Retour Des Sports D'Hiver.

Retour des sports d’hiver (fiction écrite en 09/2015).

Ce samedi soir de février, je suis à la gare de Lyon où j’attends ma compagne qui rentre des sports d’hiver… Je ne l’avais pas accompagnée pour cette semaine passée à Val d’Isère car je ne pouvais me dégager d’obligations survenues au dernier moment. Mais Marie-Ange avait retrouvé là-bas un couple d’amis avec lequel nous avions pour habitude d’aller à la montagne en même temps…

J’ai 40 ans passés et depuis quelques années, je dirige une entreprise de location de véhicules de haut de gamme et de minibus de luxe destinés à transporter les V.I.P. qui viennent à Paris pour les différents salons… ou encore des groupes de musiciens semi professionnels ou amateurs qui se rendent à un concert en province. Si les premières années ont été difficiles… il fallait se faire connaître, désormais les affaires marchent très correctement et la flotte s’est étoffée pour atteindre une quinzaine de véhicules. C’est justement avec le dernier véhicule livré que je suis allé attendre Marie-Ange à la gare…



Lorsque je la vois descendre du train, je ne peux m’empêcher de penser que j’ai beaucoup de chance d’avoir enfin trouvé une compagne avec qui je m’entends parfaitement sur tous les plans… C’est un peu comme si elle était mon double… Souvent, il nous arrive, lorsque nous sommes ensemble d’éclater de rire en même temps… et de nous interroger sur ce que nous pensions et souvent, il se trouve que nous étions sur la même longueur d’onde.

Plus jeune que moi de quelques années, ma compagne est une grande fille à la silhouette mince et déliée. Ses cheveux blonds coupé en carré court encadrent un visage aux yeux gris rieurs et une bouche aux lèvres minces souvent fardées de parme ou de rose… Ce jour-là, elle porte une doudoune rouge vif qui semble encore accen sa blondeur… Ses longues jambes couvertes d’un collant opaque noir sortent d’un short qui masque à peine le haut de ses cuisses.

Elle porte des cuissardes noires à hauts talons qui arrivent juste au dessus des genoux… Waouh… Elle a frappé fort pour sa tenue de voyage… Elle a du affoler plus d’un homme en étant aussi sexy… mais je sais qu’elle est sage !

Après les premières effusions, Marie-Ange fait glisser le zip de sa doudoune pour me montrer le pull en laine mérinos qu’elle a acheté dans une des belles boutiques de Val :
• Regarde, j’ai fait une affaire… Cette laine est d’une douceur inimaginable… Sens…

Comment résister à une telle invitation ? D’autant que je découvrais sous la doudoune, les jolis seins dont Marie-Ange est si fière… Je glissai mes mains de chaque côté du buste et je les ai ramenées en effleurant les globes masqués par la laine… Oh, cette coquine ne portait pas de soutien gorge !
• Et oui… je l’ai enlevé juste avant l’arrivée… Je savais que cela te plairait, grand coquin !
• Oui… et j’ai envie de toi… cette semaine sans toi a été longue… Heureusement le travail ne m’a guère laissé de répit...
• Moi aussi, j’ai envie de toi !

Elle allait au devant de l’idée que j’avais eu en prenant un des minibus pour venir la chercher… Elle semblait très pressée de faire l’amour… Comme les sièges de l’arrière peuvent se mettre en couchette, j’avais dans l’idée de nous offrir un petit intermède coquin dans la voiture avant de regagner notre domicile au nord est de Paris… Je n’aurais pas la patience d’attendre 45 minutes pour y arriver… Mais je réservais la surprise à Marie-Ange.



Nous avons gagné le parking souterrain et elle a marqué un temps d’arrêt en voyant le véhicule garé dans un angle éloigné :
• La voiture est en panne ? Tu n’as pas trouvé de place plus proche des ascenseurs ?
• Non, on sera bien là ! Viens, pour fêter ton retour, je t’offre le champagne dans cette nouvelle acquisition… Tu verras, c’est génial… depuis le temps que j’avais cette idée !

J’ai alors ouvert la porte latérale de ce minibus gris foncé aux vitres noires en disant :
• Entre… Tu verras comme il est confortable.

Elle découvre alors l’arrière du minibus aménagé avec deux ensembles de sièges qui se font face et d’une table basse qui, si elle n’est pas utilisée, peut être relevée contre la paroi opposée à la porte coulissante. Le sol et les parois sont revêtus d’une épaisse moquette gris clair qui tranche avec les sièges recouverts de cuir noir avec des surpiqûres blanches… A la place d’un des sièges de passager à l’avant, il y a un petit réfrigérateur duquel je sors une bouteille de campagne rosé que Marie-Ange apprécie beaucoup et deux flutes. Surprise, cette dernière s’exclame :
• Waouh… Antoine, mais c’est génial…
• Et tu n’as pas tout vu ! Mais trinquons d’abord à notre amour… Tu m’as trop manqué !
• Toi aussi… J’ai soif de toi !

Nous nous sommes installés sur la banquette arrière où nous nous sommes enlacés pour échanger des baisers et des caresses de plus en plus chaudes après avoir bu une première coupe de champagne. Marie-Ange avait quitté sa doudoune et j’étais parti à l’assaut de sa poitrine en glissant une main sous son pull… Je faisais rouler alternativement les tétons sous mes doigts puis en les pinçant doucement pour les faire saillir… Je savais que cette caresse était appréciée par ma compagne… Pendant ce temps là, elle m’embrassait, fouillant ma bouche de sa langue alors qu’une main massait mon pubis où elle avait fait naître une érection phénoménale… Après une semaine de jeûne, ce n’était guère étonnant !

Personne ne pouvait nous voir depuis l’extérieur et j’avais garé le véhicule face au mur car seul le pare-brise n’était pas opaque. Pendant que j’ôtais le pull de Marie-Ange cette dernière défaisait ma ceinture et glissait sa main dans mon boxer. La tournure des événements était justement celle que j’avais envisagée : nous allions faire l’amour dans la voiture… J’ai saisi la commande des sièges qui ont basculé lentement pour se transformer en une couchette large et confortable.

Mais Marie-Ange avait pris le dessus sur moi, l’expert dans beaucoup de domaines… Je ne savais plus qui avait l’initiative et le bruit feutré des voitures qui passaient à côté ne semblait pas la désarçonner, bien au contraire… Ses yeux avaient un regard coquin, voire lubrique ! Je n’avais jamais vu autant de vice exprimé par un regard et cette attitude provocante !

Ma compagne a fait glisser mon pantalon et mon boxer qui ont rejoint mes mocassins que j’avais ôtés en entrant… Immédiatement après, j’ai fait tomber son short de lainage sans même retirer les cuissardes. Sous le collant, elle ne portait qu’un string de dentelle noire très réduit qui masquait à peine la toison châtain taillée en ticket de métro. Dans la demi-pénombre, l’ambiance était de plus en plus chaude. Tout en continuant de caresser les seins d’une main, j’ai plaqué l’autre sur l’entre jambe de Marie-Ange… C’était doux et chaud ! Oh… surprise, cette coquine portait un collant fendu…
• Ne me fais pas languir… Prends-moi !

En disant cela, ma compagne a écarté le fond de son collant Elle a poussé le cordon du string sur le côté et s’est allongée au milieu de la couchette improvisée. Je n’avais pas besoin de préparation… J’étais assez excité car tout se déroulait presque comme je l’avais imaginé, sauf que Marie-Ange avait pris l’initiative : son absence de soutien gorge, enlevé juste avant l’arrivée, ce collant fendu à l’entrejambe que je ne lui connaissais pas, ses baisers fougueux et sensuels…
D’une longue poussée lente, je me suis introduit dans le sexe féminin qui m’appelait d’une manière si lubrique… Certes notre position était des plus classiques. Dès que j’ai été en elle, Marie-Ange a noué ses jambes autour de mon torse et entamé des mouvements de bascule du bassin qui, sans que j’aie quoique ce soit à faire, me faisaient aller et venir en elle… Quand elle fait cela, je sais qu’elle a envie de jouir vite… Je l’ai laissée faire jusqu’à ce que le plaisir l’emporte une première fois. Lorsqu’elle a retrouvé son calme, elle m’a dit à l’oreille :
• à toi maintenant…
• Tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce que tu vas voir ! Je vais te baiser comme une chienne !
• Ouiiiiiiiii !

Je savais que Marie-Ange aimais les étreintes un peu viriles et là, elle entrait dans mon jeu. Je me suis dégagé du sexe de ma compagne et en me reculant un peu, je l’ai saisie par les chevilles pour la faire rouler sur le ventre. Ainsi, elle m’offrait, outre sa taille mince, ses fesses rebondies et bien galbées où je distinguais encore les traces pâles du maillot de bain porté lors de notre séjour estival en Algarve. Mais ce que je voulais, c’était prendre Marie-Ange en levrette… J’ai toujours aimé cette position très animale dans laquelle l’homme domine vraiment la femme et ne lui laisse guère d’initiative. A genoux derrière elle, mon sexe toujours bandé tant l’excitation était au plus haut point, je me suis approché jusqu’au contact de mon gland contre les lèvres intimes de ma compagne. D’une brusque ruade, elle s’est embrochée d’elle-même au moment où je prenais sa taille entres mes mains pour assurer mon emprise sur elle. Lorsque Marie-Ange a allongé ses bras devant elle, collant sa joue droite contre le cuir du siège, elle a dit :
• Voila… je suis TA chienne ! Baises moi fort !

Aussitôt, j’ai entrepris de longs va et vient, plaquant à chaque fois mon pubis contre les globes fessiers de ma compagne, m’arrêtant parfois à cette position. Aussitôt Marie-Ange jouait avec ses muscles internes et massait doucement l’extrémité de mon sexe fiché au fond du sien… Que c’était bon… Mais j’étais impatient… Elle avait déjà joui une fois alors que je restais encore sur ma faim… J’ai poursuivi mes mouvements alternatifs dans ce sexe de plus en plus humide et chaud en veillant à faire monter une nouvelle jouissance chez ma partenaire en lui caressant alternativement la poitrine et le creux du dos qui est assez sensible lui aussi...

Marie-Ange m’encourageait de la voix : Vas-y à fond… Humm… c’est bon !... Baise-moi fort… Mais à sa manière de dire ces mots, je savais qu’elle n’était pas loin de partir… Je savais ce qu’elle attendait pour se lâcher à nouveau : que je glisse un doigt dans son antre secret qu’elle m’avait ouvert quelques temps auparavant lors d’une soirée mémorable où nous fêtions l’anniversaire de notre rencontre sur un stand du salon de l’automobile. J’étais à point moi aussi et lorsque je l’ai sentie se tétaniser sous cette double intrusion, je me suis lâché à mon tour… Humm que c’était bon de déverser ainsi une bonne dose de sperme au fond de la chatte qui m’accueillait et me faisait la fête…
Nous nous sommes écroulés sur le côté, tout essoufflés tant cette joute amoureuse avait été intense puis quelques temps après, nous nous sommes rhabillés, nous avons bu une nouvelle coupe de champagne avant de regagner notre maison…

Cette nuit de retrouvailles a été particulièrement chaude et Marie-Ange très réceptive à mes initiatives…



Quelques semaines plus tard, ma compagne m’annonçait que nos retrouvailles avaient porté leur fruit… Elle attendait un … Quel bonheur pour nous deux !!!