Corinne Et Charline

Depuis mon dernier passage entre les mains de Charline, je ne manque jamais l’occasion de la saluer d’un petit coucou amical lorsque je passe devant le salon de coiffure où elle travaille.
Les fêtes approchent avec leur lot de réjouissances habituelles. Personnellement je les passerai seul cette année encore. Divorcé récemment je n’ai pas eu l’occasion de me recaser depuis ma séparation et notre intermède avec Charline est la seule occasion qui m’ait été donnée depuis des mois d’assouvir mes besoins de cinquantenaire célibataire.
Ce soir je passe au petit magasin « Spar » de mon quartier pour y acheter quelques produits en dépannage pour mon repas de ce soir. Sur le chemin aller j’ai bien vu Charline au petit soin d’une cliente. Elle semblait seule avec elle. Je vais tenter ma chance après mes emplettes me dis-je. Après tout c’est elle qui m’a encouragé à repasser quand je voulais faire la fermeture. Il faut dire que notre épisode torride du mois dernier m’a laissé un souvenir particulièrement agréable. En faisant l’amour dans l’arrière-boutique avec ma jeune coiffeuse j’ai pris un pied extra. Elle aussi visiblement.
De retour, chargé de mon petit sac plastique, je pousse la porte du salon pensant y trouver Charline et sa cliente. Il est 18 heures 55 et la boutique doit fermer normalement. Mais la cliente n’est pas une cliente quelconque puisque c’est Corinne la patronne qui se fait coiffer par sa salariée.
- « Bonsoir ! » me disent-elles toutes les deux dans un grand sourire.

- « Euh… Bonsoir ! »
Dans ma réponse on doit sentir un peu de désappointement car Corinne me lance :
- « Ça ne vous plait pas que je sois là, Monsieur Paul ? »
Je comprends instantanément que Charline a vendu la mèche. Il y a dans son sourire quelque chose de narquois. Mon regard glisse vers celui de Charline et dans ses yeux je retrouve la même lueur malicieuse.
- « Vous veniez faire la fermeture avec Charline ?.

.. Je vais vous tenir un peu compagnie… »
Je suis à cinquante pour cent penaud et pour l’autre moitié je suis excité comme un fou.
- « Charline m’a tout dit, vous savez... »

- « Ah ? » Fis-je bêtement.

- « Nous sommes très, très complices elle et moi… » Dit-elle en accompagnant ses mots d’une caresse très appuyée sur le bras de son employée.

- « C’est gentil d’être resté pour fermer le salon avec elle la dernière fois. Ces petits jeunes qui traînent dans le quartier nous empêchent d’être tranquilles. D’ailleurs ce soir on ferme toutes les deux. C’est plus sûr. Enfin maintenant que vous êtes là tout va beaucoup mieux. »

- « Oh oui… » lance Charline, souriante.
Belle femme dans la quarantaine, Corinne gère de mains de maître sa petite entreprise. Un peu ronde, elle est toujours d’humeur joyeuse, et respire la joie de vivre. Elle porte souvent des tenues assez décalées qui mettent en valeurs ses formes généreuses. Des jupes courtes notamment, comme ce soir et, sous son chemisier léger, on devine qu’elle apprécie la lingerie. Elle aime qu’on la regarde, qu’on la désire, ça se sent… Pourtant jusqu’à ce soir, elle n’avait jamais eu de comportement équivoque avec moi.
- « Charline vous a dit que je vous trouvais à mon goût je crois… »

- « Je suis flatté, merci ! » Répondis-je faussement modeste tout en fusillant du regard Charline.

- « On comptait boire une coupe pour fêter la fin d’année. Demain c’est le 24 et on va rentrer vite chez nous pour le réveillon. Ce soir par contre on se fait notre petite fête à nous…Une petite bouteille entre filles en général mais puisque vous êtes là autant partager ».

- « Je ne refuse jamais une proposition de ce genre.. » Dis-je en posant mon manteau sur un des fauteuils libres.
J’ai essayé de prendre mon air le plus neutre possible pour dire ça mais je crains de n’être pas très crédible en mec habitué à se faire draguer par deux jolies femmes.

- Charline finit de me coiffer et nous sommes à vous tout de suite. Vous voulez bien aller chercher la bouteille dans l’arrière-boutique ? Vous connaissez déjà je crois ! »
Effectivement, je connais bien les lieux pour y avoir baisé sa salariée il y a quelques jours seulement. La soirée commence bien mieux que je l’espérais.
- « Les verres sont dans le petit placard au-dessus de l’évier ! » Me lance Corinne.
Quand je reviens dans le salon, Charline est en train de balayer, la patronne baisse les stores vénitiens de la vitrine. Un tour de clé sur la porte et me voilà enfermé avec deux créatures très bien disposées à mon égard. En rangeant le balai Charline a éteint presque toutes les lumières du salon.
Une desserte nous sert de table basse improvisée sur laquelle je pose 3 flûtes. L’ambiance est électrique…
Je romps le silence en demandant à Charline :
- « Pourquoi avoir vendu la mèche ? C’était un peu notre secret ! ».

- « Comme Corinne te trouve pas mal j’ai eu envie de lui dire que je t’avais testé avant elle c’est tout ! »

- « Et visiblement le test est concluant… » Rajoute Corinne, mutine…

Sur ces mots, elle s’approche de moi et pose sa main sur mon sexe afin de mesurer certainement le pouvoir d’attraction qu’elle exerce aussi sur ma personne.
- « Hum… » Tait-elle. « Intéressant, effectivement... »
Je ne résiste pas à la tentation de la rapprocher de moi en la saisissant par la taille. Sous mes doigts, je sens son corps qui frémit et s’abandonne. Mon autre main se glisse dans son cou et attire irrésistiblement son visage vers moi. Nous prenons possession de la bouche de l’autre en nous embrassant avec un mélange de fougue et de délicatesse. Nos langues se cherchent puis s’entremêlent. Je commence à sentir mon chibre grossir sous les mouvements de la main de Corinne dont le bassin se colle maintenant à moi. Je reprends un peu mon souffle et du coin de l’œil observe Charline qui totalement impudique se vautre dans un fauteuil, les cuisses ouvertes, la jupe remontée sur les hanches.
Ses doigts glissés sous son collant mènent une danse endiablée autour de son sexe que je pressens déjà trempé.
Je sens les doigts déterminés de Corinne se frayer un chemin vers mon sexe et le trouver. Elle m’extirpe avec dextérité et se laisse glisser vers ma verge désormais libérée du carcan trop étroit de mon boxer et de mon pantalon. Gourmande sa bouche m’avale d’une traite et commence à m’aspirer. Je sens courir sa langue qui s’attarde, glisse, m’entoure et me titille.
- « A ce rythme-là tu vas me faire jouir… » Lui dis-je en me dégageant à regret.

- « Viens t’occuper de moi alors ! » lance Charline du fond de son fauteuil.
Corinne m’abandonne amusée et je remballe tant bien que mal ma marchandise. Je m’accroupis aux pieds de Charline et retrouve avec délice son odeur. Son collant et sa petite culotte sont tire- bouchonnés sur ses chevilles. D’un geste sec je l’en débarrasse pour qu’elle se sente plus à l’aise. La tête entre ses mains elle me donne le bon tempo et je la sens vaciller très vite. Dans un souffle, elle jouit sous mes coups de langue, en plantant ses ongles dans mes cheveux :
- « Tu es dingue de me faire jouir comme ça ! »

- « A mon tour si tu permets. » Lui lance sa patronne à son tour calée dans un des fauteuils.
Les jambes posées de part et d’autre des bras de son siège, elle n’a même pas pris la peine d’enlever ce qui me semble être un joli string rouge. Son index et son majeur écartent la fine dentelle pour découvrir un sexe totalement imberbe, aux lèvres roses et charnues, d’où émerge un clitoris très gros, gonflé et humide. Je me régale à le caresser, le mordillant, le suçotant, le faisant rouler entre mes lèvres. Elle sent bon, un mélange de cyprine et de transpiration. Mes caresses commencent à lui faire de l’effet et elle me demande d’aller plus loin avec elle.
- « Mets-moi tes doigts. » Me dit-elle, tandis qu’elle commence à se caresser le clitoris.
Je m’exécute en introduisant dans son sexe trempé deux doigts.
Charline s’est rapprochée de nous et elle aussi les doigts fourrés dans sa chatte, se caresse en nous regardant.
- « Tu vas voir… c’est trop bon ! » dit-elle à Corinne, en posant sur sa bouche un baiser langoureux.
Ma victime s’est rapprochée du bord du fauteuil pour m’aider à aller plus loin en elle. Je la fouille dans des mouvements de plus en plus profonds et rapides et, tout comme sa jeune employée 15 jours plus tôt, elle jouit sous mes caresses en perdant tout contrôle. Je la sens littéralement éjaculer sous mes doigts. Avec de grands mouvements son bassin vient à ma rencontre et elle finit par s’écrouler vaincue par le plaisir, en poussant des cris aigus sortes de gémissements auxquels se mêle un râle puissant :
- « Aaaaaahhh ! Oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Encore, encore, encore… »
Je l’observe quelques secondes dans son monde et lorsqu’elle rouvre ses yeux, j’ai l’impression qu’elle n’a pas joui aussi fort depuis belle lurette. A nos pieds s’étale une petite mare de liquide alimentée par quelques dernières gouttes qui viennent de mes doigts trempés.
Elle me saisit à nouveau entre ses mains et confirme mon sentiment en disant :
- « Personne n’est jamais arrivé à me faire jouir comme ça ! Regarde comme je suis excitée… » Ajoute-t-elle à destination de Charline !

- « On va s’occuper de toi maintenant. »
Saisi par mes deux coiffeuses, je me retrouve nu en quelques secondes et tandis que Charline me pompe avec talent, sa maîtresse me caresse les bourses d’une main tout en me pinçant les seins de l’autre. Sous leurs assauts je retrouve très vite de la vigueur. Mon sexe tendu vers elles, ne demande qu’à se vider en leur donnant du plaisir. Je décide d’honorer d’abord la plantureuse patronne dont le sexe gonflé m’est apparu bien accueillant. Je relève sa jupe et la pousse vers la petite tablette où sont encore posés ciseaux et peignes. Face à nous le miroir renvoie notre image à tous les trois. Sous son chemisier noir, je devine son soutien-gorge qui retient tant bien que mal ses seins voluptueux. Cassée en deux, la croupe offerte, elle se cambre pour que je la pénètre sous le regard lubrique de Charline.
- « Vas-y défonce-moi ! » Me lance Corinne visiblement totalement désinhibée.
Je fais voler mes chaussures, bien vite suivies par mon pantalon et mon boxer. Sans plus de cérémonie je dégage mon chemin en écartant les globes laiteux de ses fesses et m’introduis en elle.
- « Aaaahhh » Fait-elle en se dressant sur la pointe des pieds.
Sous cet angle, je la pénètre de toute ma longueur et commence à aller et venir en elle saisissant à pleines mains ses hanches généreuses. Elle souffle et ahane au même rythme que moi.
- « Tu aimes ça on dirait » Lui dis-je en observant sa bouche déformée par un rictus et son regard fou.

- « Vas-y baise-moi ! Vas-y c’est trop bon ! » Lance-t-elle tandis que la cadence que je lui impose l’emporte vers un autre orgasme.
Je reste immobile quelques secondes pour souffler en lui laissant le temps de se remettre de ses émotions puis je m’extrais de ce puits chaud et humide pour enfourner ma bite ailleurs.
- « Viens » Dis-je à Charline qui prend la même position que sa patronne face au miroir.
Elle est nue à l’exception de son soutien-gorge qui met si bien en valeur ses jolis seins. Plus petite que Corine je l’oblige à quelques acrobaties pour atteindre mon objectif. Je lui demande de poser son pied sur le bord du fauteuil ce qu’elle fait docilement. Je dois me baisser pour pouvoir introduire ma bite en elle. Une fois que je suis en elle de toute ma longueur, je peux profiter du spectacle que cette toute jeune femme m’offre dans le miroir. Sous la violence de mes coups, ses petits seins bougent d’avant en arrière. Tout dans son visage me flatte : outre sa beauté, je vois le plaisir qu’elle prend. De grands yeux au regard perdu, des narines dilatées, des joues rosies de plaisir, des lèvres qu’elle mord pour retenir ses cris et ses cheveux bruns plaqués par la sueur sur son cou si fin. A ses gémissements, je sens monter la vague qui va l’emporter bientôt. Je la besogne sans ménagement et mes ahanements de bûcheron ont du mal à couvrir ses cris lorsque enfin, elle se laisse emporter à son tour. Je ne suis pas loin moi-même de jouir. Dans un éclair de lucidité, elle me demande comme la dernière fois de ne pas jouir en elle et je lui accorde avec regret cette faveur.
Je n’ai qu’à me tourner un peu pour trouver un autre réceptacle à ma semence. Lorgnant sur le décolleté vertigineux de Corinne je lui demande :
- « Enlève tout ! »
Elle me comprend tout de suite, déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge. Elle libère ses deux hémisphères qu’elle me tend en les pressant l’un contre l’autre. Je m’enfouis au sein de ce piège si doux et en quelques mouvements elle me fait jouir dans de longs jets qui viennent se perdre sur son cou et son menton. Elle continue dans un va et vient sensuel à maintenir mon plaisir quelques secondes encore. Dans un grand sourire elle me lance :
- « Et bien mon salaud j’avais pas aussi bien baisé depuis un paquet de temps. Charline, ressert nous à boire… »

- « Dis-moi tu es attendu ce soir ? Charline et moi avons prévenu chez nous qu’il ne fallait pas nous attendre… »
Je regarde du coin de l’œil les maigres courses faites chez « Spar » tout à l’heure et lui souris…

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