Un Pharmacien Très Compréhensif
Faire les courses à 18 ans ce n'est pas un problème, enfin ça n'en est pas un jusqu'au moment où l'on arrive au rayon pharmacie dans l'idée de cocher la case "préservatif" de la liste. Et oui on a connaît tous la gêne quand on doit acheter ce genre de chose, surtout en arrivant devant la personne à la caisse. Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé quand j'ai voulu acheté ces fameux préservatifs.
Je m'appelle Nicolas, quand ça m'est arrivé j'avais 18 ans et j'étais en première année de fac. J'avais sauté une classe en primaire et du coup j'avais un an d'avance. Je ne sais pas si ça peut le justifier mais j'étais du genre plutôt renfermé et même si j'étais sociable, je n'avais jamais eu de relations autres que de l'amitié avec d'autres filles ou d'autres mecs. Sans être banal, je ne sortais pas de l'ordinaire. Brun, de taille moyenne, les cheveux cours, le corps plutôt fin avec des muscles esquissés mais loin d'être parfaitement dessinés. J'étais le genre de mec que les filles trouvent "mignons" mais qui rentre naturellement et à mon grand désespoir dans la "friend zone".
Seulement même si c'était loin d'être un besoin extrême, à 18 ans, il était temps que j'achète des capotes, ne serait-ce que pour les avoir. Après tout, la liberté c'est pouvoir faire tout ce que l'on peut faire. Or avec mes principes je pouvais vouloir aussi fort que possible aller plus loin physiquement et sentimentalement avec quelqu'un, sans préservatif, ça ne faisait pas parti des choses faisables.
Enfin bref, ce jour-là, j'allai au centre commercial à la pharmacie et acheter une boite, et surtout dépasser ma timidité. A dire vrai l'idée de me retrouver face à une pharmacienne au moment de payer, une boite de capote à la main, soutenir son regard voire même son sourire en voyant ce que j'avais l'intention d'acheter, me terrifiait.
Lorsque j'arrivai dans le centre commercial, préparé psychologiquement, ou du moins c'est ce que je voulais penser, je fis quelques tours devant, comme si de rien n'était avant d'y rentrer, puis j'osai.
Je n'étais jamais rentré dans cette pharmacie, je ne savais même pas où était ce que je cherchais. Du coup je fis le tour des deux ou trois petits rayons. Enfin je trouvai la partie préservatifs. A ce moment-là je fus surpris du nombre de type différent. J'en connaissais les grandes lignes, ceux avec des gouts, plus ou moins fins etc. Ce qui minquiétait le plus cétait les tailles. En fait je n'avais jamais réfléchis à celui que j'avais l'intention d'acheter. Je restais donc debout face à cet étalage de capotes. Je ne comprenais même pas les noms de certaines des boites. J'étais perdu. Tailles, formes, latex ou non, gouts, finesse, sensations...comment choisir quoi acheter... J'avais tellement été perturbé que j'en avais oublié de choisir les préservatifs.
- Vous avez besoin d'aide?
Je sursautai. Cette voix était comme sortie de nul part, je ne m'y attendais pas le moins du monde. La voix venait d'un homme qui apparemment c'était approché de moi en silence. Ça devait être le pharmacien ou un des membres de son équipe vu qu'il portait une blouse au logo de la pharmacie. Dans les 25 ans, assez grand, blond aux yeux bleus avec un collier de barbe entretenu le long des joues et autour du menton.
- Vous avez besoin d'aide? Je me permets de demander parce que ça fait plusieurs minutes que vous êtes là...
- Ah euh...en fait...euh..., bégayai-je. Comment dire...
- Vous...tu ne sais pas quoi choisir c'est ça?
- Euh, oui c'est ça. Je m'attendais pas à avoir autant de choix on va dire.
- Oui c'est vrai qu'il y en a beaucoup et que ça peut surprendre au début. Tu en as déjà acheté?
- En fait...non.
- D'accord, je vais t'aider si tu veux. Déjà le principal c'est de choisir la taille. Parce que trop de mec prennent les tailles standards alors qu'il leur faut plus large, ou plus fin. Et ça peut faire lâcher la capote ou trop te serrer.
- Ah...je pensais que les grandes tailles ne servaient qu'aux cas exceptionnels et les standards pour à peu près tout le monde.
- Eh bien non. Tu connais à peu près tes mensurations? A ton âge, t'as du te mesurer au moins une fois non?
- Euh ouais je sais. Je fais dans les 19 cm.
- D'accord, et il faudrait ta circonférence aussi.
- Le tour c'est ça avec le mètre à rouleau? Dans les 10-11cm.
- Ok, je pense que t'es entre deux formats. Vu que c'est la première fois que t'en achètes, je pense qu'il faut que tu trouves le format exact qu'il te faut pour que ce soit plus simple après. Du coup le mieux serait que tu les essaies.
- Essayer des capotes? Comme des vêtements vous voulez dire?
- Oui, les employés ont un petit vestiaire, si tu veux j'ouvre une boite de chaque et tu les essaies dans le vestiaire.
Là j'étais vraiment surpris, essayer des capotes? Quelle idée? Quand j'ouvris la bouche pour répondre, sans me laisser le temps dire quoi que ce soit, le blond dit :
- Si ça te va c'est par là. En les essayant tu seras sur du modèle qu'il te faut.
- Euh...bah ok.
Je suivis le blond jusque derrière le bureau, on passa la porte et on arriva dans l'arrière-boutique. Sur le chemin on fit connaissance un peu. Il s'appelait Thomas et avait 25 ans. Il était assez compréhensif avec ma gène et me dit qu'il avait eu la même gêne pour acheter ses capotes au début mais qu'après ça avait disparu. Dans un coin, des casiers et un rideau délimitaient un petit espace. Il me le montra et me donna les deux boites de capotes. Un standard et une grande taille.
- Bon je serai dans la boutique, du coup quand c'est bon dis-moi ok? Et puis prends tout ton temps t'inquiète pas. Surtout que j'imagine que c'est un peu bizarre de faire ça comme ça.
- D'accord.
Thomas me laissa seul dans ce petit espace et rejoint son bureau. Je tirai le rideau ouvrit ma braguette, sorti mon sexe et c'est seulement là que je rendis compte de ce qui était en train de se passer. J'allais me branler dans ce réduit jusqu'à bander suffisamment pour enfiler une capote, puis une autre.
J'ouvris la boite des tailles normales, en sorti une de son sachet et la posa dans un des casiers vides pour l'avoir sous la main puis commençai à me caresser. Me faire bander n'allait pas être difficile. La situation m'avait beaucoup excité et en rajoutant la gêne par-dessus le travail était déjà quasiment fait. Je pris donc la capote et la posa sur mon gland. Puis je commençai à la dérouler. L'anneau passa le gland mais j'eu du mal à le dérouler. Une fois étalé le long de ma hampe je vu que le préservatif me serait beaucoup. J'en étais presque anesthésié.
- Alors tu en es où Nicolas? Dis Thomas qui venait d'arrivé derrière le rideau.
- J'ai l'impression que je suis très serré dedans.
- Serré? Cest mauvais signe. Il doit être trop petit. Si tu veux je peux regarder. Tu n'es pas obligé de dire oui bien sûr.
- Euh oui je veux bien, je narrive pas à savoir si c'est normal.
Thomas ouvrit le rideau puis regarda mon sexe. Il se baissa et observa. Il passa sa main le long de mon sexe et le palpa. Il tenta de glisser un doigt sous l'anneau pour l'élargir sans vraiment réussir.
- Effectivement c'est vraiment trop serré. Il te faut la taille du dessus à mon avis.
Une sonnette retentie, Thomas me laissa pour rejoindre le client qui venait d'entrer, sans fermer le rideau.
J'enlevai avec difficulté la capote me sentant vraiment libéré. J'ouvris l'autre boite, celle des grandes tailles, sorti une nouvelle capote de son plastique. Cette fois je pu la dérouler totalement et assez facilement. C'était une seconde peau juste assez large et juste assez longue. Parfaite.
- Euh...Thomas, hésitai-je, c'est mieux là.
Il me rejoint dans l'arrière-boutique.
- Effectivement, dit-il après avoir fait les mêmes tests que la fois d'avant. Je suis heureux de te dire que ta bite est du format "grande taille".
J'allais l'enlevé lorsqu'il rajouté :
- Attends, j'y pense, il vaut mieux faire un autre teste pour être sûr qu'il n'est pas trop large. Quand c'est trop large, on peut avoir moins de sensations, ce serait dommage.
Déjà à genoux devant moi, il goba mon sexe d'un seul coup l'enfonçant jusque dans sa gorge. Je ressentis une vague de plaisir sans vraiment comprendre ce qui m'arrivait. Il fit de lents vas et vient puis accéléra. Sa bouche était délicieuse. La tête renversée en arrière je profitai de mes sensations. Au moment où j'allais venir, il sorti mon sexe de sa bouche et dit :
- J'ai l'impression que ce n'est pas trop large.
- Oui...c'était très bon...
Thomas se redressa et m'embrasa à pleine bouche. Pendant ce baisé il m'enleva ma chemise et mon jean déjà entre ouvert. Puis il 'éloigna de moi, enleva sa blouse, puis tous les vêtements qu'il portait encore. Je pu observer son corps magnifique. Il n'était pas très musclé mais très bien foutu. On distinguait les lignes de ses muscles ce qui lui donnait un air vraiment sexy. Ses pecs biens dessinés étaient recouverts d'une petite toison entre le blond et le châtain. Entre ses jambes se trouvait un sexe de bonne taille auréolée de cette même toison si sexy sur son torse. Je ne savais pas vraiment à l'époque ce qu'étais le désir, ni pour un homme ni pour une femme. Mais aujourd'hui je sais qu'à ce moment j'avais envie de son corps. J'avais envie de lui.
Il m'embrassa à nouveau et se mis contre le mur, ses fesses rebondies relevées vers moi. Je ne savais pas trop comment m'y prendre, mais j'avais bien compris son message. Il voulait que je le prenne.
- Avec ça on saura si la capote te va bien, rajouta-t-il comme pour vérifier que j'avais bien compris ce qu'il voulait. Tu peux y aller à fond j'aime ça comme ça, j'y suis habitué...
Je laissai alors l'instinct en moi prendre le dessus. Je me mis dans son dos et le pénétra de tout mon long. Il gémit longuement alors moi désorienté par cette première pénétration et le plaisir qu'elle me procurait. Quand je me fus habitué aux sensations je commençai à faire des vas et viens. Je ne savais pas trop comment m'y prendre alors je me laissais guidé par les signes du plaisir de Thomas. J'allais donc de plus en vite voyant qu'il gémissait de plus en plus forts. Sentir mon sexe si doucement et si délicieusement serré en lui était vraiment délicieux. Jamais je n'avais ressentis quelque chose comme ça. Les mains sur ses fesses fermes et imberbes j'allais de plus en plus vite. Puis je senti que j'allais venir, je connaissais ce sentiment depuis que je me branlais mais là c'était bien bien plus fort ! Je ralentis et collai mon torse à son dos lui donnant à présent des coups de reins plus amples, plus profonds et plus lents avec lesquelles je jouissais le plus. Dans un dernier râle l'orgasme atteint son maximum, j'éjaculai au fond de mon préservatif.
Je sorti de lui en me reculant et m'appuyai le dos sur les casiers. Thomas se retourna et sentit une certaine gêne quand il bougea ses jambes.
- C'était ta première fois c'est ça?
- Euh...oui...c'était si mal que ça ? Dis-je essoufflé.
- Au contraire... d'habitude les mecs prennent trop de précautions alors que j'aime quand c'est sauvage...là ça l'était même si tu ne t'en es pas rendu compte.
- Ah...tant mieux...en tout cas la capote a tenue, dis-je en riant.
- Comme quoi j'ai bien fait de les faire essayer.
- Oui c'est vrai. D'ailleurs en parlant d'essayer...
- Tu veux? Parce que si oui je suis ton homme.
Sans répondre je l'embrassai et caressai son torse. Il me dit de me mettre à quartes pattes sur nos vêtements pour ne pas me faire mal sur le sol. Il prit une capote standard dans la première boite que l'on avait ouvert, il l'ouvrit, puis la posa à côté. Puis il me doigta le cul pour le dilater. Quand il put y entrer deux doigts, il y accola sa bouche et me le lubrifia en le léchant et y introduisant sa langue. Encore un délice jusqu'alors inconnu de mon corps. Je me remis à gémir doucement. Enfin il mit la capote sur son sexe et le fit coulisser entre mes fesses sans l'y faire pénétrer. C'était si excitant...je n'en pouvais plus il fallait qu'il me prenne !
Alors je sentis enfin son gland me pénétré. Il m'ouvrait lentement, centimètres par centimètres. Il n'avait mis que son gland et j'avais déjà l'impression qu'il était énorme dans mon con vierge. Plus il rentrait et plus je sentais de douleur, mais une fois qu'il fut entièrement rentré et qu'il avait fait un ou deux vas et viens très lents, le plaisir remonta en moi et avec lui les gémissements revinrent aussi. Apparemment il appréciait beaucoup les sensations de mon cul car lui aussi gémissait.
C'est alors qu'une sonnette retentie ! Thomas sursauta et chuchota :
- Jnai pas fermé la pharmacie, personne ne vient à cette heure-ci d'habitude...Mais si la porte c'est ouverte il faut que j'y aille.
Il coulissa son sexe hors de moi et me chuchota à l'oreille d'attendre, qu'il serait de retour vite. Je me retournai et le vis sortir du petit espace délimité par les casiers. Il referma sa blouse sur son corps nu et retourna dans la boutique. Heureusement la blouse descendait assez bas pour cacher ses jambes et assez haut pour laisser croire que l'on voyait son torse à cause d'un col en V. De même il avait des crocs sous la main et n'étais donc pas pied nu. Je ne dis rien l'ayant vu de profil quand il me quitta, j'avais distingué son sexe entre les boutons de la blouse. Reste plus qu'à espérer ce que c'était un client et pas le patron...
Je n'en revenais pas, alors que je commençai à avoir du plaisir et qu'il m'avait enfin pénétré, il avait fallu que quelqu'un vienne l'éloigner de moi ! Au moins pendant son temps je pouvais me remettre et me préparer à son retour et à la reprise de notre baise, après tout il aimait quand c'est sauvage non?
Quelques 5 minutes plus tard il revint.
- J'ai mis la pancarte fermée devant la porte, je suis tout à toi maintenant. Tu veux toujours continué?
- Oh que oui !
Il ouvrit sa bouse libérant son sexe en érection et alors qu'il allait l'enlevé totalement je lui dis de la garder. Alors que l'uniforme ne mavait jamais attiré, me faire baiser par ce beau pharmacien en blouse m'excitait. Il fit de la place sur le petit bureau servait à la compta et me fit signe de m'y mettre. Il m'y allongea sur le dos et écarta mes jambes. Dans cette position je pouvais voir son torse magnifique et sa toison blonde et virile. Il se colla à moi et me pénétra à nouveau. Sentir son sexe prendre à nouveau possession de mon corps était tellement bon. L'orgasme monta en moi comme jamais. Les pulsions de plaisirs étaient telles que j'en étais étourdis. Je ne savais plus à où était sa bite en moi tellement c'était bon. J'avais essayé au début de lui caresser le torse et les tétons mais je ne pus le faire très longtemps tant mon plaisir était intense. Je me laissai donc allé au plaisir qu'il me procurait. J'en jouis éjaculant sur son torse et jusqu'à mon menton en gémissant. Il continua à me prendre comme ça, prolongeant mon orgasme, quelques minutes avant de jouir à ton tour s'effondrant sur moi.
Une fois remis, nettoyés par les soins de l'autre, rhabillés, et revenus dans la pharmacie, Thomas derrière son comptoir dit :
- Pour aujourdhui, la boite sera gratuite, le payement en nature suffira.
- Ah
merci, mais bon du coup je te dois quelques chose pour ce quon a fait.
- Reviens me voir ici et on sera quitte, répondit-il avec un clin dil.
Vous vous en doutez, jy suis retourné. Il faut bien payer ses dettes non ? Ahah
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