Ne Te Proméne Donc Pas La Braguette Ouverte (Chapitre8)
Ne te promène donc pas la braguette ouverte !
Chapitre 8.
Je m'étais fait un devoir de partager avec M.H. Toutes les expériences que j'avais pu vivre , afin de les expérimenter avec lui, cela faisait partie de cette sorte de contrat que nous avions passé lors de notre première rencontre.
Donc quand je fus rentré à Marseille, je m'empressais de lui téléphoner afin que nous puissions en converser autour d'un verre.
Et dès le lendemain nous nous retrouvâmes, à la Brasserie des Danaïdes , Là je lui contais mon aventure quelque peu brutale qui m'avait tant marqué.
Je crûs discerner, dans l'attitude de M.H. comme une gène, pas de la réprobation mais un manque de je ne savais quoi.
M.H . ne donna pas d'explication tout de suite , il se contentait d'écouter en sirotant sa bière.
Au bout d'un moment : « Tu sais, me dit-il, ce que tu as vécu est un peu particulier , mais tu as pris des risques. Imagine que tu sois tombé sur un salaud ..!
Nous allons nous organiser pour expérimenter et partager une aventure du même genre mais Tous les deux , je ne te laisserai pas seul ; ce sera encore mieux, tu verra »
Les jours passèrent et M.H. Ne me parlait plus de cette expérience. J'étais un peu déçu, comme s'il ne respectait pas notre pacte...
Mais un soir quelle ne fut pas ma surprise de le trouver discrètement appuyé contre un réverbère qui faisait face à la porte de lofficine, quand je sorti il me fit signe de le suivre un peu plus loin et à distance ; une fois à l'abri des regards indiscrets, ils sarrêta pour me parler.
« Ce soir préviens chez toi que tu vas rentrer tard car je temmène quelque part hors de Marseille.
- Mais que.. ?
- Chut ! Tu verras bien. »
Et sans plus de manière il tourna les talons et s'en fut.
Le soir venu, Je me précipitais impatient, chez mon ami,
Comme à l'accoutumée il vint m'ouvrir sa porte , mais ce soir là revêtu d'un short et d'une chemise légère, chaussé de baskets sans chaussettes .
« Mais je croyais que tu voulais sortir ? Lui dis-je,
- Oui nous sortons mais ne poses pas de question et entre ; regardes sur le fauteuil du salon je t 'ai trouvé de quoi te changer et une paire de tennis , cela devrait t'aller. »
Dans tout ce qu'il avait mis à ma disposition, je choisis des vêtements de foot qui étaient à peu près à ma taille.Et ma foie, avec cette chaleur de fin d'été je m'y trouvais bien à l'aise.
« Tu comptes me faire faire du sport ce soir ? Demandais-je intrigué.
- Oui on peut considérer que c'est du sport , me répondit-il, un sourire aux lèvres.
Bon nous allons manger un morceau de la pizza que je suis allé acheter tout à l'heure et après nous irons récupérer ma voiture »
Le mystère s'épaississait et M.H était de plus en plus énigmatique.
Une demie heure plus tard nous nous trouvions à bord de sa 204 décapotable , nous dirigeant dans Marseille vers l'entrée de l'autoroute Est.
M.H. N'était pas très bavard et la radio à tue tête meublait le silence.
Nous dépassâmes Aubagne pour nous diriger vers Toulon, je commençais à minquiéter et me demandais si cet homme n'était pas soudainement devenu fou.
Au bout d'un certain nombre de kilomètres, la nuit commençait à tomber et M.H. mit son clignotant vers la droite pour emprunter une bretelle qui nous conduisait à une vaste aire de stationnement, en pleine colline avec un bloc sanitaire faiblement éclairé.
De nombreux véhicules y stationnaient , tout feux éteints et de temps en temps certains envoyaient de petits accoues de veilleuses, d'autres roulaient au pas, vitres baissées, comme un manège.
Un parking plus vaste était aménagé en contrebas et trois ou quatre gros camions y stationnaient.
C'est vers ce parking que mon ami se dirigea et vint garer sa voiture non loin des camions en faisant jouer ses codes puis éteignit ses lumières.
« Viens avec moi à la pissotière, j'ai comme une bonne grosse envie »
Je le suivais, assez mal à l'aise dans mon petit short .
M.H. Me prit par l'épaule quand nous entrâmes dans les urinoirs de sorte qu'il m'obligea presque à me placer devant la cuvette proche de celle ou il déploya son beau sexe à la vue des autres occupants, eux qui stationnaient là pour voir, sans doute et faire leur « marché »
Je n'étais pas dépaysé car les édicules je connaissais, Par contre je ne savais pas du tout où nous nous trouvions.
Après un bon petit moment à se secouer le membre et lancer des regards complices aux dragueurs, M.H. Remballa sa marchandise et d'une tape sur le cul me fit comprendre qu'il fallait sortir de là,
Nous fumes suivis par trois mecs à distance et mon copain se retournait de temps en temps pour s'assurer de sa suite. Arrivé à hauteur des camions un des mecs qui nous avait suivi ouvrit la portière de son semi remorque et sifflota en nous faisant des gestes d'invitation ; le visage de M.H. S'éclaira d'un grand sourire , et me prenant par le bras M.H. Mentraîna vers ce grand gaillard .
C'était un mec qui devait avoir à peine la cinquantaine , il était grand, costaud, blond avec une barbe de trois jours et un sourire qui dévoilait une superbe rangée de dents bien blanches.
Il était vêtu d'un combinaison dont les jambes avaient été coupées au niveau des cuisses , les bretelles de sa combinaison délavée ne cachaient pas son thorax bien musclé mais fin et ses bras de camionneur, Une foison de poils frisés ornaient toutes les parties dénudée que laissait entrevoir le vêtement dans la lumière des plafonniers du camion.
Du haut du marche pied de la cabine il ressemblait à ces photos des calendriers publicitaires et cette position permettait dans la peine ombre, de deviner que le bougre était bien doté.
On pouvait dire que c'était un bel homme , et son regard profond et bleuté lui donnait une allure presque angélique.
« Bonsoir !, nous dit-il avec un accent étranger, je vous ai vu tous les deux au bloc sanitaire , vous êtes ensemble tout le temps ? Si vous voulez j'ai une bouteille de whisky avec moi et je me suis dit que ce serait sympa de boire un verre ensemble ; je me suis installé ici pour la nuit je repars demain pour l'Italie, je viens de Cologne en Allemagne .
- Euh oui volontiers , répondit M.H., en effet nous sommes ensemble à la recherche d'un bon moment.
- Montez dans le camion, la cabine est très grande et nous aurons la place pour trois facilement »
L'homme s'exprimait dans un français parfait, seul son accent le trahissait un peu.
Il se mit sur le coté du marche pied et nous invita à grimper ; je suivais mon copain.
Quelle ne fut pas ma surprise quand je pénétrais dans le camion ; la cabine était luxueuse et vaste avec un espace de vie aménagé d'une grande couchette, d'un réfrigérateur et d'une tablette rétractable, au dessous, de petits placards.
Il nous installa sur la banquette passager, après l'avoir retourné face au lit et à la tablette ; Il sorti du frigo le whisky et trois gobelets du placard et les remplit à moitié. Puis tira les rideau ; nous nous trouvions dans un cocon intime, tous les trois...
« Moi c'est Friedrich, mais on m'appelle Freddy et vous ?
-Moi c'est Marc-Henri et le jeune c'est Félix , comme le chat ,« un drôle de minet », si tu voies ce que je veux dire !
- Vous aimez vous amuser un peu ?
- Beaucoup même, répondit M.H. , mais toujours ensemble , ça te plairait ?
- A trois ! Mais ça va être « Noch besser » ! oui super Bon !
- Si tu le dis... répondit M.H. En se rapprochant de lui »
Le beau teuton vint coller sa bouche sur celle de mon copain tout en me mettant la main au paquet,
Les hostilités avaient commencé, et le désir emplissait la cabine, ça sentait bon la testostérone et moi je plongeais la bouche ouverte sur la braguette bien bombée de Freddy.
En peu de temps nous étions tous les trois vautrés sur la couchette Dans un joyeux mélange de sexes humides et bien raides et de bouches gourmandes , de couilles pulpeuses et de trous palpitant.
Toutes les zones sensibles , même « des », que je découvrais , étaient sollicitées et répondaient par des gémissement faisant écho aux mots gutturaux que grognait Friedrich et aux insanités verbales de Marc-Henri, Il y avait une ambiance digne des films pornos du cinéma lÉtoile à Marseille.
Mon ami s'était saisi de ma quéquette et la manipulait avec beaucoup de savoir faire, j 'entendis Freddy cracher sa salive et j'en reçu une belle giclée sur mon trou du cul suivie aussitôt de l'introduction de doigts experts qui dilataient mon trou d'homme, puis une bite vint se présenter à l'entrée, ce ne pouvait être que celle de M.H. Et d'un seul coup ; un seul , le membre bien dure s'enfonça douloureusement dans mon cul , m'arrachant un cri qui se transforma rapidement en râle de plaisir, Freddy me suçait fougueusement la bite avec un art consommé et mon prècum coulait à profusion, mes couilles se gonflaient comme une balle de tennis, douloureuses et bien dures.
Les poils de Freddy me caressaient généreusement les cuisses et le bas ventre et moi de mon côté je me délectais de sa bite turgescente et sa fourrure blonde caressait aussi mes joues glabres.
De son côté M.H. Avait quitté mon cul soulagé et s'était attaqué à la grosse croupe de Freddy.
Des giclées de sperme partaient dans tous les sens, ça jutait merveilleusement et chacun dans l'excitation tentait d'enculer les trous encore libres, les bouches ouvertes ; et les mains palpaient tout ce qui était palpable et jouissif au bout d'une bonne heure de cette activité débordante , faute de combattants le combat cessa et tous trois avachis les uns sur les autres, exténués et couverts de jute ne bougions plus ; le souffle court , nous nous sommes endormis dans la moiteur de cette nuit de fin d'été, baignées par les senteurs de nos semences Franco allemandes.
Freddy en milieu de nuit nous réveilla par son ronflement, et sans le déranger , chacun d'entre nous déposa un baiser sur son front et sorti de la cabine.
Le retour sur Marseille, nous parut bien long mais M.H. Avait tenu sa promesse. J'étais heureux.
Cette histoire sortait vraiment du cadre de nos habitudes mais était une fois de plus la preuve que si M.H. avait préparé ce moment , c'est qu'il savait donner pour mieux recevoir lui aussi.
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