Annie Au Cinéma
François connaissait bien sa femme Annie, depuis quelle écartait les cuisses sans vergogne, plusieurs hommes avaient déjà eu le plaisir de sintroduire entre les cuisses accueillantes e sa femme.
Les ragots allaient bon train, François se sentait humilié, il avait limpression quon ne le regardait plus comme homme, mais comme cocu. Habitant dune petite ville, ou grand village la rumeur se propageait à grande vitesses. François, sans même y avoir adhéré, faisait parti du clan des cocus, il en était même une élite. La réputation de salope du village de sa femme lui posait parfois des problèmes avec les autres femmes. Elles lui reprochaient de ne pas savoir tenir sa femme, de la laisser courir les hommes avec ses minijupes. Elles avaient peur pour leurs maris, peur quils ne succombent aux charmes dAnnie.
Des copains de François tournaient aussi autour de sa femme, si on peut appeler ça des copains ? François pensait que certains ne sétaient pas privés pour grimper dessus. Il avait remarqué certains comportement et sétait fâché avec plusieurs dentre eux. Il le savait bien quil était cocu et acceptait de porter ses cornes mais préférait que ce soit avec des inconnus, les copains devaient avoir plus de respect pour lui. Même si Annie écartait volontiers les cuisses ils ne devaient pas trahir les liens damitiés.
Annie perturbait le cerveau de son mari avec ses aventures, elle le provoquait souvent en se faisant draguer sous ses yeux. Elle adorait le rendre jaloux sachant quil en souffrait mais paradoxalement cela lexcitait et son mari aussi. Chaque fois quil savait quelle lavait trompée il semblait plus amoureux, elle se donnait à lui pour se faire pardonner et il lui faisait lamour comme un Dieu.
Elle ne se privait pas quand loccasion de pimenter la sexualité de son couple se présentait. Allant jusquà faire des choses incroyable comme ce jour ou ils étaient sortie un samedi .
Annie portait sa nouvelle petite robe sans manche en jeans, cette robe boutonnée sur le devant qui lui arrivait à mie cuisses, elle était à croquer dedans. François bandait rien quen la regardant, Annie savait que son mari serait excité mais elle voulait que son homme perde la tête. Il lavait vu quune fois dans cette robe, quelle venait dacheter la semaine passée. Sétait le soir quand il rentrait du travail elle la portait. Elle lui avait dit quelle lavait achetée dans la journée et cétait vrai. Mais ce quelle ne lui avait pas dit, cest quelle avait passée laprès midi avec son amant sans rien sous sa robe. Ils avaient été se promener ensemble dans une ville voisine et son amant lavait sautée plusieurs fois.
Elle était prête, elle appelait son mari et se présenta à lui du haut de lescalier, maquillé et paré de sa robe avec des escarpins qui avaient des semelles très hautes et des rubans en toile qui enlaçaient les chevilles. François, méduzé la regardait descendre perchée sur ses échasses, ses jambes semblaient ne plus finirent. Son sourire charmeur et coquin annonçait un après midi torride.
Annie avait fait le programme, Shoping, ciné, et resto. Ils prenaient la voiture pour se rendre à Tours. Sur la nationale, François qui reluquait les cuisses de sa femme ne résista pas à y poser la main. Annie qui nattendait que ça écartait ses cuisses isolantes, un bouton de sa robe se détachait. Il comprenait bien ce quelle attendait mais lui voulait la faire languir. Elle en avait trop envie, elle lui prit la main et écartant bien grand les cuisses elle tira cette main sur son minou. François constata quelle ne portait pas de culotte, il lui rentait son majeur dans le sexe la traitant de salope. Annie satisfaite lui répliqua tu aime ça les salopes ! Il la masturbait comme il savait bien lui faire, Annie adorait se faire masturber en voiture. Un moment il doublait un camion, arrivé à la hauteur de la cabine François ralentit, laissant la possibilité au chauffeur dadmirer sa femme.
Le couple faisait du shoping, François naimait pas ça mais le plaisir dêtre avec sa femme le contentait. Parfois il faisait semblent de flâner pour séloigner delle, cela lui permettait de mieux la voir, il lobservait, elle était la plus belle , il ladmirait comme dautre hommes le faisaient .Il aimait les essayages sexy de sa femme, elle acheta une petite jupe et un chemisier, il laurait bien sautée dans la cabine.
Puis il se rendait au cinéma, le film était commencé, louvreuse les guida jusqu'a une rangé de cinq sièges sur la gauche contre le mur. Un homme avait pris le deuxième siège, il se poussait dun siège pour laisser deux places au couple. Annie qui était devant son mari prit place à coté de lhomme, François prit place à son tour . Le couple était déjà bien excité, malgré la pénombre Annie offrait une joli vue sur ses cuisses, sa petite robe cachait à peine son minou. François louchait sur les cuisses de sa femme, il se doutait que le voisin faisait de même. Annie croisait et décroisait ses jambes, ce qui provoquait encore plus les regards, la robe se déboutonnait tout seule. Annie était terriblement excitée, elle se sentait nue, et nattendait quà se faire tripoter. François qui était lui aussi excité ne regardait même pas le film, il observait sa femme discrètement faisant semblant de regarder lécran. Il comprenait quelle avait le cul en feu, par moment comme si elle se grattait elle caressait son entre cuisse. François ne demandait quà la soulager, mais le voisin était trop proche et il devait lui aussi regarder les cuisses dAnnie.
Annie voulait résister mais la tentation était trop forte, elle était attiré comme un aimant sa tête se retourna doucement une seconde fois vers linconnu. Lhomme la regardait fixement, Annie ne métrisait plus son attitude, elle le regardait sans se soucier du reste. Ce regard nen finirait pas, inconsciente elle penchait la tête, lhomme approcha la sienne et il lembrassa. François tourna la tête cette fois ci mais il était trop tard, sa femme était prise en main. Il regardait un homme lembrasser sous ses yeux, à coté de lui, jamais elle navait encore fait ça. Il vit lhomme poser sa main sur la cuisse de sa femme, la main remontait son entre cuisse. Sa salope de femme écartait les cuisses pour faciliter une pénétration vaginale. Lhomme fouillait la chatte de sa femme sans se soucier du mari qui était à coté, il déboutonnait la robe caressait ses petits seins qui ne portaient pas de soutien gorge. Annie mouillait comme une fontaine, lhomme goutait cette substance délicieuse avec ses doigts. Puis il ouvrit sa bargette et sorti son sexe en érection, il prit la petite main dAnnie et le guida sur son membre. Annie lui caressait les couilles, puis elle le masturbait.
François nen pouvait plus, il posa lui aussi sa main sur lentrecuisse de sa femme, lautre lui laissait la place. Il se retirait par courtoisie et léchait bien ses doigts pour se régaler de cette mouille si délicieuse. François investissait sa propriété qui venait dêtre squatté par les doigts dun intrus, il triturait le sexe de sa salope de femme. Annie branlait toujours lautre qui lui dit à loreille de le sucer, elle entendait sa voix pour la première et dernière fois.
Elle se pencha vers lhomme et se mit à le sucer. François masturbait toujours sa femme pendant quelle suçait son voisin. Lhomme ne tardait pas à éjaculer dans le fond de la gorge à Annie, plusieurs saccades lui remplient la bouche. Annie se relevait, elle en avait plein la bouche et navait pas dautre choix que te tout avaler. Elle déglutit cette substance épaisse et âcre, son mari la regardait avaler le sperme dun autre, elle lui fit ses yeux de biche et se léchait les lèves. François lui tendait un mouchoir, elle en avait encore sous le nez et le menton, elle sessuyait délicatement en regardant son mari. Elle avait honte, ses yeux lui demandaient pardon. Le Film nétait pas fini mais la séance était terminée, François prit sa femme par la main, il sorti avec elle dans lobscurité.
Ils se retrouvaient dans la rue, François la tenait fermement par la main et marchait dun pas rapide, Annie avait la robe encore déboutonnée, on pouvait voir sa chatte quand elle marchait et la robe déboutonnée lui faisait un décolleté profond, la moitié de ses seins était visible. Elle avait honte et dit à son mari de sarrêter pour quelle se reboutonne. Lui continuait sur la même cadence, de sa main libre elle essayait de se reboutonner. François lui interdit dun ton autoritaire, elle comprit quelle devait lui obéir. Il lui dit : tu donne ton cul au premier venu alors montre le à tout le monde, montre comme tu es une belle salope. Un passent regardait sa femme plus que les autres, François sarrêta et lui dit, tu veux quoi toi, tu veux baiser ma femme, regarde si elle te plait dis-il en écartant bien le pan de la robe pour bien lui montrer sa chatte. Annie humiliée baissait les yeux, elle ne disait rien son mari était fâché et il avait raison.
Elle marchait sans rien dire, à chaque pas sa robe sécartait et son intimité était visible pour tous ceux qui la croisaient. Elle avait limpression de se promener nue et cela ne faisait que de lexciter encore plus. Son mari se calmait, il regrettait ce quil venait de faire devant le passant après tout il navait rien dit au cinéma et il se sentait même coupable. Il était responsable de ce qui sétait passé, il ralentissait le pas et regarda sa femme. Elle lui fit un sourire malgré ce quil venait de lui faire dans la rue, il sarrêta et lui demanda pardon, il dit je taime et lembrassa. Sa bouche avait le goût de sperme mais il aimait sa femme il pouvait tout supporter delle.
Annie lui demandait aussi pardon, il lui dit cest moi le responsable ma chéri, cest moi qui tai laissée alors que je voyais bien que tu voulais que je te touche. Jespère que tu as eu du plaisir, Annie répondait que ce quelle avait le plus aimé était quil soit a coté delle. François était heureux, elle aussi. Ils rentraient dans un restaurant, les hommes regardaient Annie. Elle se rendait compte que ça lexcitait de se sentir nue et observée, elle croisait des regards, elle découvrait quelle aimait sexhiber, la soirée nétait pas finie.
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