Annie Dans Une Soirée Chaude
Quand elle est arrivée pour cette soirée avec sa petite robe courte les regards des hommes se tournaient vers elle, dans les caleçons les limaçons se redressaient. Accompagnée de son mari Annie rayonnait devant lui, le pauvre aurait semblé invisible si ce nétait des cornes présumées qui lui donnaient une renommé. Il voyait bien les regards convoiter sa femme sous son nez, il en était confus et se sentait ridicule. Il lui semblait que certain de ces hommes se moquait de ses cornes, ces hommes qui épouse des laides persuadé quelles sont fidèles.
Annie, admirée, convoitée, désirée, semblait à son aise, les regards voraces nétaient pas pour lui déplaire, elle distribuait volontiers ses sourires approbateurs à ses admirateurs friands, sans se soucier de la présence de son pauvre mari qui sentait ses cornes sépanouir.
Très rapidement un prédateur sapprocha delle, le plus audacieux semble-il, il linvita à danser, Annie, avec légèreté accepta sans même consulter son mari et suivie lhomme dune foulée gaillarde et dhumeur frivole. Son mari ébranlé regardait sa petite femme partir comme une catin la main dans celle de ce rustre en rut aussi gonflé que son slip.
Elle semblait toute petite dans ces bras dautrui qui la serrait contre lui comme si elle était à lui, il la soulevait presque de terre. Annie semblait soumise à la position que lhomme lui imposait avec fermeté, il la maintenait en permanence collé à lui, son genou glissait entre les cuisses ouvertes dAnnie. Elle semblait grimper sur sa jambe, et dansait en écartant les jambes, enfourchée de façon cavalière dépravé. Sa petite robe courte de dévergondé remontait et laisser apparaître ses petite cuisses blanches et attirantes au dessus de ses bas foncés. Lhomme semblait lui fouiller le sexe de son genou et les gens regardaient avec curiosité ce couple exhiber ce simulacre daccouplement. Puis ce public regardait François le mari cocu, anéanti et impuissant qui laissait sa femme comme une traînée se faire enfourcher par un autre sans protester.
Annie le feu au ventre navait que faire des ragots de la soirée ses hormones de catin la dominaient, elle succombait a la pression de son cheval darçon qui la pétrissait à perfection. Elle mouillait déjà comme une fontaine, prête à écarter davantage les cuisses. Elle avait perdue sa lucidité, comme hypnotisée elle était dans son état second, son état de garce, de salope. Le plaisir lenvahissait, son corps se déchaînait elle avait envie de se faire remplir. Chauffé à blanc, conquise, transformée en objet de plaisir, nymphomane du soir elle lui était acquise. Son mari honteux évitait le regard des autres il ne savait plus ou regarder mais il ne pouvait pas sempêcher de regarder sa femme malgré le mal que cela lui faisait. Il voyait la salope, la putain qui ne demandait quà se faire tirer, elle sempalait toujours vulgairement sur cette jambe. François ressentait les vibrations obscènes de sa femme, il détectait ses frissons de plaisir, il percevait a distance quelle devait dégager son odeur pimenté de femelle en chaleur. Il connaissait la libido vorace de sa femme et savait quà ce stade dexcitation sa femme ne pensait quà se faire culbuter.
Annie qui se sentait comme sur un nuage reprit un moment ses esprits a la fin dune série de dance, elle descendit de sa monture le clito en érection et se rapprocha de son mari. Le couple ne parla que très peu, les mots étaient inutiles ils se comprenaient juste en se regardant, chacun savaient ce que lautre pensait. François la regardait, ses petits seins pointaient avec insolence à travers le fin tissu de sa robe. Annie faisait ses yeux de biche pour adoucir la colère de son époux, un sourire timide pour demander pardon, François lui pardonnait toujours ses frasques, il lui fit un petit sourire complice pour la rassurer. Elle lui lança un je taime inaudible mais bien articulé, ce je taime voulait lui dire quelle allait le tromper une fois de plus mais laimait pas moins pour autant.
Elle partie en jetant un dernier regard à son mari, François connaissait bien ce type de regard, ces yeux globuleux entre la honte et le désir.
François restait comme un con, il pensait à Annie, il la désirait, laimait la vénérait. Il était jaloux et excité incapable de dialoguer avec qui que ce soit. Il pensait à sa femme qui devait se faire sauter, sa salope de femme qui écartait volontiers les cuisses. En bon cocu résigné il attendait le retour de sa femme, il pensait au plaisir de la retrouver, il la baiserait lui aussi sa salope adorée.
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