Mon Apprentissage-7
La cohabitation avec Jacques se passait bien. Il savait maintenant que je rencontrais aussi de riches femmes matures plutôt reconnaissantes. Il nous arrivait de passer des soirées ensemble. Nous apprécions ces périodes de repos pendant lesquelles nous pouvions récupérer.
Un jeudi soir, alors que nous étions ensemble, je sentis quil était perturbé et que cela nallait pas. Je linterrogeais. Il était très embêté car il avait un rendez-vous avec une riche « cliente » qui utilisait ses services. Elle était de passage à Monaco pour le week-end et souhaitait quil laccompagne à une soirée privée. Ses parents ayant eu un accident, il devait accompagner son oncle samedi à Paris pour les voir.
Il tenait beaucoup à son amie Mary, une veuve de 60 ans, très riche, plutôt bien conservée, qui sétait montrée toujours généreuse avec lui. Il ne voulait pas la perdre, car elle était capable de le remplacer.
Je lui proposais de prendre sa place. Physiquement nous nous ressemblions beaucoup : même âge, même taille, même carrure. Il ny avait pas dautre solution. Il lui téléphona et elle nous demanda de passer la voir tous les deux, le lendemain après-midi. Jacques obtint de son oncle lautorisation pour nous deux de sabsenter pour une demi-journée.
Nous arrivâmes à Monaco. Elle résidait chez une amie américaine vivant sur le rocher, Margaret. Mary vint nous ouvrir. Elle étant grande, bien en chair, très bien conservée. Elle portait une superbe robe bleue qui soulignait ses formes. Elle avait une belle poitrine, lourde que soulignait un décolleté profond.
En voyant jacques, elle se précipita sur lui et ils échangèrent un baiser passionné. Elle parlait très bien le français avec un léger accent américain. Nous nous assîmes dans le salon. La robe de Mary remontait très haut sur ses cuisses et elle ne faisait aucun effort pour len empêcher. Jacques avait posé une main sur sa cuisse et la caressait, marquant ainsi sa qualité de « propriétaire ».
Elle me demanda de mettre nu, pour voir comme elle le disait ses futurs joujoux. Je mexécutais. Comme Jacques et moi nous nous ressemblions beaucoup, elle paru satisfaite. Elle sapprocha de moi et en membrassant elle pris mon sexe au repos dans sa main pour le caresser. Le résultat ne se fit pas attendre. Je bandais et ma verge se dressait victorieusement. Jacques, sans doute un peu jaloux se déshabilla et vint se placer à côté de moi. Mary se recula pour regarder ces deux jeunes mâles vigoureux. Jacques avait une queue un peu plus épaisse et plus courte. Elle se mit toute nue. Ses gros seins pendait un petit peu mais se tenaient encore. Ses fesses musclées montraient quelle entretenait son corps. Son sexe était épilé. Elle avait un petit ventre rond. Pour une femme de 60 ans elle était superbe et ne faisait pas son âge.
Elle nous prit par la queue et nous entraina dans sa chambre. Elle nous allongea côte à côte et se mit à nous sucer alternativement. Elle était gorge profonde. Nous nous enfoncions dans sa bouche jusquà ce que ses lèvres touchent notre pubis. Elle était vraiment une experte en fellations quelle avait dû beaucoup pratiquer. Jacques se dégagea, se mit derrière elle, la pénétra brutalement et commença à la baiser sauvagement. Elle avait du mal sous ses coups de boutoir à conserver ma queue dans sa bouche. Jacques soccupait de ses seins tout en la besognant. Elle aimait visiblement cette chevauchée brutale. . Quittant mon sexe elle se redressa et se mit à jouir en criant son plaisir. Elle était superbe. Je lui caressais les seins, pinçant et étirant ses tétons. Jacques dans un grand cri se déversa en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice, elle jouit une deuxième fois.
Nous échangeâmes nos places. Jen profitais pour lui explorer le cul, utilisant le sperme de Jacques comme lubrifiant.
Jacques avait repris des forces. Il la mit sur le dos. Relevant et sappuyant sur les jambes de Mery, il pris ma place et commença à la sodomiser. Pendant que Jacques sactivais, je lembrassais, la caressais. Elle avait un clitoris proéminent, comme un petit sexe. Il était irrité par le traitement que lui avait fait subir Jacques et dès que je le touchais elle avait des soubresauts montrant sa sensibilité.
Sous nos assauts conjugués, ses gémissements devinrent de plus en plus forts. Sa tête se balançait de droite à gauche. Jacques accélérant ses mouvements, dans un grand cri, se répandit en elle. Elle semblait complètement KO, évanouie. Les petits gémissements qui sortaient de sa bouche montraient quil en était rien. Je mis sa tête sur mes genoux et lui caressait les cheveux. Jacques lui soccupait de ses fesses, de ses seins. Du sperme coulait de son cul qui avait du mal à se refermer. Son sexe était rouge à force davoir été , léché, sucé. Elle sentit sur sa joue mon sexe qui avait repris vigueur. Elle me prit en bouche. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour exploser. Elle avala le tout puis elle membrassa. Javais le goût de mon sperme dans la bouche.
Nous nous rhabillâmes après avoir pris une douche. Au moment de partir je fis la connaissance de Margaret, lamie de Mary, petite femme pétillante du même âge. Autant Mary était plantureuse et avec des formes appétissantes, autant Margaret paraissait fragile. Elle avait les cheveux très courts, des petits seins. Elle m embrassa en me disant à demain car il était prévu quelle vienne avec nous.
Nous reprîmes la route. Jacques était soulagé que cela se soit passé ainsi. Il me montra lenveloppe que lui avait remis Mary qui contenait une jolie somme quil partagea avec moi.
Le lendemain vers 19h00 je me présentais à lappartement. Margaret vint mouvrir. Toutes les deux étaient superbes. Mary avait une robe fourreau très décolletée qui mettait ses formes plantureuses en valeur. Margaret portait une robe longue noire, très échancrée sur le côté qui laissait parfois entrevoir le haut dun bas. Un magnifique boléro brodé complétait sa tenue. Nous nous embrassâmes comme de vieux amis.
Une Mercedes avec chauffeur nous attendait dehors. Jétais assis entre les deux femmes qui avaient posé une main sur mes jambes. Mary me caressait doucement la cuisse. On arriva dans une belle propriété toute illuminée. La vue sur le port était magnifique. Nous étions une cinquantaine de personnes plutôt dâge mur. Trois couples de jeunes étaient présents. Deux femmes dune cinquantaine dannées étaient accompagnées de jeunes de mon âge. Nos hôtes étaient un couple dallemands vivants la moitié de lannée à Monaco. Lui très bel homme distinguée, elle très grande, plantureuse, blonde et très belle. Il formait un très joli couple. Une grande complicité les liait visiblement à Mary. En se promenant les deux femmes se tenaient par la taille. Je les observais en tenant compagnie à Margaret qui me fît des confidences. Elle était mariée et voyait très peu son mari qui voyageait autour du monde pour ses affaires. Elle ne voulait pas divorcer car ils avaient beaucoup daffaires en communs. Mary et elle ne se cachaient rien. Elle lui avait raconté notre séance avec Jacques et elle avait apprécié notre prestation. Elle aussi faisait appel à des jeunes gens vigoureux qui disait-elle, en plus dêtre beaux, la comblait. Cela lui évitait de prendre un amant qui était disait-elle source de complication. Jacques était un de ses favoris. Elle lavait présenté à Mary qui le faisait venir quand elle séjournait à Monaco, trop rarement pour elle à Margaret.
Je linterrogeais sur les liens qui unissaient Mary et nos hôtes. Ils sappelaient Frantz et Johanna. Ils sétaient rencontrés à Berlin dans un club échangiste. Le mari de Mary était encore vivant. Ils avaient sympathisés et pris lhabitude de se voir. Ils avaient découvert la bisexualité. Margaret avait participé à plusieurs de leurs parties fines. Elle préférait cependant ses jeunes amants tout en appréciant les caresses de Mary et Johanna.
La soirée se passa très bien. Les invités étaient de grande qualité et le buffet somptueux. Johanna mavait accaparé, tandis que Mary et Margaret discutaient avec Frantz. Elle me complimenta sur ma silhouette et mon apparence. Mes performances sexuelles avaient fait lobjet dun compte rendu par Mary. Elle men félicita. Elle minterrogea sur mes pratiques sexuelles. Je lui indiquait que jétais attiré par les femmes mures et que javais des relations parfois tarifiées avec un certain nombre dentre elles. Elle me demanda si jétais bisexuel. Je lui racontais mon adolescence et ma séance avec Brigitte chez Jean-Jacques. Elle me demanda si Brigitte accepterait de venir avec moi chez eux. Je lui envoyais aussitôt un SMS. Brigitte répondit aussitôt. Elle était disponible mercredi. Johanna nous invita à venir chez eux. Elle se dirigea ensuite vers Margaret pour lui proposer de se joindre à nous.
Nous prîmes congé de nos hôtes. Pendant quavec Mary nous nous embrassions, je sentais la main de Margaret caresser mon sexe. Le chauffeur en ouvrant la portière nous souhaita avec un beau sourire complice une bonne nuit.
En arrivant à lappartement, nous nous retrouvâmes très vite nus. Margaret avait de très petits seins à peine formés avec de longs tétons qui se dressaient. Sa toison était taillée façon ticket de métro. Elle possédait un cul qui me rappelait celui de Céline. Elles se mirent à genoux et se partagèrent ma queue et mes couilles. Quand lune me suçait, lautre léchait mes couilles. Cétait divin. Mary sallongea sur le lit. Margaret lui ouvrit les jambes et commença à la lécher. Je me plaçais derrière Margaret et la pénétrai. Elle était très serrée et très habile. Je sentais les muscles de son vagin se contracter pour mieux mavaler. Je jouais avec ses tétons qui étaient très sensibles. Elle continuait à soccuper du sexe de Mary. Elle avait réussi à faire ressortir son clitoris qui avait la forme dun petit sexe et le suçait. Je sentais que jallais jouir car les contractions autour de ma queue était de plus en plus fortes. Elles allaient avoir raison de moi. Quittant ce vagin accueillant, je plaçais ma bitte dans la bouche de Mary qui en quelques allers retours me fit cracher mon sperme quelle avala aussitôt. Margaret avait cessé de sucer le clitoris. En introduisant quatre doigts dans le sexe de Mary, son pubis collé à sa main comme pour imiter un sexe, elle commença à la goder tout en lembrassant. Je plaçais mes mains sur les fesses de Margaret pour accompagner son mouvement. Mary gémissait de plus en plus. Dans des soubresauts qui nen finissaient plus elle cria sa jouissance.
Margaret me prit la main et mallongea sur le sol. Après mavoir sucé pour me redonner de la vigueur, elle se mit sur moi. Elle plaça mes mains sur ses tétons et elle sempala littéralement sur ma queue. Elle me chevauchait, allant le plus loin possible sur ma verge quand elle descendait. Je plaçais mes mains sous ses fesses pour aider le mouvement. Comme elle était menue, le contraste était frappant entre le grand jeune homme, athlétique et cette petite femme mure et allait et venait furieusement sur un beau sexe dressé en ahanant. Mary sétait levée et lui caressait tendrement les cheveux. Je sentis ma sève monter et nous jouirent ensemble. Elle sécroula sur mon torse et mis un certain temps à récupérer.
Nous nous endormîmes dans le lit, comblés et repus. Après un réveil matinal où je les fît jouir toutes les deux, Margaret nous quitta. Elle avait rendez-vous avec une amie. En me disant au revoir elle me dit « à mercredi ». Mary qui nétait pas au courant me demanda ce dont il sagissait. Je lui rapportais linvitation de Johanna et Frantz. Elle me demanda si je savais quils étaient bisexuels. Je lui racontais que javais déjà des relations avec des hommes. Je lui racontais donc mon apprentissage et mes relations avec Brigitte. Visiblement mon récit lexcitait. Elle mentraina dans la chambre, me mis sur le ventre et me demanda de la laisser faire. Elle mattacha les bras et les jambes aux montants du lit et commença à me caresser le corps avec ses mains et la pointe de ses seins. Elle sarrêta à mes fesses quelle ouvrit. Prenant du gel elle me travailla la rondelle avec douceur. Elle devait en avoir lhabitude car cétait fait avec beaucoup de délicatesse. Les liens étaient suffisamment lâches pour que je puisse laider. Quand elle mestima prêt, elle alla chercher un gode ceinture et elle séquipa devant moi. Rapprochant le gode de ma bouche elle me demanda de le lubrifier. Revenant derrière moi je sentis le gode contre mon fondement. Elle me pénétra doucement. Je ressentis légère douleur vite effaçée. Elle commença à menculer. Je sentais ses seins dans mon dos pendant quelle jouait avec mes mamelons. Cette situation était très excitante et me faisait bander. Je sentais aussi à chaque fois son pubis sécraser sur mes fesses. Après de longues minutes ou je sentis son excitation monter, elle me libéra de mes liens, me mit sur le ventre et sempala sur ma queue en me demandant de la baiser à fond. Nous jouirent ensemble et une vague de plaisir nous emporta. Cétait une amante merveilleuse.
Elle minvita à manger. Après le repas nous fîmes une promenade au bord de la mer Mary accrochée à mon bras et sa tête penchée sur mon épaule. Je sentais des regards réprobateurs, les gens croisés nacceptant pas notre différence dâge. Nous étions bien ensemble.
Nous nous quittâmes un peu tristes après avoir fait une nouvelle fois lamour. Elle me glissa dans la poche une enveloppe. Elle promis de faire appel à moi et à Jacques la prochaine fois quelle séjournerait à Monaco.
Dans la voiture, jouvris lenveloppe. Elle avait apprécié certainement mes prestations, car la somme était coquette. Je rentrais à lappartement attendant avec impatience le rendez-vous de mercredi. Je décidais quand même pour ménager mes forces, de reporter tous mes rendez-vous.
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