Ma Cousine Est Très Dévouée
LE DÉVOUEMENT DE MA COUSINE
Je mappelle Thomas, je suis un jeune homme de 18 ans à qui la vie était offerte.
Malheureusement il y a 2 ans, un conducteur ivre a croisé ma vie et celles de mes parents.
Je suis le seul survivant sur 4 personnes mais maudit le sort qui ma laissé en vie.
Je suis tétraplégique partiel et comme si ça ne suffisait pas une blessure au cou ma déchiqueté les cordes vocales.
Pire quun bagnard, condamné à passer sa vie entière dans une prison. Ma prison à moi est mon propre corps doù je nai que très peu de chance de mévader. Ca tiendrait du miracle quun jour, je retrouve lusage de mes membres.
La rééducation ma seulement ramené un peu de sensibilité nerveuse mais pouvoir ressentir même à 10% mon corps est pour moi une victoire.
Au royaume des aveugles, un borgne est roi.
Le seul plaisir que jai, je le dois à ma cousine Sylvie.
Je vis avec elle et sa mère Marie qui ma recueillit. Elles ont bien du mérite car je suis pire quun bébé en bas âge, enfin vous voyez ce que je veux dire.
Jai un ordi aménagé qui me permet de rester en contact avec le monde en me servant dun pointeur et de ma bouche comme pour me déplacer avec mon fauteuil.
Sylvie est une fille formidable, elle vient davoir 18 ans et seconde sa mère pour soccuper de moi, rien ne la rebute et se comporte devant moi sans aucune pudeur.
Elle vient dinviter Lisa, sa meilleure amie à une soirée pyjama en labsence de ma tante.
Elles ont passé laprès-midi ensemble quand soudain elle amène sa copine dans ma chambre.
Lisa me regarde, gênée, et ensuite observe, ahurie, Sylvie se dévêtir pour passer un tee-shirt plein de taches et auréoles douteuses.
-Lisa, je te présente Thomas, mon cousin, il ne peut pas te parler car il est muet et paralysé.
- Mais que fais-tu? Pourquoi tu te changes? Sétonne Lisa.
- Je dois moccuper de sa toilette, je fais ça à tour de rôle avec ma mère.
-Tu sais que cest avec lui que jai touché mon premier garçon et quand je dis toucher, tout y passe.
-Ce qui me plaît le plus quand je fais sa toilette intime cest quil entre presque chaque fois en érection quand je lui lave sa queue. Quand nous ne sommes que les deux, je vais un peu plus loin et lui vide les couilles, jastique si bien son nud jusquà ce quil dégorge son foutre!
Lisa nen revient pas de ce quelle vient dentendre depuis quelques minutes.
-Si tu veux maider, on va lui donner sa douche, aide-moi à le déshabiller.
Lisa hésite un moment puis acquiesce.
-Pourquoi pas ?
-Aide-moi à lui retirer son maillot, bien... Bon maintenant passe son bras sur ton épaule comme moi et on le soulève ensemble, fais coulisser son short et son slip, voilà
, cest fait !
On va le mettre dans un siège spécial dans la douche pour quil ne risque pas de glisser.
Mon sexe pend entre mes jambes mais il a déjà commencé à prendre de la vigueur. Cest la seule partie de mon corps qui mobéit encore.
Tu lui plais ainsi quà Popaul! Rigole Sylvie.
Lisa nose plus bouger, ses yeux ne quittent plus ma verge plantée au milieu de ce corps nu, inerte.
-Cest la 1ère fois que je vois un garçon à poil en train de bander. Mon Dieu, son sexe narrête pas de sallonger, de grossir !
Un jonc vigoureux commence à se redresser décollant de mes bourses.
- Aide-moi à glisser le siège sous la pomme de la douche, lààà
!
Sylvie me savonne commençant par le haut de mon corps, puis les jambes et termine en approchant la main de mon entre-jambes.
Elle se tourne brusquement vers Lisa et lui suggère en montrant mes organes génitaux.
-Si tu veux, je te laisse frotter cet endroit là.
- Moi ? ! Euuuuh..., je noserai jamais, tes folle!
- Allez, fais pas ta sainte-nitouche ! Enfile le gant et savonne de bas en haut et surtout autour des couilles!
Lisa ose à peine frôler ma verge comme si elle avait peur de labîmer.
-Vas-y franchement, sénerve Sylvie, il nest pas en sucre, il faut que tu y mettes plus de vigueur si tu veux vraiment quil bande !
Lisa se lance enfin, savonne avec entrain mes bourses et astique vigoureusement ma hampe qui narête plus de grandir.
Sylvie la conseille au bout dun moment étape par étape.
- Continue sans le gant, cest bien plus agréable pour Thomas, frotte bien de haut en bas, arrête-toi en haut, serre plus tes doigts en descendant pour décalotter son gland, même si tu sens que ça force et nettoie sous le gland, il a un sacré chapeau au bout de sa queue, hein ?
- Des fois je ne le touche pas et me mets nue devant lui pour me laver aussi, tu verrais comment il se met à bander quand je me savonne les seins ou que je glisse mes doigts dans ma chatte !
La main de Lisa et plus douce que celle de ma cousine et je sens monter doucement le plaisir.
Soudain Sylvie décide daccélérer le rythme et pose sa main sur celle de Lisa pour une masturbation beaucoup plus vigoureuse, abaissant ma bite presque à lhorizontal.
- Maintenant que tu as comprise comment faire, je te laisse le finir, va plus vite, serre encore plus fort!
-Ça ne lui fait pas mal ? Elle sallonge encore et est devenue drôlement dure !
-Tu es en train de faire bander ton 1er homme, regarde Thomas comme il a lair heureux, il te sourit.
Je cligne des yeux pour lencourager, je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps.
Lisa murmure en me regardant.
- C'est ma première fois mais lespère que ça te plais, Thomas !
Je respire de plus en plus vite et un râle arrive à sortir de ma bouche.
- Aaarrrrrrrhhhhh ! ! !...
- Ne tarrête surtout pas, il ne va pas tarder à cracher !
Mon corps est prit de tremblement quand ma sève sapprête à jaillir mais le plus triste cest quil ne retransmet presque rien à mon cerveau. Ma teub palpite sous les spasmes annonciateurs de l'orgasme.
Lisa est tellement surprise quelle ouvre la main libérant mon mandrin congestionné qui remonte brusquement.
-Oh bordel ! Sécrit Sylvie. Tu las laissé échapper, gare!!!
Avant que Lisa ne comprenne ce quelle voulait dire, ma bite se met à balancer de haut en bas comme si elle vivait et éjecte un formidable jet de foutre qui fait une arabesque dans lair avant de maculer la robe de Lisa sur plus de 40 cm.
- AHHH ! Tu naurais pas dû la lâcher. Essaie de la rattr ou il va ten mettre partout ! Hurle Sylvie.
Affolée, Lisa arrive à saisir ma lance et tente dinterrompre léruption de semence mais la source nest pas tarie. Elle en a partout, sur les bras, le cou, le visage et même dans ses cheveux, sa robe est complètement maculée, je n'en finis plus de me vider.
- Et bien ! Pour une première fois tu as été servie, jaurais dû te prévenir que de ce coté là il nest pas handicapé, cest même un sacré coup, quand il jouit, il ne fait pas semblant, ça tas plu ?
- Euuh ! Oui, enfiiiiin,...oui, je ne mattendais pas à un tel volume et surtout à des projections si violentes, cest toujours comme ça ? Est-ce que tous les hommes ont une si grosse bite?
-Pour ce qui est de léjaculation, avec lui, oui, tu comprends maintenant pourquoi jaime bien lui faire sa toilette ?
-Jai déjà sucé dautres garçons et je peux te dire quil ny en a pas un qui lui arrive à la cheville que ça soit pour la taille ou le reste et tu comprends maintenant pourquoi je me suis changée. Retire ta robe quon la lave, si tu attends trop longtemps, on ne pourra plus ravoir les tâches, il ten a mis partout !
Lisa se retrouve en petite culotte mais ne comprend pas quand elle voit Sylvie se déshabiller complètement, faisant apparaître deux globes parfaits, un ventre plat, un fin duvet de vraie brune encadre des grandes lèvres charnues.
Ma teub qui avait dégonflée entre mes cuisses reprend aussitôt de la vigueur et commence une nouvelle ascension. Je regarde ma cousine qui sest approchée de Lisa et lui baisse sa petite culotte.
-Non, quest-ce que tu fais, pas devant lui !
- Laisse-toi faire, tu vas voir, il va rebander comme un étalon !
Leurs seins se frôlent, je vois leurs tétons sallonger et devenir aussi durs que mon chibre, Sylvie sagenouille devant Lisa, lui met les mains sur les fesses et colle ses lèvres sur labricot bombé et délicatement fendu, sa langue se glisse dans la fente offerte avant de lui demander.
- Tu aimes, tu veux que je continue ?
Elle lui répond dans un souffle.
- Ou...ouiii , cest formidable, continue!
Sylvie écarte les lèvres de la vulve avec son pouce et son index, dévoilant l'intérieur rosé de son abricot.
-Tu es toute poisseuse de mouille!
Elle joue avec le minuscule bourgeon et innerve à coups de langue le clitoris hyper sensible. Il est d'une sensibilité folle nayant jamais connu de caresse buccale.
Ses mains courent sur le corps de Lisa, retirent son soutif et stoppent sur les protubérances des seins menus aux tétons dressées vers le ciel ; elle les pince, tirant dessus.
La bouche de Sylvie sen donne à cur-joie dans la moule de Lisa qui devient toute rouge.
Elle glisse son nez dans l'échancrure du calice, respirant des vapeurs de marée basse.
Elle aspire le capuchon, en mordille délicatement l'extrémité. La moule de Lisa expulse un liquide transparent, du pur jus de pucelle.
Une odeur forte de sexe commence à dominer dans ce local exigu.
Coquine, Sylvie me regarde en coin bander comme un mulet, en spectateur passif. Ma hampe est maintenant au maximum de son ascension et colle pratiquement à mon ventre, je savoure dans ma tête les amours lesbiens de ses deux jeunes filles.
Ma bite est tellement congestionnée et réclame par son orgueilleuse érection muette quon soccupe delle.
Sylvie a si bien uvré que Lisa se crispe, implorant que ça cesse, au bord de son tout premier plaisir orgasmique de femme.
Son corps en sueur s'arque quand son sexe se vide comme sous le coup dune décharge électrique. Des onomatopées séchappent de ses lèvres.
Argh ! Argh !...Argh ! Argh ! Ouuuiii ! Arghaaah ! Nooonnn ! Argh !...Ooouhhh !
Un liquide doré, au parfum âpre, inonde la bouche de Sylvie qui retient Lisa au bord de l'épuisement...
Sylvie se redresse et suggère à sa copine, présentant sa vulve complètement épilée.
-Approche ! A toi maintenant de me rendre la pareille, broute-moi !
Lisa, une fois remise de ses émotions, sagenouille devant lautel de Sylvie, espérant être à la hauteur pour rendre à son initiatrice tout ce qu'elle vient de lui faire découvrir.
- Viens encore plus près !
Sylvie pose une de ses mains sur sa chatte, écartant les grandes lèvres de ses doigts pour présenter l'intérieur son con déjà brillant des sécrétions intimes qui suintent de ses chairs.
Son autre main sest égarée et sagrippe, comme si elle trouvait une bouée salvatrice, sur ma colonne de chair turgescente.
- Tu sens comme ma chatte a envie de tes caresses ? Je suis chaude davoir tant respiré ton odeur intime...
Lisa approche la tête et touche de la langue les replis foncés dont les veines bien dessinées irriguent la moule et le clitoris, prenant à pleine bouche les excroissances de chair.
Sylvie décalotte son clitoris en mettant un doigt de chaque coté de la fine tige pour le montrer à Lisa.
- Embrasse-le, tête-le !
Lisa a à peine touché de ses lèvres le bourgeon à vif que Sylvie se cabre et quelle étrangle instinctivement mon épée tendue, stoppant net sa masturbation...
Argh...Oooouhhmmmmh ! !
En quelques minutes, Sylvie ressent les prémices de l'orgasme de délivrance.
Lissue est rapide. Sous les coups de langues répétés de la jeune femelle, elle se vide, évacuant son jus quelle fait découvrir à sa jeune partenaire en pressant la main sur sa tête.
-Ooouuuiii ! Suce plus fort ! Ne tarrête-pas, encore, encore !
Asphyxiée, le nez dans la moule, Lisa est inondée du suc de Sylvie dont toutes les vannes viennent de céder.
OUUUIII! ! ! Ouuuiii ! Encore ! Vas-y, encore ! Prend tout ! AAAAÏÏÏÏÏÏÏÏÏEERGHH ! Argh !...
Puis elle se détend, libérant les cheveux empoignés.
Les deux filles restent immobiles un instant avant que Sylvie ne tourne la tête vers moi.
Elle comprend en voyant mon gland violacé qui narrête pas de suinter que je souffre le martyr à la vue du spectacle insoutenable quelles mont offert.
-Il va falloir que je moccupe de son machin ou il va exploser. Regarde Lisa, je vais te montrer comment faire et ensuite se serra à ton tour, met-toi en face de lui!
Et sen plus attendre, elle vient me chevaucher, me montrant son dos, elle saisit dune main ma flamberge et la glisse plusieurs fois sur sa vulve avant de la diriger dans sa chatte.
En un rien de temps, mon soc disparaît en entier dans son vagin.
Mais elles mont tellement excité quen moins dune minute de rodéo, je la remplis de mon foutre.
-Oh, mon salaud, Tu aurais pu essayer de te retenir ! Merde ! Javais oublié que tu ne le peux pas, excuse-moi !
Quand elle se redresse, sa chatte libérée suinte ma liqueur qui coule en abondance sur ses cuisses.
-Lisa, le meilleur est à venir..., si tu te sens prête à devenir une femme, je te prête Thomas et son gourdin mais avant il faut prendre quelques précautions.
Sylvie reprend la pomme de douche et nettoie ma verge redevenue flasque consciencieusement avant dexpliquer à Lisa.
-Je ne veux pas quil te mette en cloque et comme je nai pas ce quil faut, je vais employer un remède radical.
La suite au prochain épisode.
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