Ophélie, De Femme À Femelle (4)
Non, je suis une femme mariée respectable, pas une salope.
Non, je suis une femme mariée respectable, pas une salope.
Je me répétai cette phrase tout le long du chemin pour rentrer chez moi, essayant de me persuader que tout ce qui sétait passé aujourdhui nétait quun rêve, que toute cette excitation et, cette frustration de navoir pas jouis nétait quun cauchemar.
Tellement concentrée de me persuader que tout ceci nétait quun rêve que je ne fais pas attention à ma nouvelle tenue pour aller dire bonjour à mon mari, toujours en convalescence et, alité.
- Tu es toute jolie aujourdhui ma chérie, me dit-il en me voyant arriver.
Paniquée, je bredouille
- Je lai achetée ce midi mon chéri, cest pour te faire une surprise.
- Tu es superbe, viens faire un bisou à ton vieux mari.
Toute rouge, je mapproche du lit, me penche pour lui faire pleins de petits bisous sur la bouche.
Le rassurant en lui disant quil nest pas si vieux que ça et, que de toute façon il est lhomme de ma vie, que je laime et, que suis heureuse quil soit sorti de lhôpital.
Il ronronne sous mes baisers, et il me répond quil maime aussi, surtout habillée aussi sexy.
Pour toute réponse, je place ma main entre ses jambes, caressant doucement son sexe qui se réveille fébrilement.
- Oh oui, je sens quelle te plaît ma petite robe, lui dis-je pour le taquiner
- Oh
. Non
.. chérie
tu sais, je ne suis pas en forme encore. Je ne pourrais pas
Sans écouter ses plaintes, je glisse ma main sous le drap, attrapant son sexe a pleine main et, commence un petit va et vient tout en le couvrant de bisous dans le cou.
Mon mari soupire daise, il gémit sous mes mouvements et, pour plus daise je retire le drap le recouvrant.
Cest idiot, mais je me rends que cest la première fois que je vois ma main sur le sexe de mon mari.
La première fois que je me vois en train de le masturber.
Salope ! Je masturbe lhomme de ma vie et je pense à la taille du sexe de mon patron.
Mon dieu, quelle différence, il doit faire le double de celui que je tiens dans ma main. En pensant à cela, jaccentue sans men rentre compte mes va et vient et, comble de lhorreur, je sens mon sexe couler !
Malgré tous mes efforts, je narrive pas à faire retrouver la rigidité au sexe à mon mari. Dans mon esprit tout sembrouille, je me remémore la dureté du sexe dArnaud dans la cabine contre mes fesses, les giclées de sperme que jai reçu, lorgasme quil ma donné
Prends le dans ta bouche cri mon esprit, suce le !
NOON ! Je ne lai fait quune fois et cela ma dégoutée ! Non et non.
Lâchant le sexe de mon mari, en lui fessant une dernière petite caresse, je lui fais un petit bisou sur le front en lui disant :
- Cest pas grave mon chérie, repose toi bien.
Il est déjà assoupi quand je méloigne du lit, mon pauvre amour. Dépité, je regagne le salon, me prépare une soupe pour diner et, allume mon ordinateur.
Tout en sirotant ma soupe, je vais sur mon compte FB, pour me détendre, jouer a quelques jeux idiots.
Tiens, une demande damis, « Arnaud S
» Bien sûr, pourquoi cela ne métonne pas ?
Je dirige le pointeur de la souris sur supprimer linvitation mais je narrive pas à cliquer. Je souffle, je respire fort. Ques ce qui marrive, supprime le, ne le laisse pas entrer dans ta vie privée.
Tout en réfléchissant, je vois le pointeur glisser sur confirmer et, avant que je puisse faire quoi que ce soit, le clique et déjà parti. Merde ! Dis-je tout haut.
Comme pour essayer dannuler cette action, je me déconnecte.
Quelle conne ! Pensai-je. Reconnecte-toi et supprime-le. Il ne verra pas, et tu nes pas obligé de dialoguer avec lui.
Sur ces pensées plus que positives, je me reconnecte, bien décidée à faire ce que je ce que jai envie.
Merde, déjà 2 messages dArnaud en attente, il est trop rapide. Ignore-les !
Je suis tiraillée entre la sagesse et la curiosité. Après tout, je suis chez moi, en sécurité, que pourrait-il bien me faire ?
Message :
+ Alors, pourquoi tu tes enfuis tout à lheure ?
+ Tu avais peur de faire une bêtise, de craquer ?
Salop, il joue avec moi, il samuse, il croit avoir le pouvoir. Me sentant forte derrière mon clavier, je décide de jouer aussi, il va voir !
O oui, je suis partie parce que javais peur que vous ne soyez pas à la hauteur !
A ca naurait pas pu être pire quavec ton mari, vu que tu es déjà toute seule derrière ton écran ! Il a dû encore te laisser sur ta faim !
Grr, salop, je repense au sexe tout mou de mon mari !
O non, je suis très heureuse avec mon mari !
A Il ta faite jouir ?
O ça ne vous regarde pas !
A ca veut dire non ! Mais je suppose que pour toi cest habituel, avoue quil ne ta jamais faite jouir comme moi ce matin !
En lisant cela, je repense à la terrible jouissance qui ma pratiquement fait perdre connaissance. A ces doigts fouillant mon intimité, a son énorme sexe bien dur. Mon dieu, je mouille, mon sexe me brule de nouveau.
O arrêtez sil vous plaît
A avoue-le ! Avoue que je tai faite jouir comme une grosse salope !
Ques ce qui marrive, même à distance il mexcite, il me fait perdre tout contrôle !
O Oui
A Dis-le, dis-le clairement !
Je serre les cuisses, transpire, jai chaud. Pourquoi suis-je dans cet état la ?
O vous mavez faite jouir comme une grosse salope !
Oh mon dieu !
A tu vois, ce nest pas si dur que ça davouer ta véritable nature, en plus ça texcite ! Nest-ce pas ?
Comment pourrai-je le nier, je sens couler mon jus le long de mes petites lèvres, je ne tiens plus en place
.
A réponds salope !
O Oui Monsieur, oui je suis excitée.
Je ne contrôle plus rien, je suis perdue, je perds la notion du temps, toute envie de fuir devant ces messages de cet homme qui menvoute. Je laisse mon corps et ses envies prendre le dessus.
A tu as envie de jouir, envie de prendre du plaisir
..
Oh oui putain, je ne demande que ça, viens me faire jouir salop, comme ce matin, je suis trop excité pour me contrôler, je tremble de partout. Perdue dans mes délires je ne pense pas à répondre, mais Arnaud me rappelle à la réalité.
A Réponds Salope !
O Oui, jai envie de jouir, jai honte, vous me faites dire nimporte que, arrêtez sil vous plaît !
A caresses toi alors ! Caresses toi pour te faire jouir ! Caresses toi pour moi !
O non, oh non, je ne peux pas, je ne sais pas, je ne lai jamais fait
..
Comment pouvais-je avouer à mon patron qua plus de 40 ans, je ne me suis jamais masturbée, que jai une sexualité aussi développée quune gamine de 15 ans, je me livrai complètement à lui partagée entre la honte et lexcitation.
A - Ouvre-moi, je vais te montrer comment faire !
Cette dernière phrase me fit me relever dun coup, resserrant immédiatement les cuisses, me ramenant à la réalité sous forme dune douche froide.
Ouvre-moi ! Est-il possible quil soit là ? Juste derrière ma porte ? Impossible, il est connecté.
Me fessant sursauter, jentends cogner à la porte dentrée et, simultanément
A Ouvre salope !
En panique, je ne savais plus quoi faire. Je suis dans un cauchemar je vais me réveiller !
Les toc-tocs contre la porte deviennent de plus en plus forts ! Si ça continu, ça va réveiller mon mari ! Je ne peux pas prendre ce risque, il faut que je me décide !
Toute tremblante je me dirige vers la porte dentrée, louvre et vois Arnaud, téléphone à la main, dans lencadrement de la porte, me dévisageant.
Sans me demander mon avis il entre, me fessant reculer, mimpressionnant, me troublant.
- Ton mari ? me demanda Arnaud
- Il dort monsieur
- Bien, alors ques ce que tu voulais me demander ?
Je reste muette, regardant mes pieds, je ne veux pas lui répondre, jai trop peur.
- Réponds salope, je nai pas que ça à faire ! dit-il en haussant la voix
Ne voulant pas quil réveille mon mari, je me résigne à lui répondre, abattue.
- Jai envie de jouir monsieur, jai envie que vous me fassiez jouir.
Avec son sourire de vainqueur, il me poussa doucement en arrière, jusquà ce je maffale sur mon canapé, relevant le bas de ma petite robe sur mon ventre, dévoilant toute mon intimité à mon « agresseur », debout devant moi.
Il me demanda décarter les cuisses, de relever mes genoux, posant mes pieds sur le bord du canapé.
Moffrant à lui dans une position indécente, honteuse mais de nouveau excitée.
Il me prend la main, me la pose sur mon sexe, mexplique calmement comment me caresser, écarter mes lèvres intimes, dégager mon clitoris de sa cachette, le titiller doucement.
Oh mon dieu que cest bon, je passe et repasse mon doigts sur ce bouton, mélectrisant à chaque passage, fessant arquer mon corps, bouche ouverte mais muette.
Du jus coule sur mes doigts à chaque passage sur ma chatte, je me tortille de plaisir, je sens mon plaisir monter.
Arnaud me regarde, debout devant moi, me disant quoi faire. Je glisse un doigt entre mes lèvres sous ses conseils.
Mon dieu que cest bon, pourquoi je découvre ça que maintenant ? Pourquoi personne ne ma dit que cétait si bon, si doux, si chaud. Hummm
Il me fait ajouter un deuxième dans mon sexe, ce qui a pour effet de me faire jeter la tête en arrière, bouche grande ouverte, laissant échapper un Ahhhh. Cest trop bon, jai 2 doigts dans ma chatte et la paume de ma main qui frotte mon clitoris, du jus coule le long de mes doigts, sur mes fesses, sur le canapé. Jai limpression de faire pipi, je reste ainsi, mon corps tétanisé, incapable de bouger, les doigts dans mon sexe. Revenant un peu à moi, je redresse la tête, les yeux embrumés je distingue Arnaud, debout se régalant du spectacle, descendre sa braguette, glisser sa main à lintérieur pour en sortir sa colonne de chair, déjà bien dure et, commencer un doux va et viens.
A la vue de son énorme tige, je recommence malgré moi les caresses sur ma chatte, mon dieu, il a raison, je suis une salope, mais que cest bon
.
Tout en se branlant doucement il me dit :
- Allez, demande-le !
Enlevant les doigts de ma chatte, je pris tout le courage qui me resté pour lui demander de me faire lamour.
Pour toute réponse il me prend par les hanches pour me retourner sur le canapé, me mettant à quatre pattes, écrasant mes seins sur le dossier.
Il plaqua son sexe entre mes fesses, collant ses couilles sur ma chatte poisseuse et, me tirant les cheveux en arrière pour bien me cambrer il me murmure à loreille :
- Les salopes comme toi on ne leur fait pas lamour, on les baise ! On les baise comme des chiennes, alors redemande-le !
Comme possédée, excitée de sentir sa grosse queue entre mes fesses, je lui supplie :
- Baisez-moi sil vous plaît ! Baisez-moi comme une chienne ! baisez-moi comme votre chienne !
Voilà ! Voilà ce quil attendait, depuis 2 jours, que je sois sa chienne, que je me livre à lui, comme une salope.
Sa réaction ne se fit pas attendre, il se décolle de mes fesses, tout en maintenant la prise de mes cheveux et commença avec sa main libre à frotter le bout de son sexe entre mes lèvres, tapant à chaque passage sur mon clitoris, mélectrisant jusquaux bouts des seins.
Jappréhende tout en étant excité. Comment un tel morceau de chair va pourvoir me rentrer dedans ?
Il va me déchirer ! Je ne vais plus pouvoir marcher.
Il vient de poser son gland entre mes lèvres, ne bougeant plus. Je respire fort attendant quil me transperce. Je nen peux plus dattendre, je recule en essayant de la faire pénétrer, je la veux en moi, je veux être une salope, oui, je veux quil me baise. Voyant cela, il me claque la fesse et, me préviens.
- Si je te baise ce soir Ophélie, tu deviens ma chienne, ma salope ! en es-tu consciente ?
Dans un état second sentant son gland entre mes lèvres je narrive plus à réfléchir, à penser, je ne veux quune chose, quil me déchire, quil me fasse jouir encore.
- Oui monsieur, sil vous plaît baisez moi !
Sans attendre la fin de ma phrase il me pénètre dun coup de reins, me fessant jouir instantanément.
Ecartant mes chairs pour laisser la place à son énorme pieu. Le souffle coupé par cette intromission, je ne peux laisser échapper quun Ah de bonheur.
- Humm, tu es serrée ma salope, tu la sens bien ma queue dans ta chatte de chienne ?
Je ne peux pas répondre, je ne peux plus bouger, je suis totalement à sa merci. Il me lâche les cheveux pour me prendre par les hanches et commence son va et viens en moi.
Il me donne de violents coups secs, je sens à chaque mouvement, mes lèvres sétirées le long de son sexe, le trop plein de mon jus séchapper de ma chatte à chaque coups. Oh putain, je jouis encore, je mords le dossier du canapé pour ne pas hurler mon plaisir.
Il me pilonne maintenant violement, me tenant fermement par les hanches, frappant mon utérus à chaque coup de queue. Me traitant de salope, de chienne, quil va faire de moi sa pute.
Je ne comprends pas ce quil me dit, je suis dans un état de petite mort, je suis une poupée dans ses mains, je jouis et jouis encore.
Il fini par éjaculer en moi, dans un dernier coup de reins puissant, memplissant de son foutre.
Il reste immobile, planté au fond de ma chatte le temps quil reprenne son souffle, puis se retire doucement, tenant la base de son sexe dune main, me laissant un grand vide en moi.
Je sens son sperme couler de ma chatte, et tomber par paquet glaireux sur mon canapé.
Mon dieu, a quoi doit ressembler mon trou ? Il doit être tout déformé.
Arnaud essuie son sexe tout baveux entre mes fesses, tapotant son gland sur mon anus.
Je ne bouge pas, jen suis incapable, je suis lessivée, vidée, anéantie. Je ne remarque même pas le départ dArnaud. Il ma laissée là, anéantie sur le canapé les fesses e toujours en lair. Je ferme les yeux pour reprendre mes esprits, pour me calmer de mes orgasmes à répétitions.
Quand jouvre les yeux, je suis toujours seule, 2 heure du matin, mon dieu, si mon mari sétait levé !
Jessaie de reprendre mes esprits, de faire le point, de remettre de lordre dans ma tenue et apparence.
Quai-je fait ? Je viens de me faire violer par mon patron à quelques mètres de mon mari alité et endormi.
Violer ? Es ce le cas ?
Oui ! Oui cest sure, il a abusé de moi.
Je mendors sur le canapé en essayant de men persuader.
Faut que jen parle demain. Je dois avoir des explications avec mon patron.
Il faut
il faut
A suivre !
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