Une Récompense Très Attendue
Madame aime bien, de temps en temps, me caresser le torse, puis le ventre, puis faire glisser ses doigts dans mon pantalon et frôler mon pubis. Elle s'y attarde, même, voyant comme je ronronne.
Je vais vous raconter d'où vient cette petite gâterie.
Lorsque j'étais encore en train de la découvrir, alors que j'apprenais à la servir, non sans le "dressage" et l'éducation nécessaire à cela, dans le ménage, la cuisine et l'entretien de la maison et de ma maîtresse, dévoué depuis le tout début de ces petits jeux auxquels elle m'avait initié, elle a un jour "exigé" une nouveauté: je me suis rasé intégralement. J'ai bien passé 2 ou 3h dans la salle de bain, tellement je m'appliquais.
Ce matin là, je me réveillai alors que Madame vint m'embrasser avant de partir.
-Tu as été sublime, hier. Exactement ce que j'attendais de toi. J'ai bien fait de durcir ton éducation, dernièrement.
Elle durcissait ma queue, aussi, à caresser ainsi mon torse en me susurrant des mots doux. Ses lèvres pulpeuses et rouges, rien qu'à les regarder comme ça, pendant qu'elle m'administre ces douceurs, et je sais comment je vais démarrer la journée après son départ! J'avais espéré une petite fellation, comme récompense, peut-être pourrai-je l'obtenir ce soir... Pourvu qu'elle garde ce chemisier qui met sa belle poitrine en valeur, mais je n'y compte pas trop, j'imagine qu'elle vêtira un corset ou une se ses petites tenues noires qui va au moins préserver son rôle de dominante, dans cette situation dont j'ai de plus en plus terriblement envie!
-Tu as bien mérité ta récompense, alors prépare-toi pour ce soir, fais toi belle. Fais moi des surprises. À toi de faire des efforts pour me surprendre: je vais revenir brûlante de désir, parce que je vais garder cette image de toi toute la journée dans la tête! Alors nos retrouvailles ont intérêt à être merveilleuses, sans quoi ta récompense pourrait bien se retourner en punition...
En disant cela, elle tire sur la petite bague de mon collier de cuir et me donne un baiser.
Je passai la matinée à me détendre, au lit, peut-être un peu trop, je l'avoue, et je me réveillai un peu tard, pour prendre mon café en sous-vêtement dans le grand salon confortable que nous avons aménagé.
Après déjeûner, je réfléchis un peu, songeant aux derniers jours passés et aux nouvelles expériences que nous avions faites, entre-nous, et puis de faire intervenir des connaissances à elle dans cette relation de soumission femme-homme. Je commençai à m'exciter à cette idée de lui appartenir, et à imaginer d'encore bien pires humiliations à m'administrer. J'étais sur le point de me masturber lorsque je pensai aux consignes de Madame.
Je me préparai donc à leur guise et passai une bonne heure au chaud dans la buée de la salle de bain, me rasant entièrement le pubis et me faisant une petite beauté. J'étais comme une petite poupée. Mon sexe gonflé, humide et chaud me donna une autre envie de me caresser à laquelle je m'exécutais, dans la douche. Ce membre lourd et bien rond, dégoulinant, doux et chaud, bandé comme un muscle dans ma main le tenant fermement, cracha finalement, comme un remerciement toute une salve de foutre chaud et un frisson me parcourut lorsque je l'arrosai pour le faire disparaître. J'étais glâbre, Entièrement, de l'anus jusqu'en bas du ventre, et l'eau chaude que je sentais s'écouler depuis toute à l'heure sur ma peau rasée n'eut de cesse de m'exciter.
Mais trêve de perte de temps, elle peut maintenant arriver d'une minute à l'autre. J'étais si pressé et excité, pour que tout soit prêt à temps, que j'avais déjà mise une des petites culottes que m'avait offerte madame, celles qui serrent mon sexe tant il devient gros au contact de ce doux tissus.
Lorsque j'entendis une voiture dans la cour, mon sang ne fit qu'un tour. Obéissante, je vins me placer à genoux devant la porte d'entrée, mains sur la tête et petite laisse enroulée et tenue entre mes dents.
-Attends moi là, je suis crevée, je vais me prendre une douche et manger le repas que tu m'as préparé.
Je posai ma tête sur le fauteuil et commençai à somnoler. Puis je me réveillai doucement: des mains s'emparent de mes têtons, les pincent doucement, caressent mon torse, puis descendent le long de mon ventre jusqu'à mon petit slip. Les doigts le pincent et le tirent vers le bas.
-On va libérer ta belle bite. Me dit doucement maîtresse. Puis elle me caresse doucement le pubis, les testicules et enfin elle s'empare de ma queue bandée et la branle doucement. ELle pose un jouet sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et le suce quand elle se met à effleurer mon anus du bout de son index. Elle y passe un petit gel froid et l'étale bien. elle me tripote encore les couilles pendant ce temps et me pince sèchement les têtons. Puis elle me tire le jouet de la bouche et le pose sur mon anus et commence à appuyer. Elle l'enfonce directement, appuie sur un bouton et le jouet commence à vibrer, et elle remonte mon slip par dessus! Puis elle appuie sur ma tête et vient s'asseoir dans le fauteuil en venant s'asseoir au dessus de moi. Elle aggripe mes cheveux et les tire doucement pour guider ma bouche et la poser sur sa chatte. Elle veut que je la mange. Ça tombe bien! Elle s'occupera encore mieux de moi une fois satisfaite.
Et puis je m'applique à faire glisser ma langue sur sa fente chaude à appuyer sur ses lèvres qui s'écartent, enfoncer ma langue dans son orifice, bien la lécher partout avant de titiller son clitoris du bout de la langue. Elle me tient la tête et appuie parfois. Enfin elle soupire. Elle jouit, sursaute. Elle réappuie sur ma tête pour se relever, elle redescend ma culotte et m'ordonne de me branler. Je lui obéis vigoureusement pendant qu'elle caresse mes couilles et je jouis rapidement sur le tapis. Elle détache mes mains.
-Je suis crevée, tu vas dormir bien sagement. Je m'occuperai de toi demain matin.
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