Cécile, Bis Repetita
Toute au rôle dinitiatrice dans lequel elle risque denliser notre relation ultérieure, Cécile se positionne en levrette, comme si elle voulait me faire parcourir systématiquement toutes les positions. Je ne tombe pas dans ce piège. Le mot du vicaire en nous présentant lun à lautre me revient en mémoire : « Entre artistes, vous allez bien vous entendre ». Le côté stéréotypé des gestes sexuels quelle pose ne correspond pas à la première impression que jai eue delle. Mon intuition voit plus loin : une personne délicate qui na certainement jamais été baisée que par des palefreniers , oubliée tout de suite après leur vidage de couilles, déflorée sur la paille dune écurie. Je désire installer entre nous quelque chose dintime qui nous corresponde comme la touche amoureuse quelle imprime à sa plume dans le geste de construction dune uvre dart.
Au lieu de lui enfoncer mon pieu comme elle sy attend, je magenouille au bord du lit. Jentreprends de lui lécher la plante du pied. Dabord un peu surprise, elle se laisse rapidement aller avec ravissement. Ma langue sinfiltre entre les orteils que je gobe et suce avec délicatesse. Je veux connaître la moindre parcelle de son corps, découvrir en prenant mon temps ce continent qui métait totalement inconnu il y a une heure à peine. Cette caresse érotique la met rapidement en transe. Elle enfouit sa tête dans loreiller, se mordille les lèvres pour ne pas exploser de plaisir. Pour arrondir ses fins de mois, elle est modèle à lAcadémie des Beaux- Arts. Pour elle, se déshabiller et sexhiber de loin est une habitude quasi professionnelle. Mais là, je veux quelle se sente vraiment nue, offerte corps et âme. Pour cela, il y faut du temps et de la délicatesse, choses dont elle na visiblement pas lhabitude. Dinitié, cest à mon tour de passer initiateur. Il faut y aller demblée pour quensuite nous partagions, chevauchions les rôles pour une entente parfaite en toute égalité, à deux dabord et ensuite avec nos futur(e)s partenaires en trio ou en franches débauches de partouzes.
Mon imagination divague un peu, sexclamerait, sans doute goguenarde, une personne terre-à-terre. Mais je ne crois pas. Janticipe sur les plaisirs à venir. Je rassemble les quelques bribes dinformations que jai sur Cécile, glanées pendant notre conversation. Le milieu des Beaux-Arts ne manque pas de jeunes filles sages en qui sommeille un volcan et rêveraient de sentir une queue bien chaude leur faire perdre, en toute délicatesse, une virginité qui leur pèse. Ne ma-t-elle pas confié quelle ne manquait pas damies peu farouches. Et, un peu à ces pensées mais pas trop, je continue notre découverte mutuelle de nouveaux plaisirs. Je passe aux chevilles, aux mollets. Profitant de ma progression, Cécile part également à la découverte de mon corps. Ses orteils, la plante de ses pieds qui se collent de toute leur surface sur mes épaules, ma poitrine déclenchent rapidement chez moi une trique denfer presque douloureuse. Mais jai décidé de prendre mon temps. Je suis passé aux cuisses. A la vue de la chatte poilue se mêle le vestige de notre premier assaut, un cocktail subtil de sa cyprine mélangée à mon jus offert généreusement et de nos odeurs corporelles.
Je nen reste pas là. Une légère pression de ma part, comme la danseuse de tango argentin se laisse diriger par le cavalier, elle pivote et se couche sur le ventre. Elle offre sa raie et son petit trou à la pointe de ma langue pour savourer dautres plaisirs. Lodeur âcre menivre. Cécile geint langoureusement sous mes petits coups de langue qui lexplore, de part et dautre, en cercles concentriques. Sa main presse ma tête pour accen le contact. Je sens ses pieds qui cherchent ma queue pendant que je continue à monter le long des hanches et des reins. Enfin elle la trouve et se met à la masser pendant que ses talons ont rejoint mes couilles quils écrasent avec un art consommé. Quelles sensations ! Je ny tiens plus
elle pas davantage. Pendant que je fais un léger mouvement pour positionner mon dard, je dois prendre appui sur mes mains pour me redresser et abandonner un instant le contact intime de nos corps.
Elle en profite pour redresser sa croupe et présenter sa chatte à lassaut. Mais cest trop tôt. Je ne men laisse pas conter Je continue mon exploration. De mon gland perle le liquide pré-spermatique, jachève de lenduire avec sa cyprine qui coule à flot . Lentement je parcours avec ma bite, en parfaite érection, les grandes lèvres à gauche à droite, de bas en haut, de haut en bas. Je passe à sa raie. Je fais doucement le tour de son petit trou. Mon gland glisse au centre. Je dois réprimer une folle envie de la sodomiser tout de suite mais il faut continuer lexploration. Sa transpiration perle dans la raie qui sépare le haut des fesses vers le coxys . Jadore ce goût particulier qui émane de cet endroit du corps de ma maîtresse. Ses gloussements et ses soupirs à chacun de mes coups de langue achèvent de me persuader quelle apprécie et quelle participe pleinement par ses sensations à cette phase de jeux où on la croirait passive.
Ma main sactive à lui pétrir le minou, la raie, la zone anale - il ne faut pas laisser au repos ces bonnes choses déjà explorées - pendant que ma langue sactive maintenant autour de la colonne vertébrale. La chatte sétire langoureusement. Tout naturellement, elle se retourne. Un sourire
Nos bouches sont tout près lune de lautre. Sa langue gourmande fait le tour de mes lèvres qui ont gardé le suc de son intimité. Tout doucement, elle sinfiltre, cherche la mienne. Nous prenons goût un long moment à avaler nos salives qui se mélangent. Comme à regret je me détache pour passer à ses seins splendides, en forme de poires. Les aréoles légèrement poilues, larges et très foncées entourent les tétons pointus qui se dressent encore un peu plus sous la caresse de ma langue. Nous soupirons daise. Mais avant que je puisse passer au nombril, Madame me manifeste son désir de reprendre linitiative : une main sest saisie de mes couilles pendant que lindex de lautre main se balade à la base de mon gland, à hauteur de la cicatrice de la circoncision dont il fait le tour.
Elle sallonge à demi, un coude posé sur le drap du lit. Le bout de sa langue a remplacé son index. Cécile suçote maintenant le gland en faisant alterner les coups de langue et les pressions des dents. Mon dard est tendu à se rompre. Un sourire de triomphe et elle engloutit le pieu tout entier dun seul coup. Ses dents serrent et raclent le mât. Tendre vengeance de la passivité quelle vient de me consentir. Elle suce sauvagement la hampe tout en pétrissant mes couilles. Je sens que je vais exploser. Cest ce quelle cherche la garce. Tout en continuant à me branler elle sempale en me : tournant le dos dans ce qui deviendra lune de nos positions préférées. Le spectacle est idyllique : les pieds, les cuisses, la chatte et la raie poilues, le dos, tout ce que je viens dexplorer est offert à mon regard pendant que la mutine prend son plaisir en montant et en descendant vigoureusement sur le nerf tendu quelle serre et desserre. Son art est consommé pour comprimer et relâcher alternativement les muscles du vagin. Les sensations visuelles, au toucher, olfactives deviennent magiques autour de mon zob enflammé. Dabord dressée, elle pèse de tout son poids sur mes cuisses. Elle se penche, moffre la vision délicieuse de son petit trou que je doigte pendant quelle se pétrit le clito dune main et me caresse les couilles de lautre.
Le rythme est devenu infernal. Un frisson électrique nous parcourt. Elle part dans un orgasme trop longtemps contenu et différé par ma longue exploration. Le feu brûle mes testicules. Le jus ne tarde pas à monter . « Chérie je viens, je vais jouir ! » « Ouiiiii ! viens ! Cest booooonn ! ah ! remplis-moi ! Viiiiiiens ! Lâche-toi ». Léjaculation vient par saccades. Je vide mon jus. Mes couilles se vident pour la deuxième fois au cours de cette folle nuit. Elle continue son pilonnage pour nen rien perdre. Ses cris de jouissance, impudiques, orduriers se déchaînent
elle ne se gêne pas plus que cela, les voisins ont lhabitude.
A suivre
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