Collection Belle-Mère. Succession Du Duc De Radford (2/2)

J’ai épousé le Duc de Radford, possédant un château dans le centre de la France et de nombreux biens dans cette même France voire en Angleterre.
Parmi ceux-ci une magnifique propriété qui est cédée sous-contrat à mes parents, mais surtout à mon père.
J’ai l’impression d’être vendue à 19 ans comme une magnifique poulinière permettant la reproduction de ce garçon de 45 ans.
Connaissant mon père, nul doute qu’en plus de la propriété, il est allé faire un tour du côté de la chatte de ma belle-mère.
Depuis que je suis petite, j’ai souvent vu maman pleurée chaque fois qu’il découchait allant se faire des filles plus jeunes.
Je le sais, je l’ai surpris sautant une jeune employée dans la remise un jour où il me croyait absente.
C’était dans les premières fois de mes règles ou la douleur était trop grande.
Par chance ce sont ses fesses que j’ai vues et la jeune les seins à l’air posés sur un établi mon père la prenant par-derrière.
Sa verge m’était cachée.

Comme nous l’avons vue dans le chapitre I, je comprends pourquoi ces transactions, mais j’y trouve mon plaisir en me faisant baiser par les cinq valets engagés par mon mari pour le soir de mes noces.
En ayant bien profité, mes règles ayant disparu, je suis enceinte réalisant la part de mon contrat.

Pour l’écographie, un appareil a été amené, tout doit se passer dans notre demeure.
À partir de ce jour, terminé les valets se succédant dans ma chatte, fini le plaisir des verges successives.
J’ai pourtant des envies alors je reviens à la masturbation de ma jeunesse, passant mes nuits seule.
Ma seule distraction, ce sont les promenades au bras de ma belle-mère dans le parc de notre château.
Un jour passant vers des arbres, sans penser à mal, je ramasse une branche de bois en bavardant de futilité avec elle.
De retour dans ma chambre pour me préparer pour le dîner servi par la servante muette, je pose ce bois sur ma table de nuit.


Le soir, je le retrouve m’étonnant qu’il soit là.
Est-ce par instinct que je l’ai ramassé, je l’ignore toujours, est-il qu’il a une forme ressemblant à un sexe d’homme.
Avec mon petit couteau acheté en Suisse avant mon mariage, ma râpe pour les pieds et des limes pour les ongles, je le profile pour en faire un parfait gode bien doux.
Mon travail terminé, c’est en rêvant au numéro 3 dont à ce jour, j’ignore le nom que je me fais jouir chaque soir jusqu’à mon accouchement.
Je sais que mon mari sort souvent, mais je sais que sa condition m’évite toute tromperie.
Enfin, j’accouche au château comme le veut la tradition depuis avant la révolution.
C’est la muette formée pour ça qui m’aide à me délivrer.
Enfin mon fils pleurant à la tape sur ces fesses.
C’est à ce moment que le scandale est à deux doigts d’éclater.

• C’est impossible qu’est-ce que cette plaisanterie, pourtant madame, on vous a surveillé nuit et jour depuis la décision de notre mariage et avant que je vous dépucelle pour notre nuit de noces.
Nos noces ont été célébrées pour que je sois le père de mon fils sans aucune ambiguïté possible.

J’ai envie d’éclater de rire, ma belle-mère bien sûr présente un peu moins.

• C’est une plaisanterie Louis, comment se fait-il que votre fils soir noir !

Notre fils est noir.
Je dois dire que cette situation me fait éclater de rire.
Les cinq valets sont de retour devant nous.

• Messieurs, j’ai consulté des sommités, si mon fils est né parfaitement ébène, c’est que l’un de vous nous a caché qu’il avait un parent noir.

Je m’attends à ce que tous refusent de parler.
Mon numéro 3 s’avance.

• C’est moi monsieur le Duc, mon grand-père était un guerrier maasaï éthiopien venu défendre la France, en 1940.
• Mon fils, je croyais que ce garçon était bronzé, je m’excuse de ma méprise !
C’est vrai, j’ai oublié que cela pouvait se produire.


Je soupçonne ma belle-mère de les avoir tous essayés avant de les mettre dans mon lit sous surveillance de son taré de fils.

• Monsieur, pourquoi m’avoir caché cette particularité familiale ?
• À quel moment, me l’avez-vous demandé, vous vouliez des étalons sachant fermer leur gueule.
J’ai fait ce pour quoi vous devez me payer pour mon travail et la venue au monde de votre petit-fils, madame.
Je crois que vous êtes personnellement loin d’avoir été trompé sur la marchandise.
Vous vous souvenez Jeanne cette nuit, c’est bien vous qui me disiez encore et encore.
Vous nous payez, sinon, ça se saura que votre fils est un dégénéré de la nature.

À ce moment j’ai vu Louis, mon mari quitter la salle où ils nous avaient réunis.
C’est le jardinier qui est venu nous prévenir que j’étais veuve, mon mari ayant sauté de la tour.

Dans les jours qui suivent, ma belle-mère a voulu retirer à mon père sa propriété.
Je l’ai conduit devant les tribunaux avec les contrats.
Ceux-ci viennent de sta que feu mon mari donnait à son fils la jouissance intégrale de ses biens en cas de décès dès sa naissance.
Ce testament il l’avait écrit à l’insu de sa mère et étant le dernier connu, il est propriétaire de tout.
Pour éviter un scandale, ayant réussi à faire passer la mort de son fils pour naturelle, elle a reconnu que sa grand-mère était réunionnaise et aussi noire que Jacques mon étalon N°3.
J’ai été déclaré tutrice jusqu’à la majorité de mon fils.
J’ai fait quitter le château à belle maman l’installant dans un petit pavillon de chasse situé au fond de mon domaine.
Même si rien pour le prévoir me l’obligeait, je demande à mon notaire de lui allouer 2 000 € par mois pour vivre, jusqu’à sa mort.
J’ai même prévu une augmentation de 2% l’an comme les augmentations des plus de 60 ans.

Tous les jours, j’ai pain frais et viennoiserie au lit.
Jacques était un boulanger avant d’avoir été engagé par la salope qui doit fulminer au fond de mon domaine.

Mon boulanger me confectionne ces douceurs tous les matins après avoir passé une partie de la nuit à m’honorer.
Bien sûr, je fais chambre à part et je le convoque suivant mes besoins.
J’ai engagé une nurse anglaise pour m’occuper de Charles prénom du grand-père de Jeanne ayant goûté au bois d’ébène comme il était dit dans ces années-là.

Ce soir, je suis dans la Bentley, voiture de mon mari, pardon feu mon mari.
J’ai troqué mes vêtements noirs de duchesse en deuil pour un short ras la moule.
Le débardeur sur mes seins les protège sans les protéger.

• Louis, merci de m’avoir conduit jusqu’à ce restaurant.
Vous pouvez retourner au château, je me débrouillerais pour rentrer à mon château.
• Bien madame, bonne soirée.

Pour mon premier soir de femme libre à moins de 20 ans, j’ai de la chance.
À la table voisine un bellâtre bas des pectoraux sous sa chemise espérant me séduire.
Quand nous entrons à l’hôte, voisin, aucune question, nous sommes là pour baiser.
Mon mari m’imposait des pénétrations sans aucune fioriture.
J’adore pour la première fois sucer une bite en massant les couilles.
Nous baisons et c’est moi qui lui demande de m’enculer.
Je me suis souvenue de l’envie que j’avais eu avec n°3, pardon Jacques.
J’aurais pu lui demander de me le faire la nuit dernière, mais sa grosse queue m’a fait un peu peur pour une première fois.
Dès que le chemin sera ouvert, Marie, duchesse de Radford pour l’éternité pratiquera régulièrement la sodomie et les pénétrations sauvages.

Demain, mon fils, sa nurse et moi partons pour Bordeaux.
Je compte bien profiter de ma liberté pour écumer quelques plages le soir pour trouver des queues noires bien grosses.
Pourquoi pas deux en double pénétration comme le montre mon portable lorsque je l’interroge ?

De retour, au château, c’est de nouveau en noir que je vais prier derrière la petite chapelle ou je me suis marié et ou Louis est enterré avec tous les ducs et les duchesses passés.


Ma prière, « mon dieu, si vous voyez Louis, dite lui que je le remercie d’avoir sauté de la tour de notre château à mon fils et à moi.

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