La Rencontre
Jouvrais les yeux après avoir passé une excellente nuit, pour constater quil faisait malheureusement pour moi, jour. Dun regard brouillé, je parcourais par pur réflexe, ma chambre éclairée par les rayons de soleil, qui filtraient des persiennes pour mapercevoir que jétais seul. Ma femme très discrète, avait disparu de la pièce pour aller à son travail.
Alors que peu à peu jimmergeais de mon sommeil, je sentis comme une gêne, se situant au centre de mon corps. Pas des plus désagréables devrais-je préciser. Et que seuls les hommes peuvent me comprendre. Pas du tout mécontent de ce forfait, javais comme un besoin de la voir. Pour ça, je soulevais le drap et fis connaissance avec ma belle proéminence. Une belle et grosse colonne de chair, pourvue de veines épaisses.
Tout de suite, je me pris dimaginer toutes les saloperies que je pourrais faire avec une si belle érection. À en regretter labsence de ma femme. Et à défaut dautre chose, je tendais ma main pour me saisir de mon pénis hyper tendu. Qui me chauffait tout de suite la paume.
Je me mis à me branler, dans un rythme cadencé, ni trop lent pour ne pas débander, ni trop rapide pour bien maîtriser la montée de mon plaisir. Observant alternativement mon gland se couvrir et se découvrir. Une odeur âcre et forte se dégageait de mon sexe poisseux.
Jaccélérais le mouvement jusquà sentir venir les prémices dun futur orgasme. Encore quelques aller et retour, et je me permis de lâcher ma semence sur mon ventre. Une fois la jouissance consommé, je me sentais comme idiot. À me demander pourquoi je navais pas gardé cette orgasme pour ma maîtresse attitrée. Surtout que Nathalie était folle de mon sperme.
Et comme prévu je me rendais au rendez-vous. Qui se situé dans un lotissement un peu à lécart de son domicile. Un moyen comme un autre pour ne pas se faire remarquer. Et comme elle navait pas de moyen de locomotion, elle faisait tout le trajet à pince.
Après seulement quelques instants, mes sens se mirent en éveil. Avec une forte impression dêtre épié. Je levais discrètement mes yeux sur journal et jeter un coup dil autour de moi. Pour me persuader que mon appréhension nétait pas fondée. Excepter peut-être du côté de la maison tout proche de lendroit où jétais stationné. Doù je constatais quà une fenêtre de létage se tenait un visage couronné de blond. Comme elle ne se cachait pas, je pus à loisir bien la détailler et constatai quil sagissait dune jeune personne. Dailleurs on se sentant découverte elle prit la peine de madresser un sourire auquel je répondis dun signe de main. Pas le temps de mattarder sur le sujet que je vis émerger du coin de la rue ma maîtresse, toute réjouie de me voir.
Le mercredi suivant, jarrivai comme à mon habitude plus tôt. Aussitôt stationné, je remarquai de nouveau la jeune blonde qui mobservait, de la même fenêtre. Comme lors de notre première rencontre-je lui fis un signe de main, quelle me répondit sur-le- champs.
Le besoin de faire un peu plus connaissance avec cette belle inconnue, me fit mettre pied à terre. Et dun pas long, je parcourus les quelques mètres qui me séparaient de la clôture de la maison où loger la petite curieuse. Et de constater déçu pour mon plus grand désarroi,
que le jeune visage ne se trouver plus derrière les vitres.
Je mapprêtais de retourner à mon véhicule quand je perçus distinctement, le bruit dune porte quen ouvrait. Je me retournais pour apercevoir la petite blonde, vêtue dun ensemble que je citerais, de très léger. Sereinement, elle sapprocha de la barrière où je mavançais à mon tour.
- Bonjour, je suis Anna
- Enchanté Anna, moi cest Alain.
Mon premier constat que je fis sur cette demoiselle, cétait quelle était très espiègle.
- Jai quelques courses à faire cela vous ennui de my conduire. Me lançait-elle.
Je mapprêtais de lui expliquer que jen aurai été ravi mais quhélas jattendais une personne, que déjà elle filait jusquà ma voiture où elle sengouffra à lintérieur sans même y être invité, côté passager. Résigner, je pris ma place derrière le volant, alors que la chipie se passait ceinture de sécurité. Alors que je mettais le contact, ma passagère leva les bras derrière sa tête dans un grand étirement, pour par la suite poser les mains bien à plat sur ses cuisses avant de me lancer :
- Si je serais toi (passant au tutoiement delle-même), je ne trainerais pas trop, tu vas être en retard.
- En retard de quoi ? Répondais-je.
- Eh bien avec ta copine.
- Comment tu sais ça, toi ?
Pour toute réponse elle se mit à sourire. Un beau sourire aux dents bien blanches qui en disait long.
Présumant que je nen tirerai pas plus de son côté, jenclenchais la première et pris alors la route. En alternance, du coin de lil, je regardais la route et scrutais mon étrange passagère. Elle était longue, fine, à la peau blanche ce qui était normal pour une rousse, un visage de poupée. Belle bouche ourlée, longs membres parfaitement dessinés, mollets hauts, cuisses fuselées. Et surtout pas lombre de trace dun duvet. Ni sur les jambes ni sur les bras. Cétait décidément étrange et même un peu dérangeant. Enfin je parlais pour ma part ! Moi un grand expert du poil !
- Tourne à droite cela va plus vite. Me fit-elle.
Ne connaissant pas bien le secteur, je mexécutais, lui faisant parfaitement confiance. Alerter par son silence, et mais aussi curieux de savoir ce quelle faisait, je jetais de nouveau un coup dil de son
côté. La surprenant les yeux clos, comme abandonnée. Ce qui nétait pas étonnant vue que la coquine, et cela sans aucune gêne, se donnait du plaisir.
Comme aimanté par ce forfait. Et cela jusquà nous arrivions sur le parking du supermarché.
Elle attendait sagement que je sois stationné, pour que, dans le plus grand naturel, la coquine rabatte sa jupette sur ses jambes. Finis le spectacle ! Je coupais le contact tandis quelle décliquait sans perdre de temps sa ceinture de sécurité. Mais alors que je mattendais quelle quitte son siège pour aller faire ses achats comme sétait prévus, voilà que la coquine restât immobile à sa place, le regard droit devant elle.
- Quest-ce que tu attends pour aller chercher tes courses ? Me permis-je de lui envoyer.
- Je nai pas besoin de courses ! Et dailleurs je nai pas de fric sur moi.
- Je peux soir pourquoi mavoir fait venir jusquici ? Alors ?
Ma patience ayant des limites, je mis le contact, avec la ferme intention de la ramener là même où je lavais pris. Mais cétait sans compter sur sa volonté, elle qui navait pas lintention de quitter cet endroit. Dailleurs elle me le fit savoir en sempressant de couper le moteur.
- Je peux savoir à quoi tu joues là ? Lui envoyais-je.
- Tinquiète ta copine va tattendre. Elle a trop besoin de senvoyer en lair pour louper le rendez-vous avec ta queue.
- Mais dis-moi, comment tu sais ça toi ?
Sourire aux lèvres, elle écarta les mains largement ouvertes. Puis dans un geste fataliste assez comique, elle remonta de nouveau sa jupette. Et très après se soulagea de sa petite culotte, quelle fit glisser le long de ses jambes. Et cela le plus naturellement possible. Jétais complètement sidéré par son attitude.
- Non, ce nest pas ce que tu penses. Me lâchait-elle.
- Par ce que tu sais à ce que je pense, toi ?
- Bien sûr, enfin je me limagine.
Elle se pencha vers moi et, très vite, elle membrassa le bout du nez.
- Juste pour moi. Ajouta-t-elle.
Suite à ces trois mots, elle me tira vers elle pour coller sa bouche à la mienne. Ses lèvres étaient fraîches, humides et sentaient la menthe. Comme si elle sétait lavé les dents.
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu me plait, toi. Je dirais même que je quitterai sans problème mon mec pour toi.
- Eh bien sache que cest réciproque ! Mais seulement si jétais plus jeune.
- Tu men vois ravie. Répondait-elle, en me saisissant une main.
Quelle dirigea directement entre ses cuisses, largement ouvertes et cela jusquà ce quelle atteigne son sexe. Que je notais humecté. Elle me manuvra si bien que je ne pus faire autrement que de céder. De mexécuter ! Elle hocha la tête, et sourit.
- Contentes-toi de me faire plaisir. Cest dans tes cordes, ça je crois ? Je te préviens sans pénétration sil te plaît !
- Sache que je nai nullement lintention de le faire. Répondais-je.
Rassurer, elle prit ses aises, senfonçant plus profondément dans le siège. Pas sans mal, je minstallais entre ses jambes. Mon excitation commandait à mes mains de remonter lentement lintérieur des cuisses jusquà poser mes doigts sur son sexe lisse. Il semblait fait de porcelaine. Mes doigts semblaient déjà trop brusques pour un objet si délicat. La moindre caresse ressemblait à un viol, et pourtant je deviné à quel point il pouvait être bénéfique pour son plaisir à elle. Sans plus attendre, et peut-être que lenvie était plus fort que la raison, je posais mes lèvres sur elle. La faisant basculer pour quelles atteignaient le fond de la raie. Quelles parcouraient de haut en bas avant de sarrêter sur lanus, au goût très prononcé.
- Cest bon ce que tu me fais
fit-elle dune voix rauque, alors que sa respiration se faisait plus rapide, plus forte. Jaurais voulu que cet instant ne cesse jamais. Tellement linstant était des plus jouissifs.
- Oui, encore, mencourageait-elle.
Je me forçais au calme. Alors que lexcitation ne me quittait plus. Je sentais mon sexe fourmiller de désir au fond de mon slip. À ne pas pouvoir résister à lenvie de la sortir de son nid. Et avec le plus grand naturellement, je me mis à me branler. Ma propre audace mexcitait.
- Je me sens légère tant que jaime ce que tu me fais, lentendais-je me dire à haute voix.
Encourager par de tels mots, je me devais de plus en donner encore. Je fis pour cela, rouler sous mes doigts le volume raidi du clitoris. Et dans le même instant, je dardais la langue dans le trou du cul, comme si mon seul souhait était de forcer son accès pour fouiller lintérieur de son orifice. La conclusion ne se fit pas attendre. Une longue plainte séchappa de sa bouche, alors que son corps se souleva du siège pour mieux se gauchir. Poussant sa croupe à la rencontre de ma caresse buccale. Elle referma les cuisses, emprisonnant ma tête et jouit en gesticulant en tous sens. Jattendais patiemment quelle me libère pour mintéresser à son sexe, que jembrassais avec frénésie. Buvant le jus qui sécoulait de lui comme un assoiffé. Mautorisant de mordiller les chairs tendres, de sucer le clitoris, de laspirer même, enfonçant là-aussi, ma langue au plus profond du vagin. Comme je fis parallèlement plonger mon index dans son trou du cul tout rose et tout dilater dû au bienfait de ma caresse buccale.
Son corps répondait à la moindre caresse de ma part. Je me laissais guider par les émotions que son abandon faisait monter en moi. Les cris de plaisir qui séchappaient de sa gorge mencourageaient à ne pas arrêter mon jeu. Je la fis se mettre dans un état de folie. Elle se cambrait, lançant son sexe à la recherche de ma bouche, sa main dans mes cheveux, mobligeant à ne pas marrêter un instant. Sa respiration était haletante et elle gémissait de plus en plus fort. Je sentais son plaisir monté, seconde après seconde, et cela jusquà ce dernier la terrasse. Sa jouissance fut intense. Alors que son corps fut secoué de spasmes. Comme électrifiée par des décharges de courant. Je continuais encore quelques instants mes douces caresses, tout en me délectant de sa sève, en abondance.
Suite à cela jétais revenu à ses côtés. Elle en profitait pour membrasser.
- Tu ne peux pas savoir comment cétait bon ! Tu me déposes chez moi. Ta copine va tattendre !
De retour devant chez elle, je vis ma maîtresse faire les cent pas sur le trottoir. Anna se mit à rire.
- On dirais que tu vas avoir droit à une scène de sa part.
Je marrêtai devant le pavillon. Elle membrassa rapidement sur la joue et défila promptement. À son arrivée Nathalie était furieuse.
- Alors on les prend au berceau ? Menvoyait-elle après avoir pris place à mes côtés.
Je tentai de lui expliquer, mais elle était dans un tel état de colère que je dus lempoigner par les cheveux, et la forçais à diriger sa bouche à la hauteur de mon bas-ventre. Je fis descendre le Zip de ma braguette et mis à lair libre ma queue.
- Tiens, sens moi ça ! Est-ce que tu sens lodeur dun sexe de femme ?
Visiblement convaincue que mon pénis sentait pas la chatte, elle me prit dans sa bouche pour se faire pardonner. Il ne me fallut pas longtemps pour que jéjacule, tant lexcitation était au rendez-vous. Sans plus quun mot sorte de ma bouche, ni de la sienne je pris le chemin de notre jardin de dévergondage.
Et trois quarts dheure plus tard je la ramenais chez elle. Et encore une fois pour se faire pardonner elle me donna rendez-vous pour le lendemain.
À mon arrivée, Nathalie faisait la discussion à Anna. Une discussion que je qualifierais de mouvementer. Puis la jeune fille se sauva en rigolant alors que Nathalie fit les quelques pas qui la séparer de moi. Toute rouge. Elle nattendait pas dêtre installé pour mexpliquer la situation.
- Tu sais ce quelle ma dit cette pétasse !
- Non ! Mais je pense que je ne vais pas attendre longtemps pour le savoir.
- Eh bien elle ma demandé si je pouvais la caresser, que son mec lui manqué. Quel toupet !
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