La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 562)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°561) - Définitivement marqué MDE – (2/2) -

soumis Endymion MDE d’un pas décidé s’approcha, le Maître lui attrapa un bras et le fit installer comme il l’exigeait, sur ce siège basculant et hautement équipé. Une fois assis, Madame Marie et Monsieur Walter attachèrent solidement l’esclave MDE par des sangles larges et épaisses. Ils posèrent ensuite des bracelets aux chevilles de soumis Endymion MDE, les fixèrent à une potence qu’ils relevèrent par un ingénieux système de poulies au mécanisme électrifié. Dos maintenant à l’horizontal, cul relevé, les jambes largement écartées à la verticale regardant le plafond, soumis Endymion MDE ne pouvait plus bouger. Monsieur le Marquis fit le tour du fauteuil et posa lui-même les capteurs-électrodes sur la tête de Son esclave MDE, on eut pensé qu’on allait lui faire un électro-encéphalogramme ! Monsieur le Marquis toujours, s’employa à ajuster ce fameux tube dont il avait parlé à Son chien soumis près de sa fesse droite à quelques dix centimètres d’elle. Il montra brièvement à soumis Endymion MDE, la petite pastille métallique comportant les Initiales MDE avant de la visser contre la butée du tube de façon à ce que les trois lettres en deviennent l’embout du tube.

- Tu es toujours bien d’accord, Mon chien ? Car il est encore temps de te rétracter, ce que je comprendrai et accepterai, car un tel acte de Propriété absolue envers toi, une telle marque d’Appartenance envers Moi doivent avoir ton plein consentement…
- Oui Maître, je le veux…, répondait l’esclave MDE sans aucune hésitation.

soumis Endymion MDE, bien qu’angoissé souhaitait ardemment cette marque indélébile gravée à jamais dans sa chair. Angoissé certes mais si heureux, si épanoui de se sentir entouré de ses deux sœurs soumises MDE, de voir aussi que seuls les très proches du Maître étaient là, une cérémonie intime souhaitée par le Maître… Entre ses cuisses écartées soumis Endymion MDE voyait aussi franckdocile excité et semi suspendu.

Pourquoi le Maître l’avait-il convié lui aussi, alors qu’il venait tout juste d’arriver au Château ? Voulait-il lui montrer ce qu’était un véritable esclave MDE ? L’idée d’être montré en exemple excita soudainement soumis Endymion MDE. Le Maître avait détaché soumise Phryné MDE, l’avait attrapé avec fermeté par sa chevelure et l’avait conduit près de Son esclave mâle. La femelle MDE n’avait pu retenir des petits cris mélangés à des petits gémissements d’excitation.

- Passe ta langue de chienne sur la nouille encagée de ton frère de slavitude, lui ordonna le Maître.

La bite du mâle soumis n’avait guère besoin d’être sollicité. Mais la douce et experte langue de la femelle MDE, glissant sur cette cage n’arrangea pas les choses. Les attributs virils du mâle cherchaient à se déployer… soumise Laïs MDE, elle aussi fut détachée et entraînée, avec la même poigne Dominante, au centre de la pièce, elle dut se mettre accroupie, cuisses largement écartées. Le Maître lui tendit un gobelet plastique et lui ordonna d’uriner dedans. Lorsque le verre fut rempli, Monsieur le Marquis approcha soumise Laïs MDE près de soumis Endymion MDE et lui expliqua ce qu’elle devrait faire jusqu’à ce que Son chien soumis soit marqué :

- Tu vas t’occuper des tétons de Mon chien, les lui pincer fortement, sévèrement… J’ai bien dit sévèrement, tu entends Laïs MDE,
- Oui Maître, répondit-elle quelque peu embarrassée.
- Si tu n’exécutais pas à la lettre Mes ordres, tu serais sévèrement punie, tu le sais !
- Oui Maître.
- Tu devras aussi lécher à grands coups de langue le visage, le cou, le ventre de ce chien soumis, tu devras également lui cracher dessus, le griffer, le gifler, le souiller de ta cyprine en lui faisant bouffer ta chatte de temps en temps, pour cela tu vas t’installer sur ce haut plateau-estrade monté sur un système élévateur afin que tu puisses te trouver à hauteur et portée de son visage, tu as compris Ma chienne !

soumise Laïs MDE répondit par un ‘Oui Maître’ hésitant… En effet, Le Maître lui demandait d’être sadique et perverse envers son frère de slavitude, une bien dure épreuve pour elle…

- Je le veux chienne, tu entends JE LE VEUX ! reprit le Maître d’un ton plus ferme et plus Dominant encore.
- Oui Maître, je… je ferai ce que vous m’exigez Vénéré Maître.

Monsieur le Marquis d’Evans attrapa de nouveau par les cheveux, soumise Phryné MDE, toujours préoccupé à satisfaire les premiers ordres reçus du Maître.

- Quant à toi Ma chienne Phryné, de ta hauteur et donc de l’autre côté, tu vas pomper cette salope, mais attention, seul son gland sera accessible, tu vas comprendre pourquoi dans un instant. Tu vas bien exciter ce chien et je veux que ta bouche le fasse jouir, éjaculer son foutre de sa nouille. Mais pendant que tu le suceras, tu auras aussi le devoir de lui travailler les couilles, de lui les malaxer, de lui les tirer, de lui les , lui les tordre. Tu as bien compris ? Je veux que tu lui mélanges petites douleurs et grands plaisirs…
- Oui Maître Vénéré, lui répondit soumise Phryné MDE, elle aussi un peu angoissée par les tourments qu’elle devra imposer.
- Une dernière chose encore, le chien soumis MDE t’avisera lorsqu’il sera sur le point d’éjaculer, c’est à ce moment précis qu’il sera marqué, tu te retireras alors de lui et le laissera répandre son foutre sur son abdomen, comprit ?
- Oui Maître Vénéré.

Le Maître sortit une toute petite clé à Allen de sa poche et s’approcha de la cage de chasteté du chien soumis MDE. Il la pointa sur une toute petite vis à six pans presque invisible, une partie de la cage, juste celle enserrant le gland, qui, après un petit tour de clé, s’ouvrit tel un couvercle monté sur une petite charnière. Le gland du chien soumis MDE, libéré et violacé émergea subitement. En revanche, toute la hampe de sa bite resta bloquée dans l’autre partie de la cage de chasteté, tenue pour le moment bien serrée. Mais pas pour longtemps car Monsieur le Marquis d’Evans, de sa télécommande, desserra les anneaux de la cage au maximum afin de laisser un peu d’espace libre à la nouille du chien soumis pour qu’il puisse bander suffisamment et donc pour atteindre une éjaculation dans cette bandaison limitée certes par la cage, mais possible grâce à cette possibilité d’être en érection. Cette cage de chasteté était donc vraiment bien conçue !

L’esclave MDE poussa donc un long soupir de soulagement, enfin sa queue était en semi-liberté. Au même moment, il entendit le claquement d’un fouet, puis un cri, celui de franckdocile ! Tel que soumis Endymion était placé, entre ces jambes écartées, il pouvait assister au spectacle de cette flagellation. Monsieur Walter distribua un second coup sur l’abdomen de ce jeune chien soumis, il cria encore sa douleur et son plaisir en même temps évident, car ce jeune esclave bandait terriblement. Le troisième coup annonça le début de ce Grand Moment qu’était le Marquage pour soumis Endymion MDE, ses deux sœurs soumises s’employèrent à respecter rigoureusement les ordres reçus. Les doigts de Laïs MDE s’agrippaient aux mamelons du chien soumis MDE, les lui tordaient vicieusement et vigoureusement, ceux de soumise Phryné MDE s’étaient emparés de ses couilles, mais au lieu de les lui comprimer, elle lui caressait ses parties tendres et souples. Elle reçut immédiatement trois coups de cravache sur le cul pour la rappeler à l’ordre. Alors elle pressa, comprima, étira ces parties sensibles, sa bouche goba le gland turgescent, ses lèvres l’aspiraient complètement. soumis Endymion MDE se mit à geindre, tant par la douleur que par le plaisir irradiant tout son être. Les capteurs-électrodes faisant leur fonction, l’esclave MDE vit le tube gris pointant sur son cul changer de couleur, il virait déjà au jaune. Le chien soumis MDE savait que, lorsqu’il passerait au rouge incandescent, alors il serait marqué à jamais.

Tiraillé par son désir de jouir et par la crainte du marquage, soumis endymion MDE parvenait à contenir son éjaculation, alors qu’il était en manque de jouissance via l’abstinence imposée depuis longtemps, mais pour combien de temps encore ? Les douleurs jouissives infligées par ses deux sœurs de soumission, gifles, crachats et griffures, de ses seins et couilles avec en plus les caresses buccales de Phrynée MDE sur son gland gonflé et donc prêt à exploser, lui procuraient une montée d’excitation sans précédent, de mémoire d’esclave ! Tout était fait pour exacerber au maximum son excitation et ses plaisirs masochistes. Il était également excité par les cris de franckdocile et de son regard porté sur lui. Lui au moins pouvait exhiber son sexe droit et dur, lui avait encore cette chance, mais pour combien de temps encore ? A chaque fois que le tiraillement de ses parties intimes devenait plus intense et de plus en plus à la fois insupportable et jouissifs, soumis Endymion MDE tentait de se débattre et criait un peu mais aussi gémissait de plaisirs, tant les soins prodigués avec raffinement et voluptés par Laïs MDE et Phryné MDE lui étaient douloureux mais aussi tellement bandant.

Et à chaque fois, Laïs MDE lui offrait sa vulve, dégoulinante de cyprine, à lécher pour le calmer et le faire taire. Elle lui crachait au visage régulièrement pour satisfaire les Volontés du Maître, elle étirait sa bave à grands coups de langue sur le visage souillé. soumis Endymion MDE se sentait couvert d’ignominie, d’abomination, le déshonneur et la dégradation le conduisaient vers un avilissement extrême, jamais connu encore jusque-là ! Mais quel bonheur immense, pour lui de ressentir tout cela, tout en même temps. Et plus il était dans la fange, l’indignité et l’infamie, plus le tube jaune arborait des tons orangés, démontrant ainsi à lui-même ainsi qu’à l’entourage, qu’il n’était qu’un pervers masochiste habité par le démon de la chair et par les douloureuses et excitantes intentions du Maître. Il retenait encore sa jouissance, en serrant les fesses, mais la contraction musculaire de son fessier n’avait pas échappé à Monsieur le Vicomte très attentif au déroulement de la situation. Il actionnait à ce moment précis la petite télécommande et l’œuf toujours placé au plus profond de son intimité, dans son fondement, se mit en action pour lui procurer un suprême plaisir supplémentaire irradiant de spasmes intenses tout son corps… Les capteurs-électrodes placés sur la tête de soumis Endymion MDE enregistraient toutes les vibrations intimes du chien soumis MDE qui ne tenait plus, qui se tordait de plaisirs incroyables du peu qu’il pouvait étant solidement sanglé...

- Oh… ah… Maî… Maître ! … Aahhhh… peux plus tenir… Aahhhh … trop bon…. Aaaaaahh …. Je vais…. Aahhhh….

Le tube orangé sur lequel était fixée la pastille portant les Nobles Initiales de Monsieur le Marquis d’Evans était devenu orange foncé virant au rouge vif. Le chien soumis MDE sentit une intense chaleur près de sa fesse droite. Il tenta une dernière fois de contrôler son corps, son psychisme :

- Maître… Aahhhh… je vais… Aahhhh…je vais… Aahhhh…

soumise Phryné MDE comprit qu’il était temps pour elle de se dégager de la queue du chien soumis prête à laisser éclater son foutre. soumise Laïs MDE, elle au contraire, tellement excitée par l’action, se mit à califourchon au bord de son plateau-estrade et ainsi sa chatte dégoulinante de cyprine se trouvait très proche du visage de l’esclave MDE, cuisses écartées, vulve offerte, ouverte et ruisselante sur la bouche de soumis Endymion MDE et précisément, à cet instant, le chien soumis MDE éjaculait abondamment par saccades successives en même temps que le tube bouillant s’enclenchait dans un mouvement ultra rapide pour venir frapper sa fesse droite et le marquer à jamais de l’empreinte de la pastille des trois Nobles lettres sur sa peau tendre. Le chien soumis hurla de douleur, de plaisir, laissant échapper aussi toute l’angoisse accumulée depuis l’annonce de ce marquage ! Un hurlement de douleur à faire trembler les murs de cette Auguste Demeure, hurlement insolite car peu courant tant il était accompagné de longs cris de jouissance de plaisirs extrêmes… Il sentit l’odeur caractéristique de la peau grillée, il vit une petite fumée blanche se dégager de sa fesse droite, alors que le bouillant tube-empreinte se retirait déjà pour revenir en butée reculée dans sa glissière, il tremblait… de tout son corps ébranlé de toute son âme éprouvée ! C’était fini pour lui, il était et serait, pour toujours marqué à vie, un esclave MDE… L’émotion fut-elle, qu’il se mit à chialer tel un gamin… Des grosses larmes roulèrent sur ses joues et se mêlèrent aux intimes sécrétions de soumise Laïs MDE, qui, elle aussi, avait joui sous l’autorisation du Maître. Les deux soumises MDE eurent pour ordre de câliner leur frère de soumission, elles l’embrassèrent de partout avec affection évidente, elles lui firent de tendres baisers, des caresses d’une douceur inouïe afin d’apaiser l’esclave MDE de tant d’émotions.

- Me… Merci Maî… Maître Vénéré … merci infiniment pour tout ce que vous faites pour moi, Votre chien MDE.

Telles furent les premières paroles lorsque soumis Endymion MDE reprit ses esprits.

Le Maître ne voulant sans doute pas se laisser débordé par l’émotion et la joie, attrapa le verre rempli de pisse de soumise Laïs MDE et le lui jeta à la figure; ultime humiliation pour lui faire comprendre qu’une nouvelle étape dans sa vie de chien-soumis MDE venait de commencer.

- Jamais, plus jamais, chien… tu ne jouiras sans éprouver la douleur et le plaisir à la fois, tel sera ton destin du masochiste esclave MDE assumé que tu es dorénavant marqué dans ta chair de Ma propriété !

franckdocile avait été détaché, toujours en rut, son corps était bien zébré. Le Maître le fit s’avancer et se pencher près de soumis Endymion MDE et Lui ordonna :

- Lèche son foutre salope ! Avale tout.

Et le jeune chien, sans se faire prier, obéissant aux ordres, passa sa langue à plusieurs reprise sur l’abdomen de soumis Endymion MDE…

(A suivre…)