Moi Julie B ....Employée Modele

Moi Julie B. vingt trois ans, je vais vous raconter une tranche de ma vie, à cette époque je n’avais que dix huit ans, sans expérience sexuelle donc vulnérable…
Un jour j’ai croisé la route d’un homme plus âgé que moi, ce fut un coup de foudre, pour moi, je me suis vite aperçue que c’était réciproque, cet homme m’a manipulé et j’ai obéis trop heureuse de lui faire plaisir
Cet homme de quarante ans est tout simplement le patron du magasin de lingerie où je travaille comme vendeuse, mon premier job, très vite il m’a fait comprendre ses ambitions, à savoir servir de mannequin pour certains clients et sans doute en profiter lui-même ! Mais il n’ose pas passer à l’acte redoutant que sa femme découvre une liaison adultère

- Tu es jeune et bien faite Julie j’ai de très bons amis qui ont l’habitude d’offrir des sous-vêtements coquins et ce n’est pas pour leurs femme si tu vois ce que je veux dire... avant d’acheter ils se demandent toujours ce que donneront les sous-vêtements sur la femme
- Vous voulez que je serve de modèle ?
- Tout à fait, sache que mes amis ne seraient pas ingrats, ils te fileraient un très bon pourboire pour cela
- Je vais y réfléchir car j’ai grand besoin d’argent, mon appartement en ville me coute un bras
- Si tu accepte je suis prêt à te donner une rallonge sur ton salaire
- Combien ?
- Trois cents ???
- Heuuuuuuuu …
- Cinq cent de la main a la main ? je ne peux pas plus sinon ma femme va me pourrir la vie
- Je suis d’accord, mais il n’est absolument pas question que l’on me touche
- C’est évident ! merci ma petite Julie tu es formidable

La suite ne s’est pas faite attendre deux jours plus tard, juste avant la fermeture un homme d’une cinquantaine d’année est entré, David mon patron et lui sont tombés dans les bras l’un de l’autre en se congratulant

- Antoine ! mon vieil ami !
- Comment vas-tu David ?
- Bien, très bien, j’ai enfin trouvé la perle rare
- De quoi parles-tu ?
- De Julie ma nouvelle employée
- Cette petite jeune fille ? elle est très belle !
- Il n’y a pas que ça, Julie est mon top-modèle
- Tu veux dire qu’elle peut faire des essayages pour des clients indécis ?
- Exactement, Julie ?
- Oui patron ?
- Viens un peu par ici, je te présente Antoine un vieux copain et fidèle client
- Enchanté monsieur Fred
- Tout le plaisir est pour moi divine apparition
- Que désires-tu voir aujourd’hui ?
- C’est pour ma.

.. femme, tu comprends ?
- Ne te donne pas la peine, Julie n’est pas dupe, quel âge a ta protégée cette fois ?
- Ne t’inquiète pas elle est sexuellement majeure, et la même constitution que Julie, montre moi ta nouvelle collection coquine

Tandis qu’ils parlaient à voix basse devant des sous vêtements étalés je me trouvais au pied du mur … Accepter ? Refuser ? Est-ce que j’avais véritablement le choix, j’allais devoir m’exhiber devant ces vieux chnoc, pourquoi ma chatte réagissait-elle ainsi ? La bulle qui éclate dans ma culotte ne trompe pas, ça m’excite !

- Julie ?
- Oui monsieur ?
- Tu vas passer ça sur toi
- Par-dessus mes sous-vêtements ?
- Tu es folle ? quitte tout, fait vite Antoine est pressé
- Bien …

Comment lui expliquer que je vais certainement tacher le string avec ma mouille ? Les sous-vêtements enfilés, ventre noué j’ouvre le rideau de la cabine …

- C’est un mirage ?
- Non vieux, c’est bien ma jeune vendeuse ! quelle apparition …
- Approche Julie … tourne ? encore ? regarde ce balconnet comme il galbe bien le sein
- Et le string ?, il disparait entre les fesses et pourtant elles sont loin d’être imposantes ! tu permets Julie ?
- Bien sur …
- Regarde David comme le mont de vénus est bien dessiné
- Et les lèvres ? c’est comme si elles n’avaient rien dessus ! penche-toi bien en avant, écarte un peu les jambes ….

Je m’exécute, les doigts posés sur mes pieds, sachant la vue que je leur offre je commence à mouiller grave, soudain le dos d’une main effleure mon minou, du moment que les doigts n’essaient pas de passer sous la culotte je laisse faire

- Que c’est doux au toucher …
- Tu permets que je teste aussi ? ah ouuiiiii
- Arrêtez, sinon je vais tacher la culotte !
- Ce n’est pas grave je l’achète, tu vois comme le contour du sexe est bien dessiné ?
- C’est comme s’il n’y avait pas d’étoffe, quelles lèvres fines, tu ne doit pas t’ennuyer avec ta protégée ?
- Voyons Antoine je suis fidèle à ma femme, et puis c’est mon employée
- Je peux me relever ?
- Oui, remontre-nous le balconnet
- Oh ! je crois bien qu’un téton s’est échappé !
- Laisse, ça ne fait rien, tu as de belles aréoles dit donc
- Oui, elles sont larges, ça signifie quelque chose ?
- Nous aimons dire entre homme que ce sont des femmes chaudes
- Je ne sais pas toi Antoine mais tout ça m’émeut
- Tu veux dire que tu bande ?
- J’ai de la peine à le cacher, regarde
- Ouuuuh ! ça c’est une érection ! je serais un menteur si je disais que je suis zen !
- Que va-t-on faire de ça ? la petite… ?
- N’y pense même pas ! Julie ne peut rien pour nous, d’ailleurs elle va partir, il nous reste le poignet
- Laisse-nous le string, il va nous être utile

Sitôt dehors j’ai regrettée de ne pas être restée, quelle sotte j’ai été, ma chatte n’arrête pas de couler, j’aurais aimé les exciter davantage, aussi je suis passée en urgence a la superette pour acheter deux belles courgettes qui auraient pu ressembler aux queues des hommes qui doivent ce branler en ce moment
A l’appart mon premier geste a été de faire chauffer de l’eau pour réchauffer mes précieux légumes a température humaine, ensuite de me déshabiller et de m’allonger devant un miroir bien placé au pied du lit, mes pouces ouvrent ma chatte trempée, rougie par un afflux de sang
La première courgette entre lentement, est-ce que leurs queues sont noueuses ? Mon légume me semble trop lisse, la pénétration devient vite fade, après quelques vas-et vient le passage est fait j’att l’autre verge artificielle et force le passage, ma vulve est très étirée… comme l’auraient fait leurs bites ….
Comme je regrette d’être partie …quand reviendra ce client ??? , ils m’auraient prise par-derrière ?
Je dois essayer …. Du lait solaire fait office de lubrifiant, mon anus s’ouvre progressivement, a mon rythme, sans me faire souffrir inutilement comme le ferait un amant trop pressé, après avoir jouis quatre fois je me suis endormie, repue et gavée, la chatte et l’anus en feu

Le lendemain mon patron m’accueille avec un large sourire

- Merci de ta prestation Julie, mon pote est tombé sous ton charme, voici l’enveloppe qu’il t’a laissée
- Il reviendra ?
- C’est marrant que tu me pose cette question, j’allais justement te parler de ça… j’envisage de faire une soirée ‘porte ouverte’
- C’est une bonne idée pour attirer les clients et clientes
- C'est-à-dire, ce serait un soir et uniquement pour mes amis
- Ha ? je vois, encore des essayages à faire ?
- Tout à fait, serais tu d’accord ?
- Avec plaisir, j’ai un peu regretté d’être partie trop tôt hier soir
- Pas autant que nous ! Antoine et moi nous somment soulagés a la main avec en tête ta sublime apparition
- Je n’ose pas vous raconter ma soirée mais …huuummm ! c’était chaud quelque part !
- Mince alors, nous somment tous passés à cote de quelque chose de torride ?
- C’est exactement ça
- Alors notre soirée porte ouverte…
- Sera vraiment une soirée ‘portes ouvertes’ !
- Je les appelle de suite
- Combien seront nous ?
- Quatre en tout, tu verras, ils sont au top sinon ils ne pourraient pas satisfaire de jeunes maitresses

Mentalement je revoyais les différentes possibilités, je peux facilement occuper quatre mecs, j’allais passer a la casserole pour de bon cette fois ! Enfin d’après midi Adam m’a demande de choisir quels modèles je voudrais porter le soir devant les hommes, j’en ai choisi quatre ça suffira amplement a leur mettre le feu, le clou sera un dessous en fourrure blanche, comme si j’avais un petit lapin entre les jambes et une touffe sur chaque sein
Un quart d’heure avant la fermeture Adam presse la dernière cliente à faire son choix, il est très excité lorsqu’il me demande de me préparer

- ils vont arriver, va te préparer Julie, tu trouveras tout dans la cabine
- j’y vais patron

Une fois nue, a part des escarpins a hauts talons, je me regarde dans la glace, j’y vois une fille prête a tout …je frotte ma toison pour lui faire un brushing puis j’enfile religieusement le mini triangle de soie qui cache a peine mes lèvres, je noue les cordelettes sur mes hanches, si ça ne fait pas bander un homme normalement constitué je n’y connais rien, puis c’est a tour du soutient gorges sans armatures, ma poitrine s’en passe largement ! Quelle douceur, comme il est agréable a porter, vu le prix c’est plus que normal ! Dans le magasin des voix s’élèvent, ils sont là …

- Julie ?
- Oui monsieur ?
- C’est quand tu veux
- J’arrive …

A peine le rideau tirés des sifflements admiratifs fusent, je me déhanche à outrances mettant ma poitrine et mon cul en valeur, je passe entre ces messieurs qui bavent en silence

- Fait quelques tours sur toi-même chérie …montre nous ce que tu porte si bien
- Que c’est beau
- Quelle belle pouliche
- Désirez vous que je me penche ?
- Nous allions te le demander …

C’est partit !..... Les jambes écartées je me courbe lentement jusqu'à ce que mes mains touchent la moquette, ils se regroupent tous derrière moi …

- Vous pouvez toucher les gars, le tissu bien sûr !
- Merci David
- Chacun son tour, ne bousculez pas mademoiselle

Des doigts suivent le contour du vêtement, passent sur ma motte en s’y attardant une seconde, je frissonne mais ne dis rien

- C’est vraiment doux
- Un rien l’habille
- Montre-nous le soutien-gorge Julie...
- Le contenant est bien, mais le contenu est fantastique !
- Fait leurs plaisir, sort un sein de sa cachette
- Attend ! je vais le faire

Du coup deux admirateurs sortent mes deux seins en même temps, je suis pelotée, caressée, mes tétons s’éveillent, sentant les gars s’exciter David met le haut-là

- Va vite passer l’autre modèle avant que ces voyous ne te violent !
- Je ne me laisserais pas faire !

Je reviens et comme précédemment me montre sous toutes les coutures et les doigts se font de plus en plus curieux, les braguettes de plus en plus gonflées, les chemise ouvertes sur des torses velus, plus ça va plus je suis humide entre les cuisses, j’ai hâte de passer le clou de la soirée : mon ‘petit lapin’ … advienne que pourra …de nouveau le silence m’accueille, je me frotte comme une chatte sur chaque hommes en rut qui laissent vagabonder les mains sur moi ? et pas n’importe où …ils sont rouge, en sueur, je m’accroche au cou de celui que je préfère, ou plutôt a celui qui a la braguette la plus déformée, cette fois j’ai mis le feu , a moi de l’éteindre

- Vient là petite, colle toi sur papa
- Soyez raisonnable, je ne suis qu’une petite fille
- Ne te l’accapare pas toute a toi profiteur
- Oui et nous ?
- Qu’attendez-vous ?....
- Au diable ces morceaux de soie, baisons là

C’est fini, je suis soulevée, portée, les vêtements délicats sont littéralement arrachés sous les yeux horrifiés de David qui se décide à poser lui aussi les mains sur moi, je me retrouve allongée sur la moquette, jambes ouvertes, vite visitée par un bouche avide, tout comme mes seins , soudain deux bites bien dures et bien grosses se posent dans mes mains, les quatre hommes sont occupés a me peloter lécher, triturer, mon anus n’est pas épargné, ma bouche s’ouvre pour gober un gland humecté de jus, une forêt de testicules se balancent au dessus de moi, très vite je jouis sous la langue experte qui fouille ma chatte,

- Apportez la sur le bureau, se sera plus facile pour la baisser a tour de rôle
- Oui il a raison !

De nouveau transportée dans les airs je me retrouve sur le bois frais, quelqu’un pose mes jambes sur ses épaules avant de m’embrocher sans ménagements, je reconnais que mes courgettes n’avait pas la même texture, la queue doit être noueuse et épaisse car mon vagin est merveilleusement étiré en tous sens, que c’est bon de se faire baiser par des adultes expérimentés, je sens des paquets de sperme s’écraser sur différents endroits de mon corps aussitôt étalé par des mains vigoureuses , tient …mon amant s’arrête déjà ?

- Je lui remplis le con les gars ! Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhnnnnnnnnoooooooonnnnnnnnnn !!! merde c’était trop bonnnn ! pas déjà !
- Laisse vite la place
- Attend je vais lui bouffer la moule, j’adore quand elle recrache sa crème
- Faudrait trouver une position pour la prendre a deux, je vais m’allonger sur la moquette, posez lui la cramouille sur ma pine

Prise sous les bras et sous les cuisses ont me déplacent encore, un manche pèse sur ma motte, des doigts aident à introduire la pine avant que mon propre poids fasse le reste, une fois a genoux ont me pousse en avant, des mains vérifient que le jus recouvre bien mon anus

- Va-y tu peux y aller, la petite est prête,

Tandis qu’un gland perce mon conduit secret deux autres se présentent à ma bouche, je n’ai pas le choix que de les téter l’un après l’autre, l’odeur et le gout du foutre séché m’écœure un peu, vite surpassé par les membres qui me dilatent le bas ventre en me labourant méthodiquement, combien de temps s’est écouler jusqu'à ce que les verges déchargent en rafales mettant un terme a mes orgasmes ininterrompus
Les mâles une fois les couilles vides se congratulent, me laissant courbaturée, la tête vide mais la chatte et le cul débordants de semence

- Déposez les enveloppes pour Julie sur le bureau et laissez nous les gars
- OK fait lui prendre une bonne douche
- Quand nous revoyons nous ?
- Je vous passe un coup de fil, allez ouste !

La porte se referme enveloppant le magasin d’un silence apaisant

- Ma petite fille, nous sommes seuls, écarte les cuisses, je vais te faire l’amour comme a une princesse
- Mange-moi le minou avant de t’enfoncer en moi ….…

Depuis, une fois par mois je suis littéralement assaillie par ce groupe d'hommes, et tous les jours David me baise mais avec les généreux pourboires mon appartement est devenu un nid très douillet !