Gustaw Le Vigile.
La rencontre.
En cette période de fêtes, il y a foule dans cette grande surface des grands boulevards de Paris. Cristal et Guillaume, un jeune couple de vingt cinq ans, attendent à la caisse.
Cest à ce moment que Cristal croise le regard dun agent de sécurité, selon elle, un polonais dune beauté à couper le souffle. Cristal se sent attirée physiquement par ce jeune homme slave.
Le soir, je me se couche en pensant à lui, repoussant les avances de mon mari. Jimagine les mains du jeune polonais sur mon corps, un doigt exciter mon clitoris, écarter ma fente aux lèvres humides. Je ne peux mempêcher de mettre deux doigts dans ma chatte pour me faire plaisir. Jétouffe même un cri de plaisir dans loreiller, de peur de réveiller Guillaume qui dort près de moi
Le lendemain après-midi, je décide de retourner au centre commercial sans mon mari. Jenfile une mini jupe blanche sur des collants noirs, un pull blanc et
pas de soutien gorge. Jenfile des escarpins de huit centimètres et un manteau long. Une vraie bombe. Je fais le tour du magasin à la recherche du beau vigile.
Pendant ce temps, près des issues de secours, le jeune homme discute avec on collègue :
- Cest lheure de ta pause Gustaw, va te reposer.
- Ok, tu mappelles sil y a un problème.
En entendant ces voix, je me retourne et voit lhomme qui a hanté sa nuit se diriger vers un ascenseur de service. Je mapproche
pousse une porte
un ascenseur : huitième étage. Je prends lautre cabine et débouche sur une immense salle qui sert de réserves installée sous le toit. Au fond, une pièce faiblement éclairée. Je regarde par le hublot de la porte : personne. Je pousse la porte. Soudain, je sens une présence, des mains qui me prennent par la taille alors quune voix dit sur un ton goguenard :
- Vous cherchez quelque chose, vous vous êtes égarée ? Ok
jai compris, vous êtes venue vous faire mettre un coup de queue.
- Heu
non
, mais pas du tout enfin
je suis mariée
excusez-moi
je me suis perdue
- Ah bon, et vous vous promenez souvent sans soutien-gorge ? Je vois dans la glace le bout de vos seins tendre votre pull. Vous navez pas de culotte non plus ?
- Je vous en prie
si, si, jai un tout petit string
vous ne voulez tout même pas que je le quitte ?
Le jeune homme ne répond pas et, ravi de la bonne aubaine, il ôte le manteau, passe ses mains sous le pull, caresse les seins ronds et fermes aux bouts tendus. Je pousse un long soupir. Gustaw fait passer le pull par dessus la tête, dégrafe la mini jupe qui tombe à terre, descend collants
et string et je me retrouve entièrement nue :
- Ouah, mais vous êtes très belle, un joli petit cul
une chatte bien rasée
On peut jouer si vous voulez
Elle a enfin ce quelle attend depuis la veille et elle sabandonne aux douces caresses. Après tout, elle est venue pour ça. En un tour de main, lagent de sécurité ôte ses habits. Il prend les bras de Cristal, les passe derrière son dos, jusquà ce que ses mains soient en contact avec ses attributs :
- Cest quoi que tu tiens là ? Tu en as touché des comme ça
bien dures
bien décalottées ? Où veux-tu que je te la mette, dans la bouche, dans la chatte, dans le cul ? Tu sais quon aime bien vous enculer.
- Bon sang ! Quelle paire de couilles
et quelle bite énorme...Mets-la où tu veux
mais mets-la !
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Gustaw me force à mappuyer sur la table et me baise en levrette sans ménagement. Je ne peux retenir un cri quand la bite me pénètre. Gustaw saccroche à mes seins, ses coups de reins sont dévastateurs. Je jouis très rapidement, un orgasme puissant. Lentement, nous tombons sur le lit prévu pour les pauses. Gustaw menlace, me fait lamour comme une bête. On dirait quil veut tester toutes les positions du kamasoutra ! Jai du mal à suivre la cadence infernale quil mimpose.
Ma chatte ressemble à une fontaine qui coule en permanence. Lui aussi se vide les couilles dans des capotes à un rythme régulier : il me met un coup dans la chatte, un coup dans le petit trou, un coup dans la bouche. Tous mes orifices sont honorés sans exception et je nai pas été aussi bien baisée depuis fort longtemps ! En fait depuis que jai participé à un gang bang lors dune soirée danniversaire quand jétais en fac mais là être baisée à un tel rythme par le même homme, cest le pied !
Je finis allongée sur le dos, épuisée. Gustaw est couché sur le côté une main entre mes cuisses. Jécarte les jambes, accepte la caresse. Un doigt court sur la fente, puis pénètre ma chatte pleine de mouille. Le jeune polonais prend plaisir à me voir me cambrer sous ses doigts. Le clitoris décalotté doit être rouge sang, je sens que mes lèvres sont enflées à force dêtre frottées une contre lautre. Jai les larmes aux yeux tant je prends du plaisir. Soudain, le vigile me dit :
- Viens, je vais te faire visiter le local des décorations de noël. Il en reste qui nont pas servi. Tu peux venir nue, il ny a personne.
En quête de découvertes, je le suis. Tous les héros de Walt Disney sont là, dont Pinocchio, couché à même le sol, avec son nez dantesque. Gustaw me guide, la force à sempaler sur la bite improvisée quil a couverte dune capote :
- Ah
Quest-ce-que tu me fais faire salaud ? Tu me fais niquer par le nez de Pinocchio
Quel pervers tu fais ! Viens me doigter le clito, gratter ma petite chatte
me caresser les seins
oui, oui
Je jouis
vois comme je coule
- Tu vois pourquoi on aime samuser avec vous ? On nest jamais déçu
Vous êtes tellement gourmandes ! On fait ce quon veut avec vous, les françaises. Nos petites polonaises sont bien plus sages de que vous ! Salope ! Les français savent pas se servir dune femme comme les slaves
Avoue que vous vous régalez avec nous
- Tu le sais salaud
cest pour ça quon aime bien faire lamour avec vous
Vous savez gratter la chatte des françaises
les faire mouiller
Vous aimez bien nous remplir : vous savez quon aime ça ! Tout ça pour humilier nos époux
Et nous, comme des connes, on les cocufie en se faisant niquer par vos grosses bites
Nous avalons votre jus en vous taillant des pipes
il est vrai que vos queues et vos couilles sont beaucoup plus grosses que le zob et les boules qui pendent entre les jambes de nos maris
Vous aimez bien les enculer eux aussi, ils finissent par prendre du plaisir
à prendre gout à se faire trouer le cul
Je me gargarise de mots, tous plus vulgaires les uns que les autres.
- Ben, ce nest pas plus mal, si tout le monde y trouve son compte. On aime bien enculer vos mecs, les prendre par les couilles, caresser leur gland décalotté
Certains nous supplient de leur taper une branlette, ou de nous tailler une pipe
et ils avalent ces cocus
Nos femmes maintenant, chassent les petites françaises pour les gouiner. Et ça commence à marcher. Hier soir, ma sur sest amusée avec la mère de sa copine. Elle la fait jouir une bonne partie de la soirée. Tu laurais entendue hurler de plaisir.
- Salaud, tu mexcites là. Tu me demandes de me faire maquer par ta sur, cest ça ? Je me suis jamais fait gouiner encore, mais pourquoi pas. En attendant, jaimerais bien me le faire mettre
ce dernier petit coup pour la route.
Jenjambe Gustaw et mempale sur son calibre toujours en érection en poussant un cri de plaisir. Gustaw me prend les seins, titille les bouts. Je glisse une main entre ses cuisses, lui gratte les couilles. Quand je sens quil va jouir, je me retire, jenlève rapidement le préservatif et le prend en bouche. Les jets de sperme giclent au fond de ma gorge. Commence alors un doux nettoyage du gland.
Jai passé un après midi inoubliable, à me faire niquer, sodomiser, sucer, à jouir. Gustaw ma rendu folle :
- Quel amant merveilleux tu es
tu mas rendu heureuse cet après midi
Tu sais, je nai pas fini mes achats
Il est dix huit heures quand je finis de me rhabiller. Je sais, avec regret, que je dois renter chez moi retrouver Guillaume qui, heureusement fait des heures sup et ne sera là que vers 21 heure... En guise dau revoir, je prends Gustaw par le cou, lui donne un sulfureux baiser et lui promet de revenir. Qui sait, sa sur sera peut-être là
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