D'Aventures En Aventures

D’aventures en aventures, premier chapitre.
Que nous soyons hommes ou femmes, nous vivons d’aventures en aventures, ici, lors de cette série d’histoires, je compte bien décrire ces évènements de la vie quotidienne qui arrivent subtilement ou savoureusement à vous de le décider, ou de le dire.

Aujourd’hui, nous sommes mercredi, le jour des s comme on a tendance à dire dans notre chère contrée. Et comme nous sommes à proximité des fêtes de Noël, je vais de ce pas avec mon fils de quatre ans dans les allées d’un célèbre magasin de jouets.

Dès l’entrée, nous sommes abordés par une association qui effectue des récoltes pour les petits bouts qui sont malades dans les hôpitaux, puis en continuant notre chemin, nous tombons sur une démonstration de circuit automobile.

Bien entendu, mon petit Thomas court en direction de ce jeu, il est émerveillé comme tout de son âge, je joue bien entendu avec lui. Il est aux anges, c’est, je pense l’une des premières idées qui m’est venue en tête comme cadeau. En guise de surprise, la démonstratrice lui offre, un dau et une lumière en porte clef de la marque qu’elle représente.

Je ne l’avais pas remarqué, mais elle a un sourire très enjôleur, pas celui de la commerçante qui harcèle avec des questions stupides, mais plutôt de la fille qui rêve d’être ailleurs à l’instant T. Je sors de mes pensées par les petites bêtises de mon , puis part flâner dans les rayons du magasin. Entre les robots, les supers héros, les jeux vidéo et les armes, les idées sont nombreuses, puis je me ravise.

Je retourne à l’accueil du magasin et demande à Magalie, le prénom est marqué sur un badge, si celle-ci fait ce genre de démonstration qu’aujourd’hui ou si c’est pour la période avant Noël.
Elle me répond qu’elle sera présente jusqu’à samedi et qu’ensuite, elle partira dans un autre centre commercial pour vendre son produit.

Je lui indique que je passerai donc plus tard dans la semaine afin que la surprise pour mon fils soit totale.


Nous sommes à présent vendredi après-midi, Thomas est chez sa mère pour le week-end, les joies de la garde alternée !!! J’en profite donc pour retourner au magasin de jouets afin de faire mes achats. Bien entendu, je me précipite vers le stand de Magalie qui est toujours aussi radieuse, elle est brune, les joues un peu rosées, pas très grande, je dirais un mètre soixante-cinq, avec une sculpture assez délicieuse.

Autant dire que j’ai un petit coup de cœur, et dans un élan d’intrépidité, je l’invite au restaurant. À ma grande surprise, celle-ci accepte sans hésitation. Nous nous donnons rendez-vous à l’accueil d’un hôtel à vingt-heures, celui-ci se situe à proximité du centre commercial. Cela me laisse le temps de rentrer chez moi, de me préparer puis de passer, ce qui va être, je l’espère une excellente soirée.

Je m’habille avec une chemise blanche, un jean bleu, et des chaussures de ville marron. Je mets un peu de gel dans mes cheveux, puis me voilà parti.

Ça y est le moment tant attendu va arriver, je rejoins la jeune fille, elle monte dans ma voiture puis nous partons en direction du centre-ville. Elle est sublime, elle porte une robe noire qui lui arrive légèrement au-dessus du genou. Sur la route, nous échangeons quelques mots, j’ai appris qu’elle avait vingt-cinq ans et qu’elle faisait ce job pour payer ses études en art plastique.

Au bout d’un quart d’heure, nous arrivons devant un restaurant gastronomique, je gare la voiture, puis nous entrons. Au bout d’une bonne heure, nous sommes rassasiés, je paye, puis je lui propose de faire une petite balade digestive.

Au bout d’un moment, nous nous asseyons sur un banc à l’abri des regards indiscrets, au bord du canal. Je lui prends la main, au début, elle hésite un peu, puis se laisse aller dans ce moment de romantisme et de tendresse. Elle finit par poser sa tête contre mon épaule.

Au bout d’un certain temps, je lui fais un bisou sur le front, elle me regarde, puis nous échangeons notre premier baiser sur la bouche.
Ce contact délicieux me procure des sensations extraordinaires. Je tente une approche avec ma main à la lisière de sa robe, je caresse légèrement sa cuisse, ce qui ne manque pas de la faire sursauter.

Mais, elle me laisse faire, aucun geste de retenus m’interdit de poursuivre l’aventure en direction de son puits d’amour. Un léger tissu qui ressemble à un string fait office de barrière, je l’écarte légèrement, puis je touche à son bouton magique.

Je sens bien qu’elle veut crier, mais elle se retient. Pendant que je continue de r son clitoris, Magalie ouvre ma braguette, pour y découvrir ma verge, elle la caresse, puis se penche pour me prendre dans sa bouche. Les allers-retours sont délicieux, je n’ai rien à dire, elle fait ça avec une passion incroyable puis je la soulève, lui enlève les bretelles de sa robe, elle est presque torse nue face à moi seul le soutien-gorge fait encore office de barrière, il disparaît assez vite d’ailleurs.

Je me délecte de ce cadeau divin, je joue avec ces tétons que je lèche, que je mordille, elle se positionne même à genou pour faire une branlette espagnole. Cette fille est un volcan de plaisir. Au bout d’un moment, nos préliminaires s’arrêtent, il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle enlève son string, moi, je baisse mon pantalon afin d’être à l’aise, puis elle s’empale sur mon sexe luisant de plaisir.

Elle monte, elle descend sur mon membre, je prends un pied d’enfer dans ce vagin étroit, puis je la positionne à quatre pattes sur le banc. Je prends Magalie en levrette, ses fesses sont ni molles, ni dures, justes ce qu’il faut. Je varie les plaisirs, à la fois lents et rapides, j’essaye de la faire monter dans les tours.

Puis, elle revient sur moi en chandelier, à ce moment-là, je n’arrive plus à me retenir et dans un cri commun, nous jouissons à même temps. Nous essayons de retrouver chacun notre souffle.

Elle m’embrasse en guise de remerciement puis m’invite à dormir avec elle à l’hôtel.

Je crois que cette soirée, n’est pas prête de se terminer. À suivre…

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