Lila
Comment faire quand vous avez envie de coucher avec la femme de votre meilleur ami
? Je me suis posé la question pendant un paquet de temps avant de trouver la solution. Il faut dire que jai été bien aidé par un concours de circonstances assez génial. Je connaissais Sam depuis plus de 25 ans maintenant : nous étions de très bons copains depuis notre service militaire. Nous nous voyions assez régulièrement dans lannée au gré de nos possibilités. Commerciaux tous les deux nous trouvions souvent loccasion de nous donner rendez-vous lors de nos tournées respectives. On se faisait un resto en fin de journée puis nous allions boire un verre. Parfois en boîte on « dragouillait » quelques filles et tant mieux si on concluait. Et puis un jour il a rencontré Lila.
Jolie femme de 38 ans, un bon mètre 70, elle avait gardé dune jeunesse sportive un corps élancé quelle entretenait régulièrement en salle de sport. Une jolie poitrine, une taille fine et de longues jambes souvent mises en valeur par des jupes ajustées. Jétais fasciné par la grâce avec laquelle elle se déplaçait en équilibre sur les talons aiguilles pour lesquels elle avait une vraie passion. De beaux cheveux châtains encadraient son visage ovale très doux. Sa bouche ourlée finement par des lèvres gourmandes et ses yeux noisette pétillants, me faisaient fondre en silence.
Ils se sont mariés en mai. Jétais invité bien sûr, en tant que vieux copain et leur noce fût à la fois simple et raffinée. Je venais très souvent les voir à Vannes où ils sétaient installés. Nous passions de très bonnes soirées à discuter et à refaire le monde. Parfois je restais dormir chez eux. Je les entendais faire lamour et je ne pouvais mempêcher de limaginer prise par Sam, ses longues jambes ouvertes, ses seins se balançant au rythme des coups de bite de son mari. Loreille collée au mur, les yeux fermés, je me branlais en mimaginant à la place de mon meilleur pôte. Elle avait un sacré tempérament mavait confié Sam au début de leur relation et cachait sous ses airs sages, une experte en amour.
- « Oui ! Oui ! Oui ! Cest bon chéri, continue ! »
Un soir de septembre, une fois de plus invité chez eux, jéchafaudais un plan pour essayer de les observer. Leur chambre avait une fenêtre sur le jardin où donnait également la baie vitrée de la chambre damis. Javais fait semblant de baisser les stores électriques mais les avait laissé suffisamment ouverts pour sortir dans le jardin. Leurs volets étaient entrebâillés et javais juste assez despace pour les découvrir en train de faire lamour. Immobile, prenant bien soin de ne pas faire un bruit je ne manquais rien de leurs ébats. La bouche entrouverte pour que même le son de ma respiration ne leur parvienne, je ne perdais pas une miette du délicieux spectacle.
Elle était vraiment superbe. De leurs vacances elle avait ramené un superbe bronzage. Seuls les globes de ses seins éclataient de blancheur dans la pénombre de la lampe de chevet. Un discret triangle au dessus de ses fesses dessinait la forme dun maillot minimaliste. Assise sur lui, elle faisait aller et venir son bassin sur son sexe.
Il appréciait ses attentions en la gratifiant de compliments sur ce quil ressentait :
- « Continue mon amour, cest bon ! Tu es magnifique... »
Et il avait raison ce salaud ! Elle lencourageait aussi en lui décrivant ce quelle ressentait :
- « Cest profond ! comme tu es gros ! Jadore quand tu me prends comme ça. »
Le miroir de larmoire me montrait sous un autre angle leurs deux corps sur lesquels perlait un peu de sueur dans cette chaude nuit de septembre. Variant les plaisirs, ils alternaient positions et caresses et je constatais quelle était ouverte à toutes les possibilités. Sam la prenait sans ménagement en levrette puis, dautorité, il la plaqua sur leur lit et profitant dans cette position indécente, plongea son sexe large et massif entre les globes musclés de son cul.
- « Viens là oui ! Prends-moi par là, viens ! Oh ! Tu es gros, jaime quand tu me prends... »
Très vite elle jouit une première fois sous ses coups de butoir en poussant de petits cris. Insatiable, il descendit sa verge vers sa chatte et sy enfonça dune traite. Le visage enfoui dans son oreiller elle jouit à nouveau en serrant ses doigts dans les draps froissés. À son tour, il allait jouir. Sam sortit son sexe et lempoigna de sa main droite, se caressa dans de grands mouvements frénétiques. Son sperme jaillit en petites giclées successives et vint couvrir le dos de Lila, traînées claires et luisantes sur sa peau halée. Décidément gourmande, elle se caressait le sexe trempé de sa main droite, dans de petits mouvements circulaires, prolongeant ainsi son premier orgasme par des répliques qui faisaient onduler son bassin. Ma main sétait déjà emparée de ma virilité et perdant toute retenue je jouis à mon tour, ma semence sécrasant après un long arc de cercle sur les dalles de la terrasse. Sans un bruit je reprenais mon calme alors que la lumière de leur chambre séteignait. Puis sûr que tout le monde sétait endormi, je retrouvais la tête pleine didées lubriques, ma chambre attitrée.
Le lendemain, ma décision était prise de tout faire pour coucher avec Lila, mon amitié avec Sam dût-elle en souffrir
Un comité dentreprise extraordinaire au siège nantais de sa société nous donna loccasion de nous retrouver seuls quelques semaines plus tard. Elle était déléguée du personnel dans une société de services informatiques qui avait quelques difficultés financières. Des dégraissages étaient inévitables. Moi jétais sur le département entre deux clients importants et je lui proposais bien vite de nous voir le jeudi 15 octobre en fin de journée. Prévenu par sms que les discussions du CE séternisaient, je patientais en dégustant un délicieux Quincy dans un bar à vins pas très loin de mon hôtel. Vers 19 heures elle sortit enfin de sa réunion et le temps de me rejoindre il était 20 heures.
Elle maccompagna dans ma dégustation de Quincy et nous passâmes réserver sa chambre dans mon hôtel et faire quelques courses ensemble avant de dîner. Dans le Monoprix voisin elle trouva le nécessaire pour se refaire une beauté et de quoi se changer. Elle me sollicita avec spontanéité pour lui donner des conseils sur les sous-vêtements quelle devait acheter. Bras dessus, bras dessous, complices, nous devions avoir lair damoureux car la vendeuse du rayon « femme » me proposa daccompagner Lila dans son essayage. Cela fit sourire mon amie qui sengouffra derrière le rideau essayer ses achats. Elle dévoila quelques instants plus tard le résultat de ses achats et mapparut aussi belle que lors de cette nuit durant laquelle je lavais surprise, faisant lamour à son mari. Elle ne que constater mon trouble et je crois quelle en jouait.
- « Ça va ! Tu es le meilleur ami de Sam... Je ne risque rien avec toi ». Me dit-elle en minaudant.
Sûre de sa beauté, elle prenait des poses comme un mannequin et ne fermait même plus le rideau de la cabine entre chaque essayage. Sous la fine étoffe je découvrais sa toison brune qui se résumait à un rectangle soyeux au dessus de ses lèvres roses. Ses seins portés fièrement très haut sur son buste altier, faisaient monter en moi une poussée de testostérone insensée.
Voyant ma mine déconfite, elle me dit après deux essayages presque nue :
- « À voir ta tête, cest ce modèle qui me va le mieux ! » Et elle me gratifia dun baiser fugace sur la joue tellement près de ma bouche que ce nétait certainement pas le hasard...
Elle finit par choisir cet ensemble blanc coordonné tout simple et prit un chemisier ivoire pour ne pas garder sur elle celui quelle portait depuis le matin. Nous passâmes en caisse avec ses emplettes et complétâmes ses courses par un kit de survie : brosse à dents, dentifrice, démaquillant, deo .
De retour à lhôtel, je lui proposais de lattendre au bar le temps quelle se change dans sa chambre et commandais un whisky pour me donner du courage. Loccasion était trop belle et ne se représenterait peut-être plus. De plus, je sentais Lila très proche de moi. Avait-elle compris mes intentions ?
Elle réapparut superbe, pomponnée à nouveau, dans son ensemble jupe tailleur noir. Son chemisier largement ouvert laissait plus que deviner son soutien gorge. Dans léchancrure ainsi laissée à la vue de tous apparaissait la moitié de ses seins magnifiques. Juchée sur ses escarpins, elle traversa le hall comme une princesse sous le regard admiratif des quelques hommes présents. Elle maccompagna en commandant un whisky également et elle sassit face à moi, ses cheveux détachés sur les épaules, coudes posés sur la table, les mains ouvertes sous son menton encadraient son doux visage qui me souriait. Par accident son pied toucha le mien lorsquelle décroisa les jambes et elle sexcusa sans pour autant le retirer. Jétais sur un petit nuage. Le coeur battant la chamade, je navais pas ressenti ça depuis....très longtemps. Elle me fixait mi amusée mi, troublée...
- « Et si tu minvitais au resto ? »
Je lui proposais de dîner dans un petit restaurant tenu par un jeune couple dans un quartier assez bobo de Nantes. Un menu élaboré autour de volailles, une carte des vins très originale, une déco soignée, des alcôves propices aux soirées en amoureux. Imperceptiblement, nous nous rapprochons et finissons le repas ma main sur la sienne, son pied droit déchaussé montant et descendant le long de ma jambe. Elle mavoue être un peu pompette, mais ne cesse pas pour autant son manège. Elle mallume maintenant sans retenue. Le fauteuil reculé, elle tend sa jambe et son pied ségare entre mes cuisses et insiste sur mon entrejambe. Elle sent avec gourmandise mon désir pour elle grossir.
- « On dirait que je te fais de leffet... »
La nappe de notre table fait barrage et nos voisins ne voient rien de son jeu mais les joues de Lila qui sempourprent et le ma position de plus en plus avancée vers cette jolie coquine donnent à mon buste un angle curieux.
Totalement désinhibée Lila me demande en se penchant un peu vers moi dune voix grave que je ne lui connaissais :
- « Sors la ! Jai envie de te donner du plaisir et jaime beaucoup lidée de te faire bander avec tous ces gens autour de nous. »
Je mexécute péniblement en essayant de ne pas révéler la nature de mes gestes à nos voisins. Ma bite enfin libérée, je sens glisser maintenant ses deux pieds alternativement le long de ma colonne. Avec un regard brûlant, elle me montre le résultat de ses séances de sport hebdomadaires. Ses abdominaux sont soumis à rude épreuve et mon merveilleux supplice prend fin à temps. Je ny tenais plus ou presque et manquais de gicler sous la table. Nous prenons quand même notre dessert, buvons un café et je règle laddition. Les 500 mètres qui nous séparent de lhôtel vont durer le temps dun battement daile.
Ma chambre est au cinquième, mais comme la sienne est au premier, nous y serons plus vite. Elle sy reprend à deux fois pour saisir le code et la porte à peine ouverte nous nous engouffrons dans la pénombre. Pendant quelle soccupe de défaire mon pantalon, je lui enlève sa veste et déboutonne son chemisier. Je ne prends même pas la peine de dégrafer son soutien gorge. Je fais jaillir ses seins par dessus la délicate dentelle et les embrasse goulûment. Je me retrouve sans chaussures, ni pantalon en moins de deux et je sens Lila descendre le long de mon torse en se pliant en deux. Elle pose sa bouche sur mon sexe tendu presque vertical. Je sens sa bouche avaler toute ma bite, aller et venir pendant que ses doigts viennent jouer avec mes couilles. Attiré par ses fesses moulées dans sa jupe, je larrache à son ouvrage pour pouvoir descendre la fermeture à glissière. Debout, elle est presque aussi grande que moi sur ses hauts talons. Les joues rosies par lexcitation et les yeux fous, elle mencourage par des mots crus à la déshabiller pour mieux le prendre :
- « Viens sur moi, jai très envie de toi ».
Sa jupe glissée à ses pieds, elle se laisse tomber sur le lit en mattirant dans sa chute. Elle écarte les jambes et jenfourne mon sexe bandé à me faire mal dans son sexe moite de désir. Je menfonce en elle avec délice, elle est brûlante et lui faire lamour est enchantement. Elle ondule en rythme avec moi venant à ma rencontre pour donner plus de force au pieu qui la défonce. Perdant toute retenue nous nous déchaînons en poussant des cris et des encouragements à aller plus loin :
- « Plus fort, plus fort, narrête pas, continue...Cest bon encore, encore, encore... Oui ! »
Le lit tape contre la cloison dans un tempo endiablé accompagné par les cris de Lila qui se tend à mesure que le plaisir lenvahit.
Nous fîmes lamour plusieurs fois entre des plages de repos durant lesquelles je faisais semblant de dormir pour lobserver. Son visage détendu posé sur loreiller, une mèche de cheveux sur le front et le souffle de sa respiration glissant vers moi. Notre parenthèse magique prit fin au petit matin. Nous avons pris notre petit déjeuner dans une brasserie anonyme du quartier. Nous ne nous sommes presque rien dit. Cétait notre secret...jusquà ce que je le partage avec vous.
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