Ophélie, De Femme À Femelle (7)
« Par la présente, jai lu, compris et approuvé le présent contrat dans son entier. Jaccepte de me remettre à mon Maître et, lui confie gracieusement mon corps et, mon esprit. Je comprends quil méduquera, me dirigera, mentrainera et, me transformera.
Jassume ma condition et, suis fière dêtre sa soumise.
Signature : . »
Je signe la dernière page de ce contrat, scellant définitivement mon avenir.
Arnaud se dirige vers moi, il prend ce fameux contrat, satisfait dy voir ma signature et, me caresse les cheveux comme on flatte une chienne.
- Rhabille-toi, je te ramène chez toi ! me dit-il
- Mais, monsieur je nai pas fini de
Avant de pouvoir finir ma phrase, une violente claque sabat sur mon sein droit, marrachant un cri de douleur. Et vlan, une autre sur le sein gauche.
- Petit 1, tu ne discutes pas mes ordres !
Petit 2, en privé tu mappelle Maître !
Petit 3, quand je te corrige, tu souffres en silence !
Compris ?
- Oui Monsi
.. Maître.
Jessaie tant bien que mal de refermer mon corsage, et de remettre ma jupe en place avant de suivre mon nouveau maître, jusquau parking et à sa voiture. Il me fait monter à lavant, côté passager, comme ce matin. De moi-même, jécarte mes cuisses, et ouvre mon corsage. Il sourit, me félicitant de mon initiative.
Durant le trajet, il me pose quelques questions, sur ma vie privée, mes habitudes sexuelles, mes fantasmes
.
Je dois lui paraitre cruche, surtout sur mes habitudes sexuelles. Il est vrai quavant de le connaitre, mes seules rapports sexuels étaient réalisés dans notre lit conjugale, lumières éteintes et ne dépassant pas 5 minutes. Bref, selon lui, jai tout à apprendre et, je vais aimer.
Arrivés à destination, il me dépose devant mon portail. Me dit quil passe chez moi à 20h30 et, que je dois être prête !
Prête ? Jose lui demander ce quil entend par prête. Sans men dire plus, il me dit de me renseigner, de trouver par moi-même, et que je ne le déçoive pas !
Il me laisse la, interrogative et, troublée.
Je croise laide-soignante qui a fini son service. Elle me dit quil va mieux, quaujourdhui il était plein de vie et de bonne humeur. Ils ont même fait un tour dehors !
Quel exploit, cest la première fois quil met le nez dehors.
Elle me dit au revoir et me laisse entrer dans la chambre de mon époux, allongé, en train de regarder la télé.
Après une série de bisous, je me love contre lui, lui disant à quel point il mavait manqué. (Petit mensonge)
Il me raconte ses exploits de sa journée, sa sortie jusquà la boite aux lettres, etc
et toi ?
Ben moi, je me suis faite défoncer par tous les trous et jai fini par signer un papier qui donne tous les droits à mon patron ! Voilà mon chéri. Ben non, encore un gros mensonge, je lui dis simplement que jai passé une journée classique, rien dexcitant, jéprouve un sentiment de gêne quand je lui dis ça, mais je ne peux pas lui dire la vérité.
Pour ne pas quil sen rende compte, je lui fais un petit bisou sur le front et part lui préparer sa soupe.
19 heures, cest prêts il mange tranquillement, prends ses médicaments et je lui dis bonne nuit et, à demain. Je sais que dans moins de 10 minutes, il sera parti pour 12 heures de sommeil.
19 h 25, je commence à chercher ce quil a voulu dire par soit prête. Je cherche sur le net, domination, soumission, maître, soumise.
Mon dieu, il y a des milliers de résultats, des forums, des blogs, des témoignages
.
Je vois des dizaines de photos de soumises, attachées, maltraitées, baisées
. Vais-je subir tout ça ?
Le seul point commun sur toutes ses photos : labsence de poils pubiens.
Sur plusieurs forums, je lis que lépilation est presque toujours exigée. Voilà, direction la salle de bain, y a plus qua, comme on dit.
Petit passage de tondeuse pour dégager le terrain, et ensuite rasage délicat pour ne pas me couper, le passage des lames sur mon pubis et autour de mes lèvres me fait frissonner.
Bien que jaie fini mon travail, je reste dans cette position, accroupie au-dessus du miroir, ne pouvant détacher mon regard sur mon intimité. Jécarte même mes fesses pour mieux voir mon anus, un peu boursouflé, mais encore ridé, ensuite mes lèvres découvrant lentrée de mon vagin, tout rose et luisant. Quand je pense que la grosse bite dArnaud était dedans il y a peu de temps, quel spectacle ça devait être, mes lèvres comprimées sur sa tige, humm, je ne peux mempêcher de glisser deux doigts dans ma fente en y pensant. Je regarde à travers ce miroir mes doigts coulisser dans mon fourreau soyeux, les recouvrant de mon jus, hum, je me tends, je suis sur le point de jouir.
Jessaie de me contrôler, de me calmer, mais je ne peux pas retirer mes doigts de mon orifices, cest plus fort que moi, je me tiens de ma main libre au bord du lavabo pour ne pas tomber, je me crispe, tremble sur mes jambes repliées, je vois mes doigts accélérer leurs mouvements malgré moi. Humm, la bouche ouverte, laissant échapper un râle, je me libère, je jouis, aspergeant mon miroir de mouille, me faisant tomber à genoux à bout de souffle.
Je suis toute essoufflée, comme si javais parcourue un marathon et, pour ne rien arranger, jentends toquer à la porte.
Il est là, devant moi, tenant un sac à la main, me scrutant de haut en bas avec un sourire de vainqueur, son regard sattardant un moment sur mon sexe. Il passe le dos de sa main dessus, appréciant mon initiative surement, sa douceur. Il remonte vers mon ventre, ça me fait frissonner, passe entre mes seins dont les bouts sont tous durs pour finir sous mon menton. Il pose son pouce sur mes lèvres, les forçant un peu pour le glisser entre, me faisant mimer une fellation sur son pouce.
- Grosse gourmande ! me dit-il tout en retirant son pouce. Ton mari dort ?
- Oui Maître
- Bien, ça nous laisse toute la nuit tranquille pour que je moccupe de toi, pour commencer ton éducation ! cest ce que tu attends nest-ce pas ?
Baissant les yeux, mettant les mains derrière le dos, jacquiesçai, dans un soupir à peine audible. Je me repassai toutes les images des soumises fouettées, entravées, abusées, humiliées et, même si ça me fait peur, jen ai envie. Jai envie quil de moi, quil me fasse mal, quil me traite comme une salope, une chienne.
A croire quil lit dans mes pensées car, il me fait mettre à 4 pattes, comme sa petite chienne, et me dit daller près du canapé ou, il a quelques temps, il ma baisée et faite jouir comme jamais. Il sy assoit et me fais mettre assise, le cul sur le talons entres ses jambes. Il pose son sac à côté de lui et commence à sortir des objets que je regarde avec des yeux tout ronds, me demandant à quoi ça peut servir.
Un collier métallique, une sorte de citron en plastique (un plug), des pinces en métal dont certaines sont reliées entre elle par des chaines, une sorte de petite règle en cuir, une boule en plastique reliée à deux lanière, un martinet avec pleins de lanières et enfin une gros sexe en plastique avec une ventouse au bout.
Il dispose tous ses objets soigneusement sur la table basse, me disant que tout ceci allait servir cette nuit.
Ça me fait frissonner, de savoir quil va enfin r de moi.
- Lors de ta toilette, tu tes masturbée petite salope ?
- Oui Maître, je nai pas pût men empêcher. Jai jouis aussi Maître !
- Tsss as-tu demandé lautorisation ?
- Mais
non, je ne savais pas, je ne lai pas fait exprès.
Nécoutant à peine mes vaines excuses, il avance 3 objets : les pinces, la règle en cuir et le martinet.
- Pour ta première faute, je te laisse le choix de ta punition.
Quel choix ? Tous ses instruments de me font peur ! Jimagine déjà la douleur que doit produire la règle dure en cuir sur mes seins et fesses, tout comme le martinet, laissant des traces rouge !
Apres quelques secondes dhésitation jopte pour les pinces. Apres tout, même si elles ont en métal, il y a un petit caoutchouc au bout, ça limitera la douleur.
Apparemment satisfait, il se saisit de la boule reliée avec des lanières, me la met dans la bouche et sert les lanières derrière ma tête.
- Voilà, avec ce bâillon, on ne risque pas de réveiller ton mari ma petite salope.
Je ne comprends pas tout de suite ce quil veut dire, mais commence à deviner lorsquil me fait mettre debout, mains derrière la tête, jambes écartées. Il commence à me caresser les seins, les malaxant, titillant mes pointes qui durcissent rapidement. Il prend un de mes seins à 2 mains, le comprimant, pour que mon tétons ressorte, il commence à le lécher, laspirer, le mordiller. Je me tortille de plaisir, les yeux clos, appréciant cette douceur mélangé à cette force.
Une fois la dureté du téton satisfaisant, il saisit une pince et je sens dun coup la morsure métallique sur mon téton, me faisant mordre à pleine dents le bâillon, étouffant mon cri, les yeux pleins de larmes.
Avant que je ne reprenne mon souffle, il est déjà sur mon autre sein, infligeant la même punition, la même morsure, la même douleur. Ce nest quau bout de quelques secondes que jose regarder ce quil ma fait. Je découvre mes tétons, gonflés comme jamais, pincés entre les mâchoires métalliques reliées entre elle par une chaine, tenue par mon Maître par un doigt.
Jessaie de me concentrer, doublier cette vive douleur qui me mord les seins, je respire par à-coups, me concentrant sur ce que me dit Arnaud.
Il me félicite, me complimente sur mon choix. Il aime jouer avec ses pinces et, il me prédit une jouissance encore plus forte. Il pose sa main sur ma chatte, commence à la caresser, à mécarter les lèvres, me titiller mon clito. Je commence à me tortiller, à bouger le bassin pour accen ses caresses. Il sait y faire pour me faire oublier ma douleur mais, sait me la faire rappeler en tirant légèrement sur la chaine de temps en temps. Je suis tiraillée entre le plaisir, lexcitation de sa caresse et la douleur.
Il me doigte sérieusement la chatte, me faisant fléchir les genoux, ce qui accentue la tension sur la chaine des pinces. Jai les tétons tirés vers le haut, soulevant mes seins, tenue par Arnaud qui narrête pas de me doigter. Que cest bon, la douleur mêlée avec lexcitation, je recule de moi-même afin davoir les seins tendus par ses mâchoires, pour souffrir, pour essayer de jouir tout en souffrant.
Je suis au bord de lorgasme, au bord dun violent tsunami, tirée par les seins et branlée par deux doigts.
Mais avant que tout cela me submerge, il arrête ses attouchements, me laissant tenue par les tétons, bougeant mon bassin pour chercher le contact avec ses doigts, réclamant mon plaisir, râlant à travers mon bâillon, bavant dessus.
- Tu allais encore jouir sans autorisation ! grogna Arnaud tout en maintenant la tension sur la chaine.
Cette nouvelle tension mexcita de nouveau ! Quest-ce quil marrive ? Je deviens maso ou quoi ? Jai limpression que je fais exprès de reculer pour avoir mal. Arnaud le sent, il me voit bien faire tout pour que les pinces tirent mes tétons, pour que la chaine reste tendue, pour que mes mamelles soient portées par ces pinces.
Il sourit, il voit que jaime ça, que jaime souffrir. Il lève la chaine au niveau de mon visage, me faisant me mettre sur la pointe des pieds pour soulager mes seins, tirés vers le haut et, du plat de la mains me claque la chatte, me faisant reculer un peu, accentuant la tension de mes seins.
Ça chauffe au niveau de mon sexe et mexcite, je reprends ma position, sur la pointe des pieds. Tout en me regardant, il me demande « encore ? »
Les yeux pleins de larmes, de douleur ou de plaisir, je ne sais plus, je fais oui de la tête.
Une nouvelle claque sabat sur ma chatte, plus précise, claquant mes lèvres et mon clitoris. Je mords le bâillon et sens un jet de cyprine coulée le long de ma cuisse.
Vas- y salop, plus fort, pends moi par les seins, claque moi la chatte plus fort salop ! Toutes ses pensées restent coincées derrière cette boule qui mobstrue la bouche.
Une nouvelle claque me fait jouir en silence, les yeux fermés. Ce fût bref mais dune intensité encore jamais égalée. Il lâche toutes les tensions, de mes seins et de ma chatte, me faisant tomber à genoux, en transe, à bout de souffle. Sans me laisser le moindre répit, il moblige à poser ma tête sur lassise du canapé, se place derrière moi et dun long mouvement me pénètre, sans la moindre résistance ma chatte, parfaitement lubrifiée. En un coup je me sens totalement remplie, pleine de sa grosse queue, écartant mes lèvres.
Il me prend les poignets, les tenant au creux de mes reins, me faisant cambrer au maximum, accentuant sa pénétration tout en commençant un dur vas et viens. Des coups secs et rapides, comme si il voulait me perforer la chatte. Ces coups de butoirs me font gigoter les seins qui, de par ma position pendent sous moi, les tétons tiré par le poids des pinces, mélectrisant à chaque mouvement. Il amplifie ses mouvements, je les sens plus rapides et désordonnés, je pense que lui aussi doit être excité de baiser sa chienne, de la faire couiner comme une cochonne.
La pièce se remplie de soupirs et de râles, à quelques mètres de mon mari qui doit dormir paisiblement. Cela fait à peine une heure quil est là et jen suis déjà à mon 2ème orgasme, je mords mon bâillon, je salive, bave à travers cette boule. Je sens son gland gonflé en moi, il va jouir, et mentrainer avec lui, il me lâche les poignets, passe ses mains sous moi pour attr les pinces et dans un dernier coup se déverse en moi tout en ouvrant les mâchoires des pinces, faisant affluer le sang dans mes tétons, provoquant des milliers de décharges électrique dans ma poitrine, exacerbant toutes mes zones érogènes, multipliant par 10 la puissance de mon orgasme, libérant un flot de cyprine énorme.
Mon dieu je ne peux pas marrêter de jouir, de gémir, de grogner, jai envie de prendre mes seins à pleines mains et de me les presser, me pincer les bouts, recommencer à avoir mal pour jouir aussi fort ! Je suis en sueur, essoufflée, émue davoir autant jouis.
Je le sens sortir de moi, laissant échapper un pet, à cause de vide quil provoque, me libère de mon bâillon et, viens sassoir à coté de mon visage. Je me déplace légèrement afin davoir ma tête posé sur une de ses cuisses, embrassant amoureusement son sexe, donnant des coups de langue pour nettoyer mes souillures, pour le remercier de mavoir donné autant de bonheur.
Il me regarde et me laisse faire, jai envie de le rendre fier de moi, de lui donner du plaisir aussi, et je mactive sur son sexe, je le lèche sur toute sa longueur, dessus, dessous, jatt ses couilles, les nettoies, enlève toute trace de mon jus. Je me sens chienne, dans cette position, à 4 pattes, les testicules de mon maître dans la bouche, je mexcite de nouveau, mais quest-ce quil fait de moi, je deviens une véritable assoiffée de cul. Il apprécie, je le sens, je le vois. Et plus il apprécie, plus jai envie daller plus loin, plus jai envie que cette soirée dure le plus longtemps possible. Il peut faire ce quil veut de moi, je me sens prête à lui obéir, à me faire éduquer.
Je sais que cette nuit ne fait que commencer
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