Ma Premiere Manifestation... Des Sens !

Je me souviendrais toujours de ma première manifestation en tant que lycéenne, l’année de mon bac.
C’était par rapport a un étudiant tabassé a mort, les établissements se sont soulevés les uns après les autres
Ce jeudi là il fait beau, c’est on copain qui m’a entrainée là-dedans malgré la mise en garde de mes parents, je prends vite goût a cette vague humaine qui court un instant puis s’arrête brutalement provoquant des heurts pas toujours désagréables …au premier rang nous nous tenons par la main, il est donc difficile d’éviter les mains baladeuses de ceux de derrière, qui ne se privent pas de peloter mes seins et mon entre jambes , je ne regrette pas d’avoir mis un jogging
Ça fait marrer Thierry mon copain qui ne souffre pas de jalousie, il faut dire que nos rapports sont plutôt platonique étant assidus a nos études, c’est a peine si nous faisons l’amour une fois par mois, quelquefois mon corps me rappelle que ce n’est pas assez, mes doigts ne compensent pas la présence d’un membre entre mes cuisses
Après une heure de manif les choses évoluent a cause de casseurs qui se sont infiltrés parmi nous, la police aux aguets ne demandait qu’a intervenir, les premières grenades lacrymo ont commencés à éclater, les mains se sont lâchées, transportée par la foule en panique j’ai perdu Thierry de vue
Soudain une déflagration à deux mètres de moi m’a projetée à terre, complètement sourde, quasi inconsciente je gis sur le bitume, des petites brulures me piquent ça et là, un homme herculéen se penche sur moi, il porte un brassard de police, je vois ses lèvres remuer mais a part le brouhaha lointain de la foule aucuns sons ne me parviennent, je me sens défaillir lorsque l’homme me soulève tel un fétu de paille et me vire sur son épaule façon ‘secouriste’ puis c’est le néant ….

Combien de temps s’est-il écoulé jusqu’au moment où le froid ressenti sur mon dos et mes fesses ne me réveille, les yeux embués de larmes me brulent, au dessus de moi le même homme que je devine en slip me dévisage, il articule des mots qui me résonnent comme dans une cathédrale, ou suis-je ?? …
Je suis étendue quasi nue sur du carrelage, une ampoule au plafond, une odeur d’essence et de cambouis … je distingue des deux roues, c’est un local a vélos d’immeuble ?

- Ça va petite ? Comment te sens-tu ?
- Que m’est-il arrivé ? que faisons-nous ici ? pourquoi êtes-vous nu ? vous m’avez déshabillée aussi ?
- Oui, reste allongée personne ne viendra nous déranger ici, je t’explique, je suis policier chargé de la sécurité, j’avais le choix entre te laisser aux flics et te retrouver au panier a salade ou te mettre a l’abri, je suis entré en catastrophe par la première porte d’immeuble ouverte, tu as reçu des projectiles sous un sein, le haut de la cuisse et la joue, rassure toi rien de grave, des égratignures superficielles qui saignent un peu c’est tout, j’ai préféré ôter ton pull et ton jogging troués et mes propres vêtements imprégnés de gaz lacrymogène pour les aérer, voilà tout
- Merci …je comprends mieux, vous pouvez soigner mes blessures ?
- Hélas je n’ai même pas un mouchoir sur moi, je peux lécher tes plaies comme le font les animaux pour se soigner
- Ça marche aussi sur les humains ?
- En tous cas nous ne risquons rien d’essayer
- Alors qu’attendez-vous ?
- Il s’agit de ton sein et de ton entrecuisse …
- Vous n’allez pas me violer ?
- Tu pourrais être ma fille …
- Faites vite ça me pique
- Je vais dégager ton mamelon du bonnet …

Malgré son apparence ‘sûr de lui’ l’homme à les mains tremblantes lorsqu’il sort mon sein meurtri, a demi couché au dessus de moi, une jambe entre les miennes, il baisse son visage vers ma poitrine, est-ce volontaire ? En tout cas son genou pèse sur ma motte, pour mon bienêtre j’écarte les cuisses, sa rotule masse mes lèvres au gré de ses mouvements
La langue entre en action, au début ça me brule, puis sa salive apaise la douleur qui se transforme en plaisir, son pouce qui fait rouler mon téton aide peut-être a cela ? Mon torse se gonfle, ma respiration se fait plus irrégulière, il stoppe son action …

- Ça te fait toujours mal ?
- Non, ça va beaucoup mieux, mais par précaution continuez un peu …
- D’accord …

Les yeux ne me brulent plus, ma surdité passagère est passée, je ronronne comme une chatte sous les coups de langues minutieux de mon sauveur, il me semble que le slip moulant a gonflé, un coup d’œil rapide me le confirme, malgré moi mon bassin frotte plus fortement sur son genou qui ne se dérobe pas mais hélas l’action le fait revenir a la réalité

- Je … je vais peut-être passer à ta joue qui est sanguinolente ?
- Ah oui, c’est vrai, allez y, je tourne la tête …

Son souffle est agréable, ses lèvres se posent à quelques centimètres des miennes, a présent c’est les poils de son torse qui agacent délicieusement mes tétons, a force de sucer mon sang j’espère qu’il ne va pas devenir vampire ! Alors qu’il me bouffe la chatte !
Il me semble que ses lèvres quittent la zone blessée, la tension est trop forte, lentement je tourne la tête …nos yeux se croisent … ma bouche s’entrouvre malicieusement, la pointe rose de ma langue passe sur mes dents …il hésite …

- C’est ça que tu veux ? un baiser ?
- Oouuuuuuuiiiiiiiiiiii ….

.

Tandis que dehors les clameurs sont toujours aussi intenses , notre baiser timide se transforme vite en baiser passionné, mes sens n’ont jamais étés autant en ébullition, la chaleur qui monte entre mes jambes me fait oublier le carrelage glacé, la queue raide encore prisonnière du slip frotte ma hanche, mon bras se glisse entre nous deux a la recherche du monstre de chair que je saisi a travers le tissu, mes doigts n’en font pas le tour, jamais dans jeune carrière sexuelle je n’ai touchée de verge aussi imposante, l’homme grogne de plaisir, sa main extrait mon sein indemne du soutient gorge pour le triturer amoureusement, pressée d’en finir je cesse de faire tournoyer ma langue dans sa bouche …

- Vous avez oublié de nettoyer la plaie sur ma cuisse
- Excuse-moi, je vais en profiter pour nettoyer aussi celle que tu as entre les cuisses
- Le sol est froid …
- Enlève ta culotte et assied toi sur la selle de ce scooter

Une fois debout il ne peut cacher la proéminence de son boxer que je ne peux m’empêcher d’admirer, il y porte la main en passant une langue gourmande entre ses lèvres comme une promesse de m’en faire profiter, avant de m’assoir de coté sur le scooter je fais glisser ma culotte et pose un pied sur le guidon, ma craquette baveuse ne peux être plus ouverte

- Soignez mes plaies …
- Il y en a une qui va très vite disparaitre mais héla l’autre va s’ouvrir encore et encore
- Il lui faut un bouchon …
- Comme celui-ci ?
- Hooooooooohhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuuiiiiiii

A genoux à mes pieds l’homme pose sa bouche sur la mini blessure de ma cuisse qui s’est arrêtée de depuis longtemps tandis que ses doigts viennent visiter ma grotte, je ferme les yeux et m’agrippe à sa tignasse épaisse, sur l’une je ressens des picotements dans l’autre un bienêtre total
La bouche glisse vite sur ma toison blonde que ses doigts ont séparée pour laisser l’accès à mon clitoris, il lape et aspire ma sève féminine de plus en plus abondante
Mes gémissements rapprochés font place à une longue plainte lorsque je pisse carrément sur sa figure, il se relève nullement vexé, son expression est plutôt satisfaite

- A présent je vais cautériser ta chatte avec ça …garde la pose, accroche toi a mon cou
- Elle est grosse, je suis étroite …
- C’est mieux ainsi … regarde là entrer dans ton corridor
- Allez-y lentement... la tête a disparu …ça m’étire drôlement là-dedans …c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn

Ses deux mains posées sur le bas de mes reins sont non seulement pour me maintenir face a sa queue mais aussi pour m’attirer à lui, je glisse sur le skaï du siège pour m’empaler toujours plus loin sur son pieu raide, je suis a deux doigts de m’évanouir a nouveau mais cette fois c’est par pur bonheur , dehors les clameurs s’estompent…dans cette pièce elles montent !
Une fois bien calée sur son ventre, accrochée à lui, je me soulève l’obligeant à me prendre dans ses bras, solidement campés sur ses jambes il me baise à son bon vouloir, tantôt délicatement tantôt d’une façon virile, pendant un orgasme dévastateur une tonalité qui me parait loin retentit, mon portable sonne …mon copain qui s’inquiète de ma disparition soudaine ?? Qu’il aille au diable !

- Vous me faites un bien fou avec votre queue
- Je suis heureux de te faire oublier ta mésaventure
- Vous êtes un bon flic
- Demain si je te revois dans la rue je ne suis pas obligé d’avoir le même comportement
- Vous ne baiseriez pas ?
- Si tu me le demande gentiment …
- Où pouvons-nous nous retrouver demain ??? dans un endroit plus confortable !
- Chez moi, je te donnerais ma carte … attention je vais balancer la purée, je reste ou je me retire ?
- Ne gaspillez pas ce bon foutre, gavez-moi le con…. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhoooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii
- Chhhhuuuuuuuuuutt !
- Pardon c’est trop hot, je redescends ?
- Si tu en veux encore je peux t’en donner
- Alors je vais m’appuyer sur le scooter, baisez moi par derrière
- Penche-toi bien, laisse-moi admirer ta chatte, écarte-toi les fesses ? hhoooooooooooooooo bordel quel cul !
- Demain je vous offrirais mon petit trou
- J’y compte bien, appuis-toi sur la selle je vais te pénétrer

Dans cette position sa matraque m’ouvre à nouveau délicieusement la vulve, une fois bien planté en moi il fait onduler son ventre, c’est comme s’il voulait faire de la mayonnaise avec nos sécrétions, je passe une main entre mes jambes pour lui saisir seulement une couille car les deux ne tiennent pas dans ma main !

- Petite salope tu sais y faire avec les hommes
- Merci, je fais ça d’instinct, vous m’apprendrez des trucs ?
- Demain tu me suceras la pine en enfonçant des doigts dans mon trou de balle
- Vous ferez pareil avec moi ?
- J’enfoncerais ma langue très profond entre tes fesses
- Ohhoouui, enfoncez moi un doigt …. HAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa c’est booooooooonnnnnn !
- T’aime ça ?
- Je vais encore jouir …
- Je vais à nouveau décharger, tient, ton portable sonne encore, c’est ton petit copain ?
- C’était … je passe a autre chose