La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 561)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°558) - Définitivement marqué MDE – (1/2) -

soumis Endymion MDE était une nouvelle fois terrassé par un enserrement douloureux de sa bite par sa cage de chasteté télécommandée à distance par le Maître. Cette fois-ci la pression exercée sur sa nouille gonflée était encore plus intense. Il tenta plusieurs postures, debout, assis, accroupi, à genoux avant d’en trouver une que lui permettait d’accepter sa nouille à ce traitement imposé par le Maître, ce fut en chien de fusil ! Il s’installa à même le sol, recroquevillé en boule, ses mains accrochées à ses chevilles, la tête enfoncée dans les épaules, son membre encagé glissé derrière et entre ses cuisses. Il n’avait rien d’autre à faire qu’attendre que la douleur s’estompe… Posture grotesque et humiliante, il se sentait tenu étroitement par la queue avec l’impossibilité de se mouvoir, de bouger au risque de souffrir un peu plus encore, comme si toutes les commandes de son corps étaient maintenant gérés par ce bout de chair étranglé… Contraint physiquement bien sûr, mais aussi mentalement puisqu’il n’avait d’autres obsessions que cette machiavélique cage sur sa nouille qui l’enserrait ou se desserrait selon les Volontés du Maître. Elle captait l’intégralité de ses attentions, de ses réflexions, de son psychisme. Il était là tombé bien bas, dans une déchéance volontaire, à n’être qu’une bite, une simple bite par la Loi et la Volonté de Monsieur le Marquis d’Evans. Bien bas, oui ! Mais c’était bien dans ce cloaque et cette fange qu’aimait se traîner soumis Endymion MDE, il souffrait certes, mais était surtout un esclave heureux, puisque totalement dépossédé de tout ce qu’était lui-même ! Il était encore dans ses intimes réflexions, dans l’épreuve, ainsi accablé, lorsqu’il entendit discuter derrière lui, le Majordome et Monsieur CharlEd, qu’il n’avait pas entendu venir, tant ses préoccupations étaient ailleurs. Ils étaient là tous les deux à deviser sur le sort des esclaves MDE enfermés dans Les Cachots du Maître.



- Regarde mon cher Walter, comme il est heureux ce chien soumis, ainsi prostré, sous la Domination de mon Cher Oncle. Entends-le gémir de plaisir, parce que tenu par la queue !
- Ce n’est qu’une chienne lubrique, rien d’autre, comme tous ceux et celles enfermées ici ! répondit Monsieur Walter quelque peu nerveusement.
- Oui, des mâles et des femelles en nombre limité, seulement asservis par leur volonté, et ‘’emprisonnés’’ aussi de leur plein gré, nés pour servir, pour obéir, pour donner du plaisir aux Dominants que nous sommes ! Des mâles et des femelles avec un rang particulier, puisque totalement possédés par Monsieur Mon Cher Oncle. Peut-être qu’une autre salope rentrera prochainement dans Ses Cachots… Tu sais Walter, je parle de ce chien soumis que nous avons croisé toute à l’heure et qui doit être actuellement enfermé dans le petit Chenil du Château !
- Oui, Il l’est… d’ailleurs, il faudra que je m’en préoccupe de ce franckdocile… dans peu de temps, je dois le tester, l’ordre m’en a été donné… par Monsieur le Marquis, bien sûr !

Monsieur Walter avait attrapé soumis Endymion MDE par son collier et le fit se lever promptement.

- Debout salope… (Long silence avec un regard inquisiteur de Monsieur Walter sur le chien soumis) … Ecarte les cuisses et cambre ton cul ! Ordonna-t-il sévèrement

Le Majordome agrippa le collier d’une main ferme et approcha le visage de l’esclave MDE près du sien :

- Comment oses-tu me faire répéter sans cesse la même chose salope ! Ne sais-tu point encore qu’écarter les cuisses et cambrer le cul doit être une posture naturelle sinon innée pour la salope que tu es !

soumis Endymion MDE bien qu’à quelques centimètres du visage de Monsieur Walter, baissait le regard sur les doigts du Majordome cramponnant son collier. Il ne répondit rien, et tant bien que mal, adopta la posture requise. Monsieur CharlEd, très calmement, trop peut-être, intervint alors dans cette conversation et s’adressa à l’esclave MDE pour l’humilier un peu plus encore :

- Tu veux bien devenir une bonne et dévouée salope de Monsieur le Marquis, non ?
- Oui Monsieur, je le veux ! Répondit hâtivement l’esclave MDE craignant une dérouillée.

- Alors consens à te comporter comme telle, à entériner une bonne fois pour toute ce que tu es, à admettre cette posture définitivement.
- Oui Monsieur, je vous le promets.

Monsieur le Vicomte souleva la cage pendante entre les cuisses de soumis Endymion MDE et constata avec un plaisir pervers qu’elle jouait pleinement son rôle. Elle était efficace, la nouille du chien soumis était parfaitement cramoisie, congestionnée, apoplectique. Elle boudinait tant et plus, des replis de peau tentaient de s’extirper de cette camisole métallique. Le méat de la bite du chien soumis s’incrustait sur l’un des fins barreaux d’acier tant l’espace était réduit. Monsieur le Vicomte relâcha sa prise en souriant perversement…

Aussi brusquement qu’il l’avait fait se lever, le Majordome, main toujours autour du collier du chien soumis MDE, baissa son poignet, pour le ramener à hauteur de sa taille, obligeant le chien soumis MDE à se plier en deux, lui imposant une tenue de son corps à quarante-cinq degrés, les lombes bien cambrées, les cuisses bien ouvertes. Au même instant, Monsieur CharlEd lui écarta les fesses et extirpait le tampon obstruant toujours son anus. Il tenait le Tampax du bout des doigts par la fine cordelette, le regarda attentivement, l’huma même, puis le fit balancer sous les yeux du chien soumis MDE.

- Renifle, flaire-le comme un bon chien sait le faire

Le tampon se brimbalait sous les narines de l’esclave MDE, jusqu’au moment où Monsieur CharlEd lui ordonna d’ouvrir la bouche. La ouate souillée de spermes et de sécrétions intimes fut introduite dans l’orifice offert.

- Mâche, le chien, et avale tous ces délicieux sucs absorbés par ce tampon, c’est bien meilleur qu’un chewing-gum ne trouves-tu pas ? Et alors on peut dire que c’est un chewing-gum maison !

soumis Endymion MDE hochait de la tête pour acquiescer, alors que Monsieur Walter l’approcha des barreaux du Cachot, lui demandant de rester dans cette posture, mains agrippées sur ces lourdes barres métalliques.
Reins creusés et cul tendu, il sentit qu’on lui écartait encore les fesses pour bien dégager son orifice, un doigt imprégné de lubrifiant le pénétrait. Puis il sentit un objet froid pointer tout contre son trou. Un sextoy sans doute pensa-t-il ! En fait, il s’agissait d’un objet chromé, assez lourd, ayant la forme et le volume d’un œuf de poule. De cet œuf sortait un petit filament, permettant à la fois d’extraire l’objet de son emplacement, mais avait aussi une autre utilité que soumis Endymion MDE découvrirait bien vite…. Poussé sans hâte ni précipitation, le cul du chien soumis MDE céda et absorba l’objet, il glissa soudainement et s’installa au plus profond du rectum, les sphincters s’enroulant autour de l’objet. Alors que Walter quittait le Cachot pour aller s’occuper de franckdocile, Monsieur le Vicomte sortit d’une des poches de son pantalon en cuir, une petite télécommande et la montra à soumis Endymion MDE.

- Regarde salope, Mon Oncle, le Maître te tient par la queue, moi je vais te tenir par le cul, je vais faire de toi une vraie chienne en chaleur…

Il actionna le bouton sur le boitier et l’œuf se mit à vibrer, à tournoyer, à tarauder, à fileter et forer dans son fondement. soumis Endymion MDE se cramponnait aux barreaux du Cachot en poussant des ‘Ohhh…’ des ‘aaahhh’ en tremblant de tout son corps. Il avait cette délicieuse sensation d’être pris au plus profond de ses entrailles. Il haletait, anhélait, un plaisir immense, inouïe, hyper jouissif mentalement et physiquement comme s’il jouissait du cul… jamais il n’avait ressenti une telle excitation si divine. Sa queue entravée et gonflée cherchait désespérément à s'échapper de cette maudite cage. Elle le tiraillait, l’aiguillonnait, l’assaillait, le harcelait même ! Douleurs et plaisirs intenses se mêlaient et s’entrechoquaient encore une fois. Il avait envie de jouir et se risqua même à demander à ce qu’on le libère de sa cage pour qu’il puisse se branler… Il n’obtint en retour, que des rires pervers des deux Dominants et une augmentation du rythme des vibrations.
soumis Endymion MDE lâcha prise, comme les barreaux du Cachot, s’allongea sur le sol en gémissant tant et plus encore de plaisirs qui irradiaient maintenant tout son corps, il avait des spasmes de plaisirs incroyable. Il n’en pouvait plus, son corps à la fois martyrisé et tenaillé se délectait de ses sublimes sensations. Fortes douleurs et intenses excitations si jouissives le conduisant à se trainer au sol, à ramper, à gigoter et à se tordre dans tous les sens, son masochisme avait atteint son paroxysme.

Les vibrations anales avaient cessé, le chien soumis MDE haletait toujours son plaisir par des spasmes qui allaient en s’atténuant, couché sur le dos, genoux relevés. Monsieur le Vicomte victorieux lui posait un pied sur le visage, le lui écrasait, lui imprimait par ce geste symbolique, toute Sa prégnance et toute Sa Domination. Il resta ainsi cinq bonne minutes, sans rien dire, simplement à regarder fixement soumis Endymion MDE puis le fit se relever, lui attacha les mains dans le dos, fixa une laisse à son collier et le fit sortir du cachot. Ils croisèrent à ce moment précis, Monsieur le Majordome tirant derrière lui franckdocile ! Où partaient-ils ? Avant de le sortir des entrailles du Château, Monsieur CharlEd fit prendre une douche bien chaude à soumis Endymion MDE, puis le sécha énergiquement avec une serviette éponge bien rêche. Ensuite, le neveu du Maître emmenait l’esclave MDE dans un dédale de couloirs, qu’on aurait cru qu’ils évoluaient dans un véritable labyrinthe pour arriver enfin devant une porte métallique blindée. Monsieur CharlEd tapa un code sur un clavier mural et la porte s’ouvrit automatiquement. Lorsqu’ils entrèrent dans cette pièce encore inconnue de soumis Endymion MDE, le chien soumis compris bien vite que Le Moment était arrivé…

La pièce était vaste et au couleur froide, très largement éclairée par des spots blafards, il n’y avait aucune fenêtre, des carrelages vert d’eau remontaient sur les murs, cette pièce ressemblait à si méprendre à un véritable bloc opératoire. Il y avait là Monsieur le Marquis, debout entouré de son personnel le plus proche, Madame Marie la fidèle et vicieuse cuisinière, Monsieur Walter, le pervers Majordome, ainsi que Madame Ella et son mari Monsieur CharlEd, nièce et neveu de Monsieur le Marquis. Dans un coin de la pièce, comme accrochées à un porte manteau tenues par leur collier, les soumises Phryné MDE et Laïs MDE, attendaient nues, appuyées contre le mur, bras croisées dans le dos, cuisses écartées, chattes offertes. Face à elles, franckdocile fraichement suspendu par les bras élevés à une poutre, sur la pointe des pieds, nu comme un ver et bandant comme un âne.

- Tu es prêt Mon chien ? s’exclama le Maître
- Oui Maître. Répondit soumis Endymion MDE plus déterminé que jamais.
- Alors prends place sur ce fauteuil gynécologique… Tu vas vivre un des plus incroyables moments de ta vie, et même peut-être le plus important, mais ça, c’est toi qui l’évaluera dans ta petite cervelle de soumis…

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!