Mélanie, Ma Maîtresse Soumise 1
Je connaissais Mélanie depuis une bonne dizaine d'années, nous étions devenus de bons amis avec le temps. Elle était assez grande, plutôt mignonne, mais elle ne m'avait jamais réellement attiré, pendant longtemps je considérais surtout qu'elle manquait cruellement de féminité dans son style. Et puis, les années passant, les choses avaient peu à peu évolué, des petits détails subtils chez elles changeaient au point qu'un jour je me souviens m'être fait la réflexion qu'elle devenait tout à fait séduisante. Cette évolution semblait même s'accen depuis sa séparation avec le père de ses s. Depuis quelques mois, nous passions plus de temps ensemble, elle m'appelait souvent pour me proposer une sortie, un ciné ou un resto,j'y voyais plus un besoin de combler sa solitude du moment qu'une envie particulière de se rapprocher de moi. Nous partagions pas mal de goûts communs, cela me semblait une motivation suffisante.
Et puis il eut cette soirée fin juillet chez un ami commun, beaucoup de monde, une bonne amibiance. Melanie était venue dans une tenue super sexy, jupe courte, chemisier moulant et après quelques verres elle avait commencé à jouer les allumeuses avec les autres mecs et à se comporter de façon encore plus provocante avec moi. Pour la première fois j'eu furieusement envie d'elle, je m'attardais à détailler ses formes, à l'imaginer nue, allongée sur mon canapé, offerte à mon désir. Ses lèvres, sa bouche, sa langue semblaient sculptées pour donner du plaisir. Ses fesses que l'on devinait bien rondes sous sa jupe moulante m'inspiraient un violent désir, l'envie de la prendre par derrière directement là. De lui relever sa jupe, de la pencher contre la table et de la ramoner profondément.
Mes fantasmes allaient bon train, je me raccrochais tant bien que mal à une conversation avec quelques amis pour tenter de penser à autre chose. Mélanie bu beaucoup ce soir-là, je ne fus que peu surpris quand elle me demanda de la raccompagner chez elle en voiture.
- tu n'as pas besoin que je monte te border n'est ce pas ?
Je sentis une seconde d'hésitation.
- Bonne nuit, et à très bientôt! Ajoutais-je
- Bonne nuit! Répondit elle avec des yeux où la fatigue semblait le disputer à une pointe de déception. On se voit à la rentrée!
- Quand tu veux, fais moi signe, je rentre après le 15 août!
Les regrets m'envahissait sur la route du retour.Mais qu'est ce qu'elle était bonne ce soir! Si j'étais monté avec elle, je serais sûrement en train de la sauter! Mon intuition me suggérait que ce n'était que partie remise, même si je ne pouvais pas savoir précisément ce qu'elle avait en tête.
Les semaines qui suivirent me confortèrent dans mon intuition. Les échanges quotidiens de mails et SMS, même s'ils demeuraient anodins, ne laissaient que peu de place au doute sur son intérêt pour moi. Je commençais à imaginer comment je pourrais tirer parti de la situation, je tenais peut être là l'occasion rêvée d'assouvir nombre de mes fantasmes, en faisant de Mélanie ma maîtresse et peut être même ma soumise. Mon plan se dessinait, nos retrouvailles après les vacances allaient me donner l'occasion de tenter ma chance.
A mon retour, je lui proposais une sortie dès le samedi soir suivant dans un petit resto italien à Paris. Arrivé un peu avance, je m'installais en terrasse et la vis bientôt déboucher du coin de la rue. Elle me sourit dès qu'elle m'aperçut. Je n'étais pas déçu, une petite robe blanche moulante et bien décolletée mettait ses formes généreuses en valeur, j'imaginais déjà le plaisir que j'aurais à lui retirer dans quelques heures!
- "Salut ! Tu es ravissante ce soir". Mais mes yeux devaient sûrement dire :"tu es bandante ce soir" car elle rougit un peu en me remerciant.
Au moment de commander le vin, je lui demandais ce qui lui ferait plaisir.
-je ne vais pas trop boire ce soir tu sais, tu te souviens la dernière fois!
- justement, c'est un bon souvenir...
- ha ha... Alors juste ce qu'il faut... Mais pas trop!
En moi même je pensais:"juste ce qu'il faut pour lever quelques inhibitions!"
Le repas fut excellent, Mélanie était rayonnante ce soir là et d'humeur badine. Naturellement je la raccompagnais en voiture et en chemin je résistais à l'envie de caresser ses cuisses nues et à remonter sa robe, j'avais furieusement envie d'elle.
-Tu veux monter boire un verre? me proposa t'elle alors que nous étions presque arrivés.
- Pourquoi pas, s'il y'a de la place pour se garer, c'est parfois difficile dans ta rue.
- Ma voiture n'est pas dans mon box, donc au pire tu pourras t'y mettre.
Quelle coquine, elle avait tout anticipé! Comme prévu, impossible de se garer devant chez elle, aussi je du utiliser son box. Je montais les escaliers derrière elle, les yeux perdus dans son postérieur dont elle semblait accen, comme à dessein, le dehanchement. J'étais déjà venu chez elle, je connaissais les lieux et m'installais directement dans son canapé. Elle s'installa à côté de moi, je la sentais nerveuse, elle ne disait rien, peut être attendait-elle que je lui saute dessus! Ce n'était pas l'envie qui me manquait. Mais non, c'était plus intéressant de la laisser faire le premier pas. Finalement, comme je le prévoyais, elle se lançait. Se tournant vers moi avec des yeux langoureux elle me dit dans un soupir:
- tu sais, tu me plais vraiment beaucoup.
Je feignais la surprise et levais les yeux d'un air interrogatif.
- tu ne le sentais pas? ajouta t'elle.
La seconde d'après elle m'enlaça puis commença à m'embrasser. Timidement d'abord, puis plus goulûment ensuite. Je me laissais faire, ses lèvres étaient délicieusement sucrée, sa langue avide. Elle embrassait bien!
Puis je m'écartais d'elle quelque peu et, feignant un air gêné, lui dit:
- Mélanie, je ne crois pas que cela soit une bonne idée.
- mais pourquoi? Répondit-elle implorante
- C'est mieux que l'on reste amis je pense.
Je la sentis se crisper.
- Je ne te plais pas, c'est ça ? Je ne suis pas assez... bonne!?
L'agacement et la frustration étaient perceptibles. C'était maintenant, que je devais saisir l'occasion.
- Mais non, ce n'est pas le problème. Tu es très mignonne, je dirais même très... désirable!
- Si tu me désirais vraiment tu ne me donnerais du "restons amis"... Je ne te plais pas avoue le!
- Tu te trompes Mélanie!
Alors je lui pris la main et la posa sur mon sexe, elle se laissa faire. Même à travers le jean, impossible de s'y tromper tant mon érection était forte.
- Alors... Tu me crois maintenant?
Elle esquissa un sourire et entrepris de me caresser, assez maladroitement il est vrai.
- Moi aussi j'ai très envie de toi!
- Vraiment ? répondis-je
Je posais mon regard sur son entre-jambe. Elle restait silencieuse. Je commençais alors à lui caresser les cuisses en remontant lentement sa robe. Ma main atteignis sa culotte, elle était trempée. Elle se laissait faire en écartant les jambes. Mes doigts se glissèrent sous sa culotte à la recherche de son clitoris que je commençai à titiller, Mélanie avait fermé les yeux et se trémoussait de plaisir en gémissant. Je l'embrassais avidement.
Sa chatte était inondée de désir, je pénétrais son vagin avec un doigt, puis deux. Mélanie s'abandonnait sous mes caresses et semblait prête à s'offrir à moi.
- Aaaah..! C'est trop bon Mathieu, j'ai envie que tu me fasses l'amour maintenant!
- J'en ai très envie aussi, mais j'ai peur que tu le regrettes ensuite. Lui répondis-je en ralentissant le rythme de mes caresses.
- Mais pourquoi!!
- Je ne suis pas un mec pour toi...
- Mais qu'est ce que tu racontes, bien sur que si! Vas-y, continue, ne t'arrête pas! C'est tellement agréable.
Elle m'avait pris la main et m'incitait à continuer mes caresses.
- C'est ce que tu crois pour le moment, parce que tu ne sais pas tout de moi. Pour le moment j'imagine que tu as beaucoup de considération pour moi?
- Evidemmment! Je ne voudrais pas coucher avec quelqu'un que je n'estime pas...
- Justement,si on va plus loin cela risque de changer.
- Comment cela?
J'avais cessé de la caresser, et, prenant un air le plus sérieux possible lui répondis.
- Chacun a un côté obscur en lui, le mien est très... obscur... Je doute que tu souhaites rester avec moi quand tu le sauras.
- Qu'en sais tu?
- Si je te le dis, je prends le risque de gâcher notre belle amitié.
- Je suis sûre que ce n'est rien du tout. Moi je suis prête à prendre ce risque.
- Tu es vraiment sûre ?
- Oui!
Voilà, nous étions arrivés au moment critique, Mélanie, envahie de désir, était prête, du moins je l'espérais, à entendre mon petit discours...
- Et bien, commençais-je avec un air très sérieux, tu dois savoir que j'ai un appétit sexuel démesuré.
- ha... Fit-elle avec un petit sourire, c'est pas très obscur!
- Vraiment? Répondis-je.
J'avais reposé ma main sur ses cuisses et recommencé à la caresser.
- Si on était ensemble, j'aurais envie de te baiser tout le temps!
Je commençais à changer de vocabulaire pour la tester.
- C'est plutôt flatteur de de se sentir désirée...
- Même si c'est tous les jours, matin et soir, voir plus en vacances ou le week-end.
- ah oui, ça fait beaucoup quand même... Ajouta-t'elle.
Mes doigt avaient retrouvé le chemin de son clitoris.
- Par ailleurs j'affectionne les pratiques sexuelles exotiques et mon imagination est sans limite.
- C'est à dire?
- Laisse courir ton imagination... Je suis sûre que tu peux avoir une petite idée ...dis toi que tout ce qui te peut te passe par la tête fait sans parti de mes envies... Plus tout ce à quoi tu n'oserais même pas penser...
-Tout un programme !
J'avais à nouveau glissé mes doigts dans son vagin et Mélanie semblait adorer ça.
- Tu me donnes tant de plaisir avec seulement deux doigts, qu'est ce ça doit être avec ta queue.
Mélanie avait vraiment envie de se faire sauter et elle prenait des initiatives. Elle avait entrepris de déboutonner mon jean pour me caresser plus facilement. Je l'embrassais encore, elle réagit en m'étreignant et me rendant mon baiser, encore plus furieusement. Profitant d'un instant de répit dans son étreinte je lui dis.
- J'aime infiniment donner du plaisir à une fille, mais quand je souhaite en prendre, j'aime que ma partenaire me satisfasse, tu comprends ?
- Oui, enfin je crois...
- Si tu veux devenir ma maîtresse, il faudra être être obéissante, voire soumise et assouvir tous mes désirs!
Sans lui laisser le temps de répondre j'ajoutais:" tu comprends maintenant pour quoi j'hésitais à aller plus loin avec toi, ton regard sur moi ne sera plus le même maintenant!"
- Tu veux que je fasse tout ce tu me demanderas comme relation sexuelle c'est ça ?
- En gros oui... Mais c'est à toi de voir si tu t'en sens capable!
- Et qu'est ce qui te fais croire que je vais accepter?
- Je sens que tu as une folle envie de baiser avec moi ce soir, et que tu es prête à tout pour cela... Je pense même que tu as envie de découvrir d'autres choses, car tu as sans doute été aimée trop sagement jusqu'ici.
Mélanie le regardait, hésitante, puis elle finit par répondre.
- Tu as raison, je crois que je suis prête à accepter beaucoup pour être avec toi !
- Bien, si tu es prête à t'aventurer avec moi sur des sentiers inconnus...
- j'ai envie d'essayer... J'ai envie d'être à toi, vas y prends moi maintenant, je ne tiens plus!
Je sortis mes doigts de sa chatte trempée et me reculait un peu. Je contemplais Mélanie sur son canapé, offerte à moi, les yeux envahis de désir.
- je vais te sauter ce soir ne t'inquiète pas... Mais pas tout de suite.
Je me mis debout devant elle, et la regardant dans le yeux ajoutai:
- Suce moi!
- euh, c'est que...
- Suce moi maintenant!
Je sentis la surprise et l'hésitation dans son regard. Mais elle n'avait pas le choix et elle le savait.
- Bon... Si tu veux, mais je ne suis pas une experte tu sais.
- Manque de pratique j'imagine... Avec moi ça va changer je t'assure! Tu vas rapidement devenir la reine de la pipe.
Mélanie ne répondit pas, elle avait fini de déboutonner mon jean et baissé mon boxer. Mon sexe se dressait devant son visage. Elle entrouvrît la bouche et commença à lécher timidement mon gland, sa langue en lapant délicatement le bout. Je lui pris la main.
- Branle moi en même temps, voilà, comme ça, sans trop serrer.
C'était très approximatif mais terriblement excitant. Mélanie s'appliquait comme une bonne élève et je l'encourageait.
- Vas-y, prend la bien en bouche et descend plus bas. Voilà, comme ça, serre bien tes lèvres sur ma bite et tourne ta langue sur le bout.
Cela devenait très agréable, et je devais me retenir de ne pas lui donner deux ou trois coups de rein pour jouir au fond de sa gorge tout de suite.
- Tu apprends vite ma poulette, c'est divin.
- C'est vrai? s'interrompit elle en levant les yeux pleine d'espoir.
- Oui, j'adore! Tiens suce moi un peu les couilles pour changer.
Je reprenais ma bite en main et la redressais pour présenter mes boules devant sa bouche. Mélanie me les suça consciencieusement. C'était merveilleusement agréable, tout se passait comme prévu, Mélanie était obéissante à souhait, elle s'abandonnait à mes désirs, prête à tout pour devenir ma maîtresse. J'allais peu à peu la posséder corps et âme. Je n'y tenais plus, il fallait que je me vide ! Je commençai à lui caresser les cheveux et lui dis de reprendre sa pipe.
- Ouvre la bouche que je te la mette bien profondément.
Mélanie obéit sans broncher et je lui enfournai ma queue sans ménagement. Désormais c'était moi qui donnait le rythme en lui pénétrant la bouche de plus en plus profondément tandis que sa main continuait ses vas et viens.
- Tu verras Mélanie, souvent j'éjaculerai sur ton visage ou sur tes seins, mais ce soir je veux que tu goûtes mon sperme alors tu vas me sucer jusqu'au bout et je vais jouir au fond de ta gorge.
Je croisais son regard et j'y lu de l'incrédulité, mais elle continua à me sucer avec application.
Je sentais monter en moi un orgasme dévastateur, je lui pris la main pour qu'elle me caresse les boules puis lui tenant la nuque plus fermement j'accélérai encore mes mouvements, j'étais littéralement en train de lui prendre la bouche. Je la sentis se raidir légèrement sous la force de mes assauts mais je continuais.
- Aaah Mélanie... ça vient! ça vient!! Suce moi jusqu'au bout! Suce moi plus vite!!
L'instant d'après je criais mon plaisir et me déchargeais violemment au fond de sa bouche. Mélanie hoqueta de surprise et je du l'empêcher de reculer.
- Garde tout en bouche jusqu'au bout, jusqu'à ce que j'ai fini de me vider les couilles ! lui ordonnais-je.
Encore deux ou trois coups de rein et les derniers soubresauts de plaisir s'éloignèrent. Je me retirais alors en contemplant Mélanie qui réalisait avec peine ce qu'elle venait de vivre. Sa bouche était pleine de ma semence, mon sperme commençait à dégouliner de la commissure de ses lèvres et lui couler sur le menton, elle me regardait sans oser bouger, attendant un mot de moi.
Je pris ma bite encore dure et l'essuyait sur ses lèvres closes puis rompant le silence.
- Vas-y avale! Avale tout maintenant!!
Mélanie dégluti avec un écurement perceptible, mais en essayant de sourire.
Je me laissai tomber dans le canapé, très satisfait.
Je me tournai vers Mélanie.
- C'était merveilleux!!! J'ai rarement pris autant de plaisir, tu peux être fière de toi!
- Je suis contente que ça t'ai plus, même si j'avoue que je ne m'attendais pas à faire ça! C'était spécial, personne n'avais jamais joui comme ça dans ma bouche... J'imagine qu'il va falloir que je m'y habitue si je veux rester avec toi...
- Oh oui... Et tu n'es pas au bout de tes surprises. Mais c'est vrai que tu te devras de me sucer souvent. Une petite pipe au réveil, c'est divin! Ou bien le soir en prenant l'apéro ou encore en prélude à une nuit de sexe!
- J'essayerai de te satisfaire... Comme une bonne soumise... Ajouta t'elle.
- Mmmh, je t'adore.
Puis, lui désignant mon sexe qui retombait désormais, j'ajoutai:
- Il est à toi pour le reste de la soirée, tu l'as bien mérité... Si tu as encore envie de moi...
A SUIVRE
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