Gustaw Le Vigile.( Suite Et Fin )

Partie carrée.

Cela va faire un mois que pour la première fois j’ai trompé Guillaume mon mari. Il y a quinze jours environ, en milieu de semaine, je suis retournée dans la grande surface qui se situe non loin du bureau où je travaille près de la gare de Paris-nord. J’étais dans le but inavoué de retrouver ce beau vigile qui, quelques jours avant Noël, m’avait fait grimper au 7ème ciel.

J’avais croisé son regard bleu gris quand j’attendais à une des caisses. Guillaume et moi nous sommes âgés de 25 ans, nous sommes mariés depuis deux ans et vivons ensemble depuis trois. L’un et l’autre, nous avons une bonne situation et nous sommes très amoureux l’un de l’autre. Jusqu’à cet après midi où tout à basculé…

Mais, après tout ce temps de fidélité, j’avais en l’espace d’un regard échangé, envoyé par-dessus les moulins toutes mes bonnes résolutions et dès le lendemain, je suis retournée dans le magasin où j’ai retrouvé Gustaw qui m’a entrainée dans le local de repos des vigiles où il m’a copieusement baisée et sodomisée !

Je dois avouer que je culpabilisais pas mal quand je repensais à tout ce que je venais de vivre avant et après les Fêtes de fin d’année. Même si depuis l’âge de mes 15 ans, j’avais multiplié les expériences sexuelles avec des garçons ou des filles de rencontre, depuis que je connaissais Guillaume, je lui étais fidèle. Je m’accordais volontiers quelques masturbations solitaires lorsque j’étais en manque de sexe. J’aurais voulu que Guillaume me baise soir et matin mais je dois reconnaitre qu’il n’est pas particulièrement attiré par les choses du sexe et qu’en dehors de quelques petites fantaisies, il est plutôt routinier dans sa façon de faire l’amour.

C’est ainsi que vendredi dernier, j’ai envoyé un texto à Galina en lui disant que j’étais libre tout le lundi après midi et une partie de la soirée car Guillaume se déplaçait en province pour son travail et ne rentrerait pas avant 23 heures voire minuit.

Moins d’une demi-heure plus tard, je recevais la réponse laconique me donnant une adresse en banlieue et l’heure d’arrivée à prévoir.

Comme j’ai l’habitude de le faire, j’ai consacré une partie de la soirée du samedi à m’occuper de ma petite personne… bains moussant prolongé, épilations diverses, ongles coupés ras et vernis, brushing, etc. avant de rejoindre Guillaume dans le lit pour faire l’amour. Je voulais chasser le souvenir de Gustaw, ne plus y penser au cours du weekend et me consacrer à mon mari chéri mais lorsqu’il a commencé à me baiser, selon son habitude à la missionnaire, sans beaucoup de préparation, je n’ai pu m’empêcher de repenser aux chaudes heures que j’avais passées avec le vigile et sa sœur et tenter d’imaginer ce qui allait se passer lundi.

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Ce fameux lundi matin, je revêts une des tenues que j’affectionne particulièrement et qui met ma silhouette en valeur. Tout d’abord, je me maquille très légèrement : un peu de blush sur les joues et du mascara pour allonger mes cils. Ensuite, j’enfile une parure arachnéenne faite d’un string minuscule et d’un soutien gorge à demi-balconnets qui présentent mes seins bien ronds (85 B) tout en les soutenant. Ensuite, je mets un chemisier en soie d’un rouge vif dont j’aime la sensation de douce caresse sur la pointe des seins.

Comme c’est l’hiver, j’enfile un collant opaque, un peu épais, très coquin comme celui que je portais lorsque j’e suis allé retrouver Gustaw et sa sœur Galina. Il imite un serre taille qui laisse mon pubis, les fesses et les hanches à découvert. Par-dessus, j’ai mis un de mes shorts dont la taille resserrée fait ressortir le galbe de mes hanches et la cambrure du dos. Je porte des bottines avec des talons et qui arrivent au dessus de la cheville. Cette tenue laisse découvrir mes longues jambes fines. C’est vrai qu’apprêtée de cette manière, j’ai un look ravageur qui fait que pas mal d’hommes et quelques femmes se retournent sur moi.
Heureusement que mon manteau ouvert masque un peu le tout.

Après une matinée au bureau, je prends un taxi pour me rendre à l’adresse indiquée dans le texto de Galina. Je croyais arriver dans un immeuble mais en fait, je me trouve devant une grosse villa déjà ancienne au milieu d’un jardin entretenu avec soin. Galina m’accueille sur le seuil en m’embrassant et en frôlant mes seins ! Waouh ! Çà commence fort !
- Viens, entre vite, nous t’attendions avec impatience ! Gustaw avait peur que tu n’oses venir.
- Oh non ! Sois tranquille ! J’ai toujours autant envie de baiser et comme tu m’as proposé une double pénétration, je ne vais pas manquer cela ! Ce sera ma vraie première !

Bras dessus, bras dessous, nous traversons tout d’abord un petit salon avec plusieurs divans et fauteuils confortables avant d’entrer dans une immense pièce située sur l’arrière de la maison. Comme la première pièce, elle est meublée avec de nombreux sièges bas et plusieurs gros poufs que je distingue dans l’éclairage discret de petits spots. Galina me précise alors :
- Voici notre salle de jeux ! C’est là où de temps à autre, j’organise avec mes deux complices de belles parties fines. Mais aujourd’hui, nous nous consacreront uniquement à toi.

Puis elle me présente son homme :
- Voici Kévin ! Nous sommes ensemble depuis trois ans et je dois t’avouer que, si Gustaw est bien monté, Kévin n’a rien à lui envier ! Tu vas voir ! Et tu vas la sentir passer !

Lorsque mon regard se porte sur les deux hommes qui viennent d’entrer dans la pièce, je découvre qu’ils sont en boxer et t-shirt et, à voir la bosse qui déforme le devant de l’entrejambe, je devine qu’ils sont déjà bien excités. Waouh ! Que Kévin est beau ! Un grand colosse à la peau très mate avec une musculature digne d’un culturiste. Son visage est éclairé par un large sourire qui laisse voir des dents étincelantes de blancheur. Galina m’interroge :
- N’est-il pas beau mon étalon de mari ?
- Oh oui ! Il me fait très envie !
- Alors approche, il ne va pas te manger.
En plus les deux hommes ont fait un test HIV donc tu ne crains rien ! Ils vont pouvoir t’inonder la chatte de leur jus !

Dès que Kévin m’enlace, il plonge une main dans mon chemisier comme s’il avait deviné que mes seins très sensibles étaient directement accessibles. De l’autre, plaquée sur ma fesse droite, il me presse contre lui et sur mon pubis, placé à la bonne hauteur je sens sa queue qui se dresse encore plus sous ce contact. Il triture mes tétons et moi, j’ondule des hanches pour mieux le sentir en face de moi.

Gustaw n’est pas en reste ! Il vient dans mon dos et glisse une main entre nous pour défaire les boutons de mon chemisier qui bientôt finit jeté n’importe comment sur un des fauteuils. Puis c’est au tour de mon soutif de voler de la même manière avant que le frère de Galina ne fasse descendre mon short et le retire...

Je ne porte plus que mon string, mon collant fantaisie et mes bottines, prise en sandwich entre les deux hommes qui, tour à tour triturent mes tétons ou caressent ma chatte par-dessus le string dont l’étroite bande de tissu est déjà toute imprégnée de mes sécrétions. Du coin de l’œil, j’aperçois Galina qui s’est déshabillée dans un coin de la pièce et filme avec un caméscope d’une main et de l’autre se fait plaisir en glissant sa main dans son entrejambe. L’enregistrement de la séance de baise n’était pas prévu mais çà ne fait rien !
- Filme-moi si tu veux mais arrange toi pour ne pas montrer mon visage !
- OK ça me va, c’est d’ailleurs comme çà à chaque fois que nous faisons une partie spéciale ! Kévin mets de la musique sur les images et nous publions sur un site pour nous faire du fric !

Puis Kévin se met nu et me dirige vers un des gros pouf où il me fait mettre à quatre pattes. J’ai la bouche à la hauteur de son sexe qui est désormais bien bandé ! Je suis quelque peu surprise de voir qu’il a le pubis partiellement rasé et les bourses dépourvues de poils. C’est très érotique comme vision et en moi même, je me dis que ce doit être agréable de sucer un mec sans avoir de poils qui chatouillent les narines.


Je m’avance vers ce sceptre de chair et je lèche d’abord la hampe avant de l’englober entre mes lèvres. Lentement, je le fais entrer, alternant les succions et aspirations jusqu’au moment où je ne peux plus aller plus loin ! Il y a encore au moins la largeur d’une main à faire entrer ! Galina avait raison de vanter « son étalon ». Kévin à une vraie bite de cheval !

Galina et Gustaw ne restent pas inactifs. Pendant que Gustaw me mange la chatte dans une position acrobatique, je sens sa sœur injecter dans mon cul un gel et un Plug de belle taille qu’elle a sucé avec gourmandise en me le montrant ! Jamais je n’ai introduit un jouet aussi gros dans mes orifices intimes mais là, il entre sans difficulté. Avec l’excitation de la situation et les caresses qui me sont prodiguée, ma chatte est inondée de cyprine et je ne tarde pas à jouir pour la première fois ! Galina dit bientôt :
- C’est bon, elle doit être prête maintenant. Sa chatte est bien lubrifiée et son cul est ouvert.

Les deux hommes se retirent et elle me conduit vers un immense lit bas que je n’avais pas remarqué. Gustaw s’allonge, la bite couverte d’un préservatif et dressée comme un épieu :
- Viens t’empaler Cristal ! Tourne-moi le dos et travaille un peu !

Je m’empresse d’obéir. Ne suis-je pas là pour mon bon plaisir et celui de mes partenaires. Dès que la bite de Gustaw a trouvé sa place dans mon œillet plissé, je commence les mouvements alternatifs jusqu’au moment où il ne fait basculer en arrière sur son torse en plaçant ses mains sur mes globes et prend les bourgeons entre ses doigts. Heureusement que c’est lui qui a choisi de me sodomiser ! Je ne crois pas que j’aurais pu supporter la taille de la bite de Kévin !

Ce dernier vient se placer entre nos cuisses et lentement, comme s’il voulait me ménager, il introduit son bâton de chair entre mes lèvres intimes qui s’ouvrent doucement. Oulla ! Qu’est ce qu’il est gros ce mandrin ! C’est la première fois que je prends un engin de cette taille. J’avais déjà du mal à le faire coulisser entre mes lèvres pourtant habituées depuis très jeune à faire des pipes aux garçons de mon lycée, et là, c’est ma chatte qui est pleine. Heureusement, il va doucement et je suis très humide d’envie et de ma précédente jouissance.

Lorsque mes deux amants sont bien en place, ils commencent le va-et-vient, lorsque l’un est au fond d’un orifice, l’autre sort et ainsi de suite. Que c’est bon ! Çà n’a rien à voir avec une baise banale à un seul partenaire ou même lorsque Galina m’a sodomisée avec son jouet vibrant ! Là, j’ai deux pieux de chair qui fouillent mes entrailles !

Et je mouille de plus en plus tant c’est bon ! C’est aussi je le crois l’excitation que me procure cette situation qui me rend aussi humide. J’ai même l’impression que je mouille aussi de mon antre étroit tant Gustaw semble y coulisser avec facilité. Je sens la même boule chaude que l’autre jour envahir mon bassin. Je sens que je ne vais pas tarder à partir. Cà y est ! Je jouiiiiiiis ! C’est fou ce que c’est boonnnn ! J’encourage mes amants à m’en mettre plein. Mais avec un bel ensemble ils me disent d’attendre :
- Tu en veux plein ! Et bien tu vas être servie !

Et Galina d’ajouter :
- Ils se sont retenus ! Tu vas voir, ta seconde jouissance sera encore meilleure !

Et ces deux coquins reprennent leur copulation coordonnée comme un beau ballet bien rythmé si bien qu’en moins de cinq minutes, la jouissance déferle à nouveau en moi et je me libère dans un grand cri au moment où je sens les jets de sperme inonder ma chatte et le fond du préservatif :
- Ouiiiiiii ! C’est booonnnnnnn !

Nous restons emmêlés, affalés les uns sur les autres pendant de longues minutes. C’est vrai que cela m’est nécessaire tant les trois jouissances successives m’ont démontée. Puis nous nous désunissons. Les deux hommes se mettent à genoux devant Galina et moi. Je sais ce qu’ils veulent. Je retire la capote qui couvre la bite de Gustaw et au passage, j’apprécie la quantité de liquide emprisonné ! Il a été sacrément généreux. J’exerce aussitôt mes talents de suceuse de bite en la nettoyant à fond, du bout du gland jusqu’à la base. Galina en fait autant avec la queue de son homme et semble se délecter des saveurs et odeurs mélangées qui s’en dégagent.

C’est à ce moment que je vois qu’elle a introduit dans son anneau plissé un Plug doré qui me semble de belle taille. Une imitation de rubis taillé en facette orne l’extrémité apparente. Quand les deux mâles ont retrouvé leur vigueur, elle me couche sur le dos et se met en levrette au dessus de moi pour que Kévin la prenne !
- A mon tout maintenant ! Kévin va m’enculer pendant que je vais lécher ta chatte qui ruissèle ! Et toi, vide les couilles de Gustaw !

Ce langage un peu trivial auquel je ne suis guère habituée m’excite comme une catin en chaleur. C’est ainsi que je retrouve la queue de Gustaw, mon beau vigile, enfoncée jusqu’au fond de ma bouche pendant que sa sœur me bouffe le minou et je ressens les coups de boutoir de Kévin qui se propagent au travers du corps de sa femme. Cet échange à quatre se termine par un déferlement de jouissances simultanées. Galina et moi, nous avons notre plaisir quasiment en même temps et les deux hommes ne tardent pas à se déverser abondamment dans les orifices choisis. J’en ai plein la bouche et comme je le fais presque à chaque fois, j’avale avec délectation le sperme que j’ai fait jaillir.

Lorsque je quitte la maison de Kévin et Galina vers 20 heures, je suis littéralement laminée ! Je ne sais plus combien de fois j’ai pu jouir mais qu’est-ce que c’est bon de s’éclater ainsi ! Si seulement Guillaume voulait se montrer un peu plus inventif !

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