La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 570)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°564) -

Madame Ella ordonna à soumis Endymion MDE de passer les bras dans les manches de la camisole, ses membres supérieurs et ses mains furent emprisonnées dans un cuir épais. Assistée de soumise Phryné MDE, Madame Ella ajusta le lourd dispositif sur les épaules et derrière le dos de l’esclave MDE, puis elle commença à serrer les boucles depuis le col jusqu’en bas, au niveau du creux des reins de soumis Endymion MDE. La camisole dégageait bien le cul du mâle et mettait en valeur son fessier désormais marqué. Chaque sangle était tendue et serrée au maximum. Très vite soumis Endymion MDE sentit la pression s’exercer sur sa poitrine, il fut également surpris par le poids de ce matériel, lourd, très lourd ! Lorsque Madame Ella eut fini avec les sangles du dos, elle attacha deux autres sangles passant dans l’entrecuisse du soumis MDE, de part et d’autre de sa nouille pour une fois flasque, tant il avait baisé. Là encore, elle serra autant qu’elle pouvait. Elle ordonna ensuite à soumis Endymion MDE de croiser les bras sur sa poitrine, elle attrapa les sangles des manches pour les attacher dans des boucles métalliques rivetées dans le dos. Elle serra encore, tant qu’elle put… Elle ne semblait pas totalement satisfaite, elle aurait aimé que l’arrimage soit encore plus contraignant.

- T’en sors-tu ma chérie ?

Monsieur le Vicomte arrivait au bon moment, il aida son épouse pour parachever la fixation des bras de soumis Endymion MDE, en posant un genou sur le haut du fessier du chien soumis et il tira encore pour gagner deux œillets dans les passants de la boucle. Là, l’immobilisation était parfaite, très contraignante voire étouffante ! Les bras plaqués contre la poitrine empêchaient l’esclave MDE de respirer normalement, ses épaules bloquées furent rapidement douloureuses. Pour contempler l’œuvre de sa charmante épouse, Monsieur CharlEd s’était approché, juste derrière soumise Laïs MDE, parfaitement immobile, installée en levrette, dans la position requise, les bras allongés sur le devant comme pour se prosterner, la tête baissée, le front touchant le sol et les jambes bien écartées et le cul cambré et bien relevé en attente des ordres suivantes.



- Beau travail ma chérie ! Tu vas pouvoir t’occuper de ce chien comme tu l’entends…
- Il faut d’abord panser sa plaie, par des soins réguliers au quotidien, et seulement ensuite je m’occuperai de lui.

La main de Monsieur le Vicomte venait de glisser sur le dos de la femelle MDE, elle frissonna de tout son corps.

- Tu as froid salope ?

soumise Laïs MDE n’osa pas parler, elle fit seulement un signe de la tête de gauche à droite, non elle n’avait pas froid… La main de Monsieur CharlEd continuait à parcourir le dos cambré de soumise Laïs MDE et s’intéressait plus particulièrement à son fessier bien ferme, presque crispé, le caressait tendrement, légèrement. soumis Endymion MDE comprit bien vite, que sa sœur de soumission était en train de perdre pied. Elle se pinçait les lèvres nerveusement, sa respiration devenait de plus en plus haletante, elle avait de plus en plus de mal à garder la tête inclinée vers le sol, son regard partait dans tous les sens. Cette main venait de glisser lentement dans son sillon intime et la dévouée esclave MDE de Monsieur le Marquis poussa un long gémissement. Monsieur CharlEd venait de s’accroupir derrière elle, sa main gauche fouillait maintenant énergiquement l’entrecuisse de la femelle MDE, la droite écartait son lobe fessier rebondi. Soudainement, le pouce gauche de Monsieur le Vicomte forçait son anus en même temps que son majeur glissait dans sa chatte humide. Au même instant, soumise Laïs MDE poussa un long gémissement, cette double pénétration la fit plus que frissonner, son corps tremblait, elle ne semblait plus du tout le contrôler …

- Oh que non… elle n’a pas froid cette chienne mais chaude comme la braise, elle est même en chaleur… lança Monsieur CharlEd à la cantonade, puis s’adressant à la femelle MDE : Tu viendras me retrouver dans mon bureau, celui juste à côté du bureau du Maître, dès lors que Madame n’aura plus besoin de toi

Soumise Laïs MDE acquiesça par un hochement de tête, elle se pinçait plus encore les lèvres pour retenir ses plaintes jouissives.
Monsieur CharlEd dégagea subitement sa main, frustrant ainsi la femelle MDE, puis se redressa et s’approcha de soumis Endymion MDE et présenta sa main près de ses lèvres.

- Lèche les souillures de cette chienne ! ordonna-t-il

Et ce fut son pouce qu’il introduit en premier dans la bouche du chien mâle MDE, Monsieur le Vicomte l’essuya contre sa langue et son palais, l’appuya contre les parois internes de ses joues, puis son majeur pénétra l’orifice buccal de l’esclave MDE allant même jusqu’à lui titiller la glotte.

- Allez chien, lave, nettoie, décrasse…

Pendant ce temps, Madame Ella, semble-t-il excitée elle aussi, avait remonté sa jupe qu’elle tenait surélevée d’une main, puis de son autre main empoigna les cheveux de la soumise Laïs MDE pour la faire mettre à quatre pattes. Ensuite, elle s’était placée juste devant la bouche de soumise Laïs MDE, toujours à quatre pattes, elle lui faisait brouter son petit minou.

- Lèche, lèche mieux que ça salope ! disait-elle en flagellant le cul de la chienne MDE avec une longue cravache après avoir lâché la jupe (mais pas les cheveux) pour attr la cravache à portée de main. La tête de la soumise MDE se retrouvait ainsi une peu sous la jupe, les cheveux empoignés et le cul cravaché.

soumise Laïs MDE sursautait à chaque impact en poussant des geignements autant plaintifs que jouissifs, mais sa langue cherchait ce petit bourgeon rose qui comme mu par un ressort, se tendit en se gorgeant de sang et pointait entre les douces et soyeuses lèvres de Madame… Avec détermination, sans se laisser déborder par la flagellation, soumise Laïs MDE faisait frétiller sa langue par des mouvements extrêmement rapides jusqu’au moment où un flot de cyprine vint la combler ! soumise Laïs MDE donna un long, long baiser entre ses cuisses puis porta à la bouche ce clitoris turgescent. Elle le fit rouler entre ses dents comme sil elle allait le croquer puis le suça avec une exquise délicatesse.
L’organe se déployait encore, plus généreusement que jamais. Le simple fait de l’effleurer faisait trembler Madame Ella des pieds à la racine de ses cheveux.

- Elle va me faire jouir, cette petite garce !

La perversité de ce jeune couple de Dominants n’était plus à démontrer, leur excitation matinale monta d’un cran encore. Monsieur CharlEd baissa son jean, se plaça à genoux derrière la chienne lécheuse, positionna son Priape au centre de l’orifice étroit et poussa doucement. Sous la pression, le cul de la femelle MDE céda et absorba d’un coup d’un seul toute la bite qui s’enfonçait en elle jusqu’à la garde. A chaque grands coups de reins qui lui labouraient les entrailles, sa bouche se ventousait plus encore sur la douce chatte détrempée de Madame Ella qui s’extasiait aussi !

- Oui chéri, défonce-la bien cette chienne, poussa là contre mon ventre, qu’elle vienne boire mon divin breuvage…

soumis Endymion MDE, figé, toujours maintenu serré dans cette camisole de force, assistait, à ce spectacle impudique et débridé. Ces images l’emmenèrent vers des sensations et des réflexions intimes, qu’il n’avait jamais eu jusqu’ici. Etait-ce le fait que ce matin, il n’arrivait plus à bander ? Il se sentait et se voyait, là, présentement, esclave comme jamais, sans âme ni raison, balloté, retourné, utilisé, ne servant que de réceptacle. Il était baisé, enculé, astreint et contraint à sucer des queues, bouffer des chattes ou des culs, sans réfuter ni même essayer de résister. Il était torturé, bafoué, humilié… Il avait tout perdu : honneur, dignité, pudeur… Il n’était plus rien… plus rien que ce qu’il voulait être… Et ainsi, il est heureux, il avait enfin trouvé la plénitude. En effet, sa volonté, son acharnement à vouloir se réaliser prenait corps ce matin, il était ! Oui il était, avec l’aide précieuse apportée par Monsieur le Marquis d’Evans, ce qu’il avait toujours rêvé d’être : un esclave comblé et heureux de l’être. Cette renaissance annoncée s’amorçait, il la voyait se dessiner depuis son marquage, il la ressentait dans ses tripes, dans sa chair, dans sa tête.
Chaque minute passée dans ce Noble lieu augmentait sa satisfaction, à chaque minute, il s’enfonçait un peu plus dans la dépravation. Un style de vie qui s’était imposé à lui, comme si naturellement il était fait pour ça…

Monsieur CharlEd s’était retiré juste à temps. Il empoigna sa queue, la secoua énergiquement en rugissant. Sa semence giclait à plusieurs reprises et s’étalait sur les fesses de soumise Laïs MDE. Madame Ella avait eu un orgasme d’une puissance extraordinaire, elle se caressait la chatte, imprégna ses doigts de cette intime liqueur et les donna à sucer à soumis Endymion MDE. soumise Phryné MDE, toujours en position attente au fond de la pièce, fut appelée à la rescousse pour être employée à nettoyer la queue de Monsieur le Vicomte. Elle s’approcha donc à quatre pattes et de sa vive langue soumise Phryné MDE s’appliqua à lécher les moindres plis de la verge et avaler la cyprine de sa sœur de soumission, comme le sperme Monsieur CharlEd restée sur la noble queue. Puis sitôt fait, elle dut lécher les fesses de sa sœur de soumission et avaler le foutre abondant déposé !... Une demi-heure passa, et après avoir lavé la queue et le cul de soumis Endymion MDE, soumise Laïs MDE lui rasait de près le pubis, les couilles et la raie. soumise Phryné MDE, quant à elle, pensa et soigna la brûlure du marquage de sa fesse droite sous le regard attentif de Madame Ella. Les marques rougeâtres et profondes laissaient malgré tout apparaitre les fins contours des Nobles Initiales fixées à jamais dans les chairs de l’esclave MDE. Plusieurs couches de crème furent appliquées soigneusement et avec délicatesse par soumise Phryné MDE. Dès leur travail terminé, les deux femelles MDE s’éclipsèrent sur la pointe des pieds, laissant seul Madame Ella et le chien mâle MDE. Elle l’emmena sur l’immense lit, le fit coucher sur le dos, lui exigea de relever les jambes afin que ses cuisses soient en contact avec sa poitrine. Elle plaça entre ses deux chevilles une barre d’écartement, puis fixa celle-ci, à l’aide de deux courtes cordes à deux passants rivés sur les épaules de la camisole de force. Cul relevé, avec l’impossibilité de bouger, soumis Endymion MDE offrait à celle qui le dominait une vision d’ensemble de ses génitaux. Dans un des placards de la vaste chambre, Madame Ella récupéra plusieurs cordages, les attacha à divers œillets de la camisole et les fixa au lit. Cette fois-ci, le chien mâle était parfaitement maintenu sans possibilité de bouger d’un iota... La suite allait être encore bien perverse pour l’esclave Mâle MDE…

(A suivre …)

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