouvais choisir l'un d'entre nous pour passer tes nerfs.

Après un court moment de contrariété, tu concèdes en souriant que tu as bien été piégée et par la fenêtre tu nous invites à te rejoindre.

- Les garçons asseyez-vous et regardez-nous! Ça faisait longtemps que j'en avais envie.

Et subitement tu embrasses sans retenue la blonde qui défait son bas de maillot avec le même mouvement qu'au bord de la piscine. Tu retires ta robe en une fraction de seconde et viens mettre ta langue là où quelques minutes avant j'avais posé la mienne.
Je suis sûr qu'à cet instant, tu penses à la même chose que moi, nous scellons là aussi, notre complicité érotique.
Notre comédienne blonde commence à se trémousser toujours debout. Puis c'est elle qui vient lécher ton sexe largement offert, un pied posé sur le lit. À ton tour de vibrer de tous tes membres, la petite et experte en cunnilingus.

Sans comprendre pourquoi vous êtes maintenant assise côté à côté sur le bord du lit, chacune face à votre compagnon. Spontanément et d'un même élan, nous venons nous agenouiller devant vous et reprenons le baiser de nos bouches sur vos lèvres, celles que vous cachez dans vos cuisses. Vos langues aussi sont actives car vous échangez de profondes galoches avec de petits glapissements de plaisir.

Espiègles comme nous pouvons l'être, Bertrand a pris ma place et moi la sienne. Il n'arrive plus à réfréner ses pulsions, alors il te relève les jambes se redresse après avoir descendu son pantalon et te pénètre avec un râle veule. Béatrice t'a enjambé et tu tètes son sexe goulûment.
Je n'ai pas d'autre choix que de vous regarder, te regarder, prise en bas et occupée en haut. Je m'allonge à côté de toi et te caresse les seins.

Tu te dégages de tes assaillants et viens rouler sur moi en me demandant de te prendre à mon tour. Tes désires sont des ordres que j'exécute instantanément Tu t'empales sur mon membre tendu et bientôt près à exploser. Tu t'en rends compte alors tu oscilles lentement pour contenir ce moment fort.
Je sens les mains de Béa qui te caresse les cuisses, les fesses et qui ne cache pas son intérêt pour ton bouton de rose en le pénétrant, facilité par quelques gouttes d'huile. Je perçois les doits de la blonde qui glissent contre mon sexe au travers de toi et un orgasme violent me tend tous les muscles. Je sens ton corps se raidir et tu me rejoins sur cette montagne de plaisir.
Nous sommes tous allonges, hagards, repus de sexe et sans forces.

- Restez avec nous ce soir, nous pourrions manger au bord de la piscine. La nuit ici tout est permis. Nous proposent nos nouveaux amis.

- Je veux bien si ma chérie est ok, alors nous prendrons une chambre pour nous épargner la route cette nuit."
Tu opines d'un mouvement de tête.

Notre blonde friponne à retrouvé du ressort et dit.

- Je vous parie que je descends jusqu'à la piscine, à poil!

- Pari tenu ! Tu réponds.


Sans hésiter, elle se redresse, attend le temps que nous enfilions un jean ou que tu t'enroules dans une serviette. Elle ouvre la porte, nue comme un vers et s'engage dans le couloir, les mains sur les hanches dans une démarche digne d'un défilé de mode.
À l'accueil, le réceptionniste reste cloué sur son comptoir, devant deux couples qui se retournent abasourdis. Les hommes glapissent de joie pendant que leurs femmes grognent et se demandent si elles ont fais le bon choix d'hôtel.
Nous nous installons autour d'une table basse et commandons un apéritif dînatoire près de la piscine. Plus tard la musique est de mise et nous alternons baignades, slows et coupes de champagne jusqu'à complète desinhibition.
Nous ne somme pas les seuls d'ailleurs car à une table plus loin des couples dansent nus et se trémoussent.
A coté, on distingue un couple faisant l'amour sans vraiment se préoccuper des autres. Nous choisissons de ne pas déroger et nous voilà tous nus.

Béatrice engage les familiarités coquines en venant s'installer sur mes genoux et naturellement une érection intense se libère au contact de ses fesses. Tout en parlant elle se caresse et je constate qu'elle mouille déjà quand elle met ses doits dans ma bouche. Elle écarte lentement mes genoux et mon sexe trouve naturellement le chemin de sa vulve humide. Je reste immobile, on ne se quitte pas des yeux et je m'aperçois que tu n'es pas inactive puisque tu as les jambes repliées et je distingue un mouvement régulier de ton bras. L'excitation était trop forte, au bout de quelques minutes ne pouvant plus me contenir je jouis alors que tu sembles en faire tout autant.

La soirée tiré à sa fin, nous saluons nos amis et regagnons notre chambre avec la tête qui nous tourne un peu.
En sortant de la douche tu reçois un SMS:
"Il me semble que tu as relevé mon pari et que je l'ai gagné ! Ton gage sera d'en faire autant cette nuit. Il faudra fournir une preuve en te prenant en photo, disons allongée sur le comptoir de la réception.
Signé Béatrice."
Tu te convaincs que ce ne sera qu'une formalité, au milieu de la nuit il y a peu de chance de rencontrer du monde.
Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Plus tard, profitant d'une envie de pipi, tu éclipses sans oublier ton téléphone pour la photo.

Bien. Le couloir est désert, personne dans les escaliers, le réceptionniste n'est même pas là, trop facile! Penses-tu.
Tu fais le tour de la banque de l'accueil et découvre une banquette occupée par l'employé les yeux clos, affairé à s'astiquer un chibre extraordinairement long et épais. Le gars ne t’a pas entendu arriver. Tu es paralysée ne voulant pas l'interrompre et impossible de détacher les yeux de ce corps luisant d'un noir ébène.
Ce sexe effrayant, envoûtant te sembles démesuré. Ton imagination te joue des tours, tu te demandes si ce monstre attirant pourrait s'enfoncer en toi.

Tu t'approches, il te sourit, tu t'accroupis, tes doigts glissent sur cet organe semblable à une batte de baseball.
Pour tenter d'absorber un peu de ce sexe dur et tendre dans ta bouche, tes mâchoires s'écartent au maximum, seul le gland est pompé les lèvres tendues, et tes deux mais s'activent pour une masturbation XXL jusqu'à la l'explosion de lave de spermes que tu goûtes sans dégoût.

Tu réalises que la mission n'est pas remplie et tu demandes au black de te porter sur son comptoir pour une photo souvenir.
Il te prend par la taille et vos corps nus se frôlent. Tu réalises que son gourdin est remonté, menaçant. Tu respires des effluves émanant de son corps. Exaltation des sens, attirance animale. Il te projette sur la banque et prend la photo que tu lui as demandée.
Le temps s'arrête un court instant. Tu aurais dû réagir, bouger, déguerpir. Il n'en a rien été, ton corps est paralysé, ton sang, ton cœur bat la chamade. L'homme lui, sait maintenant que tu t'offres sans avoir besoin de parler.
Il s'est rehaussé aidé de la banquette et t'attire à lui, tu te laisses tirer par les chevilles que tu refermes sur ses cuisse pour l'emprisonner. Tu as remonté tes genoux le plus possible pour faciliter sa pénétration que tu souhaites et que tu redoutes aussi.
Tu es tétanisé à la vue de ce membre sombre et brillant qui s'approche de ton fourreau, si lisse, si blanc et néanmoins si mendiant, si brûlant d'impatience.

Il prend son sexe pourtant bien tendu dans ses mains et le guide à l'orée de ton puis ardent. Il se présente, doux et encombrant, pousse, s'insinue, occupe toute la place, semble encore grossir en toi, tu respires fort, plaisir et douleur se mélangent, tu sais qu'en quelques mouvements tu ne pourras plus retenir un ras de marré de jouissance. Tu vois pourtant cet homme prévenant, retenir la moitié de son phallus, qui cogne déjà au fond de ton antre. Tu succombes d'aise impudique, et de souffrance sensuelle.
Une caresse en signe d'adieu et tu te remets sur tes pieds. D'un pas hésitant, tu me rejoins discrètement.

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