E ? Pas E ?
Jamais deux sans trois. Hier soir jai accordé une fellation à mon beau-père Gérard. Puisque javais caressé sa verge dans le tunnel du « flamand rose » une première fois, il ny avait pas de raison de rejeter sa demande argumentée : je lavais pensé, il lavait clairement affirmé.. Lopération terminée, Gérard et moi savions désormais ,de façon certaine, être les participants de ce délicieux moment passé incognito au club. Cétait lui, cétait moi, cétait nous. Voilà pourquoi, ce soir, Gérard me remplit la bouche de sa verge en érection. Oui, jamais deux sans trois. Il a su plaider sa cause. Je nai plus envie de lui résister. Je ne le crie pas, mais je brûle denvie. Lui le dit :
- Maintenant pourquoi sarrêter ? Trois fois mène à quatre fois, etc
Jadore ce que tu me fais
Cest ça, pompe bien
Au contraire, profitons au maximum de ces rares instants de bonheur qui nous sont comptés. Nous sommes loin des nôtres, personne ne le saura. Cette nuit abandonne ta chambre, reste avec moi, nous coucherons dans le même lit.
- Tu nest vraiment pas raisonnable ! Va pour un câlin, passe pour une troisième gâterie. Mais il nest pas question de faire lamour. Tu connais ma position.
- Daccord, tu me soulages les burnes et après je ne te toucherai plus. Mais ne me laisse pas seul au lit. Jaime sentir un corps à côté de moi, dans mon lit, surtout sil est jeune et chaud comme le tien, ma belle-fille, tellement fille et tellement belle. Oh! Que tu es bonne.
- Tu es fou à lier.
- Non, oui, si :je suis fou de toi. Ne sois pas cruelle, tu ne risques rien, je te promets dêtre sage. Et dailleurs, voici, écrit de ma main, le document par lequel tu deviens ma moitié dans la gouvernance de lentreprise. Lundi nous passons chez le notaire.
- Patientons donc jusquà lundi.
- Que de temps perdu. Ici tout serait si facile. Bon, puisque telle est ta volonté, je vais mourir denvie. Alors, commençons, ouvre la bouche, ce sera toujours ça
Ça sest fait comme ça.
Gérard sest entièrement dénudé. Soixante ans ! Ça se voit, mais pas trop. Mon beau-père a un corps bien entretenu par le sport. Cest que chaque jour de la semaine il pratique tennis, natation, sortie à bicyclette en alternance avec des séances en salle de gymnastique sous la conduite dun coach sportif.. Sans parler des cours particuliers en chambre avec ses conquêtes féminines très probablement. . Pourtant lâge apparaît dans les bourrelets du ventre et dans laspect paisible de son sexe au repos. Le pénis a tendance à rentrer dans le gras du pubis. Mais au premier toucher il frémit, séveille, se gorge de sang et redevient verge opérationnelle, cest ainsi quil a franchi mes lèvres et provoqué ma langue et mon palais. Oui, il me remplit la bouche.
Gérard sest allongé à plat dos sur le drap, ses yeux mont invitée à le rejoindre
- Le bisou nest pas « baiser » a-t-il rit avant dembrasser mes lèvres.
En homme dexpérience, il sait sy prendre, tourner en dérision les choses les plus graves. Afin de ne pas me jeter, cuisses ouvertes, sur le mât dressé au-dessus de son ventre, afin de repousser la tentation de copuler enfin, je me suis arrachée à ce baiser et jai posé mes lèvres sur son gland.
-Oh ! Oui, vas-y, lèche.
Je lèche la verge gonflée, je suis du bout de la langue ces grosses veines apparentes, noueuses, je remonte la colonne jusquau prépuce rabattu, je passe au gland découvert, jy dépose un bisou, je redescends lécher le scrotum, je taquine les deux couilles, les prends successivement en bouche pour les sucer , puis je repars à lassaut de la bite et je transforme mes lèvres en couronne sur le nud. A la remontée suivante je zigzague sur le tronc et enfin jaccueille au chaud la tête du nud toute entière.
- Oh ! Tu es formidable ! Plus profond. Oh! Ta bouche.
- Comme ça?
- Ne bouge plus, je suis si bien sur ta langue.
Pendant que ma bouche fait lascenseur le long de la queue du père de mon mari, le brave homme jubile, tend le bras, trouve mes fesses, repousse ma culotte sur une fesse, palpe mes rondeurs et sa main cherche mes parties intimes, ses doigts suivent le sillon, gratouillent mon anus, sautent le périnée et explorent les abords de ma vulve.
- Lucie, fais un quart de tour, viens , passe une jambe par-dessus ma tête, laisse-moi voir ton joli cul et ton con si mignon. Garde-moi, suce
Mon récit est embrouillé, ce nest pas étonnant,je suis en train de perdre la tête.
La phrase est interrompue par le vibrato de mon smart phone. Gérard simmobilise.
Je me relève, saute du lit, je découvre avec fièvre le message de Doris.
- Alors, que dit ton espionne. Il la fait ? Cest sûr ? Elle les a vus ?
- Ils sont entrés dans la maison et y sont restés trois heures. Pas pour enfiler des perles !
- Cest mon digne fils
Oh ! Pardon. Cest avec toi quil devrait
Le petit con. Heureusement, je suis là pour réparer son erreur. Viens, rejoins-moi., viens bercer ton chagrin dans mes bras.
Je ne ressens plus de chagrin. Je me suis préparée à lhorrible nouvelle. Mon mari
le salaud, il la fait, il ma trompée, il a couché avec sa rouquine. Cest de la rage qui me submerge. Mon cur crie vengeance, mon corps se tord de douleur, de frustration. Jen veux à Alain, jen veux à son père qui a facilité lévénement. Jen veux au mien qui ma favorisée pour cette mission, jen veux au monde entier. Il faut que je fasse quelque chose, que je casse quelque chose, que je frappe, que
Et soudain, je craque. Sans réfléchir, je saute sur le lit, je plante un pied de chaque côté des hanches du sexagénaire nu, au vit tendu vers le plafond. Mes genoux plient, mes fesses touchent la chair chaude que jatt dune main, que je dirige vers ma fente et je mempale brutalement sur ce moyeu. Le gros machin de mon beau-père est enfoui dans mon vagin, cette fois. Finie la rigolade et vogue la galère !
Gérard na pas eu le temps de comprendre que déjà son vu se réalise. Comme une furie je lassaille, je monte, je descends, mon bassin claque sur son ventre, je suis déchaînée, je voudrais lui faire mal, lui faire payer la trahison de son fils. Je lève mes fesses et je mabats à toute vitesse, je cogne de toutes mes forces, je messouffle, ça mexcite et je déploie une énergie que je ne me connaissais pas.
- Quest-ce que ça coule. Oh!, le drap ! Zut, tu nas pas de protection ?
- Mas-tu laissé le temps denfiler un préservatif ? Ton revirement a été si brusque. Si tes « prise« , Alain aura un frère ou une sur ! Que tu es belle, mon amour. Cette fois je sais que nous sommes faits lun pour lautre.
- Ah ! Non.
Il nest pas trop tard. Je trouve dans une pharmacie de nuit une pilule du lendemain. Je rentre. Gérard inquiet retrouve le sourire à mon retour.
- Où étais-tu ? Jai eu peur que tu ne fasses une bêtise.
Il me prend contre son pyjama. Il a débandé, ouf. Je lui donne des baisers de femme amoureuse, puis je vais terminer ma toilette et avaler la pilule. Il na pas besoin de savoir que son projet de petit frère ou sur nest pas le mien.
Gérard ne tarde pas à ronfler. Demain soir il va y avoir du grabuge quand le patron va annoncer ma promotion. Il tient à me faire partager son bureau et son travail, il me la répété avant de sendormir. Je doute que la nouvelle ne fasse que des heureux. Presque quarante ans de différence. Les autres vont tiquer et pas quun peu. Et moi, suis-je prête à partager mes jours avec lui ?Même sil baise comme un dieu ?
Au réveil, il prétend avoir rêvé quil me faisait lamour. Nous sommes couchés comme un vrai couple.
- Tu nas pas rêvé.
- Vrai ? Tu te moques de moi. Mais alors, nous pourrions recommencer.
Je suis calmée, ma colère est retombée. Ma soif de sexe est apaisée, je me suis servie, mon prurit a disparu, mes nerfs sont détendus. Je voulais lui faire du mal ? Je me suis fait du bien, beaucoup de bien. Il joue à lamnésique ? Cest juste pour pouvoir remettre le couvert.
- Viens, prends-moi, mais enfile ça.
- Est-ce bien nécessaire ?
Ah ! Tu insistes. Bon, mais cest toi qui me poses cette capote anglaise.
Je déroule le latex sur une pine qui enfle, enfle, cest incroyable.. Gérard rit de bonheur. Jencourage son érection par quelques mouvements du poignet. Je mallonge sur le dos, jouvre langle de mes jambes. Il prend position, me gratifie dun cunnilingus plein dattention, ponctué de compliments et de remerciements. Il se couche sur moi avec précaution, se présente devant mon sexe. Mes mains tirent sur les lèvres de mon vagin, je lui offre calmement mon sexe. Voilà, il me pénètre. Cest un beau calibre prévenant, il progresse délicatement, me possède virilement mais si gentiment. Cest fantastique dêtre aimée aussi sereinement, si simplement. Cest extraordinaire, fabuleux, fantastique. Cest un homme, un vrai, cest mon homme.
- Ça va, je ne suis pas trop lourd ? Tu maimes ?
- Oui, jaime. Je te sens bien.
- Est-ce que je peux faire plus fort ?
- Bien sûr. Cest bon comme ça. Tu peux me défoncer si tu veux.
Inutile den dire plus. Gérard se lance dans une démonstration stupéfiante. Il oublie ses soixante berges, va, vient, semballe, souffle fort. Je ne peux pas rester passive sous un tel déferlement de coups de reins et de secousses de son membre en moi. Je sens monter mon plaisir, une chaleur torride menvahit. Gérard pousse un cri sourd, reste tendu sur ses bras, se raidit. Nous jouissons et unissons nos lèvres. Cet homme a tout pour rendre une femme heureuse. La notion de parenté sévapore, joublie quil est le père de mon mari, enfin presque. Je crois bien que je laime beaucoup plus que je naime Alain. Mais mon homme a besoin dêtre rassuré. Il a du charme, mais il a besoin de savoir :
- Heureuse ? Cétait bon ?
- Tu es merveilleux, éblouissant, apaisant. Je suis si bien avec toi.
- Si on restait au lit ?
- Ce nest pas possible. On nous attend.
- Reportons le dernier rendez-vous à cet après-midi.
- Patron, soyons sérieux. Il ne faut pas r des bonnes choses. Et puis, tu devras subir une épreuve si tu veux recommencer.
- Quelle épreuve ? Je suis prêt à déplacer des montagnes. Parle et tu verras la force de mon amour ! Que dois-je faire ? Vite, parle
- En premier patienter et ensuite exécuter un ordre qui te sera donné en temps voulu.
- Tout de suite, ne me fais pas languir. Ordonne
-Patience. Jai mon idée, je dois tout mettre au point.
P.S.
Certains points vous ont échappé ? Cherchez dans les chapitres de « TU LAS CHERCHE » et vous trouverez les réponses à vos questions.
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