Préhistoire 2 : Une Source Chaude
Le lendemain je décidai d'aller chasser des chèvres des montagnes. Cette fois c'était plus facile car nous les néandertals somme bien plus à l'aise en terrain accidenté. Elle venait avec moi et cette fois ci je comptais bien mettre sa présence à contribution. Nous sommes partis au matin et je ne pensais devoir m'éloigner du camp plus de quelques heures, nous étions au pied d'un massif.
Contrairement aux cerfs les chèvres des montagnes sont intelligente, et ce troupeau ne dérogeait pas à la règle. Nous avons mis un sacré bout de temps rien que pour nous en approcher sans qu'ils nous repèrent, et avec les mâles qui faisaient le guet nous avons du nous y reprendre à plusieurs fois, saleté !
Finalement elle a réussie à les contourner et elle s'est placé de l'autre coté du troupeau. A un moment un mâle la vit et s'approcha d'elle mais heureusement ses fourrures la camouflèrent assez pour qu'il ne se rende pas compte que c'était un prédateur. Elle se releva d'un bond et l'embrocha sur sa lance au niveau de la gorge pour qu'il ne puisse pas crier mais il réussit à pousser un cri avant de tomber au sol.
Je maudit ce mâle avec mes deux lances, une dans chaque mains, je me redressais de derrière mon rocher pour tenter de des chèvres. Le troupeau commençait à fuir loin d'elle comme prévu mais pas vers moi ! Injuriant une fois de plus ces saloperies de bestioles je lançait mes lances et réussit à en planter un dans le cur d'une chèvre. Par contre l'autre était seulement blessé à la jambe et je vis qu'elle comptait me combattre plutôt que de fuir.
Je m'élançais en même temps qu'elle et encaissait la charge sans broncher. Puis j'utilisais ma puissante musculature pour la soulever par le cou et la fracasser contre une pierre ! Complètement affolé et ivre de douleur la chèvre ne cessait de se débattre et des flots de sang jaillissaient de sa blessure. Finalement je réussis enfin à lui briser le cou contre une roche et je la laissais tomber au sol.
Elle s'approcha de moi avec sa prise et nos lances, visiblement ma lutte avait duré longtemps.
-Tu es couvert de sang. Si on ne lave pas tes fourrures elles vont puer comme les crottes d'un ours.
-Je les laverais à la rivière.
-Le sang séchera, ce sera difficile de les nettoyer.
-Bon au lieu de dire du mal tu pourrais être constructive !
-Pfft. Ramasse tes chèvres, il y a une source dans une grotte la-bas je crois. On pourra te laver sans risquer de perdre nos prises.
Poussant un grognement d'acquiescement je mis mes deux chèvres sur les épaules et grimpa à sa suite vers une grotte qui était juste à coté. En arrivant près de lentrée je reniflais et tendais l'oreille mais il n'y avait aucun animal, heureusement pour lui. La grotte était petite et pas très profonde. Je déposais mes prises à coté des siennes dans un coin de la grotte et jetait un coup dil vers l'entrée. Il n'était pas midi donc nous avions du temps.
-Tu viens ?
Je me retournais et la vis en train de sourire. Elle était à coté d'un bassin et visiblement l'eau était chaude. J'ai enlevé mes fourrures tachées de sang et nous les avons lavés. Je regardais mon reflet dans l'eau, mes yeux verts, mes poils roux et mes arcades sourcilières. J'étais propre et alors que j'allais me rhabiller je la vis derrière mon dos et sentit ses mains me caresser les épaules.
-Nous avons beaucoup de temps...Et cette fois je ne me soumettrais pas. Dans le même temps elle enleva ses vêtements, fit de même avec les miens et me poussa dans l'eau chaude !
Je me redressais en crachant et ses yeux me dévorèrent du regard comme si j'étais une proie. L'eau m'arrivait au niveau des hanches et il fallait bien reconnaitre que j'étais appétissant à voir, mes poils collés à ma peau ruisselantes, l'eau qui dégoulinait le long de mes pectoraux et de mes abdominaux impeccables, sans oublier mes long cheveux plaqués sur mes épaules et mon dos.
Elle plongea à son tour et ressortis d'une manière qui me donna pour de bon une érection. L'eau ruisselait le long de ses seins , descendait sur sur son ventre en suivant les chemins tracés par ses muscles avant de terminer entre ses jambes et sa toison de feu qui allumait encore plus mon désir.
Mais ce que je trouvais le plus magnifique était de voir les gouttes d'eau tomber de ses arcades sourcilières pour atterrir sur sa poitrine en faisant des ploc qui résonnaient comme une chanson envoutante.
Je m'approchais et l'enlaçait tendrement cette fois. Je dégageais les cheveux qui couvrait ses yeux verts que seul ont les neandertals et fit courir ma langue sous ses arcades et ses oreilles. De son coté ses mains glissaient le long de mon corps d'une manière rendu plus que sensuelle par l'eau chaude qui donnait un autre sens aux caresses.
Je posais un baiser délicat sur ses lèvres et m'apprêtais à me diriger vers seins délaissés quand ses mains empoignèrent mon sexe immergé et commencèrent une masturbation exquise. Une de ses mains faisait coulisser mon sexe avec lenteur pendant que l'autre caressait le gland de milles manières différentes.
Sans cesser de l'embrasser je fis descendre mes mains pour explorer son sexe. Je malaxai ses fesses douces tout en jouant avec son antre. Bientôt une douce musique résonna dans la grotte, celle de ses petits cris que je provoquais habilement. Lentement son plaisir devint plus intense et elle perdit le contrôle, sa masturbation appliqué devenant beaucoup plus sauvage et rythmé.
Elle s'arrêta un moment quand elle atteignit lorgasme. Elle rejeta sa tête en arrière, envoyant partout des gouttes qui la rendirent plus magnifique encore. Ses cris rauques emplirent la grotte et ses jambes cessèrent de la porter et je dus la soulever pour la maintenir à ma hauteur.
Avec des soupirs de plaisir elle reposa ses pieds et reprit sa masturbation. Cette fois plus question de faire durer, elle voulait me faire jouir.
Mes bras le long de mon corps et mes poings serré pour tenter canaliser l'orgasme qui se profilait je fis involontairement des mouvements de bassin. Le plaisir qui montait en moi était si impérieux, il voulait tant se libérer ! Je gardais mes yeux fixé dans les siens, même quand mes cris puissants voulurent que je lève mes yeux vers un point inexistant.
Mes cris cessèrent mais je gardais ma bouche ouverte, en un râle silencieux. Ses doigts s'enroulèrent une dernière fois autour de mon gland, sa main fit un dernier mouvement et dans un souffle je sentis mon sexe se contracter, mon sperme traverser les voies de mon corps et finalement, mon sexe plongé dans l'eau chaude je me laissais enfin aller.
J'envoyais jets de sperme après jets sans cesser de fixer ses yeux. Au bord de l'évanouissement je me rendis compte qu'elle promenait mon sexe le long de son ventre recouvert d'une partie de ma semence. J'avais éjaculer si fort que certains de mes jets avaient traverser l'eau pour atterrir sur elle !
Épuisés nous nous sommes allongé sur nos fourrures et avons fait une sieste réparatrice avant de reprendre. Moi j'aurais voulu avoir un peu plus de temps pour récupérer mais ce que femme néandertal veut....
Elle commença par me remettre en condition par des caresses, des baisers et une petite masturbation. Une fois que j'eus repris suffisamment de vigueur elle prit un préservatif en boyaux (je me disais que c'était bizarre qu'elle ait prit une besace) et me le mit tout en caresses et coup de langue....
Nous sommes retournés dans le bassin profiter de l'eau chaude et du plaisir de pouvoir faire l'amour debout (au camp c'est pas vraiment génial, mais dans une source chaude quel délice !).
Elle m'a plaqué contre la paroi et a saisit mon sexe qu'elle a enfoncé en elle d'un seul coup, me faisant hoqueter, je ne m'étais pas rendu compte à quel point j'attendais ce moment. Utilisant sa force elle me maintint contre le mur et se déhancha. J'étais totalement incapable bouger, sur son visage il y avait un sourire que j'étais bien incapable de mâter.
Après plusieurs délicieuses minutes je décidais de reprendre les choses en main, si l'on peut dire. D'une torsion je me libérais de son étreinte et je saisis ses jambes. Je la soulevais sans difficulté malgré son poids (chaque fois que je penses à sa musculature j'en ai des frissons) et commençait à donner des coups de reins. Elle accrocha ses bras à mon dos et se mit elle aussi à donner des coups de bassins.
Nous ne disions rien, nous n'émettions pas un son hormis celui de nos baisers et de nos souffles enfiévrés. Le clapotis de l'eau a chaque fois que nos bassins se heurtaient était hypnotisant, les sensations de nos sexes unis qui glissaient lentement et se rencontraient avec douceur était exquises.
Nous avons gardé cette position de longues minutes avant de changer pour une autre tout aussi érotique. Je me suis assis en tailleur dans le bassin, l'eau m'arrivait au niveau du cou et je l'invitais à faire de même. Pendant quelques instants j'ai cherché son antre avant de plonger enfin mon sexe dans le sien.
Cette fois nous sommes allé beaucoup plus vite. Le désir qui nous taraudait devenait trop grand pour que nous nous retenions plus longtemps. Ses seins se balançaient contre mes pectoraux et ses cheveux flottaient dans l'eau, comme les pétales d'une fleur. Nos lèvres laissaient des brulures sur nos peaux que l'eau ne faisaient que rendre plus intenses. Nos langues ne se quittaient pas une seconde et nos étreintes ne se desserraient pas.
Elle ferma les yeux et je sut qu'elle atteignait l'orgasme, elle enfouit sa tête dans mon cou et poussa un cri de jouissance qui résonna dans la grotte. Pendant de longue seconde elle fut agitée de spasmes et son vagin se contracta, manquant de me faire jouir à mon tour.
Je me relevais avec elle dans bras et je l'allongeai sur le bord, tandis que je restais debout dans l'eau pour avoir une bonne amplitude. Je la saisit par les hanches et je me déchainais, faisant des vas et vient à une vitesse phénoménale. Elle se redressa sur ses coudes et me fixa en faisant courir sa langue sur ses lèvres. Sa poitrine se balançait au rythme de mes puissants coups de reins et cette vision me fit franchir le point de non-retour.
Mes cris se firent de plus en plus fort à mesure que l'orgasme grandissait encore et encore jusqu'à ce que je m'enfonçais au plus profond de corps d'une dernière poussée. Mon sexe se contracta et je sentit le sperme jaillir hors de moi dans une explosion de jouissance. D'autres jets suivirent, chacun plus intense que les précédents et je m'affalais sur elle, vidé de toute énergie.
-Par mes silex c'est génial !
-Je suis d'accord avec toi. Tu viendras avec moi pour la prochaine chasse ?
-Bien sur ! Je voudrais faire l'amour avec toi tout le temps !
-Je crois que c'est assez pour moi pour aujourd'hui. Allez en route, faut rejoindre le camp.
Nous sommes revenus en début d'après-midi, juste à temps pour la découpe. Nous avions assez de viande pour un moment mais nous avons toujours trouvé des prétextes pour nous éloigner. Nous préférions faire l'amour isolé et pas dans une tente au beau milieu du camp.
Puis un jour vint la neige et ce qui va avec........
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