René Et Paul

Je suis mariée à René. Nous avons Paul, un ami qui parfois vient nous voir quand il est à Paris. Depuis que je connais Paul, avec René, nous faisons l'amour en trio. Ça s'est fait naturellement, un jour en sortant de la piscine que nous possédons dans notre villa du midi. Nous nous baignions nus, en nageant je voyais le sexe de Paul devenir de plus en plus gros. Il m'excitait. C'est mon mari qui le voyant bander lui proposait de me partager. Je n'avais rien contre, il me plaisais suffisamment pour baiser avec lui. René m'embrassait, attirait Paul qui ne demandait pas mieux de me faire l'amour. Quand Paul venait sur moi je regardais mon mari qui se branlait. Quand René venait me baiser c'était Paul qui se branlait. Depuis ces jours ils se branlent l'un devant l'autre sans pudeur: ça les excite et me donne souvent envie de faire comme eux.
Aujourd'hui Paul est chez nous. René l'invite au restaurant et me demande de m'habiller en conséquence. Je sais ce qu'il veut dire. Au retour nous nous installons devant le feu de la cheminée. Je ne sais pourquoi la conversation tourne autour du strip-tease. René affirme que je suis la championne de cet art. En réalité je suis totalement novice. Il met une musique de circonstance, allume les bougies, éteint les autres lumière. Je commence par me trémousser en remuant les fesses. Je soulève ma jupe: ils peuvent voir que je suis nue, mis à par les bas noirs et d'un porte jarretelles. Ils sont excités, sortent leurs queues et se branle, René agite sa main en cadence avec la musique, René va plus vite. Je rabaisse ma jupe, j'ouvre un bouton de ma veste, ils peuvent voir que j'ai également les seins nus. J'enlève la veste, fait tomber la jupe. Je suis plus que nue avec mes bas et mon porte jarretelles. Ils voudraient me baiser aussitôt Je les
calme: je veux qu'ils jouissent devant moi pendant que je me branle devant eux. René enlève son pantalon et son boxer. Paul l'imite. Je vois ces deux bites bien droites dont le but est mon sexe ou mon anus.

Je refuse toujours qu'il s'approche. Ils prennent leur pine ente les mains et recommencent à se branler. Je suis trop excitée pour rester immobile à le regarder: j'écarte mes cuisses juste ce qu'il faut pour caresser mon clitoris. Je veux absolument qu'ils se fassent jouir et que leur sperme aille s'égarer n'importe où sauf sur moi. Le sperme de Paul gicle sur son torse, et celui de René sur le feu de la cheminée qui grésille un moment.
Je leur demande d'attendre que je les appelle pour venir dans la chambre. J'enlève mes bas et la ceinture. Je suis nue, me couche les jambes bien ouvertes. Je me suis mis un bandeau sur les yeux. Je les appelle. Quand ils rentrent ils me voient, me masturbant. Je meurs d'envie des deux bites. Je leur demande de ne pas parler, ni me caresser, sinon je les reconnaîtrais Je veux qu'ils fassent ce qu'il ferait à une fille qu'il ne connaissent pas. Je reçois une première queue qui me semble être celle de mon mari. Il me lime jusqu'à ce que je jouisse, ce qui n'est pas une performance dans l'était où je suis. J'ai une autre bite qui rentre: je crois que c'est celle de Paul: elle me semble plus grosse. Ils me tournent sur le ventre. Une main prend me cyprine pour l'étaler sur mon cul. Je tends mes fesses quand je sens une queue venir me sodomiser. Je crois que c'est mon mari. J'en suis presque sure quand il me l'enfonce et va et vient. Je crois reconnaître sa manière. Dès qu'il jouit, il laisse la place à l'autre. Ce n'est pas la même façon d'enculer, avec plus de délicatesse: ce doit être Paul. Ces deux zèbres m'ont fait jouir je ne sais combien de fois à chaque baise.
La pine dans me cul reste au bord, c'est le deuxième qui assis sur mes reins écarte mes fesses pour faciliter ce troisième acte dans mon anus. Il doit même conduire avec sa main la bite du premier. J'éprouve des sensations nouvelles. Je sens grossir la queue en moi. Je crois être écartée en deux par cette introduction, d'autant plus que je reçois dans le bouche la pine de mon mari: je la reconnais à certains détails. J'apprécie de plus en plus ces coups répétés dans mon cul et cette bite dans ma bouche. Ils jouissent presque ensemble. J'ai enlevé le bandeau. Je les regarde en souriant et les remerciant de ce presque viol. Je suis épuisée. René est parti faire du café, Paul est aller faire couler un bain. Je me caresse doucement, ce qui a permis de faire tomber la pression. Le bain était prêt. Je me relaxe un bon moment. Je suis revenu me coucher, juste avant que les deux hommes reviennent. Paul entre, m'embrasse sur la bouche, Paul vient me caresser les seins. Ils me donnent envie de recommencer. Je demande à René de se coucher, je suis montée sur lui, me suis frottée contre son sexe jusqu'à ce qu'il devienne dur, je l'ai fait glisser dans le mien, je demande à Paul de mettre sa queue dans mes fesses. C'est bon de les sentir tous les deux. Je leur demande de ne pas bouger. En faisant attention à ce que leurs queues ne sortent pas de moi. Je glisse le long de leur bites Je veux cette fois les faire jouir pas les seuls mouvements de mon corps.
Je leur dit des mots tendres, leur décris l'impression de plénitude que créent leurs deux queues en moi. Je leur fais l'amour en même temps. Nos sexes réunis n'en faisaient plus qu'un seul. René et Paul jouissent eu même instant. Leurs jets de spermes sont partir en même temps. Je les sens s'écouler en moi: une chaleur envahi mon corps.
J'étais sure de retrouver cette même plénitude la prochaine fois. Je me suis allongée entre eux deux, me suis endormie sous leurs caresses