Cécile, Ma Première Fois

Cela a commencé comme « Le conformiste » ou « Ma nuit chez Maud » avec Jean-Louis Trintignant et Françoise Fabian … J’avais dix-sept ans. Etudiant au Conservatoire, je me faisais un peu de sous en courant le cacheton avec des remplacements d’organistes d’églises pour des funérailles, des offices du samedi soir.
J’étais loin de me douter, ce soir-là en prenant le service dans cette superbe église baroque du centre-ville que j’allais perdre quelques heures plus tard mon statut de puceau et que j’allais goûter pour la première fois aux joies du sexe entre les bras d’une initiatrice de talent qui plus tard ne se contenterait pas de cette première fois mais me guiderait vers toutes les nuances du sexe à trois à quatre, à plusieurs, aussi bien international qu’interracial.
L’alchimie des relations humaine est très complexe. Comment fait-on la connaissance de quelqu’un ? Le contexte conditionne souvent les comportements que les deux personnes vont développer par les images qu’elles projettent d’emblée l’une sur l’autre sans que cela ait à voir avec leur personnalité, leur autonomie, leurs désirs intimes camouflés plus ou moins par ce que j’appellerai une sorte de conformisme social. Parfois, il ne se passe rien à cause de ces blocages et c’est là qu’on se dit plus tard que dans la vie il vaut mieux avoir des remords que des regrets.
Au contraire, le hasard de cette rencontre dans une église n’avait fait qu’exciter le désir chez Cécile, à ce point alpha de notre relation, ce plaisir d’imiter les séductions et les débauches perverses des moines et nonettes chers au Divin Marquis. Elle possédait ses œuvres complètes. Nous allions souvent en relire à haute voix les extraits les plus sulfureux chacun à notre tour. Cela devint une sorte de rituel d’échauffement avant de nous rendre aux clubs échangistes qu’elle n’allait pas tarder à me faire découvrir.
Pour ma part, et bien après, je retiendrai cette phrase de « Demian » un beau roman d’initiation de Hermann Hesse qui m’a frappé quand il dit qu’il n’y a pas de hasard, que ce que nous appelons « hasard » est ce que notre désir nous procure … C’est un étudiant qui entend par hasard un soir un organiste répéter dans une église déserte … Début d’un parcours initiatique qui va le mener à l’âge adulte.

En effet, je ne connaissais pas cet auteur allemand. Une beauté arménienne, en apparence inaccessible, connue dans un cadre professionnel, me l’avait prêté avec je ne savais trop quelle idée derrière la tête, en même temps que « Le loup des steppes » du même auteur. Je compris rapidement où la belle voulait en venir et nous devînmes amants sans tarder dans une maison de garde-chasse perdue au fond des forêts d’Ardennes devant un feu de bois par un soir d’hiver où il gelait à pierre fendre … Mais c’est une autre histoire que je vous conterai sans doute une autre fois. Pour l’heure revenons à Cécile et à ma première fois.
L’office était terminé par ce beau soir d’été. J’allais m’éclipser quand je me suis fait harponner par le vicaire qui voulait se débarrasser vite fait d’une visiteuse qui se trouvait là plus par amour des belles choses que par la crainte du Seigneur. « Je te présente Cécile, entre artistes, vous allez bien vous entendre … » Et voilà l’abbé parti me laissant seul face à une jolie femme superbe, façon Audrey Hepburn, hâlée, la trentaine … Un corps de danseuse, à la fois gracile et musclé. C’est peu dire qu’elle allait légère et court vêtue, on était en juillet : un dos nu retenu seulement par une fine bretelle qui mettait en valeur une poitrine faite pour remplir la main d’un honnête homme, si pas les deux, une jupe mini au ras de la touffe, des jambes kilométriques, des pieds menus et soigneusement manucurés dans des tongs … Tout cela dans une église.

A peine ai-je eu le temps de lui détailler une sculpture présente dans l’église que la belle fut saisie d’un frisson parce que, canicules ou pas, le soir tombait et le vénérable édifice commençait à se refroidir. Mais la chasseresse avait trouvé la proie à son goût … Elle me fit le coup des estampes japonaises adapté à la situation en me disant qu’elle était dessinatrice, qu’elle habitait pas loin et que, si je le souhaitais, elle me montrerait volontiers quelques-unes de ses œuvres …
Je dois dire que je n’en menais pas large, impressionné par la différence d’âges.
La coquine, rompue au commerce des hommes ne manqua pas de profiter de cet ascendant qu’elle avait sur moi, ce dont elle s’était immédiatement rendu compte. J’en ris maintenant mais je me suis presque retenu de lui dire « Oui, Madame ! » Cet ascendant n’allait pas durer, la pénétration de ma queue pistonnant sa chatte, prisonnière pour la première fois du fourreau d’amour, nos poils pubiens entremêlés. La première éjaculation passée, elle m’avait immédiatement initié à la levrette suscitant d’emblée l’instinct du mâle dominant qui possède sa femelle consentante.
Me voilà parti docile avec la belle inconnue … Je dois dire que le temps de la promenade, avec les terrasses noires de monde des grands boulevards par ce beau soir me permit d’ observer les regards excités mêlé d’envie à mon endroit, des mâles qui, tout en sirotant leur consommation, détaillaient les jambes nues de ma compagne, s’attardaient sur le dos nu à peine retenu par un joli nœud dont il suffirait de tirer la ficelle pour dévoiler une généreuse poitrine qui pointait fièrement sans soutien.
« Ils sont jaloux ! » me glissa-t-elle perfidement en me prenant la main pour bien montrer un signe de propriété à l’endroit de ces crabes en rut qui ne retiendraient d’elle qu’une apparition de rêve en baisant, cette nuit-là, leur bobonne à titre de maigre compensation. Elle savait y faire pour prendre ainsi possession tout en suscitant en moi un sentiment de fierté masculine par l’élection qu’elle m’attribuait ostensiblement au vu et au su de ces inconnus et ces inconnues. Je ne lâchais pas sa main … elle s’enhardit en poussant le vice de la tentation : elle me caressait de temps à autre la paume de la main de son majeur replié puis, vitesse supérieure de manière de plus en plus insistante, avec les ongles de trois doigts.
Enfin arrivés, il fallait prendre l’ascenseur minuscule. Nous étions serrés l’un contre l’autre. Elle en profita de gaspiller son espace disponible en se collant à moi.
Je sentais ses tétons pointés s’écraser contre ma poitrine. La réaction animale ne tarda pas à se faire sentir sous la forme d’un renflement impossible à dissimuler. D’autant plus que je sentais son pubis qui pressait de plus en plus le renflement pour sentir l’effet. Elle n’en fit rien paraître de manière à prendre le temps de sentir monter mon désir et d’en jouer …
L’appartement dans les combles était petit mais coquet, un intérieur d’artiste, avec la table à dessin, les pots d’encre de chine, les plumes, les pinceaux. Nous avons parlé des heures. Toujours aussi impressionné je m’évadais dans la philosophie pour donner le change. La gazelle (moi) tentait d’échapper au prédateur (elle). Mais ma résistance faiblissait dans cette course-poursuite. Enfin, vers une heure du matin, bien certaine que la proie ne lui échapperait pas et que j’allais être obligé de loger là, elle me lâcha tout de go avec un calme olympien comme une réceptionniste d’hôtel qui reçoit un client : « Tu dors nu ? Je n’ai pas de pyjama d’homme à t’offrir «

Mon corps opposa alors une résistance aussi inattendue qu’incontournable ! La migraine ! Je souffrais depuis des années de cette saloperie qui me saisissait dans les moments de stress. Un seul remède dans ce cas, il fallait laisser passer l’orage en m’allongeant à même le sol pour essayer de dormir. Ma mine de papier mâché et la transpiration qui m’envahissait n’avait pas échappé à Cécile qui se fit maternelle. Elle connaissait cela et pouvait transformer son plaisir selon le principe que ce qui est pris n’est plus à prendre.
Pour autant que je me souvienne, sa main caresse mon épaule, elle déboutonne ma chemise, ses doigts glissent sur ma poitrine, elle déboutonne ma ceinture me met nu en un tournemain non sans en profiter pour effleurer en connaisseuse ma touffe et mes couilles que j’ai très poilues. Je m’allonge à même la moquette avec un simple coussin pour soutenir ma tête. Elle me couvre d’un plaid … Souffrance ! Je n’ai jamais très bien saisi le mécanisme de ces migraines pendant mon adolescence mais la douleur de la céphalée était accompagnée d’une envie irrépressible de baiser.
Alors, imaginez chers lecteurs et lectrices dans quel état je me trouvais ce soir-là, avec cette femelle en rut à portée de queue ! Enfin je plonge dans le sommeil. Ces désagréments ne sont plus qu’un mauvais souvenir parce qu’ils sont passés après cette première fois qui n’allait pas être la dernière.
Je ne sais plus le temps que j’ai dormi. Il fait encore nuit quand j’émerge. La douleur est passée. Etrange sensation : je commence par percevoir la lueur tremblotante de deux grosses bougies. Serais-je retourné à l’église ? Est-ce un rêve ? La pièce baigne dans une odeur d’encens au patchouli. Je me redresse un peu pendant que mes yeux s’habituent à la pénombre. Les deux cierges sont placés de part et d’autre de ce que je prends d’abord pour un autel. Aurais-je la berlue. Mais non, c’est bien un autel d’un genre particulier. C’est le lit où Cécile, les jambes pendantes et grandes ouvertes, est en train de se caresser langoureusement la touffe. Il ne me reste plus qu’à jouer le jeu et faire mes dévotions à cet autel païen improvisé pour me faire pardonner.
« Cela va mieux ?
- C’est passé, excuse-moi
- Détends-toi, agenouille-toi, devant la grotte m’ordonne-t-elle tendrement. Tu as une superbe queue, j’adore tes couilles poilues. Tu sais que c’est un péché de laisser d’aussi belles choses inoccupées ? Je veux te faire goûter aux délices du Paradis ! «
- Tu es belle à damner un saint, fais-moi traverser les flammes de l’Enfer et enlève-moi cette virginité qui me pèse …
- Tu vas commencer par faire tes dévotions ! Lèche l’idole sacrée de la prêtresse !
La touffe est offerte à mon adoration. Je m’agenouille comme un pénitent devant la sainte Vierge. Je lèche sa chatte mais elle en veut plus …
- « Je suis clitoridienne » Me lâche-t-elle. En bon débutant, je n’ai pas saisi l’allusion.
- « Si je te dis que je suis clitoridienne, c’est pour que tu me lèches le clito … première leçon «
Elle se trémousse pour avancer sa touffe qui est aussi poilue que la mienne. Elle présente son clitoris aussi volumineux qu’une pipette de roue de tracteur à l’offrande de mes lèvres. Je découvre le goût salé de sa cyprine.

Ma langue cherche le clito que je me mets à titiller. Elle soupire de plaisir, pose les jambes sur mes épaules, calle ses pieds à mon dos pour m’attirer au plus près. Pendant que je lèche avec application tantôt son clito, tantôt ses grandes et petites lèvres, je sens la douce sensation des cuisses autour de mon cou, le massage des mollets, des talons, de la plante des pieds, des orteils autour et sur ma colonne vertébrale. Une experte dans les jeux de l’amour appris avec une amie iranienne qui deviendra très vite notre partenaire dans les jeux à trois. Dès la semaine suivante Rania et moi avions accédé au désir de Cécile de lui offrir une séance de candaulisme. Très fière et impatiente de faire goûter ma bite à son amie, Cécile avait rapidement organisé un petit week-end coquin avec, au menu, des crustacés qui me firent une trique d’enfer pendant trois jours.
Mais après ces préliminaires, Cécile me fait allonger sur le lit. Elle se positionne tête-bêche à quatre pattes au-dessus de moi et nous voilà partis pour un 69. Elle ne reste pas inactive loin de là. Quelques savants coups de langue autour de mon gland circoncis et elle commence à engloutir mon pieu comme une affamée. Elle me lâche comme on change subitement de vitesse pour passer en quatrième : en abordant la côte « J’adore tes couilles poilues ». Elle ne se gêne pas pour les saisir à pleine main et les malaxer. J’adore, cela me fait un effet du tonnerre. Elle maîtrise parfaitement la situation dans son rôle d’initiatrice. Elle se redresse légèrement pour me présenter cette fois sa raie du cul et son petit trou. Je ne tarde pas à y introduire ma langue ce qui lui arrache son premier râle de plaisir. « Et ben dis-donc ! Tu es doué pour la chose ! « Waow ! ta queue est grosse et en plus tu es circoncis, j’adore ta touffe, ça promet. Qu’est-ce que tu en dis de ma forêt à moi ?» Je suis fasciné par sa motte poilue.
Mais, pour l’heure, nous sommes à une séance d’initiation. Elle sait qu’elle doit ménager l’élève pour ne pas aboutir à une éjaculation prématurée. Il faut calmer la bête dans un interlude tendresse. Elle se retourne tout de go et s’allonge sur moi. Nos lèvres se touchent. Elle introduit sa langue entre mes lèvres qu’elle écarte. Elle dépasse la barrière de mes dents, cherche ma langue qu’elle suce pour la faire sortir de son repère. Je suis saisi par le vertige. Nos salives se mêlent, nos langues se cherchent. Sa main glisse le long de mon ventre, saisi ma queue. Je n’y tiens plus. D’un coup de rein je la fais rouler sur le côté. Je saisis ses bras que j’écarte pour la coucher sur le dos. « Ô là ! mon mâle s’éveille ! « Ses seins sont là, offert pour la caresse. Elle s’abandonne, heureuse ! Je passe d’un sein à l’autre. Je suce et je mordille ses têtons qui durcissent, ma langue s’introduit dans son nombril. Je baise son ventre. Je descends au clito, remonte aux tétons « C’est bon ! Tu me rends folle ! Prends-moi ! Viens dans moi !»
Elle guide ma queue à l’entrée de sa grotte d’amour. Ses jambes se posent sur mes reins. Les talons poussent mes fesses. Mon gland est tout près de la porte. Nous nous arrêtons un instant, comme émerveillés, pour goûter le moment qui précède la chute vers l’enfer des délices. Elle mouille à mort. J’y vais par petits coups. Elle est attentive pour goûter chaque seconde. Je sens ses talons impatients qui poussent mes fesses. Un coup de rein et je la pénètre à fond. Elle pousse un rugissement de victoire : « Et voilà mon ami ! tu as croqué la pomme, tu n’es plus vierge, le péché de la chair est commis, il te reste à vider dans mon con le divin calice de ton jus ! »


Après avoir goûté les sensations nouvelles pour moi de son fourreau autour de ma bite par des coups commence à la pistonner vigoureusement. Elle en veut plus. Je sens ses jambes se poser sur mes épaules pour une pénétration maximale. Je ne me le vais pas dire. J’accélère le mouvement. L’odeur âcre de sa transpiration éveille la bête en moi. Nous sommes en nage. Elle commence à gémir à chaque coup de boutoir qui lui enflamme le vagin. J’accélère le mouvement
- Oui viens, lâche ton jus dans ma chatte. Ouiiiiiii ! Plus vite !
- Tiens prends ça salope ! Et encore ça !
- Ouiiiii, j’adore les mots orduriers. C’est bon ! Je vais jouir ! Lâche-toi, viens Nom de Dieu ! inonde-moi ! Viiiiiiens !
Cette fois je ne peux plus me retenir. Je lâche ma semence qui vient par saccades. Je vide mes couilles à fond. Nous partons en même temps dans un orgasme. Elle jouit en sentant la douceur de mon jus qui l’envahit. Nous retombons affalé dans les bras l’un de l’autre en nous couvrant de baiser. Mais déjà elle se positionne en levrette. Elle sait que je vais être capable de la remplir une deuxième fois. Avec les kilomètres de bites qu’elle a déjà usées, elle sait jauger au premier coup d’oeil le mec qui saura la satisfaire plusieurs fois sur une nuit. Et elle ne se trompe pas ….
A suivre

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