Un Apéro Bien Servi !

Nous sommes vendredi et la semaine est enfin terminée, il est temps de profiter du week-end et décompresser un peu!
Et quoi de mieux qu'un repas entre amis et collègues pour oublier le train-train quotidien ?
Lucie, ma femme a mijoté de bons petits plats et nous sommes dans les temps pour préparer la table et les amuses bouches pour l'apéritif.
Dix neuf heures pétantes, le carillon sonne et j'ouvre la porte. Je suis surpris de voir que Vincent, Jérôme et Mathieu, mes collègues de boulot soient venus sans leurs femmes.

« Et bien, c'est sortie célibataire ou quoi ? » dis-je.
- En fait, nos chères et tendres avaient une soirée Tupperware prévue, elle nous rejoindrons plus tard. » me répondit Jérôme.

Nous nous installons sur le canapé et entamons des discutions sans fin concernant la boîte où nous bossons tous les quatre.
Lucie, qui fait des allers-retours de la cuisine au salon pour nous servir les petites friandises qu'elle nous a préparé, porte une tenue qui met en valeur ses formes et son décolleté ne cache rien de sa très généreuse poitrine.

Mine de rien, j'observe Vincent qui se cache à peine pour la dévorer des yeux et à voir comment il croise ses jambes pour cacher l'effet qu'elle lui fait, je sens bien qu'il n'est pas indifférent au physique de ma femme.

Elle vient à présent s'asseoir avec nous et me demande de lui servir un petit whisky-coca.
Je la sers franchement, après tout, on ne prend pas la route et il faut bien s'amuser un peu !
Les verres s'enchaînes, les convives parlent de plus en plus fort, ça rigole bien et tout le monde et joyeux.

Mathieu qui est du genre introverti au travail, se lâche franchement et enchaîne les histoires drôles et très portées sur le cul.

Lucie n'est pas la dernière à en rigoler, et l'ambiance commence à chauffer sérieusement.

Après plusieurs verres, elle est complètement "pompette" et ses mains se baladent sur les cuisses de nos invités qui semblent apprécier ce petit jeu.



Jérôme me lance un regard comme pour me dire « C'est chaud là, attention ... ». Je lui réponds par une mimique discrète « t'inquiète, c’est bon ».

La température monte de plus en plus et je décide de passer à la vitesse supérieure.

Je m'approche de Lucie, m'assoie auprès d'elle et je commence à lui caresser doucement les cuisses en remontant vers son sexe tout en continuant à rigoler aux conneries de Mathieu.

Ses jambes s'écartent doucement, son souffle s'accélère, je sens la moiteur envahir sa culotte et son excitation est difficilement camouflée par son attitude.

Je lui pose un baiser sensuel dans le cou et ma main se faufile sous son haut pour caresser ses énormes seins.

Les trois autres font style de rien, mais ne loupent pas une miette du spectacle qui s'offre à eux.

« Arrête chérie, j'en peu plus, j'ai trop envie de baiser, ce n’est pas le moment là, on a du monde ... » me murmure- t elle à l'oreille entre deux souffles.

- laisse toi faire, on va passer un bon moment, tu vas voir. lui répondis-je.

Vincent, qui occupe la place à sa droite est sur le point d'imploser, je lui fais signe de se lâcher et l'invite à caresser Lucie.

Il ne se fait pas prier et une main sur sa queue au travers le jean, l'autre sur la cuisse de ma femme, il l'embrasse timidement dans le cou lui aussi.

Lucie m'embrasse ardemment et son souffle est de plus en plus rapide.
J'observe les deux autres du coin de l'oeil, ils sont là, bouche bée, la main sur la bite au travers du tissu.
« faites comme chez vous les gars, n'attendez pas que je vous serve » dis-je d'un air taquin.

Ils s'approchent lentement, d'un pas hésitant. Jérôme passe derrière le canapé et s'empare des seins de Lucie et commence à les pétrir. (Il n'a pas l'habitude avec Charlotte son épouse qui n'a quasiment pas de poitrine).

Il se penche sur elle et l'embrasse tendrement.
Lucie lui mordille les lèvres et joue avec sa langue.

Mathieu se met à genoux et glisse ses mains sous la jupe de ma femme qui se soulève pour qu'il puisse lui enlever son string. Il prend un malin plaisir à faire glisser lentement le tissu sur la peau de Lucie, découvrant petit à petit sa chatte rasée de prêt et humide de désir.

Il s'avance vers elle et lui écarte délicatement les cuisses pour atteindre du bout de sa langue le fruit mûr qui s'offre à lui.

Elle soupire et gémie de plaisir à chaque coup de langue, son corps se tortille dans tous les sens.

Vincent est le premier à sortir sa queue bien raide et épaisse, il dirige Lucie pour qu'elle le caresse et le branle, ce qu'elle fait sans se faire prier.

Je tombe mes vêtements à mon tour et je prends une pause pour regarder la scène tout en me masturbant lentement.

Jérôme prend ma place à côté d’elle et lui présente son imposant membre qu’elle agrippe aussitôt, se penche vers l’engin et l’enrobe de ses lèvre délicatement.

Sa bouche est déformée tellement cette bite est large et elle le suce avec difficulté. Mais, en bonne hôtesse, elle s’applique à la tâche pour lui procurer du plaisir.

Mathieu plonge un doigt dans la chatte brulante de Lucie, et s’enfonce toujours plus profondément à chaque va et vient, alors que sa langue ne cesse de lécher son clitoris avec une intensité grandissante. Elle lui agrippe les cheveux et le dirige pour mieux atteindre l’orgasme.

Son excitation est maintenant à son comble, elle pousse Mathieu au sol et s’assoie sur son visage, les deux autres se lèvent et se mettent de part et d’autre pour une fellation commune.

Elle alterne les deux queues, essaye de les happer ensembles, joue avec leurs couilles tout en gémissant.

« Hummm, oh oui, c’est boooonnnn » lance-t-elle de temps en temps.

Je remplie leurs verres pour faire tomber les inhibitions qui pourraient rester, bien qu’ils ne semblent plus du tout intimidés.


J’enjambe Mathieu pour leur proposer leurs boissons et Lucie me tire vers elle par les fesses.

« Viens participer, une queue de plus ne sera pas de trop ! » dit-elle et ma bite se retrouve rapidement au fond de sa gorge.

Vincent et Jérôme se mettent à genoux et agrippent chacun un sein à deux mains pour lui lécher les tétons bandés d’excitation.

«Oh putain, depuis le temps que j’en rêvais de ces gros nichons, c’est encore mieux que dans mes fantasmes ! » me lance Vincent.
Il faut dire qu’il m’en avait souvent parlé au boulot, il me posait toujours plein de questions à ce sujet.

- Lucie chérie ? Tu veux bien faire plaisir à Vincent ? Il rêve de fourrer sa queue entre tes seins pour que tu le branles.
- Avec plaisir mon amour ! Approche Vince ! Ordonna –t-elle.

Il s’exécute et essaye maladroitement de se placer correctement pour sa première branlette espagnole.

«Attends, vient sur le canapé, ce sera plus facile » dit-elle en experte.

Il s’assoie au bord de l’assise et Lucie se place à genoux face à lui. Elle presse les mains de chaque côtés de ses seins qui se resserrent jusqu’à englober totalement la grosse queue qui disparait aussitôt.

Seul le gland violacé de désir ressurgit de temps en temps lors des mouvements qu’assure Lucie.

Les grognements qu’il émet en disent long sur la jouissance qu’il éprouve. Lucie s’amuse à le regarder dans les yeux avec un air de coquin en s’appliquant à maintenir un rythme soutenu jusqu’à ce que Vincent n’en puisse plus et qu’il décharge de grosses giclées de sperme dans son cou.

« Oh ouiiiii c’est bonnnnn, ahhhhhh » hurle mon collègue en basculant sa tête en arrière.

Il se lève et s’en va aux toilettes laissant ma Lucie seule face au canapé.

Seule ? Pas très longtemps ! Jérôme la bascule gentiment en avant, relève son cul et lui enfourne son membre massif aussi sec.


«Tu m’excites trop salope, j’en peux plus, je vais te baiser! » lui dit-il agacé.

S’agrippant aux hanches de ma femme il lui assène des coups de bites profonds et réguliers.

Elle hurle de plaisir et accompagne les mouvements de Jérôme pour mieux le sentir en elle et accélère la cadence.

Mathieu et moi nous plaçons assis sur le dossier du canapé et nous nous faisons branler en savourant le spectacle.

Jérôme se retire soudainement et dans un râle puissant, se vide les couilles sur la croupe de ma Lucie qui s’affaisse aussitôt dépuisement.

Elle suffoque et a du mal à retrouver sa respiration tellement cette baise était intense.

«Tu veux peut être faire une pause mon cœur ? Reste tranquille, je vais servir le repas… » Proposé-je à ma compagne en l’aidant à s’assoir sur le canapé.

Je me dirige vers la cuisine, allume le four pour faire réchauffer les plats et je prépare les couverts.

De légers gémissements perturbent mon travail et je jette un coup d’œil discret dans le salon pour voir ce qu’il s’y passe.

Allongée sur le dos, Mathieu se fait sucer la queue pendant qu’il broute le minou de ma femme en 69. Vincent se tient derrière elle et lui lèche l’anus en se branlant. Quand à Jérôme, il essaye tant bien que mal de peloter ses seins.

La soirée est loin de se terminer on dirait …

Je lance un joyeux « A table ! » et la mêlée se relève doucement pour me rejoindre.

A son regard, je vois bien que Lucie a très faim mais pas trop de nourriture. A vrai dire nous sommes tous pressés de reprendre nos ébats !

Le repas est tout de même englouti et c’est maintenant le moment du dessert.

Sur la table, une tarte aux fraises ne semble pas attirer grand monde, les yeux étant tous rivés sur Lucie qui ne porte qu’une nuisette très transparente.

«Moi je sais ce que je veux comme dessert» lance-t-elle malicieusement.
- Quoi donc mon cœur?» dis-je ironiquement.
- Je vous laisse deviner ! » Répondit-elle en attrapant la bombe de crème chantilly qui reposait sur la table.

« Et vous, vous voulez quoi ? » Rajoute-t-elle en déposant sensuellement de la crème sur ses mamelons tout en plongeant un ou deux doigts dans ta chatte encore chaude.

A ces mots, nous nous précipitons tous vers elle et nos langues ne tardent pas à nettoyer ses seins avec soin et délectation.

Vincent s’empare de la bombe, remet une couche sur les seins de ma douce et s’en étale une bonne quantité sur le gland.

« Ton dessert est servi ma salope ! » dit-il en riant.

Délicatement, elle lèche le membre déjà bien dur et sa langue passe doucement et avec insistance sur le bout de sa queue pour faire disparaitre totalement la crème fouettée et lui donner du plaisir.

Très vite, il ne reste plus de chantilly et nous nous dirigeons vers la salle de bain pour nous débarbouiller un peu. La douche est assez grande pour tous nous recevoir, et les mains ne manquent pas à Lucie pour la laver.

Jérôme se place derrière elle et lui empoigne la poitrine mouillée et glissante par le gel douche que j’ai pris soin de verser sur le corps de Lucie.

Mathieu lui maintient une jambe relevée pendant que Vincent titille son clitoris frénétiquement ce qui la rend folle de plasir.

Elle s’abandonne totalement à toutes ses caresses et nous décidons de poursuivre dans un endroit plus confortable.

A peine secs, nous occupons le lit de la chambre à coucher.

Mathieu s’allonge le premier et Lucie l’escalade et l’embrasse sensuellement. D’une main, elle fait entrer son sexe en elle et entame de lents mouvements de hanches.

Elle plonge alors un doigt dans sa bouche, en tire de la salive et le rentre délicatement dans son cul.

« Je crois que c’est un appel ahahahah, qui veut s’y coller ? » dis-je rieur.

Vincent, certainement le plus vicieux de tous, ne se fait pas prier et se place rapidement derrière elle.

Au vu de ce calibre imposant, je sors de la table de nuit un tube de lubrifiant et le tend à mon camarade. Il étale soigneusement le produit sur l’étroit orifice et sur sa verge épaisse, puis présente son bâton à l’entrée du cul de ma femme.

La queue rentre difficilement et il doit s’y reprendre à plusieurs fois pour arriver à ses fins.
Finalement, le gel aidant, il parvient à s’enfonce de plus en plus profond en elle.

Lucie respire fort, gémie, pousse de petits cris et presse ses seins entre ses doigts assez violemment.

«Oui, oui, oui, encore, oui, oui, oui allez-y, défoncez moi, plus fort, oh Ouiiiiiiii ! » lâche–t-elle sous les coups de bites qu’elle reçoit.

Jérôme se place debout face à elle et lui tend sa grosse queue qu’elle se met à sucer avec voracité, de plus en plus profondément au fond de sa gorge.

D’une main, elle parvient à s’occuper de mon chibre malgré tout et je prends énormément de plaisir de la voir si bien baisée.

Nous passons tous un excellent moment, certainement l’un des meilleurs que chacun de nous a pu vivre auparavant !

Les collègues sont au bord de l’explosion et Lucie décide de changer de position pour leur permettre de garder des réserve, elle n’a pas envie que ça s’arrêter trop vite, elle en veut plus, elle adore le sexe !

Nous nous allongeons donc tous les quatre côte à côte et Lucie nous branle et nous suce en alternance tantôt lentement, tantôt frénétiquement, chacun d’entre nous est comblé par ces mains et cette bouche experte.

Elle se positionne de façon à nous permettre de pouvoir lui glisser quelques doigts dans sa chatte et dans son cul, ce que nous faisons sans nous faire prier!

« Bon les gars, on y retourne ? Mes trous commencent à s’ennuyer, je veux sentir vos bites au plus profond de moi, allez hop! » nous lance-t-elle.

Jérôme se lève, la saisie par la taille, la soulève et elle vient s’empaler sur son membre en poussant un cri de plaisir intense.
Ni une, ni deux, Vincent voyant ce cul se présenter à lui de la sorte, il l’encule aussitôt en accompagnant les mouvements que Jérôme provoque déjà.

« Hummm, c’est trop bon, je suis votre chienne, plus vite, plus fort, ouiiiiiiii, continuez, encore, ouiiiiiiii » s’exclame-t-elle.

Je l’ai rarement vue prendre autant son pied depuis que je la connais et je suis comblé d’avoir pu lui donner l’occasion de vivre cela.

« Oh oui je viens, je viens, plus fort, encore, encore, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii » cri-t-elle.

Et dans un jet de cyprine phénoménal, elle bondit sur le lit totalement exténuée par le plaisir intense qu’elle vient de ressentir.

Je m’approche d’elle, je lui caresse les cheveux en l’embrassant tendrement et lui dit :

- Tu es crevée mon cœur, on va te laisser te reposer si tu veux …
- Tu plaisantes ou quoi ? Je ne vais pas vous laisser dans cet état ! Et puis maintenant que mon corps est réceptif, je ne vais pas refuser d’avoir de multiples orgasmes à répétition non ? Baisez-moi jusqu’à ce que vous ayez tous jouis !

Les quatre avons un moment d’hésitation mais nous décidons de ne va pas décevoir une femme qui le demande !

Très sensuellement nous la couvrons de baisers et de caresses elle se tourne sur le dos et je me place entre ses jambes que je relève sur mes épaules en entrant très facilement en elle. Elle gémie de suite, son point G étant déjà très gonflé et sensible.
Mes va et vient plus rapides la font venir instantanément, la cyprine gicle de plus belle et ses nerfs craquent.

« Mon cœur, je pense que nous allons devoir nous finir à la main, tu as dépassé tes limites, on comprend très bien ! » dis-je
- Je suis vraiment désolée, je voulais tellement vous faire jouir …
- On a tous pris un énorme plaisir, tu plaisantes ! Et puis on peut se finir dans ta bouche si tu veux ? Dis Vincent.

Sur ces paroles, elle se redresse, s’assoie au bord du lit et nous fait signe de nous approcher.
Nous nous branlons face à elle, elle se caresse les seins, ouvre la bouche et nous présente sa langue, suce les bites qui s’approchent de trop prêt et nous regarde suavement dans les yeux.

A tour de rôle et dans une jouissance extrême, nous éjaculons dans sa bouche et sur son visage. Elle prend bien soin de pomper ce qu’il pourrait nous rester dans l’urètre et avale toutes nos semences. Tout le monde s’allonge sur ce lit auprès d’elle avec une sensation d’extase.

Soudain, on entend le téléphone portable de Jérôme sonner dans le salon.

Il se précipite, répond et revient paniqué :

« Putain les gars, elles ont fini, elles arrivent ! »
- Qui ? Demandé-je.
- Ben, t’es con ou quoi ? Nos femmes bordel !

Je pense qu’ils ne se sont jamais habillés aussi vite de leurs vies et quand leurs femmes ont débarquées, on était tous très très mal à l’aise …

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