La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 579)

Rex au Château - Voici un nouveau récit fort prometteur écrit par Rexunelope que je remercie sincèrement et récit amélioré par mes soins –

Rex au Château (période précédente son arrivée au Château) – Comment Axel est devenu Rex –

La première fois que Monsieur le Marquis d’Evans entendit parler de cette histoire c’était après une de ces soirées mondaines mais aussi et surtout orgiaques et D/s organisées couramment au Château. Le Marquis profitait d’un moment plus calme avec un couple de Maitres/Maitresses pour prolonger la soirée au coin du feu. Plus loin dans la grande salle du Château, les esclaves MDE s’afféraient à ranger les différents ustensiles ayant servi pour la soirée et nettoyaient les différentes traces laissées par Maitres (esse) et soumis (ses). Le généreux foyer crépitait de ses grosses bûches en flammes et le couple Dominants narrait cette incroyable histoire à Monsieur le Marquis d’Evans, qui pourtant avec sa longue expérience, en avait déjà vu et entendu de forts belles dans ce registre :

- C’est incroyable de voir ce que cette….ce… je ne sais même pas le ou la qualifier, bref c’est incroyable de voir ce qu’il est devenu… Je ne saurais dire si c’est un mâle, une femelle, un homme, un soumis, un chien … Bref voici son histoire, qui devrait, Monsieur le Marquis fortement vous intéresser :
…
- … Tout a commencé il y a presque 10 ans, Axel était, dit-on, en couple avec une fort jolie femme, et très amoureux d’elle. Chacun était pour l’autre leur premier et unique compagnon, ils s’étaient rencontrés fort jeunes. Un jour l’infortuné appris qu’elle le trompait. Le chagrin était si fort, dans son cœur amoureux qu’il n’y avait pas de place pour la jalousie. Il décida de parler à sa douce, il voulait la garder auprès d’elle. Céline, puisque c’est son prénom expliqua à Axel qu’il ne la satisfaisait plus sexuellement et qu’elle avait découvert des choses que d’autres lui donnaient et que lui, son époux ne lui donnait pas et ne lui donnerait certainement jamais.

Il l’implora si fort qu’ils décidèrent ensemble de chercher un arrangement… Après quelques semaines d’essai, ils convinrent ensemble qu’il ne serait jamais l’amant au lit qu’elle espérait auprès de lui. Ils décidèrent donc de se tourner vers des soirées échangistes. Céline était fort belle, aussi avait-elle beaucoup de succès. C’est pendant lors d’une de ces soirées que les choses commencèrent à basculer pour lui. A l’issue d’une de ces soirées, il attendait sa belle qui était en train de se faire prendre par un mâle et un autre très excité attendait plus loin son tour, lui était assis non loin de ce dernier. A un moment et vue l’heure avancée et ayant eu son trop plein d’orgasmes, Céline regarda Axel et montrant du regard l’homme qui attendait le sexe tendu, et c’est fatiguée souhaitant aller se coucher qu’elle lui dit sèchement :

- Finit le, qu’on puisse partir après

L’homme se retourna présentant son sexe épais et droit sous les yeux d’Axel. Presque automatiquement, sans réfléchir, il s’agenouilla et le pris en bouche. Il téta tendrement le gland de cet homme puis avala lentement ce magnifique sexe dressé. En quelques secondes, il avait intuitivement trouvé comment donner du plaisir à cet homme et son sexe en érection montrait le plaisir qu’il en prenait en retour. L’homme commentait de façon fort insultante le spectacle qu’Axel lui donnait et il se donnait en spectacle devant les autres convives encore présents. Les remarques insultantes et humiliantes concouraient au plaisir qu’il prenait. L’homme gémit très vite et inonda la bouche d’Axel de son sperme épais. Axel leva les yeux vers lui, Rex était né de cette éjaculation, un lent et long parcours allait l’amener à ce qu’il est devenu aujourd'hui …

Durant les semaines qui suivirent, le jeune couple devenait assidu à ces soirées. Céline allant de partenaire en partenaire et Axel, enfin on va désormais l’appeler Rex, prodiguant aux mâles avec application de fabuleuses caresses buccales.
Il aimait cette position, à genoux devant ces mâles en rut, recouvert au fur et à mesure que la soirée avançait de leurs semences. Il aimait leurs odeurs sur lui, il aimait leur gout dans sa bouche. Certains avaient pris l’habitude de verser sur lui leurs préservatifs une fois leurs affaires fini et il les remerciait toujours en position prosternée. D’autres passait le voir, le sexe flasque pour se faire nettoyer après une sodomie ou même pour les aider à retrouver un peu de vigueur avant de revenir vers une partenaire ou mieux pour aller baiser sa femme Céline sous ses yeux. Il n’avait qu’une position de faire-valoir, il était devenu un réceptacle à foutre, un utile objet pour le plaisir des autres et en tirait un plaisir mental inouï. Parfois en milieu de soirée, il se masturbait trop excité et n’avait même pas le temps de jouir, hélé par un homme voulant se vider sur lui. Rex revenait avec le gout de ces hommes en bouche, leurs effluves forts inondaient la voiture sur le chemin du retour. Mais il se sentait à sa place, ainsi dominé en une bonne petite lopette qu’il était devenu. Un jour en allant à une de ces soirées, alors qu’il conduisait, Céline lui dit clairement :

- C’est drôle, je crois que tu deviens encore plus salope que moi

Ce mot frappa son oreille, il ne dit rien, c’était vrai, elle continua doucement :

- Tu sais, je crois que c’est le moment d’aller au bout des choses, tu dois aller au bout de ce que tu es

Il la regarda, leurs regards était tendre, ils savaient tous les deux que ce pas devait être franchi et que c’était un tournant pour eux… La soirée débuta comme d’habitude, chacun trouvant ses partenaires, lui butinant le sexe de ces mâles les uns derrière les autres, pourtant ce soir il avait peur, il était aussi très excité, ce soir il deviendrait un peu plus Rex, un peu femelle aussi. Il voulait être désirable, il voulait être empli d’un mâle, il en avait envie, il en avait besoin. Puis Céline est revenue auprès de lui avec un homme, il avait la quarantaine, il devait être latin, Espagnol ou portugais quelque chose comme ça.
Elle lui dit avec un calme et une assurance déconcertante :

- On y va ? Met toi à 4 pattes, le visage plaqué contre le sol

Céline se positionna devant lui, à genoux, la tête de Rex était coincée entre ses genoux, elle le maintenait dans cette position fermement et lui caressait tendrement la tête. Elle glissa à son oreille :

- N’ait pas peur, ce soir tu deviens une vraie salope, tu vas aimer, je le sais …

C’était la première fois qu’elle lui parlait au féminin, il n’eut pas le temps de réagir, déjà il sentit le liquide froid du lubrifiant contre sa rondelle. Puis l’homme en étala un peu avec son gland. La pression du sexe de l’homme se fit un peu plus forte, toutefois il sentait qu’il ne poussait pas encore pour rentrer. Céline et l’homme se regardèrent, la pression des genoux de Céline s’accentua. Rex avait peur et pourtant il voulait ce sexe en lui. Elle rigola, il entendit son rire et au même moment, l’homme s’enfonça, comme un bourrin, d’un coup sec et puissant, lui arrachant un râle aigu qui provenait du profond de ses entrailles comme les cris d’un nouveau-né. Instantanément il senti son sexe se gonfler, à mesure de celui de l’homme qui le pénétrait. Puis l’homme marqua un temps d’arrêt et ne le laissait pas reprendre son souffle. Il se déchaîna, il le baisa, le besogna sauvagement pour de vrai, il le prenait comme une femelle avec des coups de reins d’une rare puissance. Rex commençait à sentir son cul qui chauffait, et un plaisir diffus mais irradiant tout son être l’envahissait pleinement. Il comprit très vite qu’il allait jouir, trop tard pour retenir quoi que ce soit. C’est Céline qui la première vit les petits jets de sperme qui s’écoulait de son sexe.

- Haaaaaaaa, c’est pas vrai, mais tu en jouis petite salope

Elle rigolait à gorge déployée, amusée de ce qu’elle voyait. L’homme lui ne s’en souciait pas, il se concentrait sur son plaisir à lui, il le baisait alternant de vifs coups de boutoirs à des coups de reins plus lents, comme il en avait envie.
Quand, après quelques minutes, il se laissait à aller dans son cul, il se soulagea les couilles en lui d’abord puis en se retirant, il finit par se vider de sperme sur le haut de la raie des fesses. Rex sentit ces jets de sperme chaud couler entre ses fesses, son anus encore ouvert recevait le sperme. Céline et l’homme l’abandonnèrent dans cette position en levrette le cul bien relevé et souillé de foutre…
…
A ce stade Monsieur le Marquis d’Evans, un succulent verre de cognac à la main n’écoutait que d’une oreille distante. Il était vrai que l’histoire était touchante mais assez banale pour le Maître de renom qu’il était. Cet homme, ce Rex qui découvre son statut de soumis et de lope « in fine » par amour pour sa femme. Toutefois, Le Marquis ne comprenait pas en quoi ce « Rex » avait quelque chose d’extraordinaire. Mais le moment était fort agréable, confortablement installé au coin du feu, l’histoire contée par son ami avec tant de passion que le Noble amusé, lui laissait continuer la narration. Le Marquis héla Walter, son fidèle Majordome afin qu’il aille chercher un de Ses esclaves mâles car il avait envie qu’un soumis viennent lui donner un hommage buccale pendant que son ami continuai l’histoire de cet Axel devenu Rex ... :
…
Suite à son dépucelage anal, Rex connu une période folle de découvertes dans sa nouvelle sexualité. La soumission n’était qu’en filigrane dans ces relations. Il se rendait compte qu’il aimait être dominé par ces couples, ces mâles, mais il n’était pas encore capable de l’identifier à proprement parler. Il avait envie d’expérimenter de connaitre des situations toujours plus différentes et toujours nouvelles pour lui. Céline de son côté l’accompagnait mais ayant un peu plus de recul, elle finit par avoir besoin de cadrer les choses.

Un jour, elle lui demanda de rentrer plus tôt du travail, de se préparer comme pour un plan cul et de l’attendre. Lorsque elle rentra dans leur maison, Rex était prêt, épilé intégralement, son anus lavé par un lavement scrupuleux, il avait plugué son anus pour être dilaté et offert à toute éventualité. Céline sourit, il était vraiment en demande. Elle lui sourit tendrement et lui tendit un sac plastique noir. Il ouvrit et sortit un magnifique godemichet qui se ventouse au sol. Le sexe mesurait une vingtaine de centimètre et son épaisseur était en conséquence. Il était content de ce nouveau jouet mais ne comprenait pas tout de suite où elle voulait en venir.

- Ecoute, lui dit-elle, tu es devenue une lope, une belle et jolie lope, tu es tellement en demande que rien ne te satisfait plus, tu as toujours besoin de plus, d’expériences plus fortes, plus hard. Mon problème, c’est que tu es tellement chaude que parfois j’ai peur pour toi, et puis je me demande si tu as conscience de ta position par rapport à ces mâles en chaleur qui profitent de toi pour se vider les couilles. Tu es tellement docile que tu ferais ce qu’ils veulent sans penser à tes propres limites. Je pense que tu as besoin d’être cadré, d’être dressé, d’être éduqué.

Disant ces mots, elle attrapa une pochette en carton, ouvrant celle-ci, elle sortit quelques feuilles de papier imprimées.

- Pour ta sécurité, mais aussi pour ton plaisir et je ne te cache pas pour le mien également, je te propose ce contrat, c’est un contrat qui fait de moi ta Maitresse et toi mon soumis, mon petit chienchien (elle rigole). Je pourrais céder mon autorité pour te mettre en des mains expertes si j’en ai envie (ou pour te faire plaisir parfois, mais au final pas un homme ne posera les mains sur toi sans mon aval. Tu seras ma propriété. Et moi, même si je n’en ai pas ment besoin, j’aurais la sexualité que j’ai envie. Tu seras juste mon animal de compagnie. Je ferais attention à prendre soin de mon chien et… à le sortir en laisse !… Mais je ne te force pas. Je te laisse ce contrat, tu le consultes et tu y réfléchis, je suis convaincue que c’est ce dont tu as envie, dont tu as tant besoin. Moi je vais aller prendre une douche et me faire belle… En sortant, si tu n’es pas prêt ou si tu n’as pas envie de signer de suite, tu laisses ce contrat de côté et crois moi je ne t’en voudrais pas. Nous sortirons au restaurant tous les deux et passerons une jolie soirée ensemble. En revanche, si tu as envie de devenir mon chien, je veux que tu signes ce contrat, et que tu envoies le sms que j’ai préparé dans mon portable sans le lire juste en appuyant sur le bouton « envoyer », et que tu te prennes le cul avec vigueur sur le gode à ventouser au sol jusqu’à mon arrivé.

Sans rien ajouter, Céline tourna les talons, il entendit la porte de la salle de bain se fermer, et quelques instants plus tard la radio diffuser un peu de jazz. Rex prit le contrat en tremblant, c’était un contrat de soumission en bonne et due forme. Il devenait sa propriété intégrale tant qu’il n’exprimera pas via une procédure très cadré de contre ordre, il n’était plus rien. Pourtant cette idée l’excitait terriblement, en effet, à la lecture du contrat, il bandait comme un taureau et il n’hésita pas du tout, il relu encore une fois le contrat, signa en n’omettant pas la mention « lu et approuvé » (ce détail le fit sourire) et commença à se préparer. Une fois nu, il appuya sur la touche envoi du portable de sa désormais Maitresse. Quelques secondes plus tard, le portable vibra en retour, il imagina que c’était une réponse mais se retint de regarder.

Rex enduit méthodiquement son anus de vaseline fixa le jouet avec la ventouse sur le carrelage froid et commença à s’accroupir dessus. Centimètre après centimètre, son cul avala le sexe énorme dans ses entrailles, il se cambrait pour mieux le recevoir et commençait à réveiller ses pulsions de soumission avec un aller-retour puis deux, etc… Le rythme se faisait de plus en plus rapide, il accélérait, il se baisait seul dans cette grande pièce éclairée de cette jolie lumière de fin d’automne, il en avait oublié le contexte, en quelques minutes, le plaisir monta en lui. Il se prenait profondément montant au sommet de ce magnifique sexe et se laissant tomber de toutes ses forces pour se faire prendre jusqu’au bout, il grognait de plaisir, le plaisir montait par vague au creux de ses entrailles, il se rappelait ces hommes qui lui rappelaient chaque fois qu’il venait dans ces soirées échangistes en se faisant prendre qu’il n’était pas un vrai « mec » mais une belle petite lope à utiliser. Cette idée l’excitait encore plus autant qu’elle l’humiliait. Il se défonçait lui-même, le plaisir montait encore toujours plus fort, ses entrailles était en feu lorsque subitement, il éjacula en criant bruyamment son plaisir mais il réalisa qu’il devait se prendre jusqu’au retour de sa femme devenue sa Maitresse. Alors il continua, son sexe était flasque après cet orgasme et le mouvement de ce sexe mou au rythme de ses allers et retours était ridicule, mais il continuait à se prendre, il avait la preuve qu’il ne s’appartenait plus, il se baisait juste parce qu’il en avait reçu l’ordre. Il réalisa qu’elle pouvait être très longue à venir de la salle de bain, et pourtant il ne pourrait pas s’arrêter de maltraiter son fondement. Son anus chauffait, il voulait bien faire pour elle, il continuait sans faiblir, son sexe reprenais de la vigueur, il voyait les petites taches de plaisir, de spermes laissés quelques minutes auparavant devant lui …

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!