La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 582)
Pauline au Château - Voici un nouveau récit fort prometteur écrit par Pauline laquelle je remercie sincèrement et récit amélioré par mes soins -
Je mappelle Pauline, une jeune femme ayant des désirs puissants de soumission mais aussi avec déjà une certaine expérience vécue dans de sulfureuses relations D/s. Le ciel était lumineux en ce jour dautomne quand, installée en 2ème classe dans ce TGV, je prends la direction de la gare de Lyon-La-Part-Dieu. Une certaine angoisse monte au fur et à mesure que les minutes passent. Je suis vêtue de ma jupe préférée, moulante à souhait, perchée sur mes escarpins noirs, des bas noirs me montent jusquà mi-cuisses, un chemisier blanc transparent passée sur un fin débardeur noir, dévoile mes tétons tendus. « Aucun sous-vêtement », cest ce quindiquait le message, qui accompagnait mon billet de train. Un homme est assis en face de moi, et il ne cesse de me fixer depuis son arrivée à son siège lors du dernier arrêt du train. Je tente de me cacher derrière mon livre, « Une nuit dans un harem maure », quand je pense à limage sur la couverture, cela ne doit en rien, le calmer. Dailleurs, moi aussi, je me sens humide, je lis ce livre depuis ma montée dans le train, à présent et au fil des pages, mon sexe cest humidifié. Je connais le pouvoir de ces romans érotiques sur mon corps, et javoue que jaime cela. Cela fait un mois, quaucun homme ne ma pris, pour femme ou soumise, cela fait un mois, que ma chatte attend patiemment quun sexe vienne se faufiler en elle. Je suis émoustillée à la fois par ma lecture, mais aussi par ce regard puissant et inquisiteur de cet homme impassible, froid qui ne me quitte plus. Ayant eu affaire, plus dune fois à ce genre dhomme incapable de lâcher un contact visuel sur moi, ils sont à mes yeux, des malpolis, comme si à leur simple regard, je devais me plier, et les servir. Je ne me plie pas aux inconnus, pour me plier, il faut dabord obtenir ma confiance et mon respect.
Les minutes défilent, je poursuis ma lecture érotique «
son instrument devint rigide au fond de mes entrailles
», ces mots me font leffet dun électrochoc, instinctivement, je contracte mon vagin, puis le relâche en douceur. Dénudée, mon sexe lisse, ainsi exposée à lair libre: je me sens dégoulinante. Je jette un regard autour de moi, ma voisine dort, mon voisin den face, regarde par la fenêtre, la table rabaissée et disposée entre lui et moi, moblige à conserver ma place, je ne peux bouger sans réveiller ma voisine. Je me sens comme prisonnière, jaimerai aller me soulager aux toilettes
La voix féminine de la SNCF retentit dans le wagon, « Arrivée à la gare de Lyon-La-Part-Dieu dans 5 minutes, veuillez attendre larrêt complet du train avant de descendre, la SNCF
blabla
» Le micro sarrête, je remarque mon voisin, toujours à lapparence perverse, prendre son téléphone, et passé un appel court et précis : « Message SNCF, 5 minutes à la gare de Lyon-La-Part-Dieu ». Sa voix est calme et posée, je minterroge sur lorigine de ce message, court, sans aucun mot de politesse. Je hausse les épaules pour moi-même, il fait bien ce quil veut. Je rouvre mon livre, où je métais arrêté, et à ce moment précis, mon portable sonne, un message dun numéro masqué, surprise je louvre :
« Tu vas attendre que le train soit vide avant de descendre. »
Je reconnais tout de suite, qui menvoie ce message, il sagit du Maitre que je viens voir. Le train décélère, je range mon livre dans mon sac à main, et regarde le paysage extérieur, le temps semble humide et frais, malgré le ciel bleu rien détonnant pour une journée de novembre. Le train finit par entrer en gare, la femme à mes côtés se réveille, une certaine agitation sinstalle dans le wagon, jentends un demandé si nous étions arrivés.
- Assied toi, chienne.
Tétanisée, je jette un rapide coup dil alentours, nous sommes seuls.
- Assied toi, chienne.
Je me retourne vers lui, et alors que je mapprête à lui lancer un nouveau regard noir, je me retrouve démunie face à ce regard Dominateur et sans équivoque. Mon bas-ventre grogne de plaisir, je voudrais répliquer, mais au lieu de ça, mon corps agit sans même en avoir conscience. Délicatement, je me repose sur le siège que je venais à peine de quitter, mon regard perdu dans le sien. Il passe ses jambes sous la table, et place chacun de ses pieds entre les miens, puis les distance, mobligeant ainsi à écarter largement les cuisses. Jignore ce quil marrive, jignore qui est cet homme, je suis littéralement paralysée par ce regard. Tout dun coup, il change enfin de visage car il me sourit, presque tendrement, comme pour me rassurer.
- Messieurs, je crois que cette chienne est tétanisée et incapable de bouger, cela va nous rendre la tâche plus compliquée.
- Depuis quand une chienne est en mesure de rendre les choses compliquées ?
- Oui, tu as bien raison, Franck, dit-il à son complice, puis sadressant à moi plus sévèrement : - Tu vas te lever, prendre tes affaires et nous suivre, le TGV ne va tarder à repartir
Alors nous quittons le TGV, bien entourée et je suis sans dire un seul mot, lhomme qui venait de parler et ses deux acolytes restant derrière moi et fermant la marche. Nous longeons le quai à la foule bruyante pour nous rendre dans le hall central de cette grande gare bondée. Mais au lieu de quitter celle-ci, nous nous dirigeons dans un des bars SNCF. Et au lieu de sinstaller à une table pour consommer, nous prenons de suite la direction dune porte où il est affiché Privé située juste à côté du comptoir. Je constate quun des barmans fait un signe complice à lhomme que je suis de près. Nous entrons alors dans une banale salle annexe, traversons un court couloir pour entrer dans une petite pièce sans fenêtre où il y a juste au centre, une chaise et une table. Quand jentends la voix laconique de lhomme :
- Chienne, déshabille-toi.
Mécaniquement, mon corps réagit, cest comme si je visualisais la scène hors de mon corps, je sens mes mains ôter mes chaussures, descendre mes bas, déboutonnée mon chemiser. Un quart de seconde, jhésite à aller plus loin, mais le regard dominateur et féroce posé sur moi, me fait comprendre que je dois me dépêcher. Les yeux fermés, je retire mon débardeur, dévoilant ainsi ma poitrine dénudée à ces trois hommes, je rougis instantanément quand je remarque avec effroi, que mes tétons sont pointus et durs.
- Très bien, place tes mains à plat sur la table, et penche toi en avant, reposant ainsi ta tête de chienne sur cette table.
Sans prendre le temps de réfléchir, je mexécute, présentant ainsi mon dos dune blancheur parfaite. Je sens une main se placer sur mon crâne, cette dernière appuie avec insistance, mobligeant à coller ma joue sur la table froide. Un bruit résonne, je nose bouger. Je sens une main passée sur mon dos avec lenteur, je tressaille, ce contact irradie instantanément ma chair, mon sexe. Avec force, mes deux bras sont placés dans mon dos, et une corde rugueuse à la fibre naturelle senroule autour de mes poignets. Je sens que mes vêtements sont ramassés à mes pieds. Une main profite de cet instant, pour venir caresser lintérieur de mes cuisses, mais nallant pas plus loin, je nose aucun geste mais jai le souffle court. Je conserve ma position, tentant dapaiser ma respiration, afin de retrouver mon calme. Une main vient se placer sur le haut de ma tête, puis une caresse bienveillante me détend, mes muscles se décontractent, je me sens devenir lourde, mon corps se relâche de toutes tensions. Puis sans prévenir, cette puissante main empoigne ma chevelure et tirée par les cheveux, je suis rejetée en arrière contre le dossier de la chaise. Cette brutalité meffraie, après ce contact doux, prise dangoisse, je me sens seule, et abandonnée. Alors que je tente un mouvement de la tête, une gifle venue de ma gauche, sabat sur ma joue.
- Tai-je autorisée à bouger, chienne ?
Cette voix, je la reconnais de suite, froide, suave, dominatrice, excitante, pleine dintensité. Je baisse la tête, presque aussitôt que je la reconnais. Je navais pas remarqué, ni entendu que le propriétaire de cette voix charismatique était entré dans la pièce alors que jétais renversée la joue collée sur la table. Adossée maintenant sur la chaise et alors que mes yeux découvrent Celui qui venait de parler, jouvre la bouche, et répond clairement, sans bafouiller mais en baissant les yeux :
- Non, Maitre.
- Très bien, je vais te donner des instructions précises afin de te rendre au Château, mais pour cela, il va falloir que tu les respectes à la lettre. Je connais ton tempérament et ton orgueil, dont tu es si fière, mais avant de pouvoir atteindre Ma Demeure ancestrale, il va falloir effacer ton côté rebelle, et cela pour le reste de tes jours où tu seras sur Mon joug. Sache que rarement, je me déplace pour venir chercher un ou une soumise, qui souhaite rejoindre Mon Château. Prends conscience, de leffort que je fais pour toi, chienne.
- Je
Je suis très honorée, Maitre.
- Tai-je autorisée à parler, chienne ?
- Non, Maitre.
- Ne me fais pas regretter Mon choix, chienne, et prends le pour un ordre. Est-ce clair, chienne ?
- Oui, Maitre.
- Très bien. Avant de commencer, je vais régler un petit détail, lequel je tenais à mettre en place Moi-même
A genoux, tête baissée, buste droit que tes talons ne touchent pas tes fesses
Les mains ligotées dans le dos, on maide sans attendre à me mettre en cette position agenouillée. Puis à ces paroles, le Maitre sort de la poche de sa veste, un collier en cuir noir, muni dun anneau. Sur le cuir est serti une plaque de laiton où il est gravé clairement les Initiales MDE. Il me passe ce collier autours de mon cou, je souris à ce contact. Puis il sort une laisse constituée de chainons métalliques, et lattache à lanneau, il empoigne ce dernier et me redresse la tête de son autre main qui me maintient le menton et mobligeant ainsi à le regarder. Je vois ainsi de très près Son regard bleu et profond si Dominant et envoûtant.
- Chienne, à présent, tu Mappartiens, Je suis le seul Maitre de ton corps et de ton âme, tu Me dois respect, et obéissance, quoiquil ten coûtera
Crois-moi, ton séjour au Château, ne sera pas une partie de plaisir pour toi, tu peux tout de suite, oublier dessayer de me provoquer. Tu dois comprendre, que jamais, je nai pris de soumis ou soumise, qui voit la relation D/s comme une remise en question perpétuelle du Dominant. Je sais quà tes yeux erronés, la soumise ne doit cesser de faire comprendre au Dominant, que rien nest acquis
Mais, tu vas très vite comprendre, que tu narriveras pas à me manipuler. Je sais que jarriverai à te faire plier, à exclure de ton âme tout orgueil, Jen ai dressé des femelles encore plus coriaces que toi et qui désormais rampent à Mes Nobles pieds et elles sont si heureuses maintenant davoir cet honneur
Et leur reconnaissance à ce quelles sont enfin devenues est incommensurable
Monsieur le Marquis dEvans reprend son souffle, Ses yeux se font encore plus imposants quand il continue, dune voix encore plus assurée :
- Ton esprit libre de chienne de bâtarde, mest inconcevable, et jai conscience que pour te le briser et te reconstruire en une véritable soumise, il va me falloir du temps... Nos échanges mails, et skype, nétaient quune prise de température, mais jai pu déceler la soumise en toi, qui nattend quune seule chose : Cest de réussir à se plier pour enfin sépanouir dans ce que jappelle une véritable soumission. Mais aussi à se donner à un véritable Maître digne de ce nom qui est capable de cela, en loccurrence, jai le bonheur dêtre ce Maître... Quelque chose en toi, est fort, et cest ce qui mattire. Je vais jouer carte sur table, avec toi, si tu me résistes, tu prendras la porte, et rentreras chez toi car je nai que faire dune soumise en devenir qui ne peut DEVENIR une véritable soumise et tu pourras toujours mharceler de mails, je ne te répondrais plus jamais. Est-ce bien claire, chienne ?
- Cest drôle, mais je crois avoir déjà lu, ça quelque part, et pourtant me voilà, à Vos côtés, comme je le désirais, et quand je lai voulu.
- Tes paroles ne sont pas tombées dans loreille dun sourd, cependant, je ne relèverai pas, car jai compris, que tu cherches un rapport de forces, une punition, et ne pas te donner satisfaction, sera mon plus grand plaisir.
Face à ses paroles, je me sens démunie, déçue, je voulais le voir faillir, et le mettre en rogne, pour connaitre sa réaction, mais je dois avouer que son expérience, que sa Maîtrise de la situation me déstabilisent
(A suivre
)
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