La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 580)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°571) -
Après la sévère et si excitante correction administrée par Monsieur le Marquis dEvans, celui-ci imposa à soumis Endymion MDE de rester allongé sur le lit. Il lui mit une cagoule parfaitement opaque sur le visage après lui avoir installé dans chaque oreille des boules Quiès. Puis Il oublia volontairement Son esclave, toujours enfermé dans sa camisole de force, dans le silence et lobscurité
Monsieur le Marquis dEvans savait très bien que loubli donnait de loin en loin, un rebond dans un monde neuf, une capacité à renaître, une renaissance à la disposition du futur. Il savait quà la nuit froide succédait souvent le clair matin. Et cétait pour cette raison sans doute quil laissa soumis Endymion MDE dans leffacement, la confusion, le déni et le trouble. Son savoir, Monsieur le Marquis le tenait de ses lectures de philosophie de toutes les cultures et plus spécialement Grecque via celle de Socrate et Platon, mais également de lOdyssée dHomère dans les débuts de lhistoire de lOccident, Lui ce passionné de Mythologie et de Grèce Antique
Pensait-il à cette déesse Léthé qui partageait son nom avec le Léthé, lun des cinq Fleuves des Enfers, appelé aussi le fleuve de lOubli, qui sécoulait paisiblement et sans murmure, où les âmes venaient sabreuver afin doublier leur vie passée ? Oui, Monsieur le Marquis avait bel et bien lintention de conduire Son chien soumis MDE vers ce monde de soumission
Il souhaitait le construire, le fabriquer, le modeler, le pétrir, le plier, le sculpter pour lélever et lui faire accepter cette nouvelle vie en lui faisant oublier son vécu. Il fallait en passer par là !
Et lesclave MDE resta là, longtemps, très longtemps, sans vraiment comprendre au départ, lenseignement voulu et imposé par le Maître. Lui, soumis MDE se sentait plus dévoué et obéissant que jamais comme dans un véritable monde parallèle, un espace-temps où les réalités étaient altérées, une dimension où les pensées étaient biaisées, où lobéissance régnait, où seuls comptaient les mots et actes de Monsieur le Marquis dEvans.
Mille choses lui passait en tête : Laccord consensuel de perte de liberté pour lui soumis, le pouvoir laisser au Maître pour toutes décisions ; demeurer lui-même tout en se sentant à la permanente merci de Celui qui le dominait ; ne plus rien oser faire qui aurait déplus à Monsieur le Marquis dEvans ; mais aussi, éprouver tout le poids de sa propre impuissance. Son rêve était bel et bien devenu réalité au moment où il sy attendait le moins !
Mille choses encore, sa progression sur ce chemin de soumission, cette domination bien veillante, lempêchant parfois davancer trop vite, lui permettant de tempérer son approche pour faire en sorte que lui, soumis MDE, ne manque rien du paysage aussi magnifique fusse-t-il parfois douloureux.
Mille choses, lorsquun ordre tombait, confirmé sévèrement par un simple regard, lui permettant de sceller sur linstant le passage de pouvoir, et sa descente vers lasservissement.
Mille choses passaient encore dans sa tête, comme ces temps où il se faisait punir, fouetter, fesser
La punition, cétait un peu le « jy tiens » du Maître, la preuve que oui, il désirait voir Son chien soumis vraiment obéissant. Pour soumis Endymion MDE, cette sorte de mandat quil donnait au Maître était aussi, immanquablement, une motivation de plus pour obéir, une référence qui laidait à rapidement trouver réponse à ses questions intérieures, des réponses totalement biaisées, dans un jeu aux règles absolument injustes, qui de fait, le conduisaient à ne plus pouvoir penser objectivement, et ne lui laissaient dautre choix que lobéissance.
Toujours tenu entravé, contraint à laveuglement et à la perte de laudition, une pensée lui traversait lesprit. Pouvait-il se détacher seul ? La réponse était évidente, non il ne pouvait le faire ! Soumis Endymion MDE sinterrogea encore « si je demande au Maître de me libérer, le fera-t-il ? » Ce genre dinterrogation en amenait dautres, en cascade
Et à toutes ses questions, une seule réponse : non, soumis Endymion MDE ne réclamerait rien, trop heureux ainsi parce que pleinement conscient de son impuissance et du pouvoir du Maître quil détenait sur lui
.
Perdu dans toutes ses pensées par ces mille choses et questionnement, soumis Endymion MDE sursauta quand une main venait de glisser sur ses cuisses, une autre se posait sur son thorax lempêchant de se relever. Inconsciemment, presque mécaniquement, il écarta les jambes pour laisser librement accès à son intimité. La main dailleurs happait ses couilles, les caressait tendrement avant de les tordre douloureusement. La pression exercée sur ses testicules sarrêta uniquement lorsque cessèrent les plaintes et les gémissements de lesclave MDE vaincu. Alors, il fut retourné brusquement et positionné, tête sur le lit, cul relevé, reins cambrés, cuisses écartées. Sans perdre une seule seconde, celui qui le manipulait, posait son sexe érigé sur la corolle flétrie de soumis Endymion MDE et lenfournait dun trait jusquà la garde sans aucun préambule. Son enculeur lui tenait fermement les hanches et glissait entre ses entrailles, par des vas et viens déterminés et puissants à grands coups de reins, comme si cette bite le fouraillant voulait en découdre rapidement. Et ce fut le cas, le chien soumis MDE sentit un jet chaud et dru lui envahir le rectum, par saccades successives, au bout de deux ou trois minutes seulement.
soumise Phryné MDE, en présence du Maître avait enfin détaché son frère de soumission, lui avait ôté la camisole de force, la cagoule et les boules Quiès. Elle repartit, tête basse, avec ce lourd matériel, tel un lourd fardeau, posé sur ses avant-bras, sur un simple claquement de doigts du Maître. soumis Endymion MDE hésita un instant, un tout petit moment au-delà des mots et du temps, puis il obtempérait. Ce genre dhésitations, de par leur nature incontrôlée néchappait pas au Maitre. Mais il savait, dans ces moments là, que Son chien-mâle soumis ne pensait pas, trop occupé par ses luttes intérieures pour pouvoir exprimer sciemment ses sentiments. Le corps du chien soumis MDE communiquait. Une fraction de seconde pour ouvrir la bouche et ne rien dire, une autre pour baisser le regard, le laisser fuir ailleurs, il se relevait en un geste de crainte contenue. Cétait assez pour que le Maître sache, au-delà des mots que Son chien soumis venait de lui dire « je vous appartiens Maitre, quoi que vous exigiez en cette seconde, mon corps le fera sans même que je puisse y réfléchir ». Ce total lâcher-prise, le Maître le savait, soumis Endymion MDE le savait lui aussi quil était laboutissement de sa quête vers la soumission absolue, aboutissement et paradoxalement le début aussi dune nouvelle vie, et cette réalisation elle-même, soudaine, plongea alors lesclave MDE dans un état dhumilité profonde
Le Maître avait approché une chaise près de lesclave MDE et sétait assis :
- A plat ventre sur Mes cuisses, Mon chien ! Ordonna-t-il en se tapotant les jambes
Lesclave MDE sexécuta dans linstant, se laissa nouer soigneusement les mains dans le dos, puis le Maître le fessa, de ses mains nues et larges.
- A genoux ! Exigea le Maître.
Lesclave MDE obtempéra, la brûlure, la sensation de chaleur sur ses fesses, la douleur, excitante mais bien présente, et le regard Dominant du Maître sur sa petite existence le fit bander encore plus fort. Le Maître, sans un mot, regardait Son chien soumis et asservi et pour autant excité, il se pencha un peu de sa chaise et lui attrapa les couilles, les lui tira vers lavant, jusquà lui faire perdre léquilibre.
- A genoux salope, tai-je ordonné !
Lesclave MDE se redressa en grimaçant et en geignant, la douleur était terrible autant que jouissive, sa queue ne débanda pas
A cet instant particulièrement laborieux pour le chien soumis MDE, Monsieur Walter, accompagné de deux esclaves mâles firent irruption dans cette immense et luxueuse chambre allouée à soumis Endymion MDE, le temps de sa convalescence du marquage, et quelle convalescence pensa-t-il ! Les deux mâles, tous les deux nus et enchainés tiraient sur un charriot à roulette, une cage en fer, telle un cube, lourde et massive autant quétroite et de faible hauteur, on eut dit ce que lon appela au temps du Moyen-Age, des « fillettes » ces cages, fameuses cages utilisées sous le règne de Louis XI.
- Enfermez-le là-dedans ! exigea le Maître en sadressant aux deux chiens mâles.
Ils empoignèrent soumis Endymion MDE, le soulevèrent du sol brutalement et lenfermèrent à lintérieur de cette cage sans doute ancestrale. Ils bouclèrent les verrous du couvercle à laide de barres en fer. Au même moment, un câble métallique avec à son bout trois lourdes attaches, sortait et descendait du haut plafond de la pièce, juste au-dessus de la cage. Les attaches furent fixées aux barreaux dacier du dessus et la cage fut soulevée à plus dun mètre cinquante du sol et resta ainsi suspendue dans le vide. Le moindre mouvement faisait basculer davant en arrière la cage mais en aucun cas, elle ne pouvait se renverser, ni même sécraser au sol. soumis Endymion MDE comprit quune nouvelle épreuve lattendait. Les barreaux dacier formant le sol de cette cage, simprimaient sur ses fesses, il était obligé de baisser la tête, darrondir le dos, de plier les genoux tant lespace était réduit, et toujours les mains liées dans le dos ! En parlant de mains, ce fut celles de Monsieur Walter, qui fouillaient lentrejambe du chien soumis MDE à la recherche de ses génitaux. Avec habileté, le Majordome installa, sur le collet des couilles de soumis Endymion MDE, une pièce métallique enserrant ses burnes fermement. De cet anneau il attacha une chaine quil passa entre les barreaux de la cage, à son extrémité, il fit pendre un poids. Monsieur le Marquis dEvans souleva la chaine de quelques centimètres et la relâcha dun seul coup
La douleur fut subite, le chien soumis MDE hurla dabord quand il faillit à ce même moment éjaculer tant la douleur irradiait de spasmes tout son corps
La douleur et la jouissance avait failli éclater en même temps
- A plus tard, Mon chien.
Lui, Son Majordome et Ses deux esclaves, laissèrent soumis Endymion MDE souffrant et gémissant de plaisirs mais toujours animé par ses désirs pervers et ses délices masochistes ! Pour preuve, il bandait encore, une belle et forte érection, une queue raide et drue pointait entre ces jambes...
(A suivre
)
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