Mon Beau-Fils
Jai eu loccasion il y a quelques années de vivre une expérience extraordinaire que toute femme a rêvé de rencontrer au moins une fois dans sa vie. Jai fait lamour avec un petit jeunot, juste majeur certes, mais de 15 ans mon cadet.
Et ce nétait pas nimporte qui
Javais alors 36 ans et mon deuxième mari, 42 ans à ce moment-là, avait lui, deux s de son premier mariage. Deux beaux garçons âgés alors de 20 ans et de 15 ans. Laîné, Raphael est vraiment un très, très beau garçon, brun, les yeux bleus dazur, des cheveux un peu frisés et très fournis et un visage fin régulier, fait à peindre. Il est très mignon et en même temps très viril.
Depuis 2 ans déjà je sentais bien que je ne lui étais pas indifférente. Par exemple, lorsque je servais à table et que je passais un plat par dessus son épaule, j'ai senti à plusieurs reprises que si mon sein le frôlait, il remontait à cet instant son épaule Elle se dressait légèrement, se faisait plus ferme et appuyait davantage sur mon sein
j'en étais à chaque fois très troublée
Javais également remarqué sur cette même période quil me regardait à la dérobée, alors quil était censé lire un livre ou un magazine, je voyais son regard filer juste au-dessus du livre et me regarder longuement
Un soir, je lai aussi surpris en train de mater par le faible entrebâillement de la porte de salle de bain pendant que je faisais ma toilette. Je le voyais dans la glace ; jai fait celle qui ne le voyait pas
Il faut dire ce beau garçon allait sur ses dix-neuf ans et ses hormones devait tout naturellement le travailler
Une fois encore, à un moment où je desservais la table après le repas, je me suis penchée pour attr ce quil y avait sur la table. Jai senti son coude appuyer fortement sur le haut de mes cuisses et sur mon pubis et le frotter quelques fractions de secondes. Ce nétait rien certes, mais cela a suffi à déclencher chez moi un violent émoi qui ma fait chavirer.
Comme chaque année, nous partons pour les vacances dans notre maison en Corrèze. Un jour, lors de ces vacances où Raphael venait davoir 20 ans, il y maintenant quelques années, un concours de circonstances a précipité les choses dans un sens que je ne prévoyais même pas. En effet, si mes sens étaient attirés par ce beau garçon, ma raison elle, servait de garde-fou et il ny avait aucun danger que je me mette à imaginer quoique ce soit.
Mais nous allons le voir, les choses ne dépendaient pas de moi seule.
Ce jour là donc, c'était deux ou trois jours avant le 15 août. Il me fallait aller chercher une pièce à Tulle, suite à une panne dun aspirateur dont je ne pouvais me passer. Raphaël avait demandé à maccompagner pour pouvoir passer à la bibliothèque et changer ses livres pendant que jallais récupérer la pièce. Nous sommes donc partis à bord de la voiture, moi conduisant et lui à côté. Nous parlions de choses et dautres, de ses études, de ses projets
Durant le trajet, assez long car notre maison de vacances est au fin fond de la Corrèze, je me surpris à glisser mon regard à plusieurs reprises, sur le haut du pantalon clair de Raphael. Certes, celui-ci était bien évidemment renflé à cet endroit, quoi de plus normal dans cette position assise du garçon ! Pourtant lorsque je pris conscience que mon regard se portait de lui-même sur cette partie de mon beau-fils, je me fustigeais intérieurement en disant que ce nétait pas seulement, fort peu convenable, mais aussi très mal pour mon mari qui me faisait une si grande confiance
Il faut dire à ma décharge et sans vouloir me justifier à lexcès, que ces derniers jours je fantasmais un peu plus : mon mari étant absent depuis plus de 10 jours maintenant il ne viendrait que pour le long weekend du 15 août jétais donc en manque.
Il faisait lourd en ce début daprès-midi daoût. Malgré les vitres ouvertes de la voiture, la chaleur sengouffrait sous ma petite robe dété et remontait entre mes jambes. Malgré moi, je sentais que je mouillais très fort entre mes cuisses. Et je pensais que mon petit string était sans doute pas mal imbibé de ma liqueur !
Nous arrivâmes à Tulle dans la pleine chaleur de laprès-midi. Je laissais Raphael à la bibliothèque et je filais dans la zone commerciale pour acheter la pièce pour la réparation
Au passage lun des vendeurs de la boîte où je me rendais, sentant peut-être que jaurais pu être disponible, me fit une drague appuyée, allant jusquà me proposer une petite pause à lhôtel 1ère Classe en face
Jen ai rigolé une minute, pour ne pas paraître trop collet-monté, mais cet épisode vous pensez bien, navait pas arrangé mon état et cest un tantinet plus sûre de moi et quelque peu rassurée sur ma séduction que jallais récupérer mon beau-fils à la bibliothèque. Il devait être un peu plus de 15 heures
Comme il faisait très chaud, je propose alors à Raphaël de faire un arrêt à la terrasse dun petit bistro pour prendre un rafraîchissement avant de reprendre la route. Il accepte volontiers et nous arrêtons à la sortie de Tulle, le temps de boire une menthe à leau et une orangeade
Là, la proximité du garçon mexcite énormément ; tandis que nous sirotons notre rafraîchissement, me reviennent en boucle les compliments quelque peu déplacés du commerçant. Je lentends encore me dire dun ton gourmand :
-"Oh lala, quelle chaleur, ça nous colle sur tout le corps
Pas à vous, chère madame ? " Je me surpris à répondre :
-" Ah, oui alors !, sur tout le corps, vous avez raison !
" Je sentais le regard du type sur ma poitrine à linstant même où je remarquais quun filet de sueur me roulait entre les seins.
- Hummm
, avec un corps comme le vôtre et une chaleur comme aujourdhui, cest un crime de soccuper de passer laspirateur !! Il me semble quil y aurait des choses plus essentielles à faire
"
- "Ah, oui ?, mentendais-je répondre, et à quoi par exemple ?... "
-" Une sieste, une bonne sieste
! Ça ne vous tenterez pas ?? "
-" Peut-être, oui ; mais ça dépend pourquoi ?... Et avec qui ?... "
Je ne sais plus ce que le gars avait répondu, mais le mal était fait, je sentais ma fente fondre et couler dans mon string. Je suis sortie de la boutique trempée
Et là maintenant, impossible de dégager mon regard du pantalon du jeune homme assis de trois-quarts près de moi. Surtout que, fantasme ou non, jai limpression que Raphaël bande tant son pantalon est gonflé, beaucoup plus me semble-t-il, quil y a une heure dans la voiture. Ces regards narrangent rien pour lhumidité de mon intimité. Je prétexte alors un passage aux toilettes avant de repartir. Plus que lenvie dun petit pipi, cest surtout pour me rassurer sur létat de mon slip. En effet, celui-ci savère tellement mouillé que je crains un moment quil ne laisse passer une trace humide sur ma robe. Cela peut paraître exagéré, mais cest déjà très limite. Aussi je trouve préférable de lenlever de le mettre dans mon sac. (Photo 1)
Par contre je nen ai pas de rechange et le déplore. Jestime rapidement la déconvenue, mais tant pis je préfère ne rien mettre que de laisser paraître une trace sur ma robe. Le rapide coup dil que je jette à ma fente épilée depuis la veille ne me rassure pas : elle est gonflée de désirs rentrés. Dentre les lèvres je vois distinctement que mon petit bouton damour est tendu et rouge de confusion. Je résiste pourtant à la forte envie que jaie de le branler et de me faire un plaisir furtif, pensant au trajet qui nous attend encore
Nous repartons.
Je nen peux plus. Ce nest pas possible ! Je me dis que je suis une salope : à 36 ans, ne pas pouvoir davantage maîtriser ses pulsions, cest lamentable ! Oui, cest lamentable, mais il nempêche, là maintenant il faudrait que je me branle un bon coup, tant jai envie !
Je me prends à regretter de ne pas lavoir fait tout à lheure dans les toilettes, je serai peut-être plus tranquille maintenant
Je ralentis tant il devient difficile de conduire et de fixer mon attention. Surtout que passé Clergoux et les étangs, la route devient très sinueuse et traverse une zone forestière épaisse où lair, déjà pesant ne circule pas
Et voilà quen face monte un orage qui savère comme toujours dans la région, violent et impressionnant. Déjà les premiers éclairs zèbrent les portions de ciel entre les arbres. Les premiers grondements du tonnerre nous arrivent dessus
Raphaël sort de sa torpeur :
- "Eh bien voilà un orage maintenant ! Surtout que les orages ici, cest autre chose quen ville ! On a limpression dêtre dans lapocalypse ! "
- "Oui, tu as raison, cest très impressionnant dans ces forêts de sapins et de hêtres ! Dautant que cela peut avoir un côté dangereux
".
Je navais pas fini ma phrase quune énorme boule de feu traverse la route à 50 mètres devant nous entraînant avec elle toute la cime dun arbre qui seffondre sur la route. Je freine à mort. A ma droite un petit chemin forestier, jy engage la voiture. Mais je réalise que nous sommes toujours entourés darbres et dans la voiture et que cest très dangereux. La peur métreint. Non dêtre touchés par la foudre, mais que nous risquons dêtre frappés par la chute darbres ou de grosses branches
- "Là, à droite ! crie Raphaël en séjectant de la voiture. Là, viens, me crie-t-il, il y a un petit hangar dans la clairière à droite ! "
Il pleut à verse. En effet à travers la pluie qui tombe en trombes, je distingue à 30 mètres dans un petit dégagement darbres, une grange. Un abri providentiel
Le temps de courir à la suite de Raphaël qui détale devant moi et jarrive trempée de la tête aux pieds dans la soupente de lentrée de la grange. Lorage redouble. Il fait presque nuit. Les phares de la voiture restés allumés, transpercent les rideaux de pluie.
Nous nous regardons : nous sommes trempés tous les deux
- "Ouf, dis-je. Nous sommes trempés, mais à labri ! Il était temps !! "
- "Si lon peut dire !!, relance Raphaël en riant. "
Je vois quil est lui aussi trempé. Trente mètres sous un déluge deau et son T-shirt bleu pâle, moule de façon parfaite son joli torse viril. Son pantalon beige laisse voir à travers, son slip bleu-marine que je connais bien pour le laver régulièrement. La forme de son sexe long et dressé est bien visible ; un peu courbé vers la droite. Cest sûr quil a au moins un début dérection. Je détourne le regard, gênée parce que trop excitée...
Je me regarde, ma robe colle à ma peau, comme si jétais allée avec elle sous la douche ! Mon soutien-gorge, déjà très transparent, est maintenant complètement estompé et lon doit voir mes seins comme si jétais nue
Mes cheveux mi- longs continuent de dégouliner et de goutter sur mes épaules entretenant lhumidité de la robe légère qui colle à mes formes. Je me penche et je maperçois que lon devine bien mon pubis nu sous ma robe. Evidemment nayant plus de culotte, le tissu adhère à toutes mes formes et les laisse voir, comme sans voiles
Je remarque le regard stupéfait de Raphaël découvrant que je suis nue, ou presque, sous ma robe. Pour se donner une contenance, il enlève son T-shirt et le tord pour lessorer, avec un demi-sourire
Il fait de même avec son pantalon quil a retiré. Il est là devant moi, en slip qui lui moule les formes à lui aussi. Enfin il me dit dun ton où perce un peu de remontrance :
- "Mais enlève ça !.., tu ne vas rester comme ça ! " Je ne sais que faire
Jhésite.
Il insiste :
- "Ben quoi, enlève ça, tu vas prendre froid si tu gardes ça coller sur toi ! " Je reste toujours figée sur place incapable dun seul mouvement
Pour toute réponse, je me mets à claquer des dents de façon nerveuse et irrépressible. Un de ces claquements de dents, dont on ne sait doù ils viennent et pourquoi on les att
En même temps un terrible tremblement magite de la tête aux pieds.
- "Tu vois, me dit-il, ça y est, tu as froid !... Enlève ça je tdis !! " Je suis toujours tétanisée, incapable de la moindre réaction, autres que les tremblements et les claquements de dents. Voyant que je ne fais rien de ce quil me dit, il vient à moi et commence à enlever ma robe par le bas, il la retrousse doucement, avec une infinie délicatesse, presque avec amour.
- "Tu es toujours comme ça ? Tu ne mets jamais de culotte ?! " Je ne sais que répondre, et de toute façon, mes claquements de dents men rendent bien incapable
Lorsquil arrive aux épaules et quil se colle à moi pour faire passer ma robe au-dessus de ma tête, je sens son torse me toucher lépaule et son sexe appuie sur ma hanche. Je manque de défaillir. Il me ratt dans ses bras ; il me donne un long baiser qui stoppe mon claquement de dents. Nos langues se mêlent et senlacent nos corps se frottent. Il bande très fort maintenant je le sens. Les roulements du tonnerre sont tout proches. Les éclairs nous entourent et donnent à la scène une ambiance surréaliste.
Linstant daprès, je suis dans ses bras, face à lui. Il dégrafe mon soutien-gorge dans mon dos, libérant mes seins quil prend en bouche alternativement, lun puis lautre. Je suis vaincue me laissant aller à ses caresses. Son sexe appuie sur mon ventre.
Sa main descend sur mon pubis, simmisce entre les lèvres. Un doigt, puis deux sinsinuent dans la fente et sont tout de suite dans le trou. Je fléchis les jambes pour permettre à ma fente de sécarter, libérant laccès à la caresse. Dune main je me retiens à ses larges épaules de jeune homme, de lautre je baisse doucement son slip et je libère alors une bite merveilleuse de longueur et de soyeux. Ma main descend jusquaux couilles quelle recueille en corbeille, les caressant avec douceur
Je mouille. Il le sent. Sa main dans ma fente se fait plus précise et plus profonde. Il membrasse la bouche avec fougue ; je lui rends son baiser, aussi fort aussi grave, aussi puissant. Le tonnerre gronde et nous assaille de toute part. Je ny tiens plus. Jai une envie folle quil me baise !...
De ma main gauche, prenant appui sur son épaule, je me soulève et enlaçant une de mes jambes autour de la sienne, je porte le bout de son braquemart entre les lèvres de mon con très ouvert. Le gland est fort, large et robuste. Je me le passe sur le haut de la fente et men branle le bouton un instant.
Je commence à ahaner et à lui donner du : "chéri " ; du : "là
, comme ça, cest bon
, passe le moi bien dans la fente
". Je suis chamboulée damour et de désir
Mes seins sont maintenant à hauteur de ses lèvres, il les embrasse, les suce, les mordille, fait jouer la pointe des tétons sur sa langue et moi je mouille comme une folle. Je ne sais plus qui je suis, où je suis, ce que je fais, avec qui, je suis à mon plaisir. Toute à mon plaisir. Je lui susurre à loreille :
- "Mon chéri, mon grand chéri
Jen avais tant envie ?!... Là, branle-moi bien, comme ça, cest bon
Chéri, tu vas me prendre maintenant, je ten supplie juste une fois, une seule fois, cest promis
Mais baise-moi sil te plaît
Jen peux plus
il le faut
"
Et là, il maide à enfoncer son membre hyper bandé dans le fond de mon trou de femme. Sa jeune bite y entre avec une telle facilité ; je ly accueille avec une telle délectation !
Il va et vient doucement puis se met à accélérer vivement. Trop vite à mon goût. (Photo 2).
- "Chéri, doucement
Fais doucement
, ne va trop vite que je te sente bien
reste un peu
, ne vient pas trop vite
" Il pousse doucement, bien à fond. Cest profond et cest bon
Dieu que cest bon ! Il me pénètre bien. Il est gros. Il me remplit. Au point que je navais plus le souvenir dêtre ainsi baisée bien à fond par une jeune bite, grosse et vigoureuse à la fois
Dailleurs à y réfléchir je nai jamais été prise par un beau membre de 20 ans. Un seul copain de mon âge ma baisée alors que javais 18 ans, mais fort mal et avec un sexe dont on ne parlera pas
Je suis au septième ciel, mais je ne veux pas quil décharge en moi
Non, surtout pas ! Encore deux allers-retours ; trois au plus et, prenant appui sur ses épaules, je me soulève et me désenconne de la verge dressée
Je me laisse glisser sur la terre battue de lentrée de la grange, lentraînant avec moi sur le sol
Je me retourne prestement le chevauchant en soixante-neuf ; je prends en bouche son gros membre encore mouillé et glissant et de mes sécrétions secrètes
(Photo 3).
Oh, oui que cest bon cette jeune virilité qui me remplit la bouche après le con !
Je me pâme daise et de jouissance. Habillement, il a remplacé sa bite par 3 doigts qui me pénètrent très en profondeur et me branlent le point G
Je sens des flots de cyprine qui me giclent du con et inondent sa main puis son torse
La pression de la bite augmente dans ma bouche. La verge merveilleuse enfle encore et brusquement, avec de multiples soubresauts, elle éclate sur ma langue, minonde le palais dune saveur chaude et salée
Je reçois sa jeune décharge avec une suprême satisfaction, qui marque un complet aboutissement de mes sens
Nous restons un long moment coller ainsi lun à lautre. A deux pas de nous la pluie redouble. Nos corps nus et repus reçoivent les embruns humides des goutes qui éclatent juste à côté sur le sol. Puis, il vient se mettre sur moi et me baise la bouche avec une passion et une avidité qui, le moment de délice passé, meffraient un peu
- "Pardon ma bellemaman chérie
Pardon, mais jen avais trop envie depuis tellement longtemps
Je te demande pardon
"
- "Non, cest moi mon chéri, cest moi qui te demande pardon davoir cédé à mes envies folles à moi aussi. Je suis morte de honte
Mais tu mas fait tellement, tellement de bien, chéri
Quaprès cela, tu sais, rien dautre ne peut exister pour moi
"
Cest vrai, à cet instant javais une terrible honte de moi
Faire lamour avec un gamin que jai connu pré-ado, et que jai élevé pendant près de 10 ans
Personne ne peut imaginer le sentiment de honte que cela provoque
Et pourtant, je ne parviens pas à me culpabiliser tant ces moments ont été intenses et désirés
Nous nous sommes relevés encore hébétés de la situation
La pluie a un peu faibli et nous regagnons la voiture lentement, la main dans la main comme deux jeunes amoureux. Nous ne sentons plus la pluie qui glisse sur nous et semble ne pas nous mouiller
Arrivés à la voiture, nous prenons le temps de nous essuyer avec deux ou trois chiffons, disposons sur les sièges le peu de vêtements secs qui nous restent : un pull, un vieux gilet, une tenue de jogging qui traîne dans le fond du coffre, et nous repartons, nus, sous lorage finissant
Pendant la demi-heure de trajet qui suit, nous néchangeons pas un mot. Seulement des regards et des sourires apaisés. Je sens quil regarde mes seins quil a si longtemps convoités. Il regarde aussi mon pubis dont la petite touffe restée au-dessus, est encore mouillée des liqueurs de nos ébats. Moi, je jette des regards furtifs, mais appuyés à son sexe plus flasque, mais encore long et beau qui retombe sur sa cuisse
Jen éprouve des frissons qui me donnent la chair de poule. Juste avant le dernier village, je marrête. Nous renfilons nos vêtements mouillés et froids, qui collent de partout.
Trois minutes et nous arrivons à la maison. Etienne le cadet de 15 ans est encore chez ses copains. Tant mieux. Nous filons à la douche. Nous nous frictionnons ensemble. La douche est chaude ; ça fait du bien
Je le branle de nouveau et je le suce
(Photo 4). Puis, il fait de même avec moi alors que je suis debout et quil mécarte les jambes. Sa langue est bonne et subtile. Je jouis encore une belle fois. Il me baise en levrette en me faisant mappuyer sur le lavabo
(Photo 5).
Cest bon parce quil est puissant et sa queue me pénètre profondément, mais dans ma tête ce nest plus la même chose. Le charme est rompu et là maintenant, jai limpression dêtre une vieille salope qui se fait baiser par un gamin
" SON " gamin ce qui plus est !
Nous navons jamais plus fait lamour après ce jour.
Parfois des effleurements, des contacts retenus et furtifs, mais jamais plus loin et toujours en société. Par contre, je me masturbe souvent et jusquà lorgasme, en pensant à cette escapade merveilleuse
Il marrive je lavoue, de penser fortement à Raphaël, même quand cest son père qui me fait lamour
Et cest vrai que de penser à lui, à la situation dorage, à son sexe magnifique, ma jouissance sen trouve décuplée
Même si je suis heureuse davoir vécu ce moment extrêmement fort dans la vie dune femme et sans doute enviée de toute femme, je suis encore à ce jour, à cette heure même, en vous faisant ce récit, très culpabilisée davoir fait ça...
Et vous savez quoi ? Je vais vous dire : une femme de 36 ans ne devrait pas se laisser aller avec un jeune homme dà peine 20 ans, si beau soit-il et si proche soit-il !! Certes, on en retire un grand plaisir sur le moment, mais à termes, cest une souffrance ; une grande souffrance
Angéla M.
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