Guilaine
Voici lhistoire véridique de mon dernier séminaire professionnel. Il me donna loccasion de passer dexcellents moments avec des collègues de travail. Dhabitude ces séminaires sont assez barbants. Ma boîte nous les impose tous les ans à peu près à la même période. Les précédents étaient comme à chaque fois : les mêmes intervenants chargés de nous dispenser la bonne parole, les mêmes cadres chargés de nous mettre la pression pour atteindre nos objectifs de chiffre daffaires et de marges. Officiellement vendus comme des moments de détente pour nous récompenser de notre travail, ils étaient perçus en général par tous comme une corvée. Cette année ne devait pas faire exception, mais rien ne se déroula vraiment comme prévu.
Nous nous sommes retrouvés le jeudi matin devant un charmant hôtel lIle de Ré sur la commune du Bois plage en Ré. Certains de mes collègues étaient arrivés la veille en groupe. Dautres allaient nous rejoindre plus tard. Moi en tant que régional de létape, je suis venu seul de Rochefort où je réside.
Après quelques poignées de mains aux copains et quelques rares bises aux collègues féminines de la société, je pris possession de la chambre que je partageais avec Fred un commercial venant de la région PACA.
Ma chambre un peu excentrée, donnait sur le bois qui entoure lhôtel. A défaut de voir la mer, je pouvais lentendre car le vent soufflait fort en cette belle semaine de juin. Si la première journée se passa conformément à mes craintes avec son lot de réunions plus ou moins utiles, la deuxième commença par une activité de cohésion des équipes : une course dorientation par équipe. Le tirage au sort ne métait pas très favorable a priori car jhéritais de Gérard et Anne-Laure du service « compta » et de Guilaine du « juridique ». Je prenais vite les choses en main car jétais de loin le plus sportif et en tant quancien Fusilier Marin pendant mon service militaire je savais lire une carte et utiliser une boussole.
Nous partîmes en vélo vers un premier check point où les consignes nous furent données : 4 kilomètres dans les dunes, sur les plages et dans les bois environnants. Une promenade de santé.
Equipés par les organisateurs nous décollâmes tous les quatre, Anne-Laure, Guilaine, Gérard et moi. Bien vite notre Gérard national commença à tirer la langue et en dépit de mes exhortations, il retourna au point de départ. Je me retrouvais seul avec Guilaine et Anne-Laure. Pourtant assez jolie, la première ne mavait jamais vraiment tapé dans lil. Châtain clair, un mètre soixante-cinq environ. Un cul assez fort, une taille assez marquée et des seins plutôt attirants. Un bon 95 C à en juger par ce que je voyais, difficilement contenu sous le tee-shirt quelle portait. Je laissais la juriste passer devant moi quelques temps et en profitais pour limaginer au lit. Elle devait quand même valoir le coup me disais-je.
Anne-Laure était plus jeune, 35 ans peut-être. Elle sétait mariée puis avait divorcé d un type qui lavait plaquée assez vite apparemment. Grande et mince, elle avait une certaine allure. Des cheveux bruns coupés courts, une poitrine menue et de longues jambes
Pas mon genre mais comme dit lautre je préfère sauter ça quun repas.
Notre allure descargots nous permit de discuter entre deux premières balises du parcours. Jappris à connaitre Guilaine et à lui trouver de plus en plus de qualités et de charme. Je trouvais quelle me regardait avec un il neuf et il semble que mon charme de néo-cinquantenaire commençait à agir. Quand Anne-Laure souhaita faire une pause pipi, nous restâmes quelques minutes seuls et je prétextais de régler les bretelles de son sac à dos pour tenter une approche. Elle se laissa faire quand je me calais devant elle et que je glissais ma main sur son tee-shirt pour attr les deux sangles des bandoulières. Elle rejeta sa tête en arrière comme pour soffrir à moi. Je posais ma main sur son cou et lapprochai de moi pour lembrasser à pleine bouche.
- « Hum
» Fis-je intéressé, en plantant mes yeux dans les siens.
- « Jaime beaucoup ce que je sens sous les doigts » Me répondit-elle
- « Continue alors » Lui dis-je pendant que je plongeais plus avant mes investigations.
Un doigt, puis deux dans sa chatte humide, je lattirais vers moi. Recourbés, mon index et mon majeur trouvèrent bien vite le rythme auquel elle sabandonna. Je sentais sous mes allées et venues son sexe se mouiller de plus en plus et elle finit par me tremper littéralement la main, en jouissant. Elle étouffa un cri dans lequel se mêlaient plaisir et surprise. Cest à cet instant que revint Anne-Laure de sa pause. Elle nous regarda dune manière assez étrange et nous reprîmes le chemin à travers le bois vers la prochaine étape de notre course. Passablement frustré, je sentis pendant un bon bout de temps ma bite dure comme du bois, me gêner dans ma marche. De temps en temps Guilaine se retournait vers moi, les joues encore rouges de plaisir. Nous finîmes dix-huitièmes. Loin des premiers mais je savais au moins que javais gagné le droit de ne pas coucher seul cette nuit.
Certains participants choisirent de rentrer avec la navette de lhôtel pour arriver plus tôt. Je proposais à Guilaine de rentrer comme nous étions arrivés : en vélo. Lair de rien, nous nous laissâmes distancer par le peloton dans lequel Anne-Laure avait pris place. Plusieurs fois je la vis se retourner pour nous observer, Guilaine et moi en train de papoter. Le gros de la troupe disparut dans une courbe. Le premier bosquet suffisamment discret, fit laffaire.
Il me suffit de mettre pied à terre et de lui dire : « viens », pour quelle me suive.
- « Putain comme tu mas fait jouir ! Cétait trop bon ! »
Je la remerciais à mon tour du plaisir que javais eu et nous nous séparâmes. Un paquet de mouchoirs nous permit de nous essuyer puis elle sisola pour faire pipi et je rengainais mon matériel encore dur dans mon pantalon. Personne ne semblait sêtre aperçu de notre arrivée décalée. Les collègues étaient déjà pour la plupart en train de profiter de la piscine et de siroter un verre quand nous fîmes une arrivée aussi discrète que possible
Fred discutait avec le chef des ventes Sud-Ouest, un connard fini. Plus en retrait, Anne-Laure était allongée sur un bain de soleil. Derrière ses lunettes de soleil, jétais sûr quelle me regardait. Ma nouvelle conquête partit tout comme moi, prendre une douche bien méritée. Anne-Laure se leva et emboîta le pas de Guilaine et sengouffra derrière elle dans le hall de lhôtel
De retour dans la salle de réunion où devaient être remis les prix aux vainqueurs de la course, je retrouvais quelques copains et cherchais des yeux ma nouvelle « fiancée ». Je la trouvais en grande conversation avec Anne-Laure près du buffet : elle sétait changée. Elle portait un ensemble jupe et chemisier à manches courtes en lin blanc très fluide sous lequel on devinait par transparence ses sous-vêtements. Les cheveux ramassés en queue de cheval, elle portait à ses lèvres un verre de mojito me semblait-il.
Gérard ne se joignit pas à nous quand les trophées furent décernés. Bien vite la chaleur régnant à lintérieur nous poussa tous à sortir au bord de la piscine. Lalcool aidant certains esprits commencèrent à séchauffer. Les voix se faisaient plus fortes, les blagues plus sonores. Je me faisais un devoir de servir ces dames en allant régulièrement faire un tour au buffet où lalcool coulait à flot. Mes adorables compagnes commençaient à être un peu éméchées et se montraient très empressées à mon égard. Me prenant par le bras ou posant devant moi à tour de rôle. Leur petit manège flattait mon ego. Lune jouant avec ses cheveux, lautre promenant ses mains dans son cou. La brune main sur la taille et bassin en avant, cherchant en permanence mon regard, lautre profitant de ce quon la bousculait un peu pour saccrocher à moi en mattrapant par la taille. Il était temps que nous passions à table car je commençais à perdre mon sang froid...
Je me trouvais bien entouré par Guilaine et Anne-Laure durant tout le repas. Sur une table ronde avec trois autres personnes, nous dînions entre les animations que certaines équipes avaient préparées. Plus ou moins drôles, leurs sketches évoquaient les travers de certains cadres de lentreprise ou des anecdotes assez cocasses. A ma gauche Guilaine devait commencer à sennuyer ferme car son pied droit frottait le mien avec insistance. Comme le spectacle captait lattention de tous je menhardissais à glisser ma main sous la table à la recherche de quelque trésor. Je descendais doucement vers son genou. Pour me faciliter la tâche elle écarta les jambes et en prenant appui sur la table avec ses avant-bras se souleva assez pour que je remonte sa jupe jusquà sa taille. Le chemin de son sexe ainsi totalement libre je pouvais laisser vagabonder mes doigts.
Je retrouvais la douce moiteur de son sexe en écartant la dentelle de sa petite culotte. Son clitoris réagit très vite sous mon insistance. En dégageant son petit bouton rose, je promenais mes doigts en alternant caresses et pincements. Stoïque, Guilaine ne laissait rein transparaître de ce quelle ressentait. Pourtant en voyant les jointures de ses doigts, blanches de serrer la serviette de table aussi fort, je savais que jallais la faire jouir sous peu. Une goutte de sueur coulait le long de sa tempe, puis dans son cou. Les lèvres serrées, elle essaya de retenir ses cris mais ne put sempêcher démettre un gémissement noyé dans un souffle quand le plaisir la submergea. Intrigués certains convives la regardèrent mais, avec aplomb, elle réussit tant bien que mal à faire passer tout cela pour une fausse route. Elle lâcha la serviette et porta son verre à sa bouche. Quand nos voisins détournèrent leur regards, elle se souleva, se réajusta et en se penchant vers moi me dit dans un souffle :
- « Salaud ! Cest la deuxième fois aujourdhui
Tu vas voir
»
Mais notre manège devait intriguer Anne-Laure qui à son tout se rapprocha de moi et me dit :
- « Il faut être plus discret
jai bien deviné votre manège à tous les deux
»
En se penchant elle envoya un baiser vers Guilaine qui posa ses doigts sur ses lèvres avant de les déposer sur les lèvres de ma voisine. Soufflé ! Jétais estomaqué même. Les deux coquines qui mencadraient étaient complices
Voilà qui me faisait envisager différemment ce séminaire. Oseraient-elles me suivre dans mes envies de plan à trois ?
Je tentais le coup en posant ma main sur celle dAnne-Laure qui ne réagit pas. Encouragé par son silence je déposais sa main sur ma cuisse où elle ne resta pas plus de deux secondes avant de trouver le chemin de ma bite qui commençait à prendre une taille respectable assez vite. Décomplexé je tentais le même coup avec Guilaine dont les doigts rejoignirent ceux dAnne-Laure. Elles extirpèrent mon barreau et commencèrent à me caresser alternativement, leurs doigts sentremêlant sur toute la longueur de ma hampe. Une véritable compétition commença entre elles pour savoir dans quelle main je finirais par me vider
Mais la lumière revint pour lallocution du big boss. Le charme était rompu.
La fin du repas fut dune longueur désespérante. La lumière revenue ne nous permettait pas de continuer notre petit jeu. Je maventurais quand même dès que possible sur les jambes de lune ou sur la taille de lautre. Frôlant un sein pour attr le sel ou profitant de me faire servir à boire pour poser mon bras sur le dossier de la chaise avant de mégarer autour dune taille.
Lorsque le signal fut donné de quitter la salle pour la mettre en configuration « dance floor », je demandais à mes complices de me suivre lune après lautre le plus discrètement possible. Les fumeurs en groupe finissaient leurs verres, les couche-tôt regagnaient déjà leurs chambres :
- « Bonsoir Gérard, bonne nuit à toi aussi et à demain ! » Lançais-je goguenard à notre comptable préféré.
Je bénissais ma chance davoir une chambre isolée et espérais bien profiter du temps que jaurais avant que Fred ne me rejoigne en fin de soirée. Il semblait bien parti avec une des assistantes commerciales et avec un peu de chance il passerait la nuit avec elle. Les stores baissés, je me déshabillais pour reprendre une douche avant daccueillir mes invitées.
En guise de conquêtes, je me retrouvais bien vite nez à nez avec Fred en sortant de la douche. Je neus pas à essayer de me débarrasser de lui car Guilaine et Anne-Laure le suivaient de peu. Particulièrement échaudées, mes deux harpies, ne se plaignirent pas de la présence de cet autre mâle parmi nous. Et sans aucune façon, elles le poussèrent sous la douche à litalienne où il se retrouva bien vite frictionné par Guilaine qui mépatait de plus en plus par son attitude délurée. De mon côté je retrouvais Anne-Laure à peu près où nous en étions restés puisquelle entreprit de me tailler une pipe. A genoux, devant moi, elle astiquait mon membre de plus en plus tendu. Il me fallut la calmer tant ses ardeurs allaient mamener au point de retour. Je me décidais à mon tour de lui appliquer mon traitement spécial et assise sur le bord de la baignoire, les cuisses ouvertes, je lui broutais le minou avec délectation. Elle commença par mencourager en posant ses mains de part et dautre de ma tête pour mimprimer le rythme qui lui convenait. Ses petits gémissements faisaient écho avec ceux de Guilaine et de Fred. Celui-ci trop heureux de sa chance, soccupait de sa partenaire dune main pendant que celle-ci promenait le jet de la douche sur son clitoris. Dun doigt agile il faisait lui aussi monter le plaisir en elle. Anne-Laure commençait à manifester de plus en plus bruyamment sa satisfaction :
- « Ouiiii ! Ouiii ! continue, continue, tu mexcites
»Me disait-elle.
- « Prends-moi maintenant ! » Sembla lui répondre Guilaine à destination de Fred.
Celui-ci ne se fit pas prier et plaquant Guilaine contre la paroi prit sa jambe droite. Après lavoir soulevée il la pénétra brusquement. Surprise par la violence de cet assaut, elle se mit à planter ses doigts dans le cou de mon collègue et lembrassa à pleine bouche. Le bassin de létalon ondula quelques minutes à un rythme infernal. Le corps voluptueux de Guilaine était traversé dondes violentes à chaque coup de reins. Ses fesses rebondies claquaient contre le carrelage. Dans un grand cri elle jouit une fois, puis deux, alors que Fred sescrimait toujours en elle. Elle lui demanda grâce et pris de pitié il se retira. Reprenant son souffle, il pencha dautorité comme pour la casser en deux. Plus petite que lui, elle dût se mettre sur la pointe des pieds pour le laisser la sodomiser. Guilaine encore sous le choc de ses deux orgasmes successifs, némit quune faible protestation, bien vite remplacée par des mots crus, qui disaient son plaisir :
- « Vas-y, salaud ! défonce moi avec ta grosse bite, encule moi fort, vas-y ! »
Sous leau chaude de la douche, leurs corps luisaient dans un halo de vapeur qui envahissait toute la salle de bains. Anne-Laure captivée par cette scène torride profitait de mes coups de langue tout en se caressant le clitoris. Ses doigts sagitaient de plus en plus vite en même temps que je la léchais. Emportée à son tour par le plaisir, elle jouit en me fixant, les yeux perdus dans je ne sais quelle dimension. De mon côté, je navais rien perdu de mon entrain et je neus guère deffort à faire pour la prendre profondément. Penchée les mains posées sur le bord de la baignoire, courbée en avant je commençais par aller et venir lentement pour lui permettre de sentir chaque millimètre de mon sexe. Entre chaque gémissement elle mencourageait en me donnant ses envies :
- « Prends-moi par la taille et serre moi fort » Je sentais sous mes mains ses muscles se crisper au fur et à mesure que je mempalais en elle.
Excité comme un fou, je me transformais en marteau pilon. Ahanant comme un buf, je la prenais sans ménagement et elle en redemandait.
- « Encore, encore, encore,
»
Lattirant vers moi tout en menfonçant en elle, je lui arrachais un orgasme dune violence inouïe, qui provoqua le mien. Je sentis son sexe se serrer autour de ma bite, memprisonnant dun étau délicieux. Je me vidais en longs jets de sperme brûlants avant de me retirer tout doucement. Epuisé et heureux, les mains sur les hanches, je reprenais mon souffle tout comme Anne-Laure. De son sexe béant, coulait un filet de mon sperme.
Tout à notre affaire nous avions oublié nos partenaires qui, eux aussi, reprenaient leurs esprits. Ils sortirent de la douche et senveloppèrent dans les serviettes de bain. Nous prîmes leur place et alternant douche chaude et froide, ma jolie collègue et moi reprîmes figure humaine. A notre tour, ceints de linge propre, nous rejoignîmes Guilaine et Fred. Le deuxième round pouvait commencer.
Nous nous sommes endormis petit à petit, vaincus par notre nuit de baise frénétique. Le lendemain, les activités nous parurent fades, mais en fin daprès-midi, ayant regagné un peu de vigueur et en toute discrétion nous nous retrouvâmes dans notre chambre, loin du brouhaha de la soirée de clôture du séminaire.
Nous nous sommes promis de nous revoir tous
Personnellement javais hâte daller faire un tour au siège régional de ma boite, soumettre à Guilaine un problème juridique un peu particulier
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