Le Chemin De L'École 25

Quand je me réveille, Thomas est déjà dans la cuisine. J’ai la surprise de voir les garçons attablés devant un chocolat chaud et des croissants. Je regarde Thomas de travers avant de remonter enfiler autre chose que mon soutif et un string…

- Tu aurais pu me prévenir… t’imagines s’ils m’avaient vue dans cette tenue ? Tu aurais eu Jess sur le dos… lui dis je après avoir embrassé les s.
- C’était pas prévu. Je l’ai appelé tôt ce matin. Avec la soirée pour l’association aujourd’hui, je vais pas pouvoir voir mes fils ce week-end. Du coup j’ai eu envie de les voir et de leurs faire une surprise en allant les chercher pour le petit déj’.

Un voile obscurci son visage. Il souffre de ne pas voir ses s autant qu’il le souhaiterait. C’est un vrai papa poule, prêt à tout pour ses fils. Il est capable d’entrer dans une colère noire s’il leur arrive quelque chose, d’être un vrai clown quand il joue avec eux et d’une rigueur sans faille s’ils sortent des rails. Le père parfait en somme.

L’après-midi, Thomas doit retourner à la caserne pour terminer les préparatifs de la soirée. Pour que les s voient un peu plus leur père, je les emmène faire un tour de la caserne. En milieu d’après-midi, je les raccompagne chez leur mère.

Elle n’a pas l’air ravie de me voir sonner à sa porte, Axel agrippé à ma jambe, Mathieu endormi dans mes bras.

- Bonsoir. Thomas m’a demandé de vous ramener les garçons, il est sollicité à la caserne. Et Mathieu s’est endormi dans la voiture.
- Bonsoir. Merci. Je vais aller le mettre au lit qu’il se repose encore un peu… allez Axel, rentre.

Mais le petit refuse de me lâcher.

- Mais maman, je veux rester avec Julie.
- Je t’ai dit de rentrer. Elle a des choses à faire…
- Mais j’ai pas envie… je m’amuse avec elle. Puis elle est gentille. Et comme ça je vois plus mon papa…

Voyant qu’il ne me lâche pas, je me mets à sa hauteur.



- Tu sais, ton papa a plein de choses à faire aujourd’hui, alors même si tu restes avec moi, tu ne le verras pas beaucoup. En plus je ne retourne pas tout de suite à la caserne. Mais je te promets que je vais parler avec papa, je vais lui dire que tu as enivre de passer du temps avec lui, et on va trouver une activité que tu pourras avec lui, juste toi. Ça marche ?
- Oui…
- Maintenant, faut que tu ailles avec ta maman.

Il accepte enfin de me lâcher et entre dans la maison. Sa mère referme la porte derrière elle en bredouillant un ‘’au revoir’’ à peine audible. J’ai vu dans le regard noir qu’elle m’a lancé qu’elle me déteste. Elle n’a pas du apprécier que j’arrive à résoudre le conflit avec son fils alors qu’elle n’y parvenait pas.

Je passe récupérer Sandrine chez elle. Elle m’accompagne à la caserne ce soir. On passe à la maison pour se préparer. J’enfile une robe dos nu noire et une paire d’escarpins noirs dont les talons sont recouverts de strass. Avec mon fer à cheveux, je fais de belles boucles dans mes cheveux. Un maquillage léger et me voilà prête à sortir. Sandrine est sensiblement dans la même tenue que moi.

On arrive à la caserne vers 20h00. Je vais embrasser Thomas et saluer quelques connaissances avec d’aller m’installer avec Sandrine à une table.

Afin de récolter des fonds pour une association montée par l’un de leurs collègues, les pompiers ont organisé une soirée de charité, avec buffet froid et animation par un dj. Vers 21h00 le buffet est accessible. Avec Sandrine , nous grignotons un morceau en buvant un verre de vin blanc. Après quelques heures de musique ‘’calme’’ , le dj passe enfin des morceaux qui bougent un peu plus. On se décide à aller danser.

La plupart des regards se posent sur nous, et ce n’est pas pour nous déplaire. Du coin de l’œil, j’aperçois Thomas derrière la buvette qui nous observe, à la fois ravi de l’effet que je fais aux hommes et en même temps un tantinet jaloux.


Greg s’approche de nous et demande à Sandrine si elle veut danser avec lui. Elle accepte et m’envoie un baiser en s’éloignant un peu. Rapidement un autre collègue de Thomas s’approche pour danser avec moi. Sachant que Thomas observe la scène, je joue un peu les provocatrices.

Il ne se passe pas 2 minutes avant Thomas n’arrive, demande au mec de s’éloigner et prenne sa place.

- Où est passé Sandrine ? Me demande-t-il
- Elle danse avec Greg je sais pas où… tu serais pas un peu jaloux toi ?
- Pas plus que ça mais tu as choisi le mec le plus pervers de la caserne… après, le voir baver devant ton corps parfait sachant qu’il n’y aurait pas le droit est très plaisant.

Il m’embrasse tendrement. Au bout de quelques minutes, les slows commencent. Il me serre contre lui.

- Tu es magnifique ma puce… ça te dirait qu’on s’éclipse un peu ? Ça va commencer à se voir que j’ai envie de toi…

Pour toute réponse je lui souris avec gourmandise. Il me tire par la main en se dirigeant vers la roue de séchage de lances.

- On devrait être tranquilles ici, me dit-il en me plaquant contre la porte pour m’embrasser.

Il ouvre sa ceinture, passe une main sous ma robe et pousse la porte de la tour. Alors qu’il s’apprête à me soulever à lui, il s’arrête net. Je me retourne et vois Sandrine et Greg, en pleine action.

- Oups désolés…

Il referme la porte, s’arrête un instant puis m’entraîne dans un fourgon pompe tonne.

- Faut juste espérer qu’on ait pas un départ pour un incendie…

Il ouvre la portière arrière du véhicule, monte sur le marchepied et m’aide à me hisser à l’intérieur. Il referme la portière et s’installe sur la banquette après avoir fini d’ouvrir son pantalon pour libérer sa queue. Je me mets à genoux devant lui et le suce. Il s’allonge et me fais me mettre au dessus de lui histoire de goûter à mon sexe lui aussi.

Il écarte mon string pour accéder à ma chatte et me lèche doucement le clitoris.
Il mouille son index avec mon jus et l’enfonce dans mon petit trou. Il en ajoute un deuxième et un troisième. Il mordille mon bouton tout en doigtant mon cul jusqu’à me faire jouir.

Il me fait descendre de lui, me mettre à genoux en appui sur la banquette et il se met à genoux derrière moi pour venir m’enculer. Je sens sa queue me remplir, il gémit à chaque coup de rein. Il passe une main sous mon ventre pour atteindre ma chatte et me caresse. Il m’encule avec force un long moment. Je jouis en criant.

- Retire toi, j’ai envie de te finir avec ma bouche…

Il s’installe sur la banquette, et je prends soin queue à pleine bouche. Alors que j’effectue de vas et vient, que je passe ma langue le long de sa verge, avec ma main droite je lui caresse les couilles. Rapidement il jouit dans ma bouche.

On se rhabille rapidement avant de rejoindre ses collègues à la buvette. Deux minutes plus tard, des bippers sonnent. Thomas, Greg et 4 autres de leurs collègues partent au vestiaire en courant, en reviennent en tenue de feu et se dirigent vers le fourgon qui a abrité nos ébats.

Je rejoins Sandrine à une table.

- Alors comme ça le courant passe bien avec Greg ? Je lui demande.
- Franchement, on s’attendait pas à ce que quelqu’un débarque. On s’est dit qu’on serait tranquille.
- Figure toi qu’on s’est dit la même chose. Mais maintenant dis moi toi : c’était juste une pulsion ou vous comptez vous revoir ?
- Ben il est sympa, mignon, pour l’instant on discute bien. On s’est dit qu’on allait essayer de voir ce que ça peut donner… pis je j’ai joué franc jeu… je lui ai dit pour toi et moi…
- Et il a dit quoi ?
- Que ça ne le dérange pas. Il m’a demandé si Thomas était au courant. Je lui ai répondu que oui et qu’il lui arrivait même de participer. Il espère pouvoir le faire aussi si Thomas est d’accord vis-à-vis de toi bien sûr.
- Je suis convaincue que ça lui plaira beaucoup… en tout cas je suis contente si ça marche entre vous.
Greg est un mec vraiment bien. Je pense que vous allez bien vous entendre. Au fait, tu veux que je vois avec Thomas pour que vous veniez prendre l’apéro demain ? En plus il va faire chaud et on a sorti la piscine pour les garçons, on pourrait en profiter pour se rafraîchir.
- Ouais ça pourrait être cool. Je te laisse voir avec les garçons ? Je vais rentrer dormir.

Je la raccompagne jusqu’à la sortie de la caserne. Elle me serre dans ses bras avant de me rouler une pelle.

Je prends également le chemin de la maison attendant avec impatience le message de Thomas m’annonçant qu’il est rentré d’intervention.

Ce n’est que vers 3h du matin que je le reçois.

« hey puce on est rentré. La capitaine a dit que je pouvais rentrer il prend la suite de ma garde. Je rentre bientôt. Le temps de prendre une douche… je sens le feu :s »
« ça marche. Demande à Greg si il veut venir prendre l’apéro demain. Dis lui que Sandrine vient et de prendre son maillot ^^ »

« il a dit oui… je suis la dans 15 minutes. Envie de sentir ta peau… »

Un quart d’heure plus tard, il me rejoint dans le lit. Malgré la douche, il sens encore le feu. Il s’allonge derrière moi, me prend dans ses bras avant de m’embrasser dans le cou. Rapidement je m’endors contre lui.

Au petit matin, je me lève doucement pour ne pas le réveiller. J’enfile un short et un débardeur de sport et vais courir dans les rues du village. A mon retour, je fais un peu de ménage et prépare des trucs à grignoter pour le soir. Quand Thomas se lève il est déjà 14 heures.

Sans même me dire bonjour, il me plaque contre la porte de la salle de bains et m’enlève mon débardeur.

- Moi aussi j’ai envie de toi, lui dis-je.
- J’ai pas juste envie de toi… j’ai envie de te baiser comme une chienne, de te faire crier, que tu mouilles comme jamais, que tes jambes ne tiennent plus tellement tu prends ton pied, que tu aies la chatte défoncée par ma queue gonflée, de te baiser la bouche, le cul, que tu n’en puisses plus de jouir…

Il a le regard empli de désir en disant ces mots. Je rougis de tant vulgarité mais ma chatte exprime toute mon envie de mettre en application des désirs. Il termine de m’ôter mes fringues. Lui ne porte que son jeans, bouton ouvert laissant apparaître le haut de son plateau pelvien et dévoilant qu’il ne porte pas de caleçon.

Il me prend dans ses bras et me mets assise sur la table de la salle à manger, se plaçant debout entre mes jambes. Il caresse mes seins et ma chatte. Alors que ma main glisse le long de ses abdos cherchant à entrer dans son jeans pour jouer avec sa queue, il l’att et la repousse. J’insiste, il att mes cheveux et tire ma tête en arrière.

- C’est moi qui décide. Sur ce coup là, tu e mon jouet, mon esclave sexuelle. Je te fais de que je veux, où je veux, comme je veux, tu fais ce que je te dis. Je ne veux entendre ta voix que pour si c’est pour hurler ton plaisir ou gémir. C’est clair ?
- Oui…

Il me pince le téton fortement me faisant mal…

- J’ai dis pas un mot… compris ?

Je fais signe oui de la tête. Ça m’excite qu’il devienne violent et dominant. J’espère qu’il va me faire un peu mal.

Il reprend ses caresses, très lentes. C’est une vraie de ne pas pouvoir le toucher. Il se met à genoux devant moi et mord mon clitoris. Je gémis, je mouille, je jouis. Il me lèche.

- Bouges pas, je reviens.

Il sort de la pièce, je l’entends monter. Il revient quelques minutes plus tard, un paquet dans une main, un bandeau dans l’autre. Il me bande les yeux et m’entraîne par la main jusqu’au canapé.

- Mets toi à quatre pattes.

Je m’attends à ce qu’il me prenne levrette. Au lieu de ça, il se met devant moi, je suppose à genoux. Il passe son gland sur mes lèvres. J’ouvre la bouche pour prendre sa bite. Je la lèche d’abord un peu avant de refermer mes lèvres sur sa verge. Il gémit un peu. Je le suce un peu plus fort. Il prend ma tête entre ses mains et me baise littéralement la bouche. Il donne de grands coups de queue, touchant le fond de ma gorge.

Puis il se retire et se place derrière moi. J’ai hâte qu’il me remplisse. Ma chatte est trempées et n’attend que de sentir sa queue me baiser comme une chienne. A nouveau, il me surprend. Il enfonce sa bite dans mon petit trou, sans préliminaire, à sec. D’abord, ça fait mal, puis c’est très bon. Je sens que je suis moins dilatée mais les sensations n’en sont que meilleures, je suis plus étroite. Je sais qu’il aime sentir sa queue serrée.

- Vas y, baise moi plus fort bébé…

Les mots sont sortis de ma bouche sans que je ne m’en rende compte. Cela n’a pas échappé à Thomas. Il se retire et frappe violemment mes fesses à plusieurs reprises, me faisant pousser des petits râles. Il enfonce finalement un plug de gros calibre dans mon trou de cul. C’est donc ça que contenait le paquet.

Il entame un va et vient avec le plug. De sa main libre, il caresse ma chatte. Il joue ainsi avec moi longuement. Les yeux bandés je perds la notion du temps. C’est très excitant de ne pas voir ce qu’il me fait. Avec ses doigts dans ma chatte et le plug dans mon cul, il me faut jouir plusieurs fois. Je sens que mes jambes tremblent, douloureuses dans cette position que j’occupe depuis un moment. Mais je meurs d’envie qu’il enfonce sa queue en moi.

Il fini par exaucer mon souhait. Il défait le bandeau de mes yeux, s’assied sur le canapé et m’attire à lui pour que je me mette à califourchon sur moi. Il redevient tendre et doux, m’embrassant avec délicatesse, caressant mes fesses doucement, passant sa main dans mes cheveux. Au moment de jouir il me serre contre lui, murmurant un je t’aime à mon oreille.

On reste enlacés un moment, puis il part se doucher. C’est à ce moment que je réalise qu’il est déjà 16h30. Sandrine et Greg arrive dans 2 heures et je n’ai pas fini de préparer à manger, ni pris ma douche. Je me dépêche pour être prête quand ils arriveront.

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