Katherine 7
Je préparai fébrilement mes affaires : on était vendredi soir, et hier, j'avais reçu un SMS de Katherine, mon plan cul régulier, qui m'invitait à passer un week end chez elle, afin que nous échappions ensemble au stress de la fac et des examens. J'étais bien sur ravi de cette invitation, car je savais qu'avec Katherine, un "week end détente" était synonyme de "week end sexe", et le moins qu'on puisse dire, c'est que Katherine était pile le genre de fille avec laquelle on rêverait de passer un week end à baiser : elle était très sexy, brune, de taille moyenne, des fesses à tomber par terre, et une poitrine alléchante (95C). En outre, elle était extrêmement douée au lit, aimait prendre les choses en mains, et savait y faire pour donner d'intenses orgasmes. Bref, ce "week end détente", s'annonçait très plaisant pour moi. Une fois toutes mes affaires pour le week end entassées dans mon sac, je pris ma voiture (j'avais eu mon permis récemment) et partis en direction de la maison de Katherine.
J'arrivai bientôt devant la grande maison de Katherine, et l'attendis : elle n'était pas encore chez elle, et devait arriver sous peu. Dix minutes plus tard, la belle arriva sur sa moto, et je frissonnai : elle était vêtue d'une veste de môtarde en cuir, ce qui lui donnait un air terriblement sexy, avec en plus un jean moulant qui mettait en valeur ses magnifiques fesses, de quoi me rendre fou ! Elle ne portait pas de casque (les précautions et elle ça avait toujours fait deux), et avait ses cheveux attachés, ce qui mettait en valeur son merveilleux visage, et je me sentais déjà tout excité rien qu'à la voir... Elle descendit de sa moto, et se dirigea vers moi, m'observant avec son regard de braise, annonciateur de nuits incandescantes... Lorsqu'elle fut devant moi, Katherine m'attira contre elle, et m'embrassa langoureusement, me donnant un baiser à m'en faire perdre le souffle, finissant par une légère morsure à la lèvre qui me fit frissoner.
"Tu m'as manqué chéri, me dit Katherine en souriant."
"On s'est vus avant hier dis je en riant."
Elle m'embrassa le cou et me lécha l'oreille, avant de me murmurer :
"Et ça t'a pas paru long peut être ?"
Je frémis, et répondis :
"Si, une éternité."
Katherine me sourit, puis me prenant par la main, elle m'entraîna vers la maison. Une fois à l'intérieur, elle détacha ses cheveux, les laissant tomber en cascade autour de son visage, puis, elle me plaqua contre la porte d'entrée, et m'embrassa encore plus sauvagement que tout à l'heure, se collant à moi de manière délicieuse. Je l'attrapai ensuite par les hanches, et la plaquai à son tour contre la porte. Elle sourit devant ma fougue, et me retira mon sweat me laissant en T-shirt, après quoi, je lui retirai sa veste de cuir, la laissant en débardeur noir moulant au décolleté généreux. Katherine me sauta dessus, enroulant ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de ma nuque. Tout en l'embrassant avec passion, je la portai vers le salon. J'étalai la belle brune sur la table de sa salle à manger, et lui dévorai le cou, puis son décolleté. Puis, je la reportai vers le canapé, et une fois devant, elle me poussa dessus, et vint sur moi. Nous reccomençâmes à nous embrasser, puis, Katherine m'embrassa le cou, me faisant frémir de la tête aux pieds. Elle interrompit son baiser, et commença à me déboutonner mon jean : on arrivait au momment fatidique...
"T'aimerais que je te la sorte et que je te baise hein ? Dit elle en me touchant la queue à travers mon jean."
Je frissonnai et dis :
"J'adorerais ça !"
Elle se pencha vers moi et me souffla à l'oreille :
"Alors faudra que tu m'atts !"
Et sur ce, la belle s'enfuit en courant vers l'étage du dessus. Je fus surpris, mais me repris rapidement, et lui courai après. Je grimpai les escaliers, et la rattrapai sur le pallier, la saisissant par les hanches, et la collai contre moi.
"T'avais trop envie de moi pour me laisser m'éloigner pas vrai ?"
"Une fille aussi bonne que toi, on la laisse pas s'échapper... confirmai je."
Je me mis à lui embrasser la nuque, tout en lui massant les seins avec avidité. La brune sourit, puis me colla ses fesses, encore couvertes par son jean, sur ma queue, et commença à me branler ainsi, à travers mon pantalon. Son merveilleux fessier aussi rond et ferme qu'un ballon de foot, allait et venait, faisant grandir mon sexe à chaque frottement, au point que c'en fut presque douloureux. Je tremblai littéralement de plaisir et soupirai :
"J'adore ton cul ma belle !"
"Ah oui ? Tu aimes ce que je te fais ? Dit elle en accélérant le rythme."
Rendu fou par le plaisir qu'elle me procurait, je glissai une main dans son soutif, et lui maissai les seins avec dextérité, jusqu'à ce Katherine se mette elle aussi à frémir de plaisir. Puis, je la retournai brusquement, et l'embrassai sauvagement, elle me répondit sur le même ton, rendant notre baiser extrêmement intense, elle me tenait par la nuque, ses bras enroulés autour de moi, tandis que je la tenais par les fesses, en en profitant pour les masser. Tout en nous embrassant avec fièvre, nous nous dirigeâmes vers la chambre de Katherine. Là, la brune me jeta sur le lit, et vint sur moi. Elle me retira mon T-shirt, et m'embrassa le corps, me léchant abdos et pectoraux.
"Je me lasserai jamais de ton corps, t'es trop bon mon chéri, me dit elle en me dévorant le torse."
Je frissonai sous ses baisers, incapable de lui répondre. La belle me retira ensuite mon jean, puis, attrapa mon caleçon avec les dents, et me le retira. Elle prit ensuite mon sexe en main, et se mit à me branler, allant et venant avec sa main à un rythme effréné, le plaisir montant en moi à chacun de ses allers et retours, me faisant me tordre sur le matelas. Katherine me regardait droit dans les yeux, un sourir narquois aux lèvres :
"Je parie que même toi tu te branles pas aussi bien, me dit elle.
"C'est clair ! Dis je en serrant les dents pour ne pas crier."
La belle interrompit sa branlette, et se pencha vers moi, approcha sa bouche de ma queue... je retins ma respiration, attendant la suite avec impatience. Elle me lécha le sexe de la base au gland, une fois, deux fois, trois fois, enchaîannt les coups de langue avec brillo, m'arrachant un grand "aaaah putaiiin !" de plaisir. Ravie de m'entendre crier ainsi, la belle brune passa à la vitesse supérieure, et me prit carrément en bouche, gobant mon sexe avec avidité, et faisant des vas et viens ainsi, innondant délicieusement ma verge de salive, me pompant avec enthousiasme, et me faisant trembler de plaisir. Elle accéléra encore le rythme de sa pipe, me faisant fondre de plaisir, me transporant avec délice au 7ème ciel. Mais, alors que j'étais pour ainsi dire au Paradis, la belle s'interrompit net.
"Pourquoi tu t'arrêtes en si bon chemin ? Dis je essoufflé."
Essuyant un filet de liquide blanc qui coulait de sa bouche, elle me répondit :
"Je voulais pas que tu jouisses tout de suite, je te veux en moi mon grand !"
Et sur ce, la belle se leva, et un grand sourire aux lèvres, elle entama un délicieux strip tease, tandis que je m'asseayais pour profitier du spectacle. Elle commença par enlever lentement son débardeur, révélant un soutif rouge vif, qui soulignait sa belle poitrine, et faisait ressortir son magnifque corps, avec sa taille fine et sa peau très blanche. Elle retira ensuite son jean, révélant un shorty tout aussi rouge, et qui moulait son magnifique postérieur, me donnant furieusement envie de l'arracher. Avec un regard sauvage, la brune vint ensuite sur moi et me plaqua contre le matelas avec autorité.
"Je vais te faire l'amour tellement sauvagement que tu vas en oublier ton prénom ! Me prévint elle avec un sourire provocateur."
Décidé à la défier, je la saisis tout à coup par les hanches, et la renversai, reprenant le dessus.
"Pour une fois, lui répondis je, c'est moi qui vais te faire perdre la tête !"
Elle me sourit et me répondit d'un air provocateur :
"T'es sur de vouloir jouer à ça avec moi ? Me répondit elle. On sait tous les deux comment ça va finir..."
"C'est ce qu'on verra... lui répondis je tout en sachant qu'elle avait raison."
Je l'embrassai fougueusement, puis descendis le long de son cou, puis sur son son buste, embrassant ses seins à travers son soutif, admirant leur rondeur, puis descendis sur son ventre plat, et l'embrassant et léchant avec plaisir. Ensuite, je retirai son shorty, et la pénétrai d'un grand coup sec qui arracha un petit cri à Katherine. J'entamai ensuite des vas et viens d'abord lents, la pénétrant profondément à un rythme mesuré, prenant lentement possession d'elle, et me réjouissant de la voir grimacer de plaisir à chaque aller venue de mon sexe. Décidé à lui faire perdre la tête, je me mis ensuite à accélérer progressivement le rythme de mes coups de reins, allant de plus en plus vite en elle. La respiration de Katherine s'accéléra et son corps se cambra. Sachant que c'était bon signe, j'accélérai encore, lui assénant des coups de butoir amples et puissants, qui cette fois ci la firent gémir à grands cris.
"Tu aimes ce que je te fais pas vrai ? Lui dis tout en la baisant avec intensité."
"Aaah ouuiii j'adore ! Hmmm continue vas y continue, plus vite ! Cria t elle folle de plaisir."
Ravi de la voir prendre son pied ainsi, je lui attrapai les jambes, et les mis sur mes épaules, pour pouvoir la prendre en enclume. Je repris ensuite mes coups de reins dévastateurs, allant et venant en elle plus vite et plus profondément que jamais, cognant le fond de son intimité, lui arrachant des gémissents aigus de plaisir. Tout en la baisant ainsi, je l'embrassais langoureusement, et lui tenais les mains pour lui montrer que pour une fois, c'était moi le patron. Je sentais des terribles frissons de plaisir me parcourirent le corps, auquel s'ajoutait le plaisir de voir Katherine ballotée par mes coups de reins, et l'entendre gémir à pleine voix et crier des choses comme : "putaiiiin ! j'adore ce que tu me fais, ta queue est tellement bonne je kiiife !"
"Tu fais moins la maligne pour une fois, pas vrai ? Lui dis je en lui souriant d'un air provocateur."
Elle ne me répondit pas, mais je vis dans ses yeux le plaisir qu'elle avait à être pour une fois domptée et maîtrisée. Je me laissais aller à mon plaisir, la baisant sans aucune retenue, allant si vite que le lit se mit à cogner contre le mur, et que Katherine sembla sur le point de s'évanouir de plaisir. Tout en la baisant, je continuais à la provoquer lui disant des choses comme "je te baise, je fais de toi ce que je veux, c'est trop bon !" de temps à autre, je lui mettais aussi une petite claque, histoire d'enfoncer le clou. Cependant, tout à mon plaisir, j'oubliais que même prise ainsi sans aucune retenue, Katherine restait Katherine : alors que j'étais entrain de la pilloner sans répit en lui tenant les mains, et qu'elle semblait au 7ème ciel, incapable de reprendre le dessus, la belle m'enroula dans ses jambes, et me renversa malgré tout.
Elle s'installa au dessus de moi, je tentai de la renverser, mais elle me tint cloué au matelas en me tenant par les épaules, et j'eus beau me débattre, elle tenait bon en sagrippant à moi avec les jambes, et en me tenant par les épaules. Je finis donc par capituler, et cessai de me débattre. Ravie d'avoir à nouveau la maîtrise de la situation, Katherine m'embrassa langoureusement et délicieusement, à m'en faire perdre le souffle.
"Tu m'as fait trop de bien mon chéri, à moi de te rendre la pareille !"
"Je t'en prie, fais de ton mieux... répondis je provocateur"
La belle se retourna et me tourna le dos. Puis, elle s'empala sur mon sexe. Elle entamma ensuite de délicieux coups de reins, allant de haut en bas sur mon sexe, me faisant frémir de tout mon corps. Tout en se déanchant, la belle, en proie à un intense plaisir, se passait les mains dans ses cheveux et gémissait d'extase. De temps à autre, elle se retournait, et me défiait du regard, se réjouissant de me voir me tordre de plaisir. Elle me provoquait souvent en disant "je te fais perdre la tête mon grand, j'aime trop te voir jouir comme ça !" Dans cette position, j'avais une parfaite vue sur son cul magnifique, qui s'agitait devant mon visage, et me rendait fou. Au bout d'un certain moment, cela me donna une idée : je me redressai d'un coup, et attrapant Katherine par les hanches, je la renversai, et la mis à quatre pattes sur le lit.
La brune poussa un cri de surprise, et voulus se débattre, mais implacable, je la tins par la nuque et l'empêchai de bouger. Je sentis un frisson d'excitation nous parcourir tous deux : elle et moi n'avions pas trop l'habitude que je prenne ainsi l'ascendant, et cette situation nouvelle était très excitante. Elle l'était encore plus pour moi, car je savais pertinemment ce que j'avais l'intention de lui faire, et cela me rendait dingue rien que d'y penser...
Je pris mon sexe, et le mis devant l'entrée de son merveilleux cul. Katherine frissonna d'excitation.
"Tu n'oseras pas faire ça me défia t elle."
"Bien sur que si, lui rétorquai je. Je pense que ça te remettra à ta place, ajoutai je pour la provoquer."
"Si tu fais ça, je me vengerai, me prévint elle."
Elle disait ça, mais en même temps, je sentais qu'elle en avait très envie, aussi je lui répondais :
"C'est ce qu'on verra !"
Et d'un coup sec, je la sodomisai. Elle poussa un petit cri, de douleur et de plaisir mêlés, qui se transforma en un long flot de gémissements lorsque je me mis à lui limer le cul à grands coups de reins, allant et venant en elle à un rythme effréné, jouissant de sentir mon sexe si serré en elle, frissonant de la tête aux pieds à chacun de mes coups de reins, et me réjouissant de l'entendre gémir. De temps à autre, je ralentissais le rythme et faisais coulisser mon sexe plus lentement, afin de profiter au maximum des sensations que cela me procurait, avant de reprendre mes coups de pillon, la baisant avec intensité et sauvagerie. Katherine se tordait de plaisir, donnait de temps en temps des coups de fesse pour augmenter encore le plaisir, mais ne pouvait pas faire grand chose d'autre que subir mes assauts dévastateurs. Je prenais un plaisir énorme à la dominer ainsi, et ne pus m'empêcher de la narguer :
"Alors ça fait quoi d'être celle qui se fait baiser pour une fois ? Tu as perdu de ta superbe on dirait !"
"Tu me fais pas grand chose, je sens rien là, parvient elle à articuler pleine de mauvaise foi entre deux gémissements."
Je lui donnai un coup de rein encore plus fort que les autres, et elle poussa un grand cri de plaisir.
"Je te fais rien vraiment ? Lui dis je moqueur."
Sans attendre de réponse, je me mis à la mitrailler de coups de reins plus forts que jamais. Bientôt, je sentis le plaisir devenir trop intense, et je compris que l'orgasme était proche, et je me mis à accélérer le rythme, allant plus vite et plus fort que jamais, Katherine se mit à hurler "aaaah arrête stooop c'est trop booon !" et cela ne fit que m'encourager à aller encore plus vite et plus fort, la baisant ainsi jusqu'à l'explosion finale : j'eus un orgasme dévastateur, qui me fit jouir à grand flot dans son cul, et me laissa effondré sur le matelas.
Katherine, sonnée par ce que je venais de lui faire, vint s'allonger à côté de moi.
"Hmmm c'était délicieux mon chéri... y a pas beaucoup de mecs qui m'ont baisée comme tu l'as fait."
"Je sais, lui répondis je en l'embrassant, mais faut dire aussi que j'ai été à bonne école avec toi, ajoutai je en lui faisant un clin d'oeil."
La belle pouffa et me donna un autre baiser. Nous restâmes un moment allongés l'un contre l'autre, jusqu'à ce qu'elle me dise qu'elle voulait se doucher (une manie qu'elle avait souvent après une baise sauvage), et partit dans sa salle de bain. Pendant son absence, je me plus à ressasser ce qui venait de se passer. Au bout d'un moment, le souvenir encore très vivace de ce délicieux moment, combiné au fait d'imaginer Katherine nue sous la douche, me donna quelques idées... Je me levai, et me glissai à pas feutré hors de la chambre, puis dans la salle de bain. J'ouvris brutalement les portes coulissantes de la douche, et y rejoignis Katherine.
Elle était déjà entièrement trempée par l'eau de la douche, et ses cheveux mouillés lui donnaient un air encore plus sexy que d'habitude, de même, lorsque je la pris par la taille, je pus voir que mouillée, sa peau était encore plus douce.
"Tu en as mis du temps à me rejoindre mon grand. Me dit elle avec un grand sourire."
"Je voulais que tu te languisses de moi ! Lui répondis je taquin."
Elle m'attrapa par la nuque, et m'embrassa avec passion, je lui rendis son baiser sur le même ton, avant de la porter, et de la plaquer dos au mur de sa douche. Nous échangeâmes un brulant regard, et je vis une lueur d'excitation passer dans les yeux de Katherine : elle savait très bien que dans une douche étroite où l'on devait se tenir debout, elle ne pourrait pas reprendre le dessus et devrait se laisser faire, encore une fois. Je m'enfonçai à nouveau en elle, et commençai à lui administrer de bons coups de reins, allant et venant en elle sans aucune difficulté. Katherine était accrochée à ma nuque, les jambes enroulées autour de ma taille, et elle m'attirait contre elle. Ainsi, nous nous retrouvâmes bien vite collés l'un à l'autre, presque soudés, à nous embrasser comme des déments, pendant que je la baisais avec sauvagerie. Je finis néanmoins par être fatiguée de la porter, et décidai de changer de position.
Je la déposai, avant de la retourner et de la plaquer contre la paroi de la douche, me collant à son dos, et plaçant mon sexe à l'entrée de son cul.
"Tu es prête pour un deuxième tour ? Lui dis je souriant."
"De toute façon mon avis ne compte pas non ? Répondit Katherine en essayant de paraître de mauvaise grâce, alors que je sentais qu'elle en avait très envie."
"Exact lui répondis je."
Je lui pris à nouveau le cul, la pénétrant d'un coup sec. Prise par derrière, coincée entre moi et la paroi de sa douche, Katherine ne pouvait rien faire d'autre que de subir la situation, et je sentais qu'elle aimait être traitée comme ça. Je coulissais facilement en elle, tout en ayant le sexe bien serré, ce qui me fit frémir d'extase à chaque aller retour que je faisais. J'allais et venais dans son cul, à une vitesse de plus en plus grande, grognant de plaisir comme une bête sauvage, tandis que Katherine se mordait les lèvres pour ne pas gémir. Tout en la baisant, je lui tenais fermement les mains plaquées contre la paroi, histoire d'en rajouter de bien lui montrer que le patron c'était moi. Je lui embrassais la nuque ou lui léchais l'oreille, avec une douceur et une sensualité qui contrastaient avec la sauvagerie avec laquelle je la démontais. Lorsque le plaisir devint trop en intense, et que je sentis l'orgasme proche, je me mis à accélérer encore le rythme, à un tel point que Katherine ne put se retenir de gémir et poussa de grands "ouuuiiii c'est trop boooon comme çaaaa vaaas y !" ravi, je lui murmurai à l'oreille "c'est bien, gémis ! Je suis entrain de faire de toi ma petite soumise !" et sur ce j'éjaculai à grands flots dans son cul, dans une explosion de plaisirs.
Vingt minutes plus tard environ, le petit frère de Katherine rentra du lycée, et, fort heureusement nous trouva habillés et entrain de jouer à la Wii, pas nus et entrain de baiser comme des bêtes. Dans les deux heures qui suivirent, ce fut au tour des parents de Katherine de rentrer l'un après l'autre, et je dînai avec toute la petite famille de Katherine. Ceux ci m'appréciaient plutôt bien, aussi je passai une bonne soirée. Ni les partents de Katherine, ni son frère, ne remarquèrent cependant les regards de braise que la brune et moi échangions, et qui témoignaient de l'intense tension sexuelle qu'il y avait entre nous. Je sentis que la nuit n'allait pas être de tout repos, et que Katherine allait chercher d'une façon ou d'une autre à remettre les pendules à l'heure entre nous...
Après le dîner, je pris une nouvelle douche (la dernière avait été un peu salissante), et me couchai. J'ai déjà dit je crois, que la maison de Katherine était immense, elle comportait presque une dizaine de chambres. Aussi, ce n'était vraiment pas de chance que la chambre que me prêtaient ses parents se trouvent juste à côté de la chambre de son petit frère... Cela augmentait considérablement le risque de tout ébat nocturne...
Pourtant, tard dans la nuit, alors que toute la maison était endormie et plongée dans le noir complet, je fus réveillé par quelque chose de doux et humide qui chatouillait le cou : je reconnus bien vite les lèvres de Katherine, et lorsqu'elles arrivèrent sur ma bouche, je reconnus bien vite sa façons sauvage et sensuelle d'embrasser. Je lui rendis son baiser avec passion, et à l'aveuglette, je me mis à caresser son corps. Je sentis qu'elle était encore en pyjama, aussi je lui enlevai, tandis qu'elle fit de même avec moi. Dans le noir, impossible pour chacun d'entre nous d'admirer l'autre nu, mais nous pouvions en revanche nous caresser et nous palper, ce que nous ne nous privions pas de faire.
Rapidement, Katherine empoigna mon sexe, et s'empala dessus, et démarra une délicieuse partie de jambe en l'air nocturne, aveugle et silencieuse.
Katherine se lança dans une chevauchée fantastique, me baisant avec tout son talent, allant d'avant en arrière à un rythme élevé, me faisant perdre la tête à chacun de ses allers retours, me tenant fermement par les épaules, ne me lâchant que pour me griffer le torse, ou me mettre une giffle de temps en temps. On sentait qu'elle n'avait pas oublié ce qui s'était passé cette après midi, et qu'elle avait l'intention de remettre les pendules à l'heure entre nous. Quant à moi, je dus bien vite serrer des dents très forts pour ne pas gémir (pas question de réveiller son petit frère), mais la tâche était ardue, tant le plaisir que Katherine m'infligeait était énorme. Je ne perdais pas tous mes moyens pour autant, et quand Katherine me mit une troisième giffle, je décidai de réagir : à l'aveuglette, je l'attrapai par le dos, et voulus la forcer à s'allonger sur moi, mais elle me résista en s'appuyant sur moi. Je me redressai alors, me mettant assis, et voulus la renverser, mais Katherine enroula ses jambes autour de ma taille, et se déhancha de gauche à droite, déclenchant des vagues de plaisir chez nous deux. Katherine enroula ses bras autour de mon cou, et nous nous embrassâmes passionnément. Puis, elle me poussa et m'étala sur le lit. De nouveau pleinement maîtresse de la situation, elle reprit ses vas et viens, se déchaînant littéralement, me chevauchant comme une furie. La baise était délicieuse, le plaisir montait en moi en une vague irrépressible de manière si intense que j'avais l'impression de m'évanouir. Nous faisions attention à ne pas faire de bruit, mais j'entendais sa respiration saccadée à cause de l'effort qu'elle faisait en me baisant. Quant à moi, malgré mes efforts je finis par lâcher un léger gémissement. Comme pour me punir, Katherine me mit alors une nouvelle gifle, et me baîllona avec sa main, afin d'éviter que je ne refasse du bruit.
J'adorais ce qu'elle me faisait, mais je désirais reprendre le dessus. Je la saisis par les hanches et renversai, puis l'étalai sur le dos. Je la sentis se cambrer d'excitation, et je compris qu'elle aimait ça. Je la pris en missionaire et lui donnai des coups de reins puissants, la baisant de toute la force de mon excitation. Je la limais ainsi pendant de longues et délicieuses minutes, mon sexe allant et venant en elle à un rythme soutenu, ne m'interrompant que pour l'embrasser sensuellement. Je sentais Katherine se tordre de plaisir sous mes assauts répétés, et je l'entendais à grandes peines les gémissements que mes coups de rein lui donnaient envie de pousser. Elle dut même enfouir sa tête dans l'oreiller pour éviter de crier son plaisir. Je tâchai de garder le contrôle sur elle, en la pilonnant aussi fort que possible, et en lui tenant les mains, mais Katherine était d'une nature trop indomptable pour se laisser faire longtemps. La belle finit par se reprendre, et enroulant ses jambes autour de mes hanches, elle me renversa et reprit le dessus.
La nuit qui suivit fut une longue lutte acharnée et délicieuse entre nous deux. A chaque fois que l'un de nous prenait le dessus, l'autre après s'être laissé baiser finissait invariablement par reprendre le dessus. Parfois, quand l'un de nous renversait l'autre, il n'arrivait pas tout de suite à prendre le dessus, et nous roulions alors l'un sur l'autre furieusement, chacun cherchant à se maintenir au dessus. Notre lutte était furieuse et passionnée, le lit était sans dessus dessous, les draps étaient en bataille, les oreillers avaient valsé hors du lit, et le traversin gisait au milieu du matelas, et parfois nos corps entremêlés s'écrasaient sur lui. Au milieu de ce bazarre, Katherine et moi nous faisions l'amour avec passion, nous étions épuisés, le souffle court, le corps en sueur, mais aussi, ivres de plaisir. Aucun de nous ne voulait renoncer, à chaque fois que Katherine me chevauchait, je faisais tout mon possible pour ne pas succomber au plaisir qu'elle m'infligeait, et dés que j'en avais la possibilité, je la renversais et me mettais à la baiser avec sauvagerie. Lorsque j'avais le dessus, je tâchais de la tenir en mon pouvoir, mais elle parvenait toujours à me renverser.
A ce petit jeu là, ce fut finalement Katherine qui eut le dernier mot. La belle était indéniablement plus endurante que moi : les minutes et même les heures passaient et ses coups de reins ne perdaient que peu de leur terrible efficacité, tandis que les miens devenaient plus faibles à mesure que le temps passait. A la fin, alors que Katherine me chevauchait, elle se pencha sur moi pour m'embrasser. Rassemblant mes forces, je l'attrapai par le dos et la fis rouler une dernière fois. Reprenant une fois de plus le dessus, je me mis à la baiser avec toutes mes dernières forces, la faisant vibrer comme jamais et lui arrachant un gémissement qu'elle ne put . Néanmoins, j'étais trop épuisé pour tenir très longtemps à ce rythme, et je fus bien vite hors d'haleine. Katherine n'eut donc aucun mal à me renverser une dernière fois. Je tentai bien de la renverser, mais j'étais trop épuisé pour continuer à lutter, et elle me maintint aisément en son pouvoir et reprit ses vas et viens. Épuise et vibrant de plaisir, je n'eus d'autre choix que de me laisser faire. La belle brune, victorieuse, augmenta la cadence de ses coups de reins, allant plus vite que jamais, sautant à moitié sur mon sexe me griffant le torse comme une tigresse affamée, visiblement décidée à en finir. Devant la délicieuse violence de ses assauts, je ne pus tenir très longtemps, et finis par avoir un orgasme monstrueux et libérateur en même temps qu'elle.
Essouflés et couverts de sueur, Katherine et moi nous effondrâmes sur le lit, et restâmes l'un contre l'autre pendant un long moment, incapables de parler. Après quoi, nous finîmes par nous endormir paisiblement. Il était déjà 4 heures du matin.
Je me réveillai bien plus tard, un peu assomé comme on l'est quand on s'est couchés puis levés très tard. Je notai aussitôt l'absence de Katherine à mes côtés : rien d'étonnant à ça, elle s'était sans doute réveillée tôt, pour rejoindre furtivement sa chambre : si ses parents l'avaient surprise nue dans mon lit, ils se seraient sans doute posés des questions... Je m'habillai, et me hâtai de ranger la chambre et de faire le lit, en priant pour qu'aucun membre de la famille de Katherine n'ait vu dans quel état la brune et moi avions laissé la chambre... Je fis ma toilette, et je rejoignis la cuisine, affamé.
J'y trouvai Katherine, vêtue d'un peignoir entrain de manger. Elle avait ce petit air épanoui et satisfait qu'elle arborait toujours après une nuit torride, et qui me donnait toujours envie de remettre le couvert immédiatement... Je vis aussi l'heure qu'il était : plus de midi...
"Alors mon grand on a bien dormi ? Je crois que je t'ai épuisé cette nuit... Me dit Katherine avec un sourire carnassier."
"Laisse moi reprendre des forces, et je te prouverai que je suis en pleine forme. Lui rétorquai je."
Elle eut un sourire léger, mais je vis bien que l'excitation la prenait lentement...
"Tes parents sont pas là ? Lui demandai je."
"Tu crois que je me baladerais dans cette tenue si on était pas seuls ? Me répondit elle en désignant son peignoir."
"Qu'est ce qu'elle a ta tenue ? Lui demandai en feignant l'innocence."
"C'est un peu trop sexy pour un petit déj familial tu crois pas ?"
"Bof, c'est pas si sexy que ça dis je avec une mauvaise foi évidente."
"Vraiment ? Tu sais que je suis nue là dessous ?"
S'en fut trop pour moi. Je me levai brutalement, faisant tomber la chaise sur laquelle j'étais assis, et me jetant sur Katherine. Celle ci avait espéré cette réaction, et fis de même. Nous nous enlassâmes et nous embrassâmes sauvagement à pleine bouche, tandis que Katherine faisait déjà tomber mon pantalon puis mon caleçon. Je la portai et la mis assise sur le plan de cuisine. Puis, le sexe déjà tendu au maximum, je la pénétrai et entrepris de la baiser ainsi, allant et venant sauvagement en elle, tout en l'embrassant avec passion. "Hmmmm j'adore ce que tu me fais, ne t'arrêtte paaas surtout !" haleta Katherine entre deux baisers, tout en se tortillant de plaisir. J'augmentai alors la cadence, la pillonant plus fort et plus vite, et elle lâcha un grand "oooh ouiiii !" tout en se laissant aller contre le mur de sa cuisine, folle de plaisir. Tout en continuant de la baiser, j'en profitai pour lui masser ses seins avec délectation à travers son peignoir. Je voulus dans la foulée lui arracher ce stupide peignoir mais la belle m'en enmpêcha : "j'aime que tu me prennes comme ça en peignoir" me souffla t elle.
Au bout d'un petit moment, je trouvai que je l'avais assez baisée sur son plan de cuisine. Je la portai, et la mettant sur la table, je la pris en levrette. La tenant fermement par les hanches, je me mis à la pilonner avec force, mon sexe limant le sien avec vélocité. Katherine frémit de la tête aux pieds, et se mit à crier à pleine voix, me donnant des ailes, et m'incitant à la baiser encore plus sauvagement. Fou de plaisir, j'accélérai encore le rythme, la matraquant littéralement sans plus pouvoir m'arrêter. "Ooooh nooon arrête tu vas me ! Stooop !!!" gémit Katherine d'une voix aigue. Je lui donnai un ultime coup de rein, plus fort et plus rapide que les autres, et la belle eut un délicieux orgasme qui la laissa effondrée sur la table.
Hors d'haleine, le visage rougi par le plaisir, Katherine se redressa et me poussa sur une chaise. Elle vint ensuite s'empaler sur moi et me murmura à l'oreille :
"Mon grand, tu me fais des choses folles ce week end... A moi de te rendre la pareille !"
Et sur ce, elle commença à onduler du bassin, dansant sur mon sexe de manière endiablée, me faisant bouillir de plaisir. Lorsqu'elle cessait de se déancher, c'était pour me donner des coups d'avant en arrière, ou glisser sur ma queue de haut en bas. Elle changeait constamment le type et le rythme de coups de reins, me surprenant à chaque fois, et me faisant perdre la tête comme jamais, tout en me défiant du regard, un air satisfait sur le visage. Le plaisir que je ressentais était très intense, et augmentait à chacun de ses mouvements. Je ne pus tenir très longtemps, et exploisai dans un délicieux orgamse qui nous fit crier tous deux.
Après ce délicieux moment, je déjeunai pendant que Katherine s'habillait. Une demi heure plus tard environ, la famille de Katherine rentrait à la maison. Je passai un agréable après midi en compagnie de Katherine, ses parents et son frère, mais je brûlais d'impatience à l'idée de me retrouver seul avec la belle brune...
En début de soirée, histoire de s'échapper un peu la maison familiale et de nous retrouver nous deux, Katherine me proposa un tour en voiture, ce que j'acceptai avec enthousiasme.
Après un petit tour, elle se gara dans un parking désert.
"Ouf, dit Katherine, j'ai cru qu'on arriverait jamais à nous retrouver seuls."
"Moi aussi dis je, ta famille est sympa, mais j'avoue que je préfère quand ils sont pas là et que je t'ai pour moi tout seul..."
"Tu m'étonnes... souffla t elle, en se penchant vers moi."
Nous nous embrassâmes, d'abord doucement, puis de plus en plus vite, jusqu'à nous embrasser de manière sauvage, à en perdre le souffle. Puis, haletante, Katherine me rejoignit sur le siège passager, et vint sur moi. Nous reprîmes notre baiser passioné, qu'elle termina par une légère morsure au menton. Après quoi, elle retira sa veste, se retrouvant en débardeur noir, et s'attaqua ensuite à mon pantalon qu'elle retira ainsi que mon caleçon. Elle se débarassa elle même de son jean et de son shorty, pour venir enfin s'empaler sur moi. Katherine commença alors à faire ses vas et viens, d'abord lentement, glissant sur mon sexe comme avec précaution, m'enfonçant en elle profondément, et me fixant pour profiter de toutes les petites grimaces de plaisir que je faisais.
"Tu aimes ça mon chéri ?"
"J'adore ma belle, tu me fais bouillir ! Répondis je d'une voix tremblante de plaisir."
Elle accéléra ensuite progressivement le rythme, allant de plus en plus vite, amplifiant les sensations que j'éprouvais à mesure que le tempo de ses attaques augmentait. Elle ne tarda pas à me baiser à grande vitesse, allant et venant sur moi comme une folle, faisant grincer le siège passager, et m'arrachant des cris de plaisir. Tout en me baisant, la belle m'embrassait langoureusement, me faisant perdre le soufle, ou alors me giflait ce qui avait le don de m'exciter au plus haut point...
"Il faut que je te corrige mon grand, tu t'es un peu trop révolté ces derniers temps... Me diit elle en mettant une nouvelle giffle."
Décidé à répliquer, je l'attrapai par le dos, l'enserrai entre mes bras, et la jetai sans plus de ménagement sur la banquette arrière. Je vins sur elle, et l'attrapant par le cou, je la regardai droit dans les yeux :
"Et maintenant, qui va se faire corriger pour son insolence à ton avis ?"
Elle soutint mon regard, mais je vis bien dans ses yeux briller une petite lueur de soumission, ce qui m'excitait comme jamais. Je commençai à la prendre missionaire, la baisant avec sauvagerie et intensité, l'embrassant furieusement, tandis qu'elle s'accrochait à ma nuque et gémissait à pleine voix. Au bout d'un moment, je la retournai, et la pris à nouveau par le cul. Je m'y enfonçai avec délice, lâchant un soupir de contentement. Puis, je repris mes vas et viens, lui baisant le cul avec force et sentant un flot de plaisir monter en moi que je contenai qu'à grande peine. Katherine ne tarda pas à gémir et à crier "aah c'es trop booon, vas y plus vite je t'en priiie saute moi !", ravi de ces encouragements, j'accélérai encore le rythme nous faisant crier tous les deux à pleine voix, la baisant si fort, que la voiture en était secouée. A un tel rythme, impossible pour moi de tenir très longtemps, et je finis par avoir un merveilleux orgasme, qui me laissa effondré et pantelant sur la banquette arrière.
Une fois remis de nos émotions, nous retournâmes chez Katherine. Après le dîner, nous allâmes nous coucher. La nuit fut tranquille, car ni Katherine ni moi ne nous sentions d'attaque pour une nouvelle nuit de baise.
Le lendemain, la famille de Katherine resta toute la matinée, puis pendant le déjeuner, les parents de Katherine nous dirent qu'ils partaient toute l'après midi avec son petit frère, nous laissant seuls moi et leur bombe atomique de fille.
Au moment de leur départ, Katherine les accompagna jusqu'à la porte, tandis que je l'attendais sagement dans le salon. Une fois qu'il furent partis, et que nous étions seuls, Katherine me rejoignit dans le salon. Tout dans son attitude annonçait un moment chargé en érotisme, surtout son regard de braise, qui avait le don à lui seul de me chauffer à blanc. Tout en sachant qu'il était dangereux de la provoquer, je lui dis avec un sourire insolent :
"Tu es prête pour une nouvelle séance d'anal ma belle ?"
Sans me répondre, elle vint droit sur moi, m'attrapa par le T-shirt, et m'entraîna dans sa chambre. Une fois dans la pièce, elle me plaqua contre le mur, et m'embrassa avec fougue. Puis, elle m'entraîna sur le lit, et m'y jeta avec autorité.
"J'ai trop envie de toi, me dit elle, on va abréger les préliminaires."
Elle retira son débardeur, puis ses sous vêtements, et vint sur moi. Elle m'arracha mes propres vêtements, comme une morte de faim, et me dévora les pectoraux. Puis, elle attrapa mon sexe, et s'empala dessus.
"Il va y avoir du recadrage, je te préviens, souffla t elle, les yeux incandescents."
Rapide comme l'éclair, je la saisis par les hanches, et la plaquai contre le matelas, la tenant par les mains. Elle se débattit, mais c'était inutile.
"C'est pas vrai ! Soupira t elle, mi-déçue, mi-excitée."
"Il faut t'y faire, la narguai je, ce week end tu es à moi."
Et pour marquer le coup, je la pénétrai d'un coup, et me mis à la baiser avec force, allant et venant rapidement en elle, tout en lui tenant les mains fermement plaquées contre le matelas, et en la regardant droit dans les yeux. Très vite, son beau visage se décomposa sous le plaisir, et elle ne tarda pas à haleter, puis à gémir de plaisir. "Ooooh ! C'est tellement bon, gémit elle, je pourrais te laisser me faire ça toute la journée !" Ravi, je décidai de changer de position, et la faisant rouler sur le côté, je vins derrière elle et la pris en cuillère, me câlant contre son dos, et la pénétrant avec force. Tout en la baisant en profondeur, je lui embrassai les épaules et la nuque, et lui massais les seins avec avidité. Katherine prenait son pied comme jamais, et gémissait et se tortillait de plaisir. Toutefois, je sentais qu'elle ne s'avouait pas vaincue, et cherchait à se dégager. Je lui murmurai à l'oreille :
"Tu n'as pas l'intention de capituler ma belle ?"
"Non, souffla t elle, jamais."
En guise de réponse, je me mis à accélérer le rythme, et à lui titiller le clito. Elle ne tarda pas à crier "oooh stoop arrête çaaa, non c'est trop booon !", mais implacable, je poursuivis sur ma lancée, jusqu'à ce que dans un gémissement aigu, elle eut un magnifique orgasme.
Je l'observai, tremblante de plaisir, et l'air sonné, jamais elle n'avait eu autant l'air soumise. J'adorais ça !
Je veillais toutefois à ne pas lui laisser de répit. Je la saisis par les hanches, et la mis à 4 pattes, pour pouvoir à nouveau la prendre par le cul. Elle poussa un petit "ouuuiii" aigu lorsque je la pénétrai, et je sentis le plaisir habituel s'insinuer en moi. J'entamai les vas et viens, et ressentis une vague de plaisir brûlant me submerger, c'était tellement de bon de baiser le cul de déesse de Katherine ! J'allais et venais en elle à un rythme de plus en plus fou, guidé uniquement par mon plaisir, tirant les cheveux noirs de Katherine pour bien lui montrer qui était le nouveau patron, me penchant parfois pour masser ses merveilleux seins. La belle gémit à pleins poumons, et me cria à plusieurs reprises : "plus viiite, va plus vite, alleeez je t'en supplie !", et dopé par ses encouragements, j'allai à un rythme fou, rendant le plaisir si intense qu'il m'en brouilla la vue. Au bout d'un moment, Katherine finit par se redresser, et se mettre à genoux, je l'attrapai contre moi, et lui massai ses seins avec délectation, tout en continuant de la baiser. Puis la belle se mit à faire des vas et viens, participant elle aussi à cette délicieuse baise, m'arrachant un cri de jouissance. Le plaisir était si intense, que je perdais la tête, et elle en profita.
Elle se retourna, et me poussa, m'étalant sur le matelas. Puis, elle m'entraîna vers le bord du lit, me mis assis, et s'empala sur moi, plantant mon sexe dans son cul une énième fois. Avant que je n'aie eu le temps de comprendre ce qu'il se passait, elle avait entamé de délicieux vas et viens, se déhanchant sur ma queue comme jamais, me faisant frémir de plaisir. J'étais toujours dans son cul, aussi le plaisir était décuplé, et me paralysait littéralement. Elle avait reprise le contrôle des opérations, et en était visiblement ravie, elle se déchaînait littéralement, bougeant magnifiquement son incroyable fessier, sautant presque sur mon sexe qui était si agréablement serré en elle... Je n'en pouvais plus, et ne tardais pas à crier de plaisir à mon tour : "tu me fais tellement de bien ma belle ! Continue ! Ouuui vas y !", elle était elle aussi en proie à un intense plaisir, se passait les mains dans les cheveux, gémissait comme jamais, et continuait de se déhancher d'une manière odieusement sexy. Ivre de plaisir, je m'étendis de tout mon long sur le matelas, tandis que Katherine poursuivait sa chevauchée anale et fantastique. Au bout d'un moment cependant, elle changea de position.
Elle se leva, et vins sur moi. Elle prit mon sexe en main, et s'empala dessus, en andromaque. Elle démarra ses vas et viens, allant d'avant en arrière, attaquant d'emblée sur un rythme effréné. Je me raidis entièrement, et frémis de la tête aux pieds. Je sentis le plaisir me submerger, et serrai des dents pour le contenir. Pendant ce temps, Katherine continuait de me chevaucher avec passion, comme si sa vie en dépendait, gémissant à pleine voix, et me regardant droit dans les yeux en signe de défi. Tout en sentant bien que c'était inutile, vu comme j'étais fatigué et sonné par le plaisir, je me redressai pour reprendre le dessus, mais elle me saisit par les épaules, et me plaqua contre le matelas. Je tentai de lui prendre les mains mais elle me les attrapa, et me les tint plaquées contre le rebord du lit. "Non mon chéri, tu restes tranquille, me dit elle d'un ton autoritaire, tu es à moi, tu as toujours été à moi, et tu seras toujours à moi !" Et elle continua de me baiser, son sourire provocateur aux lèvres. Le plaisir montait en moi, et je finis par exploser d'un orgasme d'une rare intensité. Nous nous effondrâmes tous deux, essoufflés.
Katherine se releva, et alla chercher quelque chose dans le tiroir de sa table de nuit. J'étais trop occupé à digérer mon merveilleux orgasme pour m'en soucier. Cependant, elle revint sur le lit, une paire de menottes à la main, et m'attacha aux barreaux de son lit. J'étais beaucoup trop sonné pour lui résister. Une fois qu'elle m'eut attaché, la belle s'installa sur moi. Elle avait les joues rougies par l'effort, le souffle court, et les cheveux en bataille. Mais elle arborait un sourire et un regard triomphants.
"Eh bien mon grand, tu as été assez insolent ce week end, et je pense qu'il est temps de remettre les choses à leur place non ?"
Je soupirai, l'air blasé, mais en réalité l'excitation revenait en moi à toute vitesse...
"Détache moi et tu verras comment je remets les choses à leur place, dis je sur un ton de défi."
"Fanfaronne pas mon chéri, t'as eu ta chance et t'as pas su la saisir, c'est d'ailleurs pour ça que une fois de plus tu te retrouves attaché à mon lit, et que tout ce que tu vas pouvoir faire, c'est crier et me supplier d'aller plus vite pendant que je profite de ton corps de rêve..."
Et sur ce, elle commença une lente exploration de mon corps avec sa bouche, m'embrassant au cou, dévorant mes pectoraux, léchant mes abdos, réveillant le désir en moi vitesse grand V. Je ne tardai pas à bander à fond, mais intraitable, Katherine ne s'occupait pas de mon sexe. Je bouillais d'impatience et d'excitation, et me tordait de plaisir, mais j'étais contraint à une certaine immobilité à cause des menottes.
"T'attends quoi pour me satisfaire ? Lui demandai je."
"Eh bien voyons voir... que tu me supplies déjà, et qu'ensuite tu m'appelles maîtresse. Je pense que ça sera une leçon suffisante..."
"Tu rêves, lui répondis je, hors de question que je te dise ça."
"Vraiment ? Sussura t elle en me passant un doigt le long de mon sexe, me faisant trembler de la tête aux pieds. Tu es sur que tu n'as pas envie que je te prenne en bouche et te suce comme une folle ?"
"Si, j'en ai très envie soufflai je..."
"Alors supplie moi... Répliqua t elle."
Elle passa à nouveau le doigt le long de mon sexe, et joua un peu avec mon gland, je dus me retenir de crier de plaisir et de frustration. Je capitulai :
"Katherine, je t'en supplie, soulage moi !"
"C'est bien mon grand, mais maintenant, je veux que tu m'appelles maîtresse... Répliqua t elle intraitable tout en continuant à jouer avec ma queue du bout des doigts."
Je déposai les armes :
"Je t'en supplie... maîtresse... prends moi en bouche s'il te plaît !"
"Hmmm je t'aime comme ça mon grand, quand tu es à moi et que tu le reconnais, me dit elle avec un sourire satisfait."
Elle se pencha sur moi, et me prit en bouche. Démarra alors l'une des plus incroyables fellations qu'elle m'ait faite. Elle se mit à aller et venir avec mon sexe en bouche à un rythme effréné, linondant de salive, ne s'interrompant que pour me mitrailler de coups de langue de la base au sommet, s'arrêtant sur mon gland pour lui donner de grands coup de langue qui me faisaient frémir. Puis elle me reprenait en bouche et repartait, sur un rythme infernal, me donnant l'impression d'être au paradis. Je ne tardai pas à crier "oooh putain c'est tellement booon ! tu me fais un bien fou Kat, j'en peux pluuus !", ce qui n'avait d'autre effet que d'inciter Katherine à se déchaîner encore plus. Je sentis soudainement une vague de plaisir me submerger, je voulus la contenir, mais au même moment la belle me lécha de bas en haut, et j'explosai dans un délicieux orgasme, qui me donna la sensation de mourir tant c'était bon.
Katherine n'était toujours pas rassasiée, et elle vint vers moi m'embrasser à nouveau avec délectation. Je ne tardai pas être de nouveau d'attaque, et la brune en profita pour s'empaler une dernière fois sur moi. Je frémis de plaisir lorsque j'entrai en elle, mais ce ne fut rien comparé à ce que ressentis lorsqu'elle démarra sa chevauchée fantastique. Elle se mit à aller et venir à un rythme fou, d'avant en arrière, de gauche à droite ou de haut en bas, me baisant plus sauvagement que jamais dansant sur mon sexe. Elle haletait, le souffle court, et gémissait de plaisir, mais ne ralentissait pas le rythme, au contraire, elle accélérait encore, comme si elle était incapable d'être épuisée ou rassasiée.
"Ooooh gémit elle, c'est tellement bon ! Tu es à moi chéri, ton corps est à moi, et je te prends comme je veux c'est tellement BON !"
Elle me griffa le torse, laissant un sillon brulant derrière ses griffes, et accéléra encore le rythme me submergeant de plaisir. Implacable, elle me mit une gifle, qui me fit frémir d'excitation, et me dit :
"C'est qui la meilleure ?"
"C'est toi ma belle soufflai je, c'est tellement excellent ce que tu me fais j'adore !"
Les yeux mi-clos, elle se mit à aller de haut en bas. Le plaisir devenait insupportable, je n'en pouvais plus, je me mis à crier "arrête tu vas me !", mais je savais bien qu'elle était incapable de s'arrêter, et heureusement d'ailleurs. Elle continua sur sa lancée, jusqu'à ce que le plaisir atteint un point tel que c'en fut vraiment trop : nous explosâmes tous deux dans un monstrueux orgasme, véritable feu dartifice, bouquet final de notre week end de folie.
Katherine me détacha et s'effondra à côté de moi. Incapable de parler, tout comme moi, elle se contenta de se pelotonner contre moi, tandis que je l'enlaçai dans mes bras. Elle finit par souffler :
"C'est tellement bon avec toi mon chéri, je ressens avec aucun mec."
"Pareil pour moi, dis je, aucune fille ne t'arrive à la cheville."
Nous restâmes ainsi l'un contre l'autre un long moment, savourant ensemble la fin de notre incroyable week end.
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