Je Suis Escort Boy

Je suis devenu un « Escort boy » (fiction écrite en 09.2015).

Personnellement, je n’ai jamais aimé le terme de gigolo que je trouve péjoratif. Voici l’histoire inventée de toutes pièces… Bien que…

Sans me vanter, j’ai toujours eu beaucoup de succès auprès des filles… Au lycée, il suffisait que je claque des doigts pour que celle sur qui j’avais jeté mon dévolu se retrouve dans mon lit le samedi soir… Pendant mes études et après, j’ai évolué dans un milieu où les femmes ne sont guère farouches et je ne me suis jamais privé de baiser celles qui voulaient bien se laisser faire… D’ailleurs ma réputation de « bon coup » suffisait pour cela.

Après avoir passé un bac L. option « Cinéma et audiovisuel » j’avais quitté Paris pour Lyon afin d’y poursuivre mes études universitaires et préparer la licence « Ecriture et réalisations professionnelles en images animées – option cinéma » qui me permettait ensuite de présenter le concours d’entrée à l’ENSAT de Lyon. Bref au bout de 6 années d’études supérieures j’avais décroché mon diplôme et trouvé un travail d’intermittent du spectacle dans une maison de production travaillant pour la télévision.

C’est là où j’ai rencontré Véronique, une actrice qui enchaînait les petits rôles dans des séries à rallonge comme il en existe bien trop. Bref, nous nous entendions bien et mes fonctions d’assistant metteur en scène facilitaient les choses. Nous nous entendions bien mais rien de sexuel n’intervenait dans nos relations… J’avais une maîtresse épisodique qui me suffisait.

Un jour sur le plateau, j’ai surpris une conversation entre une couple de figurants que j’avais vus évoluer à plusieurs reprises dans différents épisodes de la série que nous tournions à ce moment là. Ils parlaient (je l’ai su après) de Véronique et en gros, ils disaient :
• Cette catin est encore absente… elle est partie faire la pute !

J’ai été surpris car rien dans son comportement ne laissait deviner un tel état de fait mais en y réfléchissant, j’ai pensé que cela était une calomnie.

Certes Véronique demandait souvent au responsable du planning que les scènes où elle devait figurer soient décalées d’un jour ou deux soit le vendredi ou le lundi et il n’était pas rare de la voir porter des tenues sexy, à la limite de la provocation…

Les semaines ont passé… et je n’y pensais plus jusqu’au jour où nous devions faire un tournage en extérieur à une centaine de kilomètres au sud de Paris. La veille, Véronique est venue me trouver à la sortie du plateau… Elle semblait m’attendre !
• Gilles, ma voiture est en panne… et personne ne s’est proposé pour m’emmener demain matin… Je sais que tu aimes être indépendant dans ces déplacements… Aurais-tu la gentillesse de me transporter.
• Pas de problème… Sois à mon adresse pour 7 heures au plus tard… Tu connais les embouteillages parisiens…
• Tu es un ange… çà me soulage…

La journée de tournage s’est déroulée sans anicroche… Le propriétaire des lieux avait même fait préparer un barbecue pour la pause de midi. En fin d’après midi, la lumière ayant fortement baissé, des images censées se passer de nuit ont été tournées grâce à un subterfuge technique… Cela éviterait de revenir plus tard… Véronique m’attendait près de ma voiture. Nous avons repris la route vers Paris et lorsque j’ai voulu la déposer devant chez elle, elle m’a dit :
• Montons… On va prendre un pot ensemble… Sur le plateau ce n’est pas facile, on jazzerait volontiers…
• D’accord… çà marche mais pas longtemps, je commence de bonne heure demain.

Lorsque je suis entré dans son appartement, j’ai été surpris du luxe élégant et du raffinement avec lequel il était meublé. Partout dans la salle de séjour il y avait des meubles qui ne venaient certainement pas de boutiques à bon marché. Ils étaient agrémentés de bibelots choisis avec soin. Des gravures ornaient les murs… Devant mon étonnement et les félicitations que je lui adressais, Véronique m’a dit qu’elle gagnait bien sa vie et qu’elle se faisait plaisir chaque fois que c’était possible…

Finalement, le pot s’est transformé en un petit repas improvisé mais sympathique au cours duquel nous avons plus que fait connaissance… La soirée s’est terminée dans le lit de Véronique.


Mais laissez-moi la décrire… C’est une grande file blonde comme les blés avec de longs cheveux qui tombent entre les épaules, elle a des grands yeux marron avec des cils démesurés qui lui font des yeux de biche, un petit nez légèrement retroussé domine des lèvres pulpeuses à souhait ! Elle a un corps longiligne avec une poitrine pas très volumineuse en forme de pomme, très ferme avec des aréoles très foncées qui tranchent sur sa peau laiteuse. Elle a un petit bijou dans le nombril et la toison pubienne châtain est disciplinée en une forme de cœur. C’est VRAIMENT une très jolie femme.

De mon côté, je pense que je n’ai rien à lui envier au niveau de l’apparence. Avec un bon mètre quatre vingt pour 75 kg, j’ai à trente ans une silhouette sportive que j’entretiens aussi souvent que possible. J’ai les cheveux noirs, légèrement ondulés que je garde coupés court, des yeux noirs sous des sourcils ombrageux, le nez droit et fin et une bouche aux lèvres minces. Quelques poils follets courent sur ma poitrine mais, ce qui a souvent fait mon succès auprès des femmes, c’est mon sexe !
Sans être aussi démesuré que celui de certains hardeurs de films X. il atteint vingt cinq centimètres de longueur et plus de 6 cm de diamètre quand il est au mieux de sa forme… Beaucoup de mes conquêtes l’ont trouvé « remarquable » !!!

Alors que nous récupérions après une première étreinte tumultueuse au cours de laquelle l’un et l’autre nous avions déployé tout notre savoir faire au niveau des caresses et autres fantaisies sexuelles, Véronique m’a surpris en me disant :
• Pour çà… mon tarif, c’est 500 € !!!
• Comment ? Tu n’a pas la prétention de me faire payer !
• Non… sois tranquille… c’était juste pour le plaisir… Il faut que je te confie quelque chose mais surtout, au grand jamais, ne révèle ce que je vais te dire…
• D’accord… Je serai muet comme une tombe…
• Tu dois bien te douter que ce n’est pas avec mes cachets minables d’actrice de second rang que je peux me payer un tel appartement et tout ce qui s’y trouve…
• Oui… cela m’étonnais en effet…
• Voila… Il ya quelques années quand je sortais de l’école d’arts dramatiques que bon nombre connaissent, on m’a offert d’accompagner des personnes friquées, plus très jeunes mais qui aimaient bien se montrer à bras d’une jeune et jolie femme… J’étais libre et je n’ai rien vu à redire à cette proposition.
Les premières fois, tout s’est bien passé… Nous allions au restaurant, à des soirées de bienfaisance ou autres et dès que j’avais ramené mon hôte à son hôtel, tout était terminé pour moi… Il faut dire que la veille de telles sorties, j’avais reçu par coursier une enveloppe bien garnie de billets et une photo de la personne que je devais rencontrer avec ses coordonnées.
• Alors explique moi pourquoi tu me dis que le tarif pour une relation sexuelle c’est 500 € ?
• En fait, j’avais été recrutée par une entreprise basée en Belgique qui avait tout un cheptel de filles et quelques garçons qui tenaient compagnie à des personnes qui le demandaient. Quelques semaines plus tard, j’ai été invitée pour un weekend dans la périphérie de Bruxelles… C’est là que tout a basculé… Nous nous trouvions dans un petit château au sud de la capitale qui s’est révélé être le siège de l’entreprise. Le couple qui nous recevait était les instigateurs de ce réseau de Call girls qui s’étendait sur toute l’Europe. Nous étions selon leurs dires une cinquantaine de filles entre 25 et 40 ans de toutes nationalités et nous étions fort demandées… C’est au cours de ce weekend que le marché a été mis en main de certaines filles qui, comme moi, n’avaient jamais eu de relations sexuelles avec les clients… Si nous voulions rester dans l’organisation, il fallait accepter de passer cette barre car de plus en plus de clients sollicitaient ce genre de relations en plus de l’accompagnement lors de soirées. C’est ainsi qu’à la mission suivante j’ai rencontré un sud américain (je n’ai jamais su s’il était brésilien ou argentin car nous ne devions pas poser trop de questions) qui parlait un français des plus châtié… Il était à Paris pour signer un important contrat, séjour qui devait se terminer par un dîner dans un restaurant huppé de la rive gauche de la Seine. Je devais l’accompagner pour la soirée…
• Et alors ?
• Lorsque j’avais reçu l’enveloppe la veille, elle était particulièrement bien garnie… La carte qui y était jointe précisait que la soirée devait se terminer dans un célèbre cabaret des Champs Elysées où une table était réservée à partir de 23 heures.
Lorsque nous sommes sortis du restaurant, deux limousines immaculées nous attendaient pour nous conduire au cabaret. Nous étions ainsi deux couples par voiture… Finalement Sergio et moi, nous avons terminé la nuit à son hôtel… mais là, le supplément m’était versé directement puisque cela n’était pas prévu initialement. Nous étions libres d’accepter ou de refuser les relations sexuelles. C’est ainsi que lors de cette soirée, j’avais reçu 1000 € pour l’accompagnement plus les 500 € que Sergio m’avait remis en arrivant dans sa chambre… Dans un autre contexte, je ne l’aurais certainement pas fait payer… Lors des autres contrats, cela se passait à peu près toujours de la même manière. Les tarifs étaient fixés par l’agence et il m’est même arrivé d’aller à Londres ou Rome pour ce genre de prestations… Le voyage était payé ainsi que mon séjour dans de beaux hôtels où je retrouvais mes clients…
• Et c’est devenu régulier ?
• Non pas ment… Nous étions nombreuses et l’agence répondait aux souhaits des clients en fonction de leurs critères de choix… J’avais deux ou trois contrats par mois. Puis un jour, ce n’est plus un homme seul que j’ai rencontré ainsi mais un couple d’une bonne quarantaine d’années qui venait de province. Ce soir là, je les ai rencontrés dans un hôtel huppé de la rive gauche. Le rendez-vous était fixé au bar de cet hôtel et je devais passer la soirée dans leur chambre où nous sommes montés aussitôt. Dès que la porte a été refermée, la femme m’a enlacée et a écrasé ses lèvres sur les miennes. Le mari (car c’était un vrai couple) s’est collé derrière moi et m’a dit à l’oreille de me laisser faire… que sa femme était bisexuelle et qu’il allait nous honorer toutes les deux… Cela ne me gênait pas car moi aussi, je suis bisexuelle…
• Raconte !
• Ce fut une soirée de folie… Dès que nous avons été nus tous les trois, la femme s’est littéralement jetée sur moi et m’a couchée en 6 9 en travers du lit. Sa langue était d’une agilité démoniaque si bien qu’elle m’a fait jouir deux fois avant que je parte à mon tour… Pendant ce temps là, le mari nous caressait les seins, glissait plusieurs doigts dans nos sexes, les léchait… puis je l’ai sucé pour achever de le faire bander. Il nous a baisées l’une après l’autre… Il était sacrément endurant… Je te passe les détails mais quand je suis rentrée chez moi en taxi, j’étais épuisée… J’avais bien gagné les 1500 € contenus dans l’enveloppe. Voila, cela fait bientôt deux ans qu’officiellement je suis devenue une Escort girl… Tu as ton explication.



Les semaines puis les mois ont passé… Je voyais Véronique en fonction de ses engagements. Nous nous saluions comme nous l’avions toujours fait si bien que personne ne pouvait soupçonner qu’il s’était passé quelque chose entre nous…

Puis un lundi soir j’ai trouvé un petit papier glissé sous l’essuie glace de ma voiture :
• Viens me voir ce soir à 21 heures. V.

Pour moi, il était évident qu’il s’agissait de Véronique puisqu’il n’y avait aucune autre indication…



Lorsque je suis arrivé, elle m’a accueilli en sous-vêtements très coquins, une guêpière qui laissait voir les tétons au dessus de la dentelle, des bas arachnéens maintenus par des jarretelles et elle était chaussée d’escarpins avec des talons très hauts… Elle était presque plus grande que moi.
• Entre vite… Il faut qu’on parle !
• Qu’y a-t-il de si important ?
• Viens je vais t’expliquer mais avant tout embrasse moi…

Nous nous sommes enlacés et aussitôt cette coquine a entamé une danse lubrique, frottant son pubis contre le mien, si bien que je n’ai guère tardé à avoir une érection phénoménale… mais cela n’a pas duré… Nous nous sommes assis l’un en face de l’autre dans les profonds fauteuils de son salon de part et d’autre de la table basse sur laquelle trônait une bouteille de champagne et deux flutes.
• Que fêtons-nous ?
• Après ce que je t’ai dit il y a quelques temps la nuit où nous avons baisé ensemble, j’ai réfléchi à ce que nos dirigeants nous avaient dits lors du weekend en Belgique. Comme du côté baise, tu assumes bien, je te propose de nous rejoindre… Si tu es d’accord, nous participerons samedi soir à une soirée coquine chez un couple qui ne peut pas se montrer dans un club échangiste à cause des paparazzis car ils sont connus dans le monde du show-biz… Ils ont expressément demandé un couple… Une femme seule ne les intéresse pas !
• Tu me connais, une occasion de baiser, je ne la refuse jamais… Comment cela va t’il se passer ?
• Comme tu sembles d’accord, dès demain je téléphonerai en Belgique et vendredi matin je réceptionnerai l’enveloppe avec l’argent et les directives pour la soirée de samedi. Je serai ta marraine et si tu as envie de continuer après, seul ou en duo avec moi, il suffira que tu me donnes ton accord.
• OK ! Pas de problème… Qui vivra, verra !
• Je te préviens tout de suite, tu auras rarement des minettes à satisfaire… Les femmes, j’en suis certaine, seront comme les hommes, c'est-à-dire au delà de 40 ans… Si tu souhaites continuer, tu devras ouvrir un compte en banque spécifique et tu recevras un téléphone portable réservé à ton activité… Il faudra aussi que tu te choisisses un pseudo… Pour moi, c’est Virginie !

Véronique a ouvert le champagne et nous avons trinqué à cette nouvelle aventure qui s’ouvrait devant moi. Nous avons ensuite bavardé de choses et d’autres, des séries qui étaient en préparation, de l’activité des semaines à venir qui étaient assez chargées car un certain nombre d’épisodes devaient être bouclés avant les vacances estivales. Puis elle s’est levée pour venir s’asseoir sur mes genoux… Elle m’a tendu ses lèvres en disant :
• Ce soir, c’est pour le plaisir… Après, jusqu’à samedi, il te faudra être sage !

Comme pour la première nuit, Véronique s’est montrée une maîtresse inventive, entreprenante… Si elle agissait ainsi avec ses clients, je ne m’étonnais plus de son succès… Ce n’est que vers trois heures du matin que je suis rentré chez moi… lessivé !!!

Au cours de cette semaine j’ai eu plusieurs échanges téléphoniques avec Véronique qui me précisait différentes choses… Nous avons parlé chiffons, c'est-à-dire comment je devrais m’habiller pour la soirée de samedi en fonction du lieu où nous irions… Pour aller au restaurant, il me faudrait obligatoirement une cravate, si nous devions nous retrouver dans un hôtel, ma tenue pourrait être plus décontractée, une chemise col ouvert ou un polo suffirait… Je la rassurai car j’avais tout ce qu’il me fallait…

Je dois avouer que le samedi soir lorsque Véronique est passée me prendre au pied de mon immeuble, j’étais quelque peu fébrile… C’était la première fois où j’allais faire l’amour pour du fric…
Nous avons pris la route en direction de la province par la Nationale 10 et à une cinquantaine de kilomètres de Paris, Véronique a engagé sa Mini dans une allée forestière qui nous a amenée devant l’entrée d’une grande propriété cernée d’un haut mur de pierre. Le portail d’entrée était muni d’un interphone et de deux caméras pour filmer les occupants des véhicules. Véronique s’est annoncée :
• C’est Virginie et Stan… Nous avons rendez-vous…

Dans un grésillement, j’ai entendu :
• Ah oui… J’ouvre… Nous vous attendons avec impatience.

Quelques minutes plus tard Virginie (puisque désormais c’est comme cela qu’elle se prénommait…) a arrêté sa voiture au pied d’un escalier monumental qui menait à l’entrée d’une grande maison bourgeoise, presque un petit château. En haut des marches un couple nous attendait… La femme à qui je donnai d’emblée une bonne quarantaine d’années, était une petite rousse aux cheveux coupés en carré court, avec des formes plutôt menues. Perchée sur des chaussures aux talons vertigineux, elle avait passé son bras droit sous celui de son compagnon. Cheveux gris, coiffés impeccablement, le visage carré et une belle carrure, il semblait être une force de la nature. Il a présenté sa femme puis il s’est nommé à son tour avant de nous faire entrer dans le grand salon qui jouxtait le hall d’entrée.

Nous avons bavardé tous les quatre en buvant du champagne rosé puis l’homme s’est levé, s’est placé derrière le fauteuil de sa femme et a entrepris de faire glisser les bretelles fines de la robe, achevant ainsi de découvrir ses épaules. Puis il a plongé ses mains dans le décolleté et tout en massant les seins, il les a découverts… C’était le signal… Virginie s’est levée et elle est allée s’agenouiller devant la femme, elle a glissé ses mains entre les cuisses en relevant le bas de la robe et découvert le pubis de la femme. L’homme a alors dit :
• Regardez… Elle s’est faite toute belle et toute lisse... Plus un poil superflu… le pubis est glabre…
• Tout ce que j’aime, n’est pas Stan ? Toi aussi d’ailleurs !

Virginie me faisait entrer dans le jeu… Les quelques minutes précédentes avaient suffit à faire dresser mon sexe dans mon boxer… car même si la femme avait plus de quarante ans, elle était très sexy et bandante avec sa robe troussée en haut et en bas. Je me suis approché du trio et lui prenant une main, je l’aidée à sa lever :
• Venez… Je vais prendre soin de vous… Je pense que vous serez satisfaite.

De son côté, Virginie a entrepris le mari, commençant à le déshabiller avant de lui faire une fellation rapide pour achever de le faire bander. Lorsqu’elle a été satisfaite de la bandaison de l’homme, elle s’est relevée, a fait voler sa courte robe sous laquelle elle ne portait qu’une chaîne dorée autour de la taille et l’a entraîné vers un divan sur lequel elle a pris la position de levrette. D’une voix claire, elle a dit :
• Je suis à toi… Baise-moi, fait ce que tu veux de moi, je suis ton esclave !

Je n’entrerai pas dans les détails de tout ce qui s’est déroulé au cours des heures que nous avons passé en compagnie de ce couple mais la femme et Virginie ont été honorées à deux reprises pour finir dans un trio au cours duquel la femme a été prise en sandwich, sodomisée par son mari et baisée par votre serviteur !



Depuis cette soirée, je fais officiellement partie des membres de l’équipe… J’ai déjà eu plusieurs missions auprès de femmes seules qui venaient à Paris pour diverses raisons… allant de vernissages d’expositions en soirées coquines…



J’étais désormais un « Escort-boy » !!!

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