Baise Filmée Avec Mon Mari Dans Un Parking Souterrain : Ii. Vendredi Soir

Mon époux et moi profitons bien de la Porsche, malgré le fait qu'il a failli renversé quelqu'un tellement il conduit vite !
Ce vendredi après-midi, nous avons fait une longue balade en voiture loin de la ville, c'était l'éclate totale en reprenant les termes de mon chéri.
Nous avons fait ensuite du shopping, il m'a acheté un nouvelle ensemble de lingerie et une magnifique petite robe rouge à décolleté plongeant que j'ai revêtit aussitôt, surtout qu'elle est drôlement bien assortie à mes escarpins noirs vernis.
Très heureuse de ma journée, perchée au bras de mon Amour, nous avons fait un rapide dîner dans notre chez-nous avant d'aller à un bar chic qui sert des cocktails juste divins.
Nous nous sommes attardés las bas puis à minuit passé, nous sommes enfin partis pour une virée nocturne, mon mari voulait qu'on aille en discothèque, j'ai refusée net, n'ayant nullement envie de me mélanger aux autres, de devoir boire davantage et surtout de danser !
Il a fini par se montrer conciliant, mais m'a promis qu'il allait me défoncer...
J'ai souri, déjà excitée.
Sa large main virile s'est instinctivement portée sous ma robe là où je suis déjà toute mouillée.
Il m'attire à lui et me prie d'attendre encore un peu.
Je dis oui d'une manière bien sage qui le fait rire.
Nous sommes arrivés au parking souterrain avec presque cinq minutes de retard, car nous sommes passés chez nous, où mon homme avait soi-disant un petit quelque chose à récupérer...
Il gare la Porsche à sa place initiale.
Tapi derrière un mur, Marc-André nous attend, son smartphone dernier cri déjà dégainé.
Mon mari lui fait signe rapidement avant de m'attirer à lui pour m'embrasser à pleine bouche devant un Marc-André ébahi, car mon doux mari s'amuse à baisser ma culotte flambant neuve en même temps, une fois cela fait, il s'écrit à notre attention :
— Je vais te baiser dans la voiture cette fois-ci ! Avec un scénario, donc il vaudrait mieux mettre le portable sur le tableau de bord.

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Notre ami, se dépêche d’opérer cette suggestion, un peu déconcerté par l'autorité dont fait preuve l'homme avec qui je vis ma vie...
Une fois, le téléphone placé et notre amie partie, nous grimpons donc dans la voiture, où mon mari prend naturellement place sur le siège conducteur, je me glisse tout aussi vite sur celui qui jouxte le sien.
Mon chéri m'affronte de ses superbes yeux clairs et embraye avec sérieux :
— Je vais improviser un scénario simple à comprendre, tu réponds le plus naturellement possible, entendu ?
— Oui.
— Bien, on va dire que je suis ton patron et que tu as refusé d'effec une quelconque tâche au travail, par conséquent, je te soumets à moi pour te punir, tu n'est pas totalement consentante pour le principe malgré l'excitation que tu as face à mon autorité mais tu es obligé d'accepter pour garder ton travail et puis après réflexion tu me trouves sexy alors ça t'aides à dire oui d'une façon enthousiasmante !
— D'accord, je vois, soufflais-je.
— Je commence à filmer, est-ce que tu es prête ?
— Oui, tu peux y aller, approuvais-je, après m'avoir regardée dans le rétroviseur pour m'assurer que mon maquillage est toujours impeccable...
Il lance donc la nouvelle vidéo, plante son regard dans le mien avec une rare intensité qui me fait frémir et me lance d'un ton grave :
— Tu as un peu de retard donc je te garde encore plus que prévu. Prends-moi dans ta bouche, maintenant...
Je hoche docilement la tête et ouvre ainsi sa braguette, il m'arrête tout à coup en recouvrant ma main de la sienne.
Il ouvre la poche de sa veste pour en sortir une paire de menottes d'acier étincelant...
— Donne moi tes poignets.
Je les lui tends, très excitée, je le suis encore plus lorsque les menottes se referment autour de mes poignets avec un « clic » bien sonore.
Ce qu'il est dur, les poignets emprisonnés, d'arriver à saisir sa verge entre mes lèvres.
En ricanant, il finit par m'aider et me la fourrer d'un grand geste dans la bouche, je commence assez difficilement des va-et-vient, d'un coup de hanche, il s'enfonce au fond de ma gorge, je me dégage un peu et colle mes lèvres tout contre son sexe, hum, ainsi, c'est bien plus facile...
Après avoir laissé échapper accidentellement un gémissement pas très viril, il grogne, claque mes fesses et m'ordonne maintenant de venir me placer sur lui.
J'ai beau m'aider de mes jambes, cela reste exercice fort complexe si bien qu'il m'aide tout à coup...
Bien installé sur lui, je lui demande d'un souffle :
— Monsieur le Boss, pouvez-vous déboutonner un peu votre chemise ?
— Très bien !
À toute vitesse, il en déboutonne la moitié et je me love ainsi tout contre son torse.
Le dos appuyé contre le volant, son sexe rentre en moi, il le sort, le rentre et le sort encore et encore en me donnant un nouvel ordre :
— Mate moi ça, salope !
Je fixe donc l'affrontement auquel se livrent nos sexes respectifs...
Tout à coup, il frotte très fort son gland tout contre mon clitoris, je hurle ainsi de plaisir...
Il s'arrête pour me retourner face au pare-brise, écarte mes fesses et s'enfonce sans ménagement dans mon anus, ses secousses me propulsent violemment contre le volant avant de me ramener contre son torse.
Tout en continuant jusqu'à l'explosion de notre jouissance, il s'agrippe à mes seins jusqu'à y laisser la marque de ses mains.
Lorsque nous avons bien savouré notre orgasme, il se décide à enfin couper la vidéo...
Notre ami vient chercher le portable, très curieux de pouvoir visionner la vidéo, apparemment.
Il nous souhaite une bonne nuit en s'exclamant :
— Reposez-vous bien mes porn stars préférées !
Mon mari et moi éclatons de rire avant de remonter dans la Porsche, le siège conducteur a du sperme, je l'enlève avec un mouchoir et nous revoici alors partis, en direction de notre maison.
Dans notre lit, alors que mon chéri masse mon dos, il me déclare :
— C'était vraiment excitant, ce soir, hein ? Imagine demain et après-midi, je compte tout donner, pas toi ?
— On dirait que tu parles d'un de tes marathons ! Demain soir, je te préviens, c'est toi qui deviendras soumis !
— Hum, arrête j'ai hâte !
Sur ce, je me blottis entre ses bras et nous ne tardons pas à trouver le sommeil...