Histoire D'Une Future Lope: Episode 3, J'Étais Soumis, Je Deviens Lope
Episode 3 Jétais soumis je deviens Lope
Jai donc obéi, car jen étais certain, jallais pouvoir prendre du plaisir. Je nai laissé aucune goutte de sperme sur le sol, me suis rincé la bouche en lapant comme un chien et essuyé le visage sur le torchon quil ma jeté. Je suis donc revenu près de lui, il sétait déshabillé ne gardant quun slip taille basse qui était dautant plus sexy quil ne cachait pas grand-chose. Il ma fixé un bâillon boule et ma ordonné de mallonger sur le ventre. Mon heure était venue, pourtant il ne bandait plus ! Soudain jai senti quil mattachait les pieds. Jétais à son entière disposition et je minterrogeais sur la suite lorsquil me dit « Je vais faire une sieste, comme ça tu seras sage et ne tentera pas de partir ». Jétais fait comme un rat. Jamais je naurais dû venir et encore moins accepter quil me lie les mains. Cest sûr, il sera obligé de me relâcher et alors je le supprimerais de mes contacts après avoir rédigé un avis du genre « mec égoïste, ne pense quà son plaisir ».
Il sest endormi ! Je lai maudit, essayant de me détacher ou de crier. Jai fini par comprendre que mes tentatives étaient vaines comme celle dun chien qui voudrait quitter ses chaînes. Après tant de tension, la pression est retombée et je me suis endormi
Jai fait des cauchemars, je restais prisonnier à vie, je ne trouvais plus mes vêtements, un ogre voulait me manger les noisettes
Jai été réveillé par des mouvements, mes jambes étaient écartées, reliées par une barre qui mempêchait de les refermer. Sous leffet de la surprise mon Maître ma fait magenouiller, a enlevé mon bâillon et sest mis derrière mon dos, entre mes jambes et sans me laisser le temps de réfléchir, il et a commencé à caresser mes lèvres, mes pectoraux, mes tétons. Tout en léchant chaque cm de mon dos il a caressé mes couilles et ma bite. Puis se reculant, il a retiré le plug, enfilé une capote : « maintenant tu vas sentir un homme, un vrai en toi ».
Mon illet sest ouvert facilement pour laisser entrer sa teub. Il ma pistonné sans relâche, mécrasant sous son poids, me serrant les couilles, et me branlant en dirigeant ma verge vers larrière. « Tu vois, comme je tai déjà giclé dessus avant la sieste, je vais te ramoner longtemps lintérieur avant de jouir à nouveau
». Cest moi qui ai giclé le premier. Jamais ma jouissance navait été aussi forte. Il a continué à me besogner. Ma tige avait débandé mais les coups dans mon anus et contre ma prostate memplissaient dune sensation inconnue, chaude comme de la braise et douce comme une caresse. Je lai senti venir, il sest cambré et a joui en saffaissant sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment puis il ma envoyé me doucher. A mon retour mes vêtements mattendaient ainsi quune vraie collation.
« Je sais que tu as eu du mal à accepter certains moments, sache que si tu reviens ce sera plus fort. Souviens-toi que le vrai plaisir vient après la frustration ! ».
Je suis rentré chez moi, fatigué et heureux de la finale commune. Jai trouvé dans la poche de mon blouson deux capotes de son sperme, nouées avec un petit mot disant quil me laissait un souvenir que je devais conserver. La semaine a repris comme dhabitude si ce nest que le lundi la douleur de mon anus me rappelait les épisodes de la veille. Les jours suivants, lenvie de revivre la scène de baise ma taraudé. Je voulais reprendre contact malgré ce que je métais dit. Il mavait bien dit que la prochaine fois ce serait plus fort. Une jouissance plus forte ! Mais un doute me taraudait
et si cétait une discipline et une humiliation plus forte ? Le jeudi soir je rédigeais un message, que je nenvoyais pas
Cest le vendredi matin que sans réfléchir davantage, jai cliqué. Cétait parti. Le soir une réponse : Samedi 16h précises chez moi, tu mettras ce qui sera sur la chaise, tu es à moi jusquà dimanche soir !
Mais que signifie vraiment : tu es à moi ?
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