Série Insolite. Épisode 4 : De Son Dépucelage À La Photo Érotique, « Martine » Se Découvre. Partie 1/3
Née en 1955, Martine était la fille unique dun couple denseignants et fut confiée à Thérèse la voisine, devenue sa nourrice. Durant toute sa prime jeunesse, elle passa beaucoup de temps avec Philippe le dernier fils des voisins, malgré quil ait deux ans de plus, ils étaient inséparables, tels des frères et surs. Étant toujours ensemble, les deux jeunes firent la découverte de leur corps en jouant souvent au docteur. À treize ans, Philippe lui montra les poils qui poussait sur son pubis, Martine intriguée et très curieuse lui avait fait connaitre sa première éjaculation. Deux ans plus tard, alors quelle venait de fêter ses treize ans, elle connut avec lui, sa première masturbation. En retour, elle lui avait fait sa première fellation.
Il faut dire que Martine était bien en avance pour son âge, en 1970 René le grand frère de Philippe, âgé à lépoque de 25 ans avait emmené Martine faire un tour dans sa voiture, elle était fière de se promener avec lui, un garçon qui navait rien à voir avec ses copains de classe. Elle était en admiration devant lui et lorsquil lui avait posé la main sur le haut de sa cuisse tout en conduisant, elle en eut des frissons mais avait aimé ce contact. La voyant peu farouche, il lui dit alors quil était au courant de ce quelle faisait à son jeune frère et voulait bien quelle en fasse de même avec lui.
René lemmena dans les bois loin des regards indiscret et lavait embrassé. Il avait étendu une couverture sur le sol pour sy allonger tous les deux. Martine était aux anges, elle naurait jamais pensé quun homme de son âge pouvait sintéresser à sa jeune personne. Elle se laissa caresser, peloter et lorsquil lavait dénudé, elle était trempée, sous les caresses intimes qui lui avait prodiguées. Elle nhésita pas une seconde à accéder à sa demande, elle le suça de longues minutes avant quil ne la déflore. Même si de ce jour-là, elle nen avait pas gardé un grand souvenir, elle était heureuse dêtre devenue une femme.
Le samedi suivant, elle fit connaitre à son petit copain Philippe la joie de la pénétration, elle ne lui avait jamais dit quelle fut dépucelée trois jours auparavant avec son grand frère. Étant fiancé, elle navait jamais refait lamour avec René et ce fut à son mariage, au printemps 1971 quelle rencontra Alain le photographe. Ce célibataire trentenaire ne lavait pas quitté de toute laprès-midi, il fit dinnombrables photos delle en lui disant quelle était magnifique, quil aimerait la prendre en photo dans son studio. Il lui avait donné rendez-vous, le lundi à la sortie du lycée. Martine ne lavait pas dit à ses parents mais appréhendant de venir seule, elle avait demandé à Joëlle sa copine, de laccompagner.
Alain avait montré aux deux jeunes filles les tirages du mariage quil avait développé, en renouvelant les compliments sur sa beauté et la finesse de son corps. Ce jour-là, il passa une petite heure à la photographier, mais les clichés furent toujours, soit des portraits ou des poses traditionnelles et naturelles. Avant de les raccompagner, il proposa discrètement à Martine de repasser seule en lui faisant miroiter quelle avait une réelle possibilité de devenir célèbre. Dans la semaine, elle en parla à son amie et celle-ci insistait pour quelle tente sa chance, Joëlle aussi la trouvait magnifique.
Martine se décida donc de lappeler pour obtenir un rendez-vous. Ayant de bonnes relations dans le monde du showbiz, Alain lui proposa de faire du mannequinat. Si elle avait tout de suite accepté de faire un press-book et des essais, elle devait le dire à ses parents. Malheureusement, son père lui interdit de revoir ce type pour le moment, elle devait passer son Bac avant toute chose. Martine avait désobéi, sans laccord de ses parents, elle alla à la sortie du lycée, retrouver Alain dans son studio. Avec son joli visage, son 1,75 pour 56 kg, ses mensurations presquidéales 90-63-92, Martine pouvait espérer devenir mannequin.
Ce fut le début dune belle histoire damour. Alain fut tendre et doux, à la fin de la première séance intime où il avait pris ses mensurations, Martine fit le premier pas en lenlaçant et en lembrassant à pleine bouche. Après des préliminaires très longs, il lavait longuement possédée avec beaucoup de délicatesse et de passion. Elle avait rompu toute relation avec Philippe qui avait dautres copines, Alain venait tous les soirs la chercher à la sortie du lycée et lemmenait au studio où ils vécurent librement, pendant quatre mois leur amour.
Son press-book terminé, Alain avait pris contact avec des agences mais aucune de celles-ci lavait choisie, prétextant toutes, que sa poitrine était un tout petit peu, trop volumineuse. Si son 90C plaisait aux hommes, il nen était pas de même pour la haute couture. Martine en fut très déçue, son rêve de se voir un jour porter de très belles tenues de grandes marques, dans des somptueux défilés de mode, tombait à leau. Elle mit plusieurs mois à sen remettre, surtout quen février 1973, elle perdit ses parents dans un tragique accident de voiture. Nétant pas majeure, elle dut quitter sa région pour aller vivre chez son oncle à Bordeaux.
Elle avait tout perdu en quelques mois, ses rêves, ses parents et son amour. Martine vécut un peu comme un zombie pendant presque deux ans, ce qui ne lavait pas empêchée dobtenir enfin son Bac. Elle avait entretenu une correspondance écrite avec sa nourrice Thérèse et surtout avec son chéri Alain, néanmoins il ne lui répondait plus aussi souvent quau début. Par chance, le gouvernement avait abaissé lâge de la majorité, en été 1975 elle était revenu chez Thérèse, Philippe sétait fiancé et elle navait pas manqué loccasion daller revoir son photographe. Elle eut une nouvelle désillusion lorsquelle avait appris que celui-ci était marié.
Cependant, désirant reprendre des séances photos, Alain lui donna rendez-vous où elle avait fait la connaissance de Cindy la jeune mariée et de Pierre son beau-père, spécialisé dans le domaine de la mode.
Dans la chambre, Pierre lui avait demandé de reprendre quelques poses en déshabillé, elle savait au fond delle-même quil avait envie delle. Cependant cétait réciproque, ce sexagénaire lattirait beaucoup malgré lénorme différence dâge. Il sétait dévêtu et se plaça derrière elle, debout devant le divan, il embrassa ses épaules et son cou, elle releva légèrement ses fesses et sentis rapidement son sexe contre elle. Machinalement elle écarta les cuisses, elle sentit son gland glisser dans sa raie, elle frissonna, son sexe avait lair énorme. Sans aucun préliminaire, sans aucun baiser non plus, Pierre la saisit par les hanches et la fit se pencher en avant.
Les avant-bras de Martine reposant sur le canapé la tête plongée sur les coussins, elle offrait son fessier à son partenaire. Le grand et épais pénis de Pierre la pénétra lentement, tellement il était gros que cétait pour elle, qui navait pas fait lamour depuis longtemps, comme une première fois. Sa verge remplissait entièrement sa petite chatte mouillée et étroite. Jamais elle navait ressenti une telle sensation. Penché sur elle, il commença par de lents vas-et-viens tout en lui chuchotant à loreille :
Tu es à moi ma jolie ! Bientôt tu ne pourras plus te passer de ma queue. Je ferai de toi ma petite salope.
Martine ne comprenait le sens de ses propos, tous les hommes traitaient leur partenaire de salope, elle était tellement en effervescence que la situation et ses mots lexcitaient encore plus.
Elle voyait enfin ce sexe qui lavait fait jouir, ce phallus était digne dun grand black, elle regardait avec attention le gourdin de Pierre prêt à exploser sa semence. Devant ses yeux, il se masturbait lentement au-dessus de sa poitrine et continuait inlassablement. Martine reçut soudain le premier jet de sperme sur son menton, elle ouvrit la bouche et la seconde saccade vint sétaler sur sa langue. Puis il jouit abondamment entre ses seins quelle massait avec la semence, avant de déposer ses doigts dans sa bouche. Pierre approcha sa grosse verge vers le visage de Martine afin que celle-ci lavale entre ses lèvres pour lui lécher le surplus de sperme.
Elle passa une nuit magique, ce sexagénaire était un dieu, il lavait fait jouir comme jamais. Toute la semaine, elle vécut avec lui ce quelle navait jamais connu auparavant. Le plus difficile, ce fut la sodomie, mais après de longues préparations intimes, elle fut comblée, son orgasme fut inimaginable lorsquil lui avait dépuceler sa rondelle étoilée. Pierre avait tenu ses promesses, dès la semaine suivante, il lui demanda de passer chez lui, il avait son premier contrat. Si la haute couture ne voulait pas delle, cet homme lui avait trouvé une entreprise de vente à distance qui lengagea comme mannequin.
À partir de ce jour, tout senchaîna très vite, elle obtint de nombreux autres contrats, avec des marques de prêt-à-porter, principalement des sous-vêtements. Puis bientôt des marques de renom sintéressèrent à elle, Martine portait avec grâce aussi bien des robes de mariée que les collections dété ou dhivers de ces différentes marques. Pendant deux ans, elle fut sur les quatre chemins, en studios ou salons, elle navait plus beaucoup de temps à elle. Pierre était son agent, il était follement amoureux de sa jeune princesse mais en voulait plus, il lui avait dit que ses formes la rendaient pulpeuse et lui conseilla : « Tu devrais faire des photos érotiques. » Elle était tellement sous sa coupe professionnellement, quelle ne put refuser sa proposition.
En 1977, Pierre téléphona à plusieurs de ses amis et avait obtenu un rendez-vous. Il lavait emmené à Paris dans le studio du photographe et lavait laissé seule en lui disant : « Fais exactement ce quil te dit et surtout tu lui obéis, Raoul est un véritable ami. » Ce jour-là, ce professionnel de la photo érotique lui avait fait enfiler ses sous-vêtements et linvita à prendre des poses lascives, et sensuelles. Rapidement Martine se prêta au jeu, jouant avec l'objectif. Les f1ashs crépitaient de toute part sous le déclencheur, la jeune fille samusait, cela lui plaisait beaucoup, elle était prête à faire nimporte quoi pour son mentor. Raoul lui dit alors d'aller un peu plus loin et de retirer ses sous-vêtements.
Cela lavait gênée, cependant ne désirant pas avoir des reproches de la part de son homme, elle sexécuta. Nue devant lui, elle reprenait ses poses lascives, Raoul tournant autour delle avec son appareil. Au départ, il lui demanda de cacher ses seins et son sexe avec ses mains puis rapidement, elle exposait toute son intimité à lobjectif pendant quil l'encourageait. La séance toucha à sa fin, il avait suffisamment de clichés. Il lavait prise dans ses bras, lui déposa une bise sur les lèvres avant de lembrasser. Elle eut un moment de recul mais celui-ci insista :
Pierre a dû te dire que si tu veux réussir il faut en passer par là, cest la vie ma petite chérie. Tu mas bien fait bander. Suce-moi !
Martine ne savait pas quoi penser, elle navait pas peur de faire des fellations, au contraire elle appréciait beaucoup mais elle ne savait pas si cela allait plaire à Pierre mais en repensant à ce quil lui avait dit « obéis-lui » Elle saccroupit défit son pantalon et le suça et le branla avec une grande application. Sa gorge profonde fit très vite son effet, il éjacula au fond de sa bouche en la remerciant. Fière de sa séance, elle en fit part à Pierre qui la gifla en linsultant, très jaloux celui-ci la jeta dehors et rompit en cachette tous les contrats quelle avait en cours.
Retournée chez elle où elle avait hérité de la maison de ses parents, elle navait plus de travail. En quelques mois elle avait pris un peu de poids et sa poitrine était passée au 95C, ce qui plaisait beaucoup à son médecin traitant. Martine qui ne pouvait pas se passer de sexe, avec Pierre elle avait compris quelle affectionnait les hommes dun âge mûr et ce docteur de 55 ans ne tarda pas à se retrouver dans le lit de sa patiente. En parlant avec lui qui connaissait ce quelle faisait et avec le corps quelle avait, il lui conseilla également de se tourner vers les photos érotiques.
Alain qui lavait aimé, avait appris ce qui sétait passé avec son beau-père, il lui avait obtenu un rendez-vous avec un professionnel, quelle alla rencontrer dans la foulée. Hubert était un homme de 50 ans, petit et trapu. Il navait vraiment rien du play-boy. Martine lorsquelle lavait vu, avait eu envie de repartir tellement il lui faisait peur. Après quelques paroles et ses explications, elle comprit quil était très professionnel et ne pensait plus à lui. Heureusement, il avait pour lui, une belle voix, il donnait les informations et la jeune fille sexécutait. En sous-vêtements très coquins, pendant plus de trente minutes, elle lécoutait et fit de nombreuses poses subjectives et très sensuelles dont elle avait pris lhabitude de faire.
Hubert commença une nouvelle série sur le canapé, ne faisant pas exactement ce quil voulait, il sétait approché delle et en haussant le ton, il lui dit sèchement : « Je veux que tu poses ta main là sur ta cuisse comme ça et lautre sur ta poitrine comme ceci. » Tout ça en prenant ses mains et les posant sur son corps. Martine fut très impressionnée, elle nétait plus très à laise. À chaque pose il venait prendre ses mains et les posait au meilleur endroit pour la rendre plus photogénique. En même temps, il en profitait pour la toucher, aussi bien les seins que les cuisses et ses mains étaient si douces que Martine appréciait.
Elle, si dominatrice avec son amant le docteur, se sentit toute petite avec Hubert qui la dominait. Elle nosait pas le contredire, elle avait peur quil la dispute, elle se croyait revenir dix ans en arrière, surtout quil sen était aperçu. Toute la détermination, toute son expérience et ses propos à la limite de lagressivité impressionnaient la jeune femme. Il se prenait pour Dieu, elle se sentait très mal, elle avait honte car elle était très excitée, cet homme avait pris le dessus, il la faisait mouiller sa petite culotte. Ses mains étaient de plus en plus présentes sur son corps. Il devenait de plus en plus exigeant.
La séance se termina alors que Martine était adossée contre le mur, debout, un pied posé sur une chaise, une main dans ses cheveux, lautre le long de ses cuisses, le regard provoquant lobjectif, la bouche entrouverte. Il sapprocha delle, posa ses mains sur ses hanches et lui dit :
Tu es super ! Une vraie petite cochonne. Je veux te revoir la semaine prochaine.
Pour le moment, il neut pas de résultats, cependant Hubert ne perdait pas espoir, il lui soutenait que cela allait venir. Plus les séances passaient, plus les poses devenaient érotiques, il la forçait à se caresser, la main dans sa petite culotte et lautre triturant son téton, tout ceci devant lobjectif. Lorsque Martine sy prenait mal, il prenait son doigt dans sa main et lui montrait comment faire, avant de reprendre son appareil photo. Puis il lavait carrément masturbée, jusquà ce quelle jouisse sur ses doigts.
Suce-moi maintenant ! Dit-il en enlevant son pantalon.
« Décidément, les photographes sont tous les mêmes » se disait-elle, Elle était tellement impressionnée par cet homme mais en même temps excitée quelle navait esquissé aucun refus et lavait sucé, léché, aspiré jusquau moment où il la coucha à plat ventre sur laccoudoir du divan et la sodomisa avec force, la prenant sauvagement par derrière. Elle en était à le détester, cependant elle avait pris son pied : « Il faut fêter ça Marty ! » Lui avait-il dit avec un large sourire. En effet, elle était heureuse dapprendre que certaines de ses photos allaient paraitre dans le magazine de charme masculin à la mode, Hubert lui avait fait signer un contrat dexclusivité, trois semaines plus tard.
Je continuerai à vous raconter la suite mercredi dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Martine, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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