En Club Libertin Près De Genève.
Il y a quelques semaines, jétais en déplacement professionnel à Genève. Comme je le fais pratiquement chaque fois que je suis ainsi en voyage, jexplore les lieux de libertinage. Renseigné par le portier de mon hôtel, je me suis rendu au Nymphéa Club où justement ce soir là avait lieu une soirée libre. Je repris donc ma voiture et je repassai la frontière.
Situé dans une belle maison de maître au milieu dun parc, le club me sembla tout de suite très sélect. Après avoir été accueilli par un portier à la carrure impressionnante, je me suis tout dabord dirigé vers le bar où jai commandé un verre. Jai ensuite déambulé dans la grande salle du bar et les divers salons très bien équipés et confortables où de nombreux couples se trouvaient déjà, plus ou moins dénudés et plus ou moins avancés dans les ébats libertins. Il régnait partout une lumière rougeâtre atténuée dispensée par des spots ou des bougies qui créaient une ambiance excitante, propice à ce que les clients venaient chercher là.
Au milieu dun des salons se trouvait une sorte de podium, en fait un immense lit rond, où deux filles denviron trente ans étaient en train de se déshabiller mutuellement tout en échangeant des caresses et des baisers très sensuels. Lune était plutôt petite, environ 1,60m, des cheveux très brun tombant sur les épaules, avec un visage mince et une jolie poitrine bien ronde. Cétait à nen pas douter une latine dorigine espagnole tant sa peau était mate. La seconde, un peu plus jeune mais aussi nettement plus grande avait une paire de seins hauts perchés dun très beau volume et sa taille mince très cambrée. De longs cheveux noirs venaient parfois lui masquer une partie du visage. Toutes les deux étaient encore en soutien gorge et string. Mais elles nont pas tardé à les ôter et elles sont apparues aux yeux des spectateurs dans toute la splendeur de leur nudité généreuse de femmes matures. Toutes les deux avaient le pubis glabre, dépourvues de piercings et de tatouages ce qui est assez rare dans ce milieu du libertinage.
Jai su plus tard dans la soirée que la première se prénommait Mary-Lou et la seconde Natacha. Etait-ce leurs vrais prénoms ? Je nen sais rien mais cela importe peu. Natacha sest placée derrière Mary-Lou en collant sa généreuse poitrine contre les omoplates de sa complice et, prenant ses seins dans les mains, elle faisait rouler les tétons dardés entre ses doigts. Cela devait être bon car Mary-Lou respirait rapidement, creusant son bas ventre et frottant ses fesses contre le pubis de Manuela. Soudain, elles ont basculé sur le côté et se sont mises dans la position du 69, Mary-Lou sur Natacha. Elles ont commencé à se caresser les fesses et lentrejambe puis elles ont poursuivi par un cunnilingus. Doù je me trouvais, je voyais distinctement la chatte de Mary-Lou nimbée de mouille dans laquelle Natacha faisait coulisser deux doigts, sa raie des fesses ouverte et son anus tout plissé. Je suppose que le même spectacle devait soffrir aux spectateurs qui se trouvaient en face de moi car les deux brunes étaient devenues le centre dintérêt du salon, tout le monde, femmes et hommes les regardaient mais personne nosait les rejoindre sur le podium. Soudain elles ont joui presque en même temps. Elles ont roulé sur le dos toujours tête-bêche, les cuisses ouvertes et les bras en croix, leurs généreuses poitrines offertes aux regards des voyeurs.
Quattendaient-elles ? Quun beau mâle vienne les saillir ! Cela ne tarda pas. Un grand noir avec une bite de belle taille dressée devant son bas ventre est monté pour les rejoindre. Il dit quelques mots à loreille de Natacha et après avoir mis un préservatif, il lembrocha vigoureusement. De son côté Mary-Lou avait été rejointe par un des voyeurs qui la fit se relever et mettre en levrette. Protégé lui aussi, il investit dune seule poussée jusquà la garde la chatte qui soffrait à lui.
Je nétais pas en reste, une jolie brunette de vingt ans tout au plus, entièrement nue, très typée latino avec des cheveux tombant à hauteur des reins au dessus de la taille très cambrée, sétait mise à genoux devant moi.
Alors que je sentais que jallais jouir dans sa bouche, je me retirai et je lemmenai dans un angle du salon où il y avait un divan. Je fis voler rapidement le reste de mes vêtements et je lui demandai de se mettre elle aussi en levrette.
Oh oui ! Prends-moi comme cela ! Jadore ! Mais ne me prends pas que la chatte ! Sodomise-moi à fond !
Je nen demandais pas tant. Ma première baiseuse de la soirée aimait se faire prendre par la porte de service. Je me suis couvert et après quelques mouvements dans son vagin qui était chaud et humide, je plaçai mon gland contre son anneau plissé pour lui signifier que jallais la prendre par derrière. En fait cest elle-même qui a introduit ma bite dans son cul en le poussant vers moi.
Jai été surpris de la facilité déconcertante avec laquelle jétais entré. Ses fesses lovées dans le creux de mes hanches, Monica a entrepris un mouvement tournant tout en massant ma queue avec ses muscles intimes. Waouh ! Douée la fille et chaude comme la braise ! Nous navons pas tardé à jouir tous les deux. Je déversai dans le préservatif une bonne dose de sperme et je sortis de son cul. Elle me le retira et le jeta dans le récipient prévu à cet effet. Nous sommes allés prendre un rafraîchissement au bar où nous avons bavardé un peu avant de nous séparer. Dorigine brésilienne elle vivait habituellement à Paris où elle était étudiante.
Au cours de la soirée, jai croisé Mary-Lou que jai baisée dans la position de la balançoire. Elle aussi ma tiré quelques bonnes giclées de sperme. Pendant quelle me chevauchait, elle faisait une fellation à un autre participant de la soirée. Elle était insatiable. Jétais le troisième à la baiser et elle ne semblait pas vouloir sarrêter là.
Jai quitté le club vers quatre heures du matin, les couilles vides, mais javais passé une excellente soirée. Je pensais à cette jeune métisse en quittant le club en direction du parking voisin quand j'ai entendu des gémissements.
J'ai aperçu celle qui peuplait mes pensées du moment. Assise sur la plus haute marche du perron d'un immeuble d'une rue adjacente, sa robe troussée au dessus de ses hanches, son copain lui dégustait le minou à grands coup de langue en la fistant de plusieurs doigts. Quand je suis passé à leur hauteur, Kay me regardais comme si elle m'appelait mais je nen pouvais plus
Mes couilles qui sétaient vidées à plusieurs reprises au cours de la soirée navaient plus rien à offrir
Elle était si belle, si sensuelle et gourmande. A quelques mètres, je jouais les voyeurs tellement le spectacle était érotique et excitant. Soudain il s'est mis à pleuvoir de plus en plus fort, ce qui n'empêchait pas les deux tourtereaux de continuer leurs ébats. Elle le repoussa pour se mettre à le sucer si fort que je croyais qu'il allait exploser. Puis il la retourna face au mur où elle prit appui pour maintenir son équilibre. Courbée en avant, il saisit les hanches de Kay et l'embrocha violemment.
J'étais toujours là à les observer. Ils se rajustèrent et virent vers moi qui était toujours figé sous la pluie, croyant rêver alors que ce que je venais de voir était bien réel. Quand ils sont passés à ma hauteur ils ont semblés surpris. Elle dit quelque chose à son copain tout en séloignant bras dessus bras dessous. Nous étions trempés par la pluie mais j'avais passé une de mes plus belles soirées de coquinerie.
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