Ma Vie Sexuelle (4° Partie)

Quand j'étais jeune, avec mon amie Annie, nous nous amusions ensemble pour nous donner du plaisir. Le temps a passé, nous nous sommes séparées, moi pour suivre mes études, elle pour travailler dès la sortie du lycée. J'ai continué mes études, trouvé une excellente place, me suis marié avec un homme qui baisait comme un dieu. Malheureusement la maladie l'empêchait de me satisfaire. J'ai trouvé un amant qui me fait bien l'amour. Mon ancienne amie Annie se trouvait dans ma ville. Je la rencontrais un jour, par le plus grand des hasards. Nous nous sommes fait la bise. Je l'invite chez moi. Elle refuse net. Nous bavardons dans la rue un bon moment. Je remarque qu'elle a peu changé. Je lui rappelle nos anciennes étreintes: elle s'en souvient aussi. Je suis sur la point de lui demander de recommencer au moins une fois. C'est elle qui me devance:
- Et si on le refaisait une fois pour voir si nous savons toujours non donner le même plaisir.
- Pourquoi pas, sauf que depuis le temps nous avons dû évoluer !!
- C'est certain.
- Où se retrouve où ?
- Chez moi, mon mari est parti en longue mission, il ne sera là que dans deux mois.
- Que fais-tu pendant ce temps ?
- Tu me connais, je me branle.
- Demain après midi à 15 heures ?
- Bien sur, à demain.
Il me tarde que le temps d'écoule. Entre notre bavardage et mes boules de geisha je meurs d'envie de jouir. Je m'arrête dans un bistrot en demandant les toilettes. J'écarte mon string, pose une jambe sur la cuvette et ma main va chercher mon bouton. Je le caresse à peine quand je jouis. Annie m'a drôlement excitée.
Enfin le lendemain je suis chez elle. Nous nous embrassons comme avant. Nos langues se retrouvent après un long moment. Nous ne faisons pas de tralala: il nous tarde trop de baiser. Nues, nous sommes presque serrées. J'ai passé une main sur son cou, elle me tient par la taille. Nous nous regardons les lèvres un moment que nous faisons durer avant de nous embrasser à nouveau.

Nos seins se touchent: c'est délicieux.
Nous allons rapidement dans sa chambre. Elle s'assoit presque au milieu du lit, les cuises ouvertes. Elle me montre sa chatte qui brille de sa cyprine. Je mouille au moins autant qu'elle. Je me penche, en ayant mes jambes ouvertes, presque à genoux. Je caresse l'intérieur d'une cuisse. Ma bouche se pose vers son nombril. Petit à petit j'arrive vers son clitoris. Elle me regarde sans trop réagir pour le moment. Quand je sors ma langue dardée vers son bouton, elle se caresse les seins et murmure des "oui, oui, encore, tu me suce bien, je jouis".
Je demande mon du: je me couche à sa place, elle est assise en tailleur juste à hauteur de ma cuisse gauche. Elle ne me suce pas, enfin pas encore, elle me branle avec son majeur qu'elle passe très lentement pour allez plus vite sur mon clitoris. Finalement elle enlève son doigt me demande de me masturber pour qu'elle me mette un doigt dans mon con et l'autre dans le cul. Elle me fait jouir ainsi. C'est vrai que depuis notre dernière baise, nous avons sacrément évoluées.
Elle sort un godemiché, me le montre avant de le sucer comme une bite. J'ai envie de la faire jouir. Pas comme deux filles peuvent faire ensemble. J'ai envie de fantaisie. Je me couche sur la dos, lui demande de venir sur moi, couchée sur le dos. Elle s'approche de ma bouche. J'y passe ma langue pour bien y rentrer le plus possible. J'écarte bien ses fesses pour être à l'aise. Je rentre encore un peu de langue. J'ai le gode dans ma main droite, je le pose sur son vagin. Elle me demande de le lui mettre, je la laisse traîner un peu. Elle me supplie de la lui mettre; J'enfonce l'objet lentement dans le ventre. Elle recommence des "oui, oui, vite, vas au fond, je jouiiiiiiiiiiis". Je sais qu'elle jouit, je le sens par ma langue qui est dans son anus.
C'est à son tour de faire: je me mets pratiquement en levrette. A son tour, elle cherche mon anus, non pas pour le lécher, mais pour y mettre son gode. Elle m'encule en faisant très attention comme pourrait le faire mon amant.
Elle me le met à fond, fait des vas et vient. A ce moment là seulement elle met sa langue sur mon clitoris. Je jouis à mon tour plusieurs fois.
Nous nous couchons normalement, nous nous embrassons à fond en nous pelotant sans cesse. Je lui caresse les tétons: je sait qu'avant elle aimait cette façon. Elle aime toujours, elle me le rend bien en m'embrassant les pointes qui bandent. Nous descendons nos mains pour nous branler. Nous jouissons. Elle a une autre intention: et si nous nous branlions chaque une de notre coté en montrant bien à l'autre.
Sitôt dit, sitôt fait, je me mets à hauteur de son sexe, couchée, mes jambes bien écartées pour qu'elle voit toute ma fente. Je me masturbe en la voyant se branler. Je reconnais que c'est drôlement excitant de nous branler en nous regardant, autant que de voir mon mari qui avant le faisait ou mon amant à qui j'ai appris à le faire. La seule différence est qu'un homme éjacule et que nous nous ne le faisons pas.
Nous nous arrêtons pour nous reposer. Elle se lève pour préparer un café. Je la suis dans la cuisine. Nous sommes totalement nues. Elle s'affaire, je la taquine sans arrêt en lui mettant une main au fesses ou au con, ou sur un sein. Nous ne nous rendons compte qu'un peu tard que de la fenêtre voisine un homme nous regarde. Au lieu de nous cacher nous nous aimons devant lui. Nous sommes debout, enlacées, les mains sur le sexe de l'autre pour nous branler encore, cette fois bien plus excitées de cette présence. Nous pouvons voir son bras s'agiter: il se branle et nous regardant. Annie ouvre la fenêtre en grand, toujours nue, crie un peu: ouvre la fenêtre qu'on puisse voir ta queue. Ça doit avoir on effet puisque la fenêtre s'ouvre: nous voyons un presque jeune homme qui de met sur une chaise. Nous pouvons le voir lui aussi entièrement nu. Il bande, ça nous parait pas mal: elle devrait faire l'affaire pour tirer un coup. En attendant nous recommençons à nous masturber chacune de notre coté: il peut voir deux femelles en rut qui attendent qu'il se branle lui aussi.
Il ne sa gêne pas pour se donner du plaisir. Nous voyons sa main aller et venir sur sa queue. Je jouis presque en même temps qu'Annie et de ce jeune dont nous voyons le sperme jaillir avec force de sa bite. Nous lui disons à bientôt sans doute. Ce n'était que par politesse, parce que nous le rencontrons plus tard dans une partouze

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