La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 568)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode 555) -

Vanessa est assise, recroquevillée sur elle-même pour supporter le froid, la fatigue aidant, elle grelotte la tête sur ses genoux pour tenter de se reposer, tout de même. Après de longues minutes, alors que ses yeux ont tendance à se fermer malgré eux, elle voit un autre soumis MDE arriver, mené en quadrupédie et en laisse par un serviteur, elle en conclue qu’il est 3h du matin. Vanessa a l’impression que le temps est figé, que cette nuit va durer une éternité, hors du temps, que le matin ne viendra jamais ! Sans aucun protocole, le serviteur délivre le soumis MDE de ses chaînes accrochées à son épais collier de métal, collier où il est gravé bien distinctement les lettres ‘’MDE’’. Le serviteur laisse le soumis MDE disposer de Vanessa, restant à surveiller dans un coin du cachot. Mais au lieu de se diriger directement vers la jeune femme, il va se saisir d’un martinet accroché au mur. Sans dire un mot, il rejoint Vanessa et la pousse vers le sol pour lui faire comprendre qu’elle doit présenter sa croupe, bien positionnée en levrette en relevant au mieux son cul aux fesses arrondies. Vanessa obéit promptement, en silence, craignant de ne pas supporter d’avantage, mais souhaitant à tout prix répondre à la Volonté de son Maître. Le soumis MDE s’agenouille derrière elle et frappe une première fois, les longues et fines lanières de cuir venant envelopper les fesses de la jeune femme dans un claquement sonore impressionnant. Pourtant, elle reste stoïque, ne bouge pas, attend le prochain coup, sachant pertinemment que ce premier jet n’est qu’un début. Et effectivement, l’esclave-soumis MDE lève de nouveau son bras et l’abat plus fort encore, mais ne parvient pas à obtenir de réaction de Vanessa. Le serviteur surveille attentivement, il connait l’état de fatigue de la belle et soumise Vanessa et a reçu l’ordre de veiller à ce qu’elle ne s’évanouisse pas sous les épreuves qu’elle doit traverser cette nuit.

Mais elle tient bon malgré une fatigue de plus en plus présente et elle supporte encore en silence les dix coups appuyés reçus de la main de l’esclave MDE.

Lassé de n’obtenir aucune réaction, celui-ci pose le martinet et se saisit à pleines mains de la croupe de la jeune femme en la maintenant fermement par les hanches pour enfoncer son épaisse verge érigée comme un mât, profondément en elle et d’un seul et puissant coup de reins, à la hussarde sans aucuns autres préliminaires que les coups de martinet. Il reste ainsi longtemps immobile, bien planté en elle dans un coït bestial. Vanessa s’étonne de ne sentir aucune douleur, le traitement du martinet a été un déclencheur pour que son sexe s’emplisse de cyprine. Elle ressent une certaine honte à montrer une excitation aussi flagrante, mais sait qu’elle n’a aucune honte à avoir devant un esclave MDE de son Maître. Puis l’esclave se met à bouger ses reins d’abord doucement puis de plus en plus cadencé pour la besogner sans discontinuer dans des puissants et longs va-et-vient encore plus bestiaux, son sexe est large et la jeune femme sent ses chairs s’ouvrirent d’avantage. On entend des ‘han’ sortir de sa bouche à chaque coup de boutoir. Mais à sa façon de bouger, Vanessa sent qu’il prend tout de même son temps, qu’il retarde son plaisir à l’éjaculation quand il ralentit sa cadence et par la même occasion qu’il retarde l’opportunité à Vanessa de se reposer. Elle ne doute pas un seul instant qu’il a reçu l’ordre de se retenir de la sorte, et effectivement, l’esclave MDE regarde régulièrement le serviteur attendant un signe, une autorisation à jouir, mais celle-ci ne vient pas. Alors, il souffre de la situation, mais il sait que désobéir engendrerait une plus grande souffrance, car les sanctions pour les mâles qui ne savent pas se retenir sont sévères en ces lieux. Après de longues minutes le serviteur fait enfin un signe de tête, et c’est dans de longs râles de soulagement que le mâle MDE se libère dans le ventre de la jeune femme. On aurait cru un étalon libérant son foutre lors d’une saillie, tant il a pu se soulager les couilles d’une forte quantité de sperme emmagasiné depuis certainement fort longtemps. Il se retire immédiatement pour se placer face à Vanessa et lui présenter son sexe ramolli devant la bouche quand elle entend le serviteur lui dire :

- Lèche-le, nettoie-lui bien sa nouille et avale tout.

Alors la jeune femme s’applique de son mieux en passant sa langue sur toute la verge engluée de cyprine et de sperme. Ensuite l’esclave MDE rejoint le serviteur, qu’il l’encage de nouveau et le traîne hors du cachot. Toutefois la porte ne se referme pas, elle laisse entrer un nouveau mâle esclave MDE, tiré par un autre serviteur. L’esclave MDE parait tout jeune à Vanessa, il est frêle et sa démarche est peu assurée, elle esquisse un sourire en voyant son sexe si fin se tendre déjà. Le jeune homme se place devant elle et la couche sur le dos, puis doucement avec maladresse, il s’allonge sur elle tel un jeune porc. Mais le sexe de la jeune femme est trop ouvert pour son sexe si fin, il a beau s’activer avec frénésie, tentant d’atteindre l’éjaculation, en vain. L’esclave MDE comprend que ses frères de soumission beaucoup mieux dotés par la nature l’ont écarté et qu’il ne pourra pas jouir en la prenant ainsi, alors il se relève, redresse Vanessa et délicatement s’insère entre ses lèvres buccales, tout en lui donnant de douces caresses dans ses cheveux avec une certaine tendresse laquelle ne reste pas insensible la jeune femme. Vanessa alors s’applique du mieux possible de sa langue et de ses lèvres à lui donner du plaisir, sachant que plus vite elle y parviendra, plus vite elle aura un peu de répit pour tenter de récupérer. Alors, elle met en œuvre tout ce que son amant lui a appris, prenant en compte les réactions du jeune homme pour adapter son rythme, et son savoir-faire paye, le jeune esclave MDE à la fine verge érigée sent son sperme monter. Il regarde le serviteur qui lui fait signe d’obéir, alors, avec maladresse il se retire trop rapidement en déversant son foutre sur le visage de la jeune femme, puis n’osant aller plus loin, il ose un second regard, pour apercevoir le serviteur la cravache à la main, lui faisant comprendre qu’il doit faire ce qui lui a été ordonné. Le jeune homme la regarde confus, puis essuie son sexe dans ses cheveux, désolé, souhaitant s’excuser sans savoir comment. Vanessa sent son désarroi, elle lève les yeux vers lui et lui sourit tendrement pour lui faire comprendre qu’elle ne lui en veut pas, avant de baisser les yeux de nouveau. Le jeune esclave MDE détourne alors le regard et retourne en silence et à quatre pattes vers le serviteur qui le mène hors du cachot, une fois la laisse raccrochée au collier.

Une fois de plus, la jeune femme se retrouve seule, libre pour se reposer un temps comme elle le pourra, elle se place au bout de son matelas, la seule partie sèche, et s’allonge recroquevillée en position du chien de fusil pour tenter de dormir un peu. Elle peine à y parvenir le froid mordant cruellement sa peau nue, mais la fatigue aidant, Vanessa finit par sombrer. Mais une douzaine de minutes plus tard elle sursaute, réveillée par le grincement de la porte, elle se redresse rapidement pour se mettre en position, à genoux mains dans le dos. Il est 5h du matin, un nouveau serviteur pénètre, trainant un esclave MDE colossal, celui-ci, à la peau d’ébène. C’est tout l’opposé physiquement du soumis MDE précédant qui était, lui, si maigre. La jeune femme est impressionnée par la forte carrure de l’homme, un véritable colosse mais également par la taille de la cage de chasteté qui renferme son sexe énorme. Vanessa comprend que ce moment en sa compagnie risque d’être douloureux et espère qu’il ne sera pas trop long. A peine est-il délivré de sa cage que le sexe gonfle instantanément, impressionnant érection virile. On aurait cru voir celle d’un taureau, tant ce phallus est d’une imposante taille, avec à sa base des couilles énormes d’un volume peu commun.

Vanessa ne doute pas qu’il a été contraint à l’abstinence depuis un très long moment et qu’il ne va pas se retenir avec elle. Et en effet, le soumis MDE si baraqué se dirige vers elle d’un pas assuré, pressé de pouvoir profiter du cadeau de son Maître. Il prend la jeune femme et la met debout face à lui, puis il pose ses grosses mains sur ses hanches et la soulève comme une plume pour la positionner sur son sexe tendu à l’extrême. Elle ne touche plus le sol, et est littéralement empalée sur le volumineux sexe imposant de l’esclave MDE, il écarte ses chairs à outrance, elle supporte sans gémir, fermant les yeux pour fuir cette réalité, espérant qu’il fasse vite. Mais il compte bien prendre son temps, et profiter de son cadeau, et après de longues minutes à ouvrir le sexe de la jeune femme, en la bourrant profondément ainsi debout en la faisant monter et descendre de ses forts bras musclés sur sa puissante verge dressée, puis il la repose pour la placer debout, jambes largement écartées et face de dos, les mains contre le mur, le cul cambré. Sans un geste de plus, il enfonce un doigt dans son fondement, et le retire pour le remplacer sans préambule par sa verge toujours aussi tendue. Vanessa se mord la lèvre inférieure jusqu’au sang pour ne pas crier tellement la douleur est vive, mais étrangement, après seulement quelques minutes la douleur fait place au plaisir et elle découvre une sensation qu’elle n’avait encore jamais ressentie dans son anus, une sensation qui irradie tout son corps possédé. En effet elle se bien enculée, bien prise, bien pénétrée, bien remplie. Cette sodomie profonde et bestiale est longue, incroyablement longue pour un mâle en rut et en manque de jouissance. Jusqu’à que Vanessa regrette presque que cette virile enculage s’arrête lorsqu’elle sent le colosse esclave MDE se retirer pour déverser sur ses fesses arrondies un épais liquide chaud qu’il a un pervers plaisir à étaler sur les parties charnues du fessier de la soumise. Sans plus un mot, il donne une ultime et très forte fessée sur le cul souillé de la femelle soumise et va se positionner aux pieds du serviteur qui sans plus attendre lui remet la cage et la laisse et ils ressortent tous les deux laissant la jeune femme…

Vanessa se retrouve donc une fois de plus seule dans le cachot, elle retourne sur le bout de son matelas, où elle s’allonge en boule recroquevillée de nouveau, puis malgré le froid et l’odeur de sperme qui se dégage de son corps, elle ferme les yeux pour sombrer dans un état de semi-conscience. Quelques minutes plus tard, une nouvelle intrusion lui fait comprendre qu’il est déjà 6 heures du matin et qu’elle a passé les gros deux tiers de la nuit. Elle s’accroche à cette idée pour se concentrer sur ce qu’elle a supporté et ne pas penser à ce qu’elle doit encore endurer. Vanessa ne lève même pas les yeux, elle se redresse et patiente qu’un nouvel esclave MDE de son Maître s’avance vers elle. Elle voit les pieds nus de l’homme se poster devant elle, puis une main prend ses cheveux pour la forcer à se lever. Vanessa n’oppose aucune résistance et se laisse faire telle une poupée de chiffon désarticulée, même lorsque l’esclave MDE la mène jusqu’au serviteur et la jette à ses pieds. Elle est prosternée aux pieds d’un serviteur de son Maître, l’esclave MDE derrière elle ne bouge pas, il attend certainement un ordre. Elle est exténuée mais s’apprête une fois de plus à obéir aux ordres qui lui seront donnés.

- Mes chaussures sont sales, tu vas les faire briller pendant que ce chien va te saillir comme une jument en chaleur, annonce la voix calme du serviteur.

Le serviteur avance son pied sous le nez de la jeune femme. Celle-ci se sent une nouvelle fois humiliée mais elle veut continuer, tenir bon, car elle sait que la nuit va bientôt se terminer et qu’elle aura réussi à passer cette nuit de forte soumission comme son Maître voulait qu’elle la passe, c’est-à-dire, mise en ‘’pature’’ à dix de Ses soumis MDE les plus méritants, ceux-ci ayant l’autorisation de prendre possession de son corps …

(A suivre …)