Mon Voyage Au Canada.

Depuis longtemps déjà, je rêvais d’aller passer une semaine au Canada en hiver pour y faire une randonnée en motoneige. J’avais goûté à cette activité hivernale quelques années auparavant dans le massif des Vosges qui n’est pas trop loin de mon domicile et j’avais beaucoup apprécié. D’année en année à l’automne, je reportais ce voyage ! Il y avait toujours quelque chose qui m’empêchait de mettre le projet sur pied.

Enfin, le premier hiver de ma retraite, je me décide enfin et je prends contact avec un organisateur de séjours au départ de Montréal. Cela me convient parfaitement car je serai attendu à l’aéroport Trudeau et le transfert en direction de la base située à Saint-Michel des Saints se fera avec des navettes de minibus de l’organisateur.

Donc, ce dimanche de février 2000, après un vol sans histoire de près de huit heures de Paris à Montréal, nous sommes prévenus par le personnel de bord : il fait – 3°C. Quand nous avons quitté Paris, il ne faisait que quelques degrés au dessus du zéro et je suis surpris d’une différence aussi faible. Mais il n’empêche : Brrr ! Il fait froid et je le ressens immédiatement. Qu’à cela ne tienne, je suis convenablement équipé en vêtements chauds… en prévision du séjour. Les formalités de douane effectuées, je débarque dans le hall où notre chauffeur nous attend !

La nuit tombe rapidement. Nous sommes cinq (deux couples et moi-même) à embarquer dans le minibus qui doit nous emmener à la base située sur les rives du Lac Taureau. Nous pouvons voir sur le bas côté de la route que la couche de neige s’épaissit au fur et à mesure que nous avançons dans la lueur des phares qui percent la nuit et les quelques flocons de neige qui volent doucement.

A peine installés dans nos chambres à l’auberge qui domine le lac gelé, nous nous retrouvons dans une grande salle pour fêter tous ensemble l’arrivée des nouveaux participants et recevoir les directives quant au séjour.

Un bon souper dans une ambiance conviviale et une bonne nuit plus tard, nous sommes prêts pour une aventure nomade de plus de 200 km et de quatre nuits dans différents gîtes.

Au matin, je me rappelle les mots du directeur du centre lors du pot d’accueil de la veille : « Rien de tel que la motoneige pour découvrir la beauté grandiose de l’hiver canadien avec ses paysages féeriques, ses lacs gelés et ses arbres figés dans leur gangue de glace. Sans doute surprendrez-vous, au détour d’un sentier, une gélinotte transie ou un Cerf de Virginie, alors n’oubliez surtout pas votre appareil photo ! Et chaque soir fatigués et heureux de grand air et d’émotions, confortablement installés devant le foyer crépitant, vous découvrirez la " parlure" et la chaude hospitalité de vos cousins québécois. »

Notre groupe est composé uniquement de français ce qui évite le barrage de la langue… Du lundi matin au jeudi soir nous parcourons la région avec nos motoneiges. Midi et soir, nous changeons de point de restauration et de couchage. Nous terminons notre périple par une visite dans un village amérindien qui a su garder une part de son authenticité et nous regagnons finalement notre auberge par un parcours hors piste spectaculaire sur la banquise du lac Taureau.

Le trajet retour vers l’aérodrome se passe dans une tempête de neige. Le chauffeur roule presque au pas tant la visibilité sur la route est mauvaise, notre minibus est secoué par les coups de boutoir que le vent du nord est assène et la neige se plaque contre les vitres. Nous mettons presque trois fois plus de temps pour faire le trajet qu’à l’arrivée. Heureusement nous sommes encore dans les temps pour enregistrer nos bagages…

Hélas, la tempête redouble et l’aérodrome est fermé jusqu’au lendemain : aucun avion ne décollera ce soir pour quelque destination que ce soit ! Au bout de quelques moments d’attente, les réceptionnistes de la compagnie aérienne annoncent que nous allons passer la nuit à l’hôtel Hilton Garden Inn qui se trouve à proximité.
Des véhicules vont venir nous chercher pour nous y conduire…

Dès que je suis passé à la réception de l’hôtel pour prendre mon pass magnétique, je monte dans ma chambre pour déposer mes bagages et mettre des vêtements plus civilisés avant de redescendre au bar pour y déguster une bonne bière et passer le temps.

Je m’installe sur un des tabourets hauts sans trop prêter attention aux personnes qui m’entourent sauf à une femme qui se trouve à peu de distance, faisant comme moi face aux miroirs qui tapissent le mur. Sa mise pleine de classe discrète, ses cheveux noirs coupés en carré tombant au ras de ses épaules encadrant un visage ovale m’attirent. Elle semble seule. Peut-être est-elle comme moi, bloquée dans cet hôtel par la tempête de neige ?

Nos regards se croisent dans les miroirs et après avoir échangé un signe de tête, je me tourne vers elle qui me sourit. Je la découvre plus complètement ! Elle porte un ensemble de couleur marron clair, vraisemblablement en velours Alcantara, une veste entrouverte et une jupe longue avec des franges d’une dizaine de centimètres et surtout, des bottes magnifiques en cuir noir avec un talon pas très haut. Une jolie silhouette d’autant que je distingue, maintenant que je me suis approché, de belle rondeurs à demi cachées par les pans de la veste. Vraiment c’est une jolie femme, grande, distinguée, élégante, d’une quarantaine d’années.

Avec mon anglais rudimentaire je me présente et explique ce qui m’arrive. Aussitôt elle me répond avec l’accent si caractéristique des habitants de la Belle Province qu’elle est dans le même cas. Elle est en correspondance et son avion pour New York ne partira pas ce soir !

Nous continuons de bavarder ainsi pendant quelques temps. En fait, je fais une cour discrète à Jenna qui la reçoit avec un sourire un peu narquois, ses yeux cachés par des lunettes aux verres teintés pétillent de malice lorsque je lui fais des compliments sur sa mise, sur le parfum qu’elle porte.
Je le vois aux petites rides d’expression que la monture laisse entrevoir.

Pour parler plus facilement, je me suis installé sur le tabouret qui est à sa droite. Jenna balance une de ses jambes entre nous. Cette coquine a ouvert prestement un des boutons de son chemisier et je peux maintenant découvrir la belle rondeur d’un sein généreux gainé de fine dentelle. Nos jambes se frôlent quand dans un même mouvement, nous mettons un pied sur l’entretoise du tabouret. Loin d’essayer d’éviter le contact, Jenna l’accentue et je sens un mollet ferme le long du mien.

J’entrevois la possibilité d’une aventure avec cette belle passagère en transit, heureuse tempête de neige qui m’a fait rencontrer Jenna qui ne semble pas farouche. La différence d’âge ne me fait pas peur ! Je me sens capable de contenter cette belle quadra ! La fatigue de la randonnée en motoneige est oubliée !



ELLE.
Je suis au bar de cet hôtel coincée après une longue réunion. Mon avion ne pouvant pas partir j'ai décidé de prendre un verre en attendant. Habillée de façon classe mais sexy comme à mon habitude je porte mon ensemble marron en velours. La longue jupe étroite mettant bien en valeur mes longues jambes et mes fesses rondes et mes bottes hautes marron au style un peu western me font une longue silhouette. Je m’amuse à voir quel homme osera m'approcher. A ma surprise un homme plus âgé vient me voir. Il y a un je ne sais quoi dans son regard pale, sa courte barbe presque blanche et sa calvitie naissante m’attirent. Il ne dit pas grand chose mais tous ses compliments semblent bien tournés et je me sens très en confiance. En confiance, mais comme faible alors que je suis toujours sure de moi. Son regard perçant semble faire fondre ma personnalité d'habitude prétentieuse.

C'est comme si son regard me contrôle, m'hypnotise. Je me sens vraiment sexy et je me demande si il imagine que je porte comme souvent un porte-jarretelles blanc et des bas beiges.
Apres quelques verres qui me montent un peu a la tête, il me propose d'aller visiter les lieux. Ce grand hôtel est presque désert en hiver et nous parcourons quelques halls vides. Finalement il m'offre un verre de champagne dans une suite. C'est sa suite mais je l’ignore. Je me sens vraiment chaude et ma veste tombe rapidement. Un autre verre de champagne et il vient s'assoir à côté de moi. Tout en me regardant dans les yeux avec son regard dominant il dégrafe mon chemisier de soie lentement :
• Oh non je ne peux pas… Je suis… aaaaaahh… mariée.

Il vient de toucher un de mes seins et de l'empoigner. Je le regarde alors dans les yeux et je sais immédiatement que je ne pourrai pas lui résister et qu'il va faire de moi ce qu'il veut.



LUI.

Dès que nous sommes dans ma chambre, je défais un, puis tous les boutons de son chemisier en soie pour glisser une main entre les pans et caresser un sein niché dans un soutien gorge de dentelle blanche. Plus qu’il ne le soutient, le demi bonnet semble présenter ce globe de chair. D’ailleurs je distingue rapidement le haut de l’aréole bistre. Dans ma paume, je fais rouler cette masse souple et chaude et je sens le téton s’ériger au travers du tissu.

Les défenses de Jenna tombent les unes après les autres. Son refus du départ se transforme en une acceptation tacite à aller plus loin. Sa respiration se précipite, la bouche entre ouverte exhale des « aaahhh oouuii ! » de plus en plus fréquents au fur et à mesure que je la dépouille de son chemisier et de son soutien gorge.
J’ai sous les yeux une poitrine comme je les aime : ronde, opulente, ferme et qui tient bien. Je fais rouler un téton entre mes doigts et j’embrasse l’autre en le pinçant entre mes lèvres. Sous cette double caresse, Jenna se pâme déjà ! Lorsque je dégrafe la fermeture de sa jupe pour l’ôter et la faire glisser au sol, je découvre un fin porte-jarretelles assorti au soutien gorge et retenant des bas beige et un string des plus réduits. Pour moi, de la belle lingerie comme celle que porte Jenna, c’est une sorte d’écrin qui valorise le corps de la femme.

S’il fallait encore quelque chose pour me séduire, je ne sais pas quoi chercher. Lorsque j’ai découvert Jenna au bar et ensuite lorsque nous avons déambulé dans les halls, j’ai pu observer sa longue silhouette, à la fois sexy et sérieuse, sa démarche souple. Bref, j’étais tombé sur une femme à la classe certaine !

Nous ne sommes pas à égalité : Si Jenna est pratiquement nue, je suis encore habillé, pantalon en velours bleu marine, chemise ivoire et pull bordeaux et dans mon boxer, je sens mon sexe qui est dressé ! Je désire cette belle femme qui se laisse séduire par un homme qui a vingt ans de plus… Je passe mes bras autour d’elle et, mes mains plaquées sur ses fesses, je la colle contre moi. Son pubis est juste à la bonne hauteur pour sentir mon vit dressé :
• J’ai envie de toi ! Je t’ai désirée dès le premier instant.
• Oui, fais-moi l’amour !

Je me déshabille rapidement et je guide ma future amante vers le lit où je l’allonge. Je fais glisser le string, découvre une toison disciplinée, taillée en rectangle et j’entame un cunnilingus pour ouvrir les lèvres intimes. Si je bande, Jenna est déjà mouillée comme une fontaine… aussi, je n’insiste pas sur ma caresse linguale. J’enfile rapidement un préservatif et je relève les jambes de Jenna pour placer ses bottes à la hauteur de mes épaules. Ainsi, elle est totalement ouverte, prête à recevoir l’estocade de ma bite. Oh, elle n’a rien de remarquable, elle est plutôt courte mais assez trapue et mes maîtresses en ont toujours été satisfaites.

Dès que j’entre dans le vagin de Jenna, je ressens l’étroitesse de sa gaine et c’est doucement que je me glisse en elle jusqu’à ce que nos pubis se collent ! Je savoure ce puits chaud et humide qui enserre mon sexe. Lentement je commence le va-et-vient puis j’accélère le mouvement. La tête de Jenna va de gauche à droite pendant que je la baise. Ses seins bougent à peine sous mes coups de boutoir de plus en plus violents. En moi-même je pense : « quelle chance ! » En effet, çà fait plus d’un mois que je n’ai pas fait l’amour !

Soudain Jenna se cabre en exhalant un long cri :
• Rhhâââ !

Sa jouissance est arrivée et je ne retiens plus la mienne. Je lâche au fond du préservatif de longs jets de ma semence. Oh que c’est bon !



ELLE.

Après notre nuit, je retourne à ma chambre. Je suis un peu choquée de ce que j'ai fait la veille. Je ne peux toujours pas partir et je porte une tenue très sage mais confortable pour voyager : une robe en lainage d’un vert tendre qui arrive au dessus du genou et mes bottes noires à talon d‘une hauteur moyenne.

Tu me vois dans le hall de l'hôtel. J'essaie de faire l'innocente. Il va falloir que tu m'apaises cette fois et que tu me forces à me détendre. Ton attitude, ta voix m'hypnotisent presque mais cela ne suffira pas à apaiser ma conscience et il va falloir peut être me faire boire, peut être me forcer cette fois ci. Me prendre comme un homme qui prend ce qu'il veut :
• Bonjour Jenna ! Comment vas-tu ? Viens dans ma chambre, nous serons mieux pour parler.

C’est sans appel ! Je dois te suivre car tu me prends par le bras que tu serres de ta main gauche pour me guider ferment vers les ascenseurs. Nous ne parlons plus jusqu’à la chambre. Mais là, c’est une tornade qui s’abat sur moi ! Aussitôt entrés, tu me prends dans tes bras et violemment tu me baises les lèvres, entrant de force ta langue dans ma bouche dans un baiser ardent qui me laisse pantelante, à bout de souffle entre tes bras. Nue, je succombe une nouvelle fois à ton ardeur !



LUI.

Je ne m’attendais pas à croiser Jenna dans le lobby de l’hôtel. Hier soir, elle m’a quitté pour rejoindre sa chambre après avoir fait l’amour, une première fois avec douceur, respect et tendresse. Mais la conversation que nous avons eue ensuite a éveillé en nous de nouvelles envies.

Nous bavardons tranquillement comme un vieux couple qui vient de s’aimer, Jenna me dit :
• J’ai bien aimé ta façon de me faire la cour sans en avoir l’air ! En plus, je ne m’attendais pas à succomber au charme d’un homme comme toi. J’aime bien les étreintes viriles, voire un peu rudes, mais là, tu as su me faire l’amour avec douceur !

Je n’ai jamais été brusque avec mes conquêtes mais j’ai toujours su deviner ce qu’elles attendaient, que je sois plein d’attentions pour elles, y compris dans ce qu’elles souhaitaient dans nos étreintes.
• Tu as l’air de t’y connaitre en femmes !
• Toi, par exemple, tu as commencé à tromper ton mari sur le tard, ce n’était pas dans ta nature, pourtant tu es sensuelle !
• Comment as-tu deviné ? Je ne cherchais pas l’aventure quand nous nous sommes croisés !

Bref, Jenna me confie comment pour la première fois elle a eu une aventure avec Tom au cours d’un séminaire d’entreprise. Elle me dit aussi quelles jouissances elle avait eues lorsque David, un noir au sexe hors norme, l’avait copieusement baisée dans sa suite lors d’un autre voyage d’affaires. Elle me raconte aussi son trio avec Steeve et Jesse, également deux noirs évoluant dans le monde des affaires comme elle, qui l’ont prise de partout sur la table de billard.

Je me rends compte par ces propos que Jenna ne recherche pas l’aventure mais que ce sont les circonstances qui la guident : l’envie du sexe pur et dur ! Ce soir, c’est moi qui en ai le privilège. Tout en se confiant ainsi, Jenna joue avec mon sexe en le manipulant doucement au point qu’il retrouve bientôt sa raideur. J’ai aussi très envie de faire l’amour une seconde fois à cette belle femme à l’élégance discrète et sage mais qui dissimule une maitresse ardente qui ne refuse rien des plaisirs du sexe !

Jenna se met à quatre pattes le long de ma cuisse et se penche sur mon ventre. Elle embouche mon sexe, allant et venant jusqu’au fond de sa gorge, aspirant avec ardeur ou jouant du bout de la langue sur le méat alors qu’elle caresse sa chatte avec sa main libre. Par dessus son dos, j’aperçois le début de la fente de ses fesses bien galbées. Je sais comment je vais la baiser : je vais la prendre en levrette comme j’aime le faire ! Cette position révèle toute l’animalité qui est en nous :
• Viens Jenna, mets-toi en appui sur le lit. Je ne veux pas partir dans ta bouche, aussi bonne que soit cette fellation !
• Oui, baise-moi encore ! J’ai encore envie de te sentir en moi.

Je guide ma maîtresse pour qu’elle prenne la position souhaitée, j’enfile une nouvelle protection et je saisis ses hanches entre mes mains. Mon sexe bandé en avant de mon pubis va-et-vient quelques instants dans la fente sexuelle qui, très humide de notre précédente étreinte, m’appelle. Je ne fais pas languir Jenna plus longtemps. Lentement je glisse ma bite dans sa chatte jusqu’à ce que le creux de mes aines soit au contact des ses fesses

De nouveau je suis dans cette gaine étroite qui enserre et masse doucement mon sceptre de chair lorsqu’il va et vient de plus en plus vite au fur et à mesure que je sens le plaisir envahir une nouvelle fois mon amante. Malgré l’éclairage diffus de la chambre, je vois l’anneau plissé palpiter doucement et c’est avec un soupir d’aise que Jenna accueille un puis deux doigts dans son puits étroit. J’alterne les pénétrations de mon sexe et de mes doigts comme si deux amants prenaient Jenna en même temps dans une double pénétration très sexuelle.

Mais la douceur ne semble pas convenir à cette femme ardente ! D’elle-même, elle se précipite sur mon sexe lorsqu’elle trouve que je tarde un peu trop pour la pénétrer à nouveau. C’est une sorte de ruade qui fait entrer ma bite avec vigueur dans sa chatte. Puisque c’est ce qu’elle souhaite, les mains toujours crochetées autour de sa taille, j’accélère mes mouvements de va-et-vient. Jenna pousse des soupirs et des râles de plaisir de plus en plus forts. Finalement nous jouissons pratiquement dans le même instant dans cri libérateur et nous nous écroulons l’un sur l’autre, mon sexe enfoui au fond du sexe de mon amante.

Donc le lendemain, nous avons encore du temps avant que nous puissions poursuivre notre route vers nos destinations respectives. Mon avion pour Paris ne partira qu’en fin d’après midi, celui de Jenna un peu plus tôt.

Dès que la porte de ma chambre est refermée, l’un et l’autre, nous sommes pris dans un tourbillon érotique qui débute par un baiser ardent au cours duquel je dépouille Jenna de sa robe. Oh, c’est facile, une fermeture à glissière court du haut en bas de son vêtement que j’écarte. Je découvre à nouveau cette belle lingerie qu’elle semble apprécier : un soutien gorge et un string assorti de couleur ivoire qui tranche sur sa peau légèrement hâlée. J’admire encore cette poitrine opulente et ferme qui s’offre à moi.

Au cours de l’échange de caresses qui suit, Jenna me dépouille de mes vêtements, mon pull et ma chemise volent rapidement. Des lèvres chaudes glissent le long de mon torse, descendent jusqu’à mon nombril puis deux mains habiles défont ma ceinture pour aller chercher dans mon boxer ma bite qui est en érection depuis que j’ai entrainé Jenna dans ma chambre. Une bouche vorace engloutit mon sceptre viril jusqu’au fond dans une gorge profonde humide ! Quel talent de suceuse ! Les mains dans ses cheveux, je presse Jenna contre mon pubis et je baise sa bouche avec de plus en plus de vigueur :
• Çà te change des bites noires que tu ne peux avaler ainsi ! Pompe moi bien et tu vas voir ce que je vais te mettre !
• Oh oui ! J’ai encore envie de te sentir en moi !

Jenna lâche ma bite juste quelques secondes pour prononcer cette phrase avant de l’engloutir à nouveau mais je me dégage au bout de quelques minutes pour guider cette belle femme jusqu’au petit bureau où je la mets en appui, le dos tourné vers moi. Je contemple une fois encore cette longue silhouette à la taille étroite, avec ces fesses bien galbées qui attirent les caresses. Je m’approche encore plus près, je me couvre et je sors les seins des bonnets pour faire rouler les tétons entre mes doigts.

Jenna réagit instantanément et cherche le contact avec mon sexe en érection qui finalement vient se loger dans la fente de son cul où elle la fait rouler. Waouh ! C’est chaud ! D’une main, j’écarte le cordon du string pour aller chercher le contact de sa chatte qui ruissèle abondamment. Mes doigts mouillés de cyprine cherchent le contact avec son anneau étroit où ils pénètrent sans difficulté… en même temps qu’un râle de plaisir retentit !

Je remplace mes doigts par ma bite qui est aspirée d’un seul coup jusqu’au plus profond de l’antre secret de ma maîtresse. C’est vrai qu’elle est habituée (même si elle avoue être parfois partagée entre plaisir et douleur quand une bite hors norme la pénètre) à des intromissions plus conséquentes. Dès que son pertuis étroit est habitué, je commence de longs va-et-vient qui chaque fois me font sortir pour mieux sodomiser cette chienne en chaleur qui se caresse la chatte de sa main libre.

Je vais de plus en plus vite, de plus en plus violemment, de plus en plus profond, accompagnant ma pénétration de cris et d’insultes :
• Salope ! Tu voulais ma queue et bien tu l’as par tous tes trous ! Tu vas voir ce que je vais te mettre !
• Oh oui ! Insulte-moi ! Je ne suis qu’une catin qui aime le sexe ! Encule-moi ! Je suis ta chose !

Je malmène les seins en les pinçant fortement. A chaque fois Jenna pousse un cri de plaisir ou de douleur mais elle se rue au devant de ce sexe qui va-et-vient au plus profond de son ventre. Le plaisir monte en nous, je sens les spasmes des muscles de son sphincter l’annoncer puis au moment où il déferle en elle, je sors de son rectum, j’arrache vivement la protection pour masturber rapidement ma queue et la faire cracher de longs jets de sperme sur les reins de Jenna.

Puis ivres de cette jouissance qui nous a emporté, nous allons nous allonger sur le lit pour reprendre des forces. A mon âge, je n’ai pas les ressources d’un jeune homme ! Hélas, trois fois hélas ! Où est le temps où je faisais l’amour avec deux femmes sans désemparer, plusieurs fois dans la nuit…



ELLE.

Hélas, tout a une fin ! Lorsque le téléphone sonne dans la chambre pour prévenir mon amant de passage que les vols vont reprendre dans une heure, je comprends que nous devons nous séparer… et nous hâter pour être à l’aéroport dans les temps…

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