Iniation À La Sodomie.

Initiation à la sodomie (fiction - texte déjà ancien – 2003 – revisité fin 2011).

Depuis notre entrée au lycée, Coralie et moi, nous sommes d’inséparables complices, toujours prêtes à faire les 400 coups tout en poursuivant sérieusement nos études.

Il y a quelques temps, lors d’une pause alors que nous révisions ensemble les matières du bac, Coralie me confia une envie sexuelle. Pour l’anniversaire de son copain attitré du moment, elle voulait lui offrir un fantasme commun toujours repoussé : la sodomie. Mais elle avait peur car, à l’inverse de moi qui avait été initiée très tôt par un amant de 20 ans mon aîné, elle n’avait jamais pratiqué. Elle voulait que je la prépare.

Ce jour là, et certains autres, les révisions pour les examens partiels sont passées au second plan. Sans être totalement bisexuelles, il nous était déjà arrivé de nous doucher ensemble et d’avoir partagé de légères caresses. Je connaissais bien le corps de Coralie, grand fille blonde et mince avec des petits seins à peine dessinés mais avec un bourgeon saillant, des hanches étroites et une toison taillée en triangle comme je l’avais incitée à le faire.

Pour être plus à l’aise, nous nous mettons nues et je prépare le nécessaire pour cette initiation, en fait mes jouets habituels achetés avec la complicité de ma sœur ainée à l’époque où je n’avais pas encore 18 ans.

Après quelques caresses mutuelles sur les seins nous nous installons sur le grand lit de mon studio pour un 69 langoureux. Il s’agit de préparer Coralie et de faire monter son envie sexuelle. Après avoir plongé mon majeur dans sa chatte pour l’enduire de cyprine, je viens titiller sa rondelle plissée pour commencer à l’ouvrir en douceur :
• Mon dieu, que tu es fermée ! Je peux à peine entrer la première phalange.

Voyant cela, je vais chercher le tube de lubrifiant dont je me sers avec mes godes. Je place l’embout à l’entrée de son anus et j’en injecte une bonne dose.

Là, je peux enfin entrer mon majeur mais avec encore quelques difficultés. Après cinq bonnes minutes, lorsque Coralie est habituée à la présence de mon doigt dans son fondement, je commence les va-et-vient pour assouplir ses muscles intimes. J’ai à ma disposition un jouet fait d’une succession de boules en silicone dont les premières sont à peine plus grosses que mon majeur. Je l’introduisis à la place de mon doigt sans que Coralie le remarque.

Et je continue mon initiation, lentement et progressivement de manière à faire entrer des boules de plus en plus grosses au-delà du sphincter anal de ma copine. Il ne reste que les deux plus grosses à l’extérieur, d’un diamètre équivalent à une bite normale, quand Coralie a un mouvement de recul. Je crois que pour sa première intromission anale, cela suffit. Je la fais se coucher sur le côté et je la laisse ainsi pour qu’elle s’habitue à une présence dans son cul.

Tout cela m’a bien échauffé les sens et j’ai envie de jouir. Pas d’homme pour cela, mais j’ai de la ressource : une collection de godes de tailles diverses.

Je n’ai même pas besoin d’enduire mon jouet préféré de gel tellement ma chatte est lubrifiée. Je l’introduis d’une seule poussée jusqu’au fond et j’actionne le mécanisme. La tête pourvue de petits reliefs se met à tourner sur elle-même pendant que je fais des allers-retours avec la tige. Je mets à chaque fois le petit ergot vibratoire en contact avec mon clitoris jusqu’à l’éclatement de ma jouissance. Après, je libère Coralie non sans faire quelques va-et-vient dans son cul :
• Cela suffit pour aujourd’hui, la prochaine fois on passera à autre chose. Que penses-tu de ce début ?
• J’ai apprécié ta douceur et j’ai même éprouvé un peu de plaisir.

Je possède un petit Plug anal en silicone. Je le lui donne ainsi qu’un mini tube de gel en lui disant qu’avec cela elle s’habiait à une présence dans sa gaine étroite et que la prochaine fois, je pourrais aller plus loin.

Le mercredi suivant, nous nous retrouvons pour une nouvelle séance de révisions qui s’éternise un peu. Nous commandons un kebab au turc du coin et, au cours de la soirée je poursuis l’initiation anale de Coralie.

Elle avait porté le Plug pendant plusieurs heures chaque nuit. Je constate effectivement en y introduisant deux doigts que son petit trou est plus ouvert. Parmi ma collection de jouets, il en est un que j’utilise fréquemment tellement il me procure des jouissances démentielles, celles que je préfère avec un mec. Il mesure environ 15cm de longueur pour un diamètre de trois centimètres.

Imitant parfaitement un sexe masculin avec un gland bien dessiné et des veines en relief, il possède à la base une paire de couilles qui abrite le moteur et la commande. En plus du système vibratoire, il possède un anneau qui coulisse sous la paroi en silicone pour imiter la pénétration.

C’est tout à fait ce qu’il me faut pour Coralie. Après avoir injecté du gel dans son anus, j’introduis lentement ce sexe factice jusqu’à ce que les couilles viennent buter contre la chatte de ma copine qui gémit doucement.

Après quelques minutes, j’enclenche le moteur tout en maintenant en place le gode pour que Coralie ne l’expulse pas involontairement. Je ressens dans le creux de ma main les vibrations du moteur. Ses gémissements de douleur au moment de l’introduction sont bientôt remplacés par des gémissements de plaisir.

La chatte de Coralie bave abondamment si bien que j’introduis un gode de belle taille pour l’humidifier. Prestement, j’ai retiré le premier du cul de ma copine pour l’y introduire avant que ses muscles ne se referment.

Là, c’est du puissant. Je suis carrément passée à la taille au dessus pour le diamètre. Lorsque l’intromission est terminée, Coralie est bouche bée et semble manquer d’air. Au lieu de rester en levrette, je la couche sur le côté et je viens lécher ses tétons dardés en introduisant deux doigts dans sa chatte. Nous restons ainsi plus d’une demi-heure à savourer nos sensations et à échanger des caresses.

Je retire le gode du cul de ma copine, nous nous rhabillons et, avant que cette dernière reparte chez elle, je lui prête mon plus gros Plug en lui disant qu’après s’être habituée à lui, elle n’aurait plus à avoir peur d’offrir sa rondelle à son copain.

Le soir de l’anniversaire, ce dernier l’a longuement sodomisée jusqu’à ce qu’elle jouisse du cul pour la première fois. De son aveu, c’était de très bonnes sensations.