L'Inconnu
Nous faisions du triolisme depuis trois ans lorsque jeue envie de faire une pause dans nos relations, que nous nenchainions pas certes de façon effrénée, préférant la qualité à la quantité, mais javais besoin de souffler. Cela était avant que jintègre le réseau de Serge. Bien sûr, Paul ne le voyait pas de la même manière, prétextant que sa propre libido allait en souffrir. Il était, cest vrai, obsédé de me voir baiser sans retenue dans les bras dautres hommes. A la fois pour lennuyer un peu et aussi lui faire comprendre que jen avais assez pour un temps, je décidais de rencontrer un homme sans sa présence et ainsi le priver de son plaisir. Loccasion men fut donnée lorsque Paul partit pour quinze jours en voyage daffaires. Depuis quelques semaines il me proposait de rencontrer Jean, un homme quil avait connu je ne sais pas trop comment lors dun de ses voyages à Paris. Bien sûr javais refusé, et cest sur un énième refus que Paul partit en voyage. Il avait donné à Jean notre numéro de téléphone, ce que jignorai. Ce dernier se mit alors à mappeler tous les jours, me proposant de venir me voir à Lyon. Il savait que Paul était parti et que jétais seule en journée. Il se proposait de venir passer une journée entière avec moi, me disant quil était obsédé par les photos de moi que lui avait montré Paul. Je tenais là mon occasion, jallais priver Paul de son plaisir favori. Après plusieurs jours dappels téléphoniques, je finis par céder.
Je récupérai Jean à La Part Dieu à lun des premiers TGV en provenance de Paris vers 9h, après avoir déposé mes s au collège. Nous avions convenu dun signe de reconnaissance car je ne le connaissais absolument pas. Avec du recul, je me suis dit que javais pris quelques risques, car doù venait-il, qui était il, je nen savais strictement rien. Jean avait lallure dun joueur de rugby, 1,9 mètre, une corpulence massive et musclé, un homme relativement bien.
« Paul ma montré des photos intimes de toi, jaimerai bien voir la réalité, je te trouve belle et désirable » me dit il. En quelques mouvements il me déshabilla entièrement. Jétais maintenant nue devant lui. Il me fit assoir sur un fauteuil, les cuisses en appui sur les accoudoirs. Lentement il se déshabilla à son tour, sans cesser de me regarder. Il se mit à genoux et commença lentement à me lécher le clitoris. Malgré mon appréhension, je me surpris à couler rapidement. Quelques instants après je jouie avec des râles de plaisir. Il mit un préservatif et me prit alors. Cest une masse de chair qui sabattit sur moi, il avait une verge courte mais épaisse. Il me souleva du fauteuil, me porta sur la table du séjour, me posa sur le dos et me saillit ainsi rapidement, en hurlant son plaisir.
La fin de matinée fut plus calme. Il me demanda néanmoins de rester nue avec seulement un pull sur mes épaules « Je veux ton petit cul à disposition » dit-il. Nous avons déjeuné ainsi sur la terrasse. Alors que je débarrassais la table, il me prit par les épaules et de nouveau mamena sur la table du séjour. Là il me prit de nouveau, plus calmement cette fois, prenant son temps, enfonçant à chaque coup de rein sa verge au plus profond de mon sexe, alternant des mouvements rapides avec des mouvements lents. Il a joui seul cette fois, mais javoue avoir été sur le point de jouir également, ce qui assez rare pour moi dans cette position, étant qui plus est très clitorienne.
Nous avons passé le reste de la journée à discuter. Il devait reprendre son TGV vers 18h avant que je récupère mes s au collège.
Je le raccompagnais à la gare repue de plaisir. » La prochaine fois tu viens à Paris seule, je toffre un Week end » dit-il. « Pourquoi pas » répondis je.
Lorsque Paul est rentré de son voyage quelques jours plus tard, je lui racontai ma journée avec Jean, dans le moindre détail, pour bien sur le faire râler de ne pas avoir été là. Sa réaction fut contraire à celle que jescomptais, il me demanda encore plus de détails, disant à chaque fois » Tu es une parfaite petite salope ». Cela se termina dans notre chambre ou il me prit en levrette les fesses écartées. « Je reprends possession de mon territoire, tu es à moi » dit il. Je compris à ces derniers mots, quil avait malgré tout été marqué dans sa fierté de mâle. Finalement javais atteint mon but. Cela ne changea rien à la suite, jai continué à me faire baiser devant lui pour son plus grand plaisir et le mien
« Tu iras à ce Week end avec lui » dit-il en forme dinterrogation. « Je nen sais rien, peut être » dis-je, mais cest une autre histoire.
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